Poème du XIXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours des langues romanes.
Devise: "Il y a dans l'éloquence une certaine simplicité qui vaut mieux que tous les ornements." Extrait des pensées ingénieuses.
Pièce en dialecte de Narbonne.
Poème du XIXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Devise : "Chantez louez de Dieu, la gloire et la grandeur, que son nom soit toujours au fond de votre cœur".
Poème du XIXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Devise : "Encaro 'en tu moun cor 'espèro,Prégo pér icoü " A B. Crouzillat
Manuscrit probablement du même auteur que "Las Masquos".
Poème du XIXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Devise: "Saouta dél nis, timida tourtou déla tenourridas à la merci dél téms".
Si écrire, c'est aussi, et sans doute d'abord, découvrir (ou redécouvrir) une langue, en tout cas une parole, cette expérience, à la fois rare et quotidienne, ne laisse rien, ou presque rien, dans l'état où on l'avait trouvé. Les choses, les êtres et le monde tout entier en ressortent bouleversés. Et les mots d'avant, passés au tamis si redoutable des jours et des nuits, en deviennent différents, plus lumineux, plus sombres aussi parfois.
Philippe Gardy (préface)
Publié dans la collection Messatges de l'Instiut d'Études Occitanes, ce recueil est une performence littéraire unique en son genre, une invitation poétique à déguster un peu chaque jour.
« ... pòdi parlar un pauc dels aicós de Sèrgi. M'i soi afeccionat. Ai descobert que d'unes semblan de provèrbis. D'autres son francament risolièrs. Mas subretot que Sèrgi mòstra una granda atencion a las bèstias e a las plantas ; als arbres e a tot çò que viu. Çò que per ieu ne fa lo prètz, al delà de la fòrma. Pas que per aquò val lo còp de lo legir.
Pensi qu'es fondamentalament amorós del monde e de las gents. Sos aicós son pas totes aimables. N'i tanben de plan tristes, pauc de francament desesperats, puslèu melancolics ». Sèrgi Labatut (estrach del prefaci).
Le vendredi 29 juin à 18:30, venez rencontrer Félix Jousserand, accompagné de Gilles Coronado et Christophe Lavergne (batterie et guitare) pour un temps de dialogue autour du processus créatif mis en œuvre pour faire résonner de nouveau la Canso, transcrire l’atmosphère d’une époque, mener à bien un incroyable travail de transposition en occitan moderne d’un texte rédigé à quatre mains au XIII ème siècle.
Les échanges avec la salle seront ponctués d’intermèdes musicaux, vous proposant en avant première des extraits de l’œuvre finale.
Texte emblématique de la littérature d'oc dont ne demeure qu'une copie conservée à la Bibliothèque nationale de France, la Canso de la Crozada (en français La Chanson de la croisade contre les Albigeois), contemporaine de la croisade contre les hérétiques albigeois (1208-1229), représente le seul récit des événements relatés du point de vue languedocien et en langue vernaculaire.
Artiste de la scène slam, auteur, poète... Félix Jousserand, épaulé par la dramaturge Caroline Masini et Thomas Dupuy-Ostermann à la traduction, a fait le pari de proposer une relecture contemporaine de la Canso, via une double traduction inédite, en français et en occitan moderne.
Accompagné à la guitare et à la batterie des musiciens Gilles Coronado et Christophe Lavergne, Félix Jousserand livre aujourd'hui le fruit de ce laboratoire créatif de plusieurs mois. Un spectacle de poésie en musique, une réinterprétation nouvelle qui souligne toute la modernité de l'intemporelle Canso.
Le vendredi 29 juin à 18:30 au CIRDOC (1 bis Bd Du-Guesclin, 34500 Béziers).
Entrée gratuite sur inscription auprès du :
Tél : 04.67.11.85.10.
Mail : secretariat@cirdoc.fr
Traduit par Albèrt Peyroutet, Rotland Poychicot, Elisa Harrer
Préface de Jacques Le Gall
Opposant ceux qui plantent des arbres et ceux qui les arrachent, celui qui essaie d’adoucir l’agonie d’une hase blessée et celui qui n’hésite pas à briser dans sa main épaisse l’aile d’une colombe des bois, Giono soulève une même question qui devient sans nul doute cruciale dans le monde d’aujourd’hui : quelle est la place qu’occupe l’homme dans la nature et quel est le rôle qu’il peut ou doit y jouer ?
Nouvelles du recueil :
L’Homme qui plantait des arbres
Prélude de Pan
Champs
Jofroi de la Maussan
Au pays des coupeurs d’arbres
La Grande Barrière
Radeaux perdus
Le Chant du monde