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Mathieu Fantin
Céline Palous
Brick à Drac propulse son Turbo-folk ! au grès des vents turbulents de la Vielle à Roue et autres instruments d'un âge révolu... A la croisée des chemins Occitans, Médiévaux, Celtiques et festifs, la musique de Brick A Drac se complète d'une folle inspiration dans laquelle la langue d'Oc, les danses et diverses légendes se côtoient. Entre morceaux traditionnels réarrangés et compositions personnelles, le groupe dégage une ambiance puissante. Leur Echappée Sauvage en appelle aux farfadets, loups, sorcières et fées pour nous amuser et parfois même pour nous effrayer avec une œuvre culturellement riche, musicalement dense et variée. Brick à Drac se produit aussi bien en concert qu'en bal folk avec une musique rythmée, envoûtante et dansante. En apportant une très forte personnalité à leurs interprétations, les occitans proposent des concerts plein de relief et de couleurs différentes. L'énergie, la convivialité et le partage plongent le public dans un univers unique durant près de deux heures. Là où la modernité est une évolution de la tradition, Brick à Drac s'affirme corps et âme dans la musique du 21ème siècle en s’efforçant de faire de chacune de ses apparitions en public une grande fête populaire.

Biographie

Fondée en 2003 par Mathieu Fantin et Céline Palous, la Bande du Drac fait ses premières armes dans les balétis de midi-Pyrénées. En 2005 ils décident de "mescler" musiques traditionnelles et rock. Le groupe monte alors sur scène et gagne un Tremplin en 2007. La vitalité et l'originalité de Brick à Drac sont alors récompensées et la première tournée du groupe se précise au printemps/été 2007 avec une vingtaine de concerts. De cette expérience suivra l'enregistrement d'un premier album Turbofolk en 2008, puis d'un second, L'Escapada Salvatja, aux sonorités folk-rock, sorti en 2010. Durant cet automne, le groupe tourne son premier clip sur les hauteurs du Larzac. Il connaît un franc succès lors de sa diffusion sur le web. Lors du Festival en Gévaudan le 12 août 2011, Brick à Drac partage la scène avec Alan Stivell et enregistre son troisième album (en concert) As vist lo Live ? qui voit le jour en février 2012. Ce concert met en relief les couleurs festives et conviviales du groupe devant 2000 personnes. Avec près de 300 concerts, Brick A Drac a sorti son quatrième album studio L'Imaginarium en 2016. Celui-ci fait la jonction entre l'énergie pure d'un folk endiablé et les riches sonorités acoustique de son instrumentarium. En Duo, Trio, ou Quintet quand il est au complet, le groupe assure depuis 2007 une trentaine de concerts chaque année en terre d'Occitanie, dans l'hexagone et même hors des frontières (Italie, Belgique).
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Bal ou animation musicale à la voix, aux harmonicas et autres instruments. ​ Le répertoire est puisé avec soin dans la musique à danser de tradition orale du massif central, selon ses rythmes entraînants et singuliers (scottish, polka, mazurka, bourrées, valses,.....). ​ L'instrumentarium tourne autour de l'harmonica, instrument nomade et d'une efficacité redoutable pour la danse, qui allie mélodie et accompagnement rythmique.
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La Poule Noire explore un répertoire à la fois puissant et sauvage allant de l'Auvergne au Périgord, passant par le Limousin. Gilles de Becdelièvre, Antonin Duval et Cécile Delrue-Birot nourris de cette terre vivace vous emportent dans le Royaume de la Sautière, de la Bourrée, et du Kir Châtaigne..
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Gargamas était un géant Périgourdin qui mettait un pied sur chaque berge de la Dordogne et urinait dans la rivière à chaque envie pressante ! Gargamas c'est aussi le nom qu'ont choisi Gilles de Becdelièvre et Antonin Duval pour leur duo de musique traditionnelle à danser. Le premier est à l'accordéon diatonique et au chant, le second au violon et aux pieds. Le répertoire est périgourdin pour l'essentiel, ponctué de quelques emprunts aux voisins limousins. Au menu : bourrées, sautières, polkas, scottishs, valses, mazurkas, rondeaux,... Musiques du pays collectées dans les années quatre-vingt ou issues de recueils de début du siècle, Gargamas les interprète avec l’influence des anciens comme des contemporains, recherchant une énergie particulière dans ces musiques enracinées, une sorte de transe, à l’image du blues et plus généralement des musiques à bourdon.
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Le trio est né avec la création de la grande région Nouvelle Aquitaine. Nouveau territoire, nouveau répertoire, nouvelle identité ! Benoit Roblin, Arnaud Bibonne et Gilles De Becdelièvre ont eu l'envie de faire se rencontrer leurs compositions et mélodies traditionnelles de la nouvelle région pour proposer un bal riche de variétés de danses et d'influences. La vielle à roue, la boha et l'accordéon diatonique se mélangent parfaitement, le bal néo-aquitain peut commencer !
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Arnaud Bibonne et Gilles de Becdelièvre se sont réunis autour de la cornemuse des Landes de Gascogne, la boha, que pratique le premier depuis l’enfance, et de l’accordéon diatonique du second. La complémentarité des instruments les a motivé à monter un répertoire de musique à danser. Les deux musiciens pratiquant volontiers la composition, ils se lançaient le défi de créer systématiquement des mélodies pour la cornemuse des Landes : des allées et venues entre imaginaire et exigence de la danse, entre musiques du monde et caractère de la boha… "Le jardin bohatonique" est le titre du premier disque du duo, sorti en 2011. Au menu : rondeaux, congos, courante, mazurkas, scottishs, polkas, … sur des airs du jardin.

