Explorar los documents (30 total)

vignette_55921.jpg
Lenga d'òc / Théodore Calbet
Calbet, Théodore (1862-1949)
Quasernet autograf datat de 1945 a l'intencion de son "arrièr cosin, François Groussac, regent" composat de poèmias en dialèctes regionals, en grafia occitana e en francès. 

Lo recuèlh conténe tanben qualques remarcas generalas sus la prononciacion e l'escritura de la lenga d'òc e una letra destinada a son cousin. 

Per ne saber + sul Théodore Calbet : consutar lo memòria universitari de Laëticia Maux
vignette_55921.jpg
Ensags poeticas / Théodore Calbet
Calbet, Théodore (1862-1949)
Recuèlh de poèmias en lenga francesa de 1943.

Per ne saber + sul Théodore Calbet : consutar lo memòria universitari de Laëticia Maux
vignette_55921.jpg
Poesias en lenga d'Òc / Théodore Calbet
Calbet, Théodore (1862-1949)
Quasernet autograf datat de març 1946 a l'intencion de son "jove cosin, François Groussac, regent" composat de poèmias en dialècte fonetic popular e en grafia occitana.

Lo recuèlh conténe tanben qualques remarcas generalas sus la prononciacion e l'escritura de la lenga d'òc e una letra destinada a son cousin. 

Per ne saber + sul Théodore Calbet : consutar lo memòria universitari de Laëticia Maux
vignette_55921.jpg
correspondéncia / Théodore Calbet
Calbet, Théodore (1862-1949)

Théodore Calbet a  suivi  les  cours  par  correspondance  du  Collège  d’Occitanie  à  partir  de septembre 1943.
Dans les archives du Collège d’Occitanie conservées à la médiathèque occitane de Béziers, quatre  lettres  (cote  CP  012/10)  adressées  à  Joseph  Salvat  (un  des  fondateurs  du  Collège d’Occitanie en 1927 à Toulouse, avec Prosper Estieu) témoignent de sa volonté de parfaire ses connaissances de la graphie normalisée occitane. 

Pour en savoir + sur Théodore Calbet et voir la transcription des lettres : lien vers le mémoire universitaire de Laëtitia Maux

vignette_55921.jpg
Ensags poeticas de 1943 / Théodore Calbet
Calbet, Théodore (1862-1949)
Recuèlh factici de poèmias e cançons datadas de 1943.
Conténe tanben qualques remarcas generalas sus la prononciacion e l'escritura de la lenga d'òc.

Per ne saber + sul Théodore Calbet : consutar lo memòria universitari de Laëticia Maux
vignette.jpg
poemias de guerra de Raymond Raymondie
Raymondie, Raymond (1884-1922)

Le cahier personnel de Raymond Raymondie datant de la Première guerre mondiale comporte des témoignages vécus et des essais littéraires.
Ces écrits témoignent du parler ou de tournures propres au biterrois.

La famille de Mr Raymondie a mis à disposition du CIRDOC - Institut occitan de cultura cette version numérisée.

vignette_21109.jpg
Le patois d'Étroussat et la vie rurale / A. Ferrier
Ferrier, Aimé (1896-1975)
Tapuscrit accompagné de notes manuscrites d'une étude linguistique et ethnographique sur la commune d'Étroussat (Allier).

Aimé Ferrier (Auguste Antoine à l’état-civil) naît le 6 avril 1896 à Étroussat (Allier), le village où ses parents sont nés eux-aussi. Il grandit au hameau des Noirs, dans la propriété de son grand-père maternel Bonnamour, où son père travaille comme viticulteur pépiniériste.
Instituteur public, il enseigne après la Premère guerre dans les écoles normales de Varzy (Nièvre), de Périgueux (Dordogne), puis en 1935 à l’école primaire supérieure d’Ussel (Corrèze). En 1948 il devient directeur du collège de Cusset (Allier). Il se retire à Ébreuil, commune de naissance de son épouse Jeanne Pinel, où il décède le 25 mars 1975. Curieux de théorie des nombres, Aimé Ferrier reste célèbre pour avoir déterminé en 1951 le plus grand nombre premier alors connu. Ce nombre de 44 chiffres lui avait demandé deux mois de calcul à la main. L’usage des ordinateurs supplante peu après le calcul humain, ce qui fait d’Aimé Ferrier le dernier détenteur de ce record.
Aimé Ferrier rédige en 1939 une monographie sur le parler de son village natal, sa langue maternelle. Cette étude a été consultée et utilisée par plusieurs dialectologues universitaires. Simone Escoffier, auteur d’une thèse intitulée «La rencontre de la langue d’oïl, de la langue d’oc et du francoprovençal entre Loire et Allier » (1958), qualifie ce travail d'Aimé Ferrier de « monographie tout à fait remarquable ». Il est pourtant resté inédit.

Présentation par Jean-Michel Effantin

Vignette_Moulharac.jpg
L'Anacreoun cevenòu d'Anatole Moulharac
Moulharac, Anatole (1830-19..)
Manuscrit occitan d'odes anacréontiques, l'Anacreoun cevenòu d'Anatole Moulharac est précédé par une notice sur le poète grec auquel il fait directement référence, Anacréon (0560-0478 av. J.-C.). Le manuscrit est également complété par d'autres poésies d'Anatole Moulharac.

Le fonds Anatole Moulharac présent dans les collections du CIRDÒC comprend également des documents relatifs à une édition du manuscrit  dont des épreuves annotées et des
observations sur l'orthographe et la prononciation du dialecte cévenol.
vignette_11510.jpg
La Liro ensoulelhado : pouèsios per Isidoro Pagés
Pagés, Isidore

La liro ensoulelhado d’Isidore Pagés poète narbonnais

La liro ensoulelhado est le titre d'un cahier de poésies en occitan écrites par Isidore Pagés, poète audois primé aux Jeux-floraux de l’Escolo audenco de Carcassonne en 1908 pour son poème « A la fountaïno ». Son cahier, rédigé au mois de février 1910, contient 39 poèmes dont plusieurs ont été primés aux concours de poésies à Carcassonne, Narbonne 1908 (La barbo), Cette 1908 (Uno beilho d’elecsîu), Avignon 1907 (Lou baquiè Guilhaumet), Béziers 1908 (Lou dourmi letargique), Montauban 1908 (Bernat lou tracassiè). Certains de ces poèmes ont été publiés au cours de l'année 1909 dans la Gazette mondaine de l'Aude et du Roussillon : Journal littéraire, artistique, théâtral, judiciaire et sportif, paraissant le dimanche.

Le manuscrit qui semble être une partie de l’œuvre méconnue d'Isidore Pagés, accompagné de plusieurs dessins exécutés à la plume et représentant les principaux monuments de la ville de Narbonne, a été confié au CIRDOC par Monsieur Gilbert Viviès de Marcorignan.

BAC-12-01.jpg
Lettre de Frédéric Mistral à Marius Bacquié-Fonade : 29 mai 1909
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Marius Bacquié-Fonade ?

Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.

Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié, apparait au sein de leurs échanges.

sus 3