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« Lou Seriol présente son nouvel album Occitan, six ans après son dernier opus Maquina Enfernala. Il est la synthèse parfaite des nombreuses expériences artistiques, collaborations et tournées autour de l’Europe que Lou Seriol a collectionnées durant ces 25 années de carrière. » - EGEAmusic

Genre : musique traditionnelle, rock, reggae
En savoir plus : http://www.egeamusic.com/dettaglioprodotto.aspx?id=8058333573557 
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Après treize années à fouiller sa mémoire à la recherche de souvenirs qu'il n'a pas connu, Artús crée son folklore en s'émancipant des dogmes de la tradition, en dépassant l'héritage qu'il a reçu. Métissé, créolisé, il a remis en cause sa pratique pour obtenir une vision universelle du monde à travers l'ultralocal.
Radical, brut et indomptable, Artús ne cherche rien, n'attend rien, il s'impose et existe dans l'uniformisation actuelle.

Ce quatrième album s'appuie sur des textes du poète gascon Bernard Manciet, contes et légendes collectés avec Hubert Cahuzac dans la Grande Lande entre 1961 et 1964. Bernard Manciet a repassé ces textes par sa plume, dressant un tableau psychédélique d'une Lande dont le souvenir nébuleux transpire ici au travers de la musique d'Artús.
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Dès l’origine, Dupain s’est pensé comme une machine à expérimenter et à résister. Expérimenter des brassages musicaux inédits, entre rock, electro et musiques traditionnelles. Résister en revendiquant une identité culturelle et linguistique plurielle, à la fois poétique, populaire et contestataire.
S’il chante en occitan et s’accompagne à la mandole, Sam Karpienia n’exalte aucun chauvinisme et préfère le maquis des insoumis aux territoires trop ordinaires, trop familiers, car conquis de longue date. Cette démarche, volontairement située hors des sentiers battus, donnera naissance à trois albums denses et singuliers, L’Usina (2000), Camina (2002) et Les Vivants (2005). Sam Karpienia et Pierre-Laurent Bertolino, rejoints par le flûtiste Gurvant Le Gac, le batteur François Rossi et le contrebassiste Emmanuel Reymond, créent aujourd’hui ensemble "Sòrga", un art brut musical de vielle et de chant, de forces percussives et de mélodies à danser ou à écouter, un « Folk Step » au coeur de l’imaginaire.
Spirales envoûtantes de la vièle à roue, envolées azurées de la flûte, rythme comme surgi d’un lointain tonnerre, et le chant toujours aussi âpre et saisissant de Sam Karpienia : Dupain est bien là, à la fois neuf et semblable à ce qu’il a toujours été.
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BOISSON DIVINE naît en 2005 de la rencontre entre Baptiste Labenne (guitares, basse, chant, boha…) et Adrian Gilles (batterie, chant), respectivement âgés de 14 et 15 ans à Riscle, sur les hautes terres du Gers (32).

Dès le début, la volonté de créer des compositions personnelles est là. Le style musical est rapidement et naturellement trouvé. Ce sera un alliage entre identité Gasconne et Heavy Metal. Une fusion entre tradition et modernité, chantée soit en Français, soit dans la langue de la région. Les influences revendiquées renvoient au Heavy Metal 80’s (Accept, Iron Maiden, Saxon…), au Folk-Metal (Finntroll, Eluveitie, Dropkick Murphys…) et aux groupes régionaux (Nadau, Los de L’Ouzom, Los Pagalhos…) avec en sus une personnalité propre.

Les textes sont le reflet du quotidien des musiciens : rugby, vieilles légendes, odes à la terre, solidarité paysanne, bombances, chansons traditionnelles, sauvegarde du patrimoine, hommage à ceux qui ont marqué l’histoire.

Après de rares concerts amateurs (le nombre de musiciens limitant l’adaptation scénique), un exil du batteur vers la capitale pour cause de travail et une fois le nombre de compositions disponibles suffisant, l’enregistrement d’un premier album est commencé en août 2012. Mixage et mastering sont achevés en février 2013.

“Enradigats” pointe alors le bout de son nez.

BOISSON DIVINE s'engage dans sa propre voie, celle d'un style Rock Folk Metal certes enraciné, mais son regard est tourné vers l'horizon.
Rien ne pousse sans racines.