Au cours des années 1970, en plein « borbolh » occitan, le vénérable Institut d’estudis occitans (IEO) prend lui aussi le parti de la mobilisation populaire et des mots-d’ordre maximalistes. Devenu secrétaire général de l’IEO, Yves Rouquette lance avec l’appui de tout le réseau de la fédération IEO une grande campagne de sensibilisation et de revendication sous le mot d’ordre : pour l’occitan