Ce chapitre est extrait de la thèse de doctorat de Fañch Broudic, travail de référence sur l’évolution des discours et des usages autour de la langue bretonne depuis l’Ancien Régime jusqu’à la fin du XXe siècle. Le texte ici présenté porte sur la place accordée à la langue bretonne dans les discours et les pratiques de l’époque révolutionnaire. Ce chapitre, de même que d’autres textes en lien avec la langue bretonne, est également disponible sur le blog de l’auteur : http://www.langue-bretonne.org/
Ce chapitre est extrait de la thèse de doctorat de Fañch Broudic, travail de référence sur l’évolution des discours et des usages autour de la langue bretonne depuis l’Ancien Régime jusqu’à la fin du XXe siècle. Le chapitre inédit ici présenté porte sur les discours développés sur les langues de France, et en particulier sur le breton, au cours de la période révolutionnaire. Ce chapitre, de même que d’autres textes en lien avec la langue bretonne, est également disponible sur le blog de l’auteur : http://www.langue-bretonne.org/
C’est un spectacle arc-en-ciel pour reprendre la formule dont Mandela peignit l’Afrique du Sud post-apartheid. Un spectacle fait de théâtre, de musiques, de danses, mais aussi, mais surtout métissé de langues que la mondialisation culturelle menace.
Au début, il y avait un petit garçon qui enregistrait son grand-père quand il parlait une langue pour lui fascinante : l’occitan. La lenga nostra, disait le vieux monsieur. Aujourd’hui, Christophe Rulhes est devenu anthropologue, musicien et, avec l’acrobate, chorégraphe, scénographe, Julien Cassier, co-fondateur du GdRA, cette unique troupe de théâtre toulousaine.
Unique car leur projet ne ressemble à aucun autre. En témoigne cet étrange et vivifiant spectacle évidemment baptisé Lenga. On y voit, on y entend un acrobate de rue de Madagascar (Maheriniaina Pierre Ranaivoson), un initié Xhosa d’Afrique du Sud (Lizio James), un comédien Toulousain, un musicien Occitan jouant de la cabrette et des platines. On y parle un occitan débarrassé de sa gangue folkloriste, on y entend des langues, malgaches, sud-africaines, que le rabot culturel amoindrit chaque jour un peu plus. On y suit, entre Le Cap et Tananarive, les destins de grand-mères qui semblent venir d’un monde en pleine mutation…
Lenga, c’est de l’anthropologie joyeuse.
Durée : 01:40
À partir de 7 ans.
Tarifs : 17€/13€/11€/6€
Sortie Ouest
Détails et billetterie : https://www.sortieouest.fr/saison/spectacle/theatre/lenga.html
C’est un spectacle arc-en-ciel pour reprendre la formule dont Mandela peignit l’Afrique du Sud post-apartheid. Un spectacle fait de théâtre, de musiques, de danses, mais aussi, mais surtout métissé de langues que la mondialisation culturelle menace.
Au début, il y avait un petit garçon qui enregistrait son grand-père quand il parlait une langue pour lui fascinante : l’occitan. La lenga nostra, disait le vieux monsieur. Aujourd’hui, Christophe Rulhes est devenu anthropologue, musicien et, avec l’acrobate, chorégraphe, scénographe, Julien Cassier, co-fondateur du GdRA, cette unique troupe de théâtre toulousaine.
Unique car leur projet ne ressemble à aucun autre. En témoigne cet étrange et vivifiant spectacle évidemment baptisé Lenga. On y voit, on y entend un acrobate de rue de Madagascar (Maheriniaina Pierre Ranaivoson), un initié Xhosa d’Afrique du Sud (Lizio James), un comédien Toulousain, un musicien Occitan jouant de la cabrette et des platines. On y parle un occitan débarrassé de sa gangue folkloriste, on y entend des langues, malgaches, sud-africaines, que le rabot culturel amoindrit chaque jour un peu plus. On y suit, entre Le Cap et Tananarive, les destins de grand-mères qui semblent venir d’un monde en pleine mutation…
Lenga, c’est de l’anthropologie joyeuse.