Le duo se transforme quelques fois en trio avec Julien Esteves aux percussions, banjo, mandoline,...
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La fille du fermier est un groupe composé de deux jeunes musiciens issus des musiques traditionnelles françaises, et d'ailleurs. Leur spécialité est le Massif Central. Benjamin joue du violon et chante ; Antoine est à la guitare et à la mandoline. Leur répertoire se compose de danses et convient particulièrement au bal, mais s'écoute également en concert. Bourrées, mazurkas, scottishs, polkas, valses, rondeaux, ou jigs sont au programme. Certaines sont traditionnelles, et d'autres, de la composition du groupe. Les deux musiciens n'hésitent pas à rendre cette musique vivante, dynamique, et surprenante. Chaque spectacle est différent. Chaque soirée, chaque public l'est également. Le groupe a un répertoire bien en poche, mais se met avant tout au service des danseurs, de son énergie, et de son style. Une bourrée trois temps pourrait bien finir en rock'n roll, et une mazurka sautillante, en vraie berceuse... ou l'inverse !
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Le Duo Montanaro propose une exploration poétique autour de la flûte et du violon et se présente comme une suite de pièces instrumentales écrites et improvisée : Ki. Ki en Hongrois désigne l’extérieur. Mais c’est aussi : Qui. Qui sommes nous ? La flûte et le violon se font écho à travers un dialogue épuré, nous entraînant dans une exploration de nous même et du monde qui nous entoure. Des compositions aux sonorités blues et traditionnelles, agrémentées de la singularité du jeu de Miquèu Montanaro et Baltazar Montanaro-Nagy nous font basculer de notre monde à un univers inconnu.
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Les Noëls sont à la musique provençale ce que les standards sont au jazz. Ces mélodies sont familières à chacun et se prêtent volontiers à la rlecture, à la variation spontanée et au détournement… C’est donc tout naturellement que Miquèu Montanaro propose une adaptation originale de ce répertoire en s’associant pour la musique à Serge Pesce, et pour le chant à la femme-troubadour Guylaine Renaud.
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"Dire que sa démarche est assez incomprise est un euphémisme. Il n’en a cure, fait le gros dos, se fait la main avec des musiques de théâtre ou de films. Paradoxalement, la conviction qu’il n’est pas totalement dans l’erreur il la trouve en Hongrie… Lorsqu’en mars 1990, il lance à Budapest l’ensemble Vents d’Est, plus de quinze ans de potlatch musical servent de soubassement à son utopie sonore. Avec Vents d’Est, il s’agit pour lui de fonder une sorte d’agora musicale à cheval sur plusieurs frontières, susceptible de susciter une musique ouverte, atemporelle, « imaginogène ». Une agora qui au fil des années sera nourrie d’amitiés électives dans laquelle vont se croiser Hongrois, Provençaux, Sardes, Grecs, Italiens, Espagnols, etc. Un caravansérail dans lequel feront bon ménage, la cornemuse et le piano à queue, le cymbalum et la vielle, les styles anciens et contemporains se frottant les uns aux autres pour accoucher d’une « nouvelle musique populaire » assumant ses origines pluriculturelles, loin des fusions réductrices. Une démarche dont Miquèu Montanaro a fait sa méthode… Ce qui implique un système d’écriture à plusieurs langages, à l’architecture stable et complexe, d’approche facile, dans lequel une grande place est laissée à la personnalité de chaque invité. Cette aventure autant humaine que musicale, de nombreux enregistrements en rendront compte ? C’est que l’exubérance entrepreneuriale d’un Miquèu Montanaro doit s’apprécier comme un « work in process » dont les concerts et les enregistrements sont des traces, des référents, façon de marier sa passion du voyage, son goût de la rencontre, et le besoin de se rassurer par le faire."

Franck Tenaille

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