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Armanac nissart. - 1912
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Armanac niçart 1912
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Armanac nissart. - 1911
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Armanac niçart 1911
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Armanac nissart. - 1910
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Armanac niçart 1910
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Armanac nissart. - 1909
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Casal, Joseph. Directeur de publication
Armanac niçart 1909
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Armanac nissart. - 1908
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Casal, Joseph. Directeur de publication
Armanac niçart 1908
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Armanac nissart. - 1907
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Armanac niçart 1907
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Armanac nissart. - 1904
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Rolland, Victor (1868-1943). Directeur de publication
Armanac niçart 1904
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Armanac nissart. - 1903
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Rolland, Victor (1868-1943). Directeur de publication
Armanac niçart 1903
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Récuil dé cansous patoisos / pér Coumbettos dit Couquel, Tournur dé Catelnaudary
Coumbettos (dit Couquel, tourneur)

Consulter le document sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62119167

Coumbettos dit Couquel était en 1835 un ouvrier ébéniste de Castelnaudary, sans instruction, mais doué d’une remarquable facilité pour composer et improviser de petites pièces patoises qu’il chantait lui-même et qui eurent bientôt une vogue extraordinaire.
La plupart de ses pièces, nous dit Louis de Santi, « ont été composées au cabaret à l’occasion de menus incidents dont les héros étaient ordinairement des ouvriers du faubourg qu’il habitait ou des camarades ». Santi précise à son sujet : « Beau garçon, âgé de 30 ou 35 ans, doué d’une superbe voix de baryton,  il était la coqueluche des ouvriers de cette petite ville. Malheureusement il buvait beaucoup et il a laissé la réputation aussi bien d’un incorrigible ivrogne que d’un joyeux compagnon ».

La plus célèbre de ces pièces, consacrée à Castelnaudary, a été la Coumplainto dél Capou dé la gato. La gato était une vieille femme très avare qui possédait un vieux coq qui disparut un beau soir de son poulailler. Elle accusa quelques jeunes gens, dont Couquel faisait partie, de l’avoir volé et de s’en être régalé - c’était le pendant du chat de la mère Michel - Couquel ne manqua pas l’occasion d’en faire une chanson qui fut le Capou de la gato, que tout le monde chanta bientôt à Castelnaudary. Le traiteur Lamocho dont il est question dans cette pièce tenait un cabaret sur le port fréquenté ordinairement par Coumbettos. Tous les personnages nommés dans la pièce Las mouninos étaient les amis de cabaret de Couquel ; ils ne sont, comme c’était alors l’habitude, désignés le plus souvent que par leurs surnoms et mentionnés dans les poèmes que sous leurs initiales. Ainsi én Corno (én C) était un plâtrier appelé Embrit, Ruqua (R) un jardinier, Cabos un forgeron, Gomart ou Gomard un ancien soldat ivrogne fieffé, Baptiste Dutar (D) un marchand de Castelnaudary. (Informations relevées par une note manuscrite dans l'exemplaire du CIRDOC).
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L'amistansa de Joseph Soulet
Soulet, Joseph (1851-1919)

Poème dédié à l'amitié, envoyé par Joseph Soulet au concours littéraire de la Société Archéologique de Béziers en 1894.
Ce poème est curieusement annoncé comme étant rédigé en dialecte montpelliérain et non sétois, pourtant le dialecte original de l'auteur.

Poème du XIXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Devise : "I'a pas res de milhou que la doussa amistat, un ome sans amies, viéu pas mai qu'a mitat"

Cité dans le Bulletin de la Société Archéologique de Béziers, 1894


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