Un spectacle : GdRA - Christophe Rulhes & Julien Cassier
Durée : 1h40
Dès 7 ans
Spectacle en partie surtitré
Tarifs : 18€ / 16€
Spectacle co-accueilli avec la Ville de Mende
Site, présentation et billetterie : http://www.scenescroisees.fr/LENGA
Les Assortis vous invitent à la chanson d’amour à deux voix!
Le répertoire d’Alibert - Scotto, Boby Lapointe, Brassens, Bourvil, Nougaro, Trenet, de Boum à Un Jour tu verras, du Petit bal de la belle de Mai au Petit bal perdu... vous tend les bras !
Pour s’égayer les oreilles, ils vous proposent de cheminer en chantant en passant par Miette, Magali, Tchi Tchi, Rosalie...
En spectacle, tour à tour chanteur, musicien, à l'orgue de barbarie, à l'accordéon, aux saxophones, flûtes, percussions... Sur scène ou dans la salle, ils évoquent avec humour et tendresse, leur histoire d’amour : la rencontre, le premier rendez-vous, les grandes déclarations, les enfants...
Pour les accompagner le public est de la partie... en chansons, danse, ou pour un petit tour de carrousel …
C’est par l’évocation des fêtes carnavalesques, du bestiaire totémique occitan et du boi brésilien, des animaux de la garrigue et d’Amazonie, des festas juninas et des feux de la Saint Jean que Pife Canto s’adresse aux plus jeunes (de 3 à 12 ans) dans le but de leur se dépatouiller pieds, jambes et bras ! Les oreilles toujours à l’écoute du forró et du balèti.
En grand cercle, petite ronde, chaîne, galop et danses jeux divers, l’énergie du chant et des percussions sur le souffle des flûtes entraîne les jeunes danseurs à la découverte de leur corps et de celui de leur voisins.
Ce bal enfant à été conçu par les cinq musiciens de Pife Canto. Mais afin d’être accessible au plus petites structures il peut être proposé en version modulable (à partir de 3 artistes).
Depuis sa création en 2011 dans le Gard central, PIFE CANTO s’inscrit dans une démarche indépendante et originale de création mêlant musique traditionnelle et actuelle.
Pife Canto est un joyeux quintet composé d’Anne Lauron, Clément et Rachel Baudry, Cyril Solanas et Virginie Bécamel.
Leurs créations s’inspirent d’airs de pifanos brésiliens, de chants polyphoniques occitans, de rythmiques méditerranéennes et contemporaines.
Certes PIFE CANTO ne recueille pas encore tous les fruits de son audace musicale, mais sa persévérance et sa volonté sans failles de conquérir le public américain et par extension la planète lui permettra sans aucun doute de venir jouer chez vous très prochainement.
Faire bouger tous les publics dans un esprit de partage, de rencontre et de fête, tel est l’objectif de PIFE CANTO.
pifecanto@gmail.com
Originaire du bassin méditerranéen, le pois chiche trouve ses racines dans l’Antiquité. Le nom latin de cette légumineuse est « cicer » (prononcer kiker) et Cicéron devait son surnom à la verrue en forme de pois chiche qu’il portait à son nez. La légende raconte que le pois chiche fut implanté dans notre région par les romains (ceux du Pont du Gard) et sa culture connut une vaste expansion sur ce terroir.
La tradition orale et très légèrement romancée parle d’un certain Cireri Montarenum à l’origine de la création du village de Montaren où se déroule la Fête.
S’appuyant sur cette tradition, une joyeuse bande d’allumés réunis dans un Kollectif (avec un K comme Kiker) d’associations décidait de remettre cette légumineuse en lumière par une fête de village joyeuse et déjantée…la fête du pois chiche était née.
Cette légitime consécration et son folklore poischichesque font aujourd’hui partie du petit patrimoine immatériel du village où l’Occitanie trouve toute sa place.
Montaren & Saint Médiers fut alors reconnue comme la Kapitale Internationale du Pois Chiche et héberge le temps d’un week-end une fête à part réunissant concerts, bals, parades, spectacles, Poischicheland ainsi que l’hilarant Musée International du Pois Chiche que Paris, New york et Pekin nous envient !