Après les dernières grandes manifestations à l’orée des années 1980, le mouvement occitan semble perdre du terrain dans la rue et dans les mouvements sociaux. À partir des années 2000, de nouvelles structures issues de la professionnalisation de l’action occitane décident de nouvelles formes de manifestations, unitaires, apolitiques et festives où la jeunesse, le combat pour la diversité et l’affirmation d’une créativité culturelle deviennent les étendards d’une occitanité fière, inclusive et sans complexe.