Manuscrit daté de 1926, regroupant deux comédies "D'uno fenèstro a l'autro", suivie de "Margotouno vol divoursa".
La comédie en prose "D'une fenèstro a l'autro", fut publiée un an après dans le second tome du "Teatre poupulari", intitulé "Las vesprados galoios".
Cette pièce est caractéristique d'une période spécifique dans l’œuvre de l'auteur qui, souhaitant toucher un large public, se consacra durant un temps à l'écriture de jugements et de "carnavalades". Forme théâtrale qu'il délaissera par la suite pour se tourner vers un théâtre plus élaboré et dramatique.
Manuscrit d'une fantaisie en un acte, écrite par Emile Barthe, poète et auteur dramatique, élu Majoral du Félibrige en 1925.
Il n'est fait mention d'aucune date sur le manuscrit et il semble que cette fantaisie soit restée inédite.
Cette pièce, dont la trame principale se déroule dans une école, est, à l'instar des autres comédies de l'auteur, largement inspirée de la vie quotidienne populaire. Les comédies d'Emile Barthe rencontrèrent un franc succès de par leur rapport au peuple, et à la culture languedocienne.
Cahier d'écolier petit format à l'effigie de Mistral contenant le manuscrit d'une scène comique, écrite par Emile Barthe, poète et auteur dramatique, élu Majoral du Félibrige en 1925.
Bien qu'aucune date ne soit indiquée, il est néanmoins facile d'estimer la période approximative d'écriture puisque cette scène fut publiée en 1934.
Manuscrit daté de 1937, écrit par Emile Barthe, poète et auteur dramatique, lauréat de l'Académie des jeux floraux, élu Majoral du Félibrige en 1925. Cette pièce de théâtre comique en un acte met scène sept personnages. Elle fut publiée en 1937.
Manuscrit daté de janvier 1922, écrit par Emile Barthe, poète et auteur dramatique, lauréat de l'Académie des Jeux Floraux et Majoral du Félibrige en 1925. Il s'agit d'une comédie à deux personnages, publiée dans le recueil Las vesprados galoios, second tome du Teatre poupulari. L'amour, sujet développé ici, fait partie des thèmes principaux de l’œuvre d'Emile Barthe avec entre autres, l'esprit de famille, l'éducation, l'humour et la tradition populaire.
Ce manuscrit regroupe des poèmes de Jacques Prunac, connu sous le nom de Jacques Libérat ou encore, de Mèstre Prunac. Outre ses fonctions de boulanger-pâtissier à Sète, il écrivit des poésies en provençal.
Les poèmes de cet ouvrage sont dédiés à Rosalie Prunac (petite fille de Jacques Libérat) par son oncle, F. Prunac.
Le recueil se scinde en deux grandes parties, une première dédiée aux poèmes occitans, et une seconde aux poèmes français.
Ce recueil recouvrant la période de 1810 à 1856 semble être un carnet de note ou un journal dans lequel l'auteur aurait écrit ou copié tout ce qu'il jugeait digne d'intérêt. Il contient des pièces très diverses :
Des chansons sur des thèmes du quotidien, chansons à boire, patriotique, ou de circonstance, des romances. Certaines chansons sont replacée dans leur contexte de création ( par exemple : " Couplets de Mr Dupaty chantés par Madame Belmont après la représentaion de fauchon la veilleuse le 20 Juillet 1809") ou portent une dédicace, et d'autre au contraire ne portent aucune indications. Il se peut que l'auteur du recueil les ait écrites lui-mêmes ou qu'il les ait simplement copiées.
Deux fables calquées sur le modèle de celles de Lafontaine : "La sociale et la Réacte " qui est une adaptation de "la cigale et la fourmi", et "Le peuple roi et Maître Ledru" (Ledru Rollin) qui imite "le corbeau et le renard".
Des anecdotes, des recettes de remèdes contre la rage, de potions, et des jeux : charades, énimes, logogrifes.
D'une façon générale, ce recueil semble avoir été réalisé par son auteur-compilateur dans un but ludique.
Ce manuscrit du XIXème siècle regroupe des copies de plusieurs œuvres. La plus grande partie est le journal rédigé par Pichatty de Croissainte, avocat et conseiller de Marseille. Ce texte est extrait du "Mémorial de la Chambre du conseil de l'Hôtel de Ville". Il y retrace les ravages de la peste de 1720 à Marseille.
Il contient également des poèmes Hyacinthe de Bernoulli ("Poésies d'un proscrit"), datés de 1829 à 1835, et d'Angélique Chambovet, de 1860 à 1869. Ces dernières sont en provençal.