Manuscrit d'un monologue rimé entrecoupé de chansons par un auteur marseillais. Le texte du monologue ainsi que les chansons sont en occitan, mais les didascalies et la description d'introduction du personnage sont en français. On peut observer que l'auteur utilise une graphie différente pour distinguer les chansons du reste du texte.
Copie manuscrite de la main d'Antoine Conio, de poésies en occitan provençal, écrites par un dénommé Pierre J.N Silvy. Quelques unes seulement sont datées. Les dates vont de 1819 jusqu'à 1848.
Ces diverses pièces rassemblées sous le terme de poésies, sont pour la plupart des chansons, des contes ou encore de courtes histoires, servant d'hommage ou de dédicace.
Jules Lejourdan, poète et chansonnier du Second Empire, est reconnu pour ses œuvres qui dénoncent la misère des travailleurs marseillais.
Il s'agit ici d'un important lot de poèmes et de chansons en provençal sur les thèmes qui lui tiennent à coeur. On y trouve entre autre les manuscrits de Lou maou de couard de Madoun, Leis orphelins, : vo la mouar d'uno mèro, La guioutino, Lou choléra-morbus vo Leis mouars de poou et La bandiero doou mariagi.
Ce manuscrit du XIXème siècle regroupe des copies de plusieurs œuvres. La plus grande partie est le journal rédigé par Pichatty de Croissainte, avocat et conseiller de Marseille. Ce texte est extrait du "Mémorial de la Chambre du conseil de l'Hôtel de Ville". Il y retrace les ravages de la peste de 1720 à Marseille.
Il contient également des poèmes Hyacinthe de Bernoulli ("Poésies d'un proscrit"), datés de 1829 à 1835, et d'Angélique Chambovet, de 1860 à 1869. Ces dernières sont en provençal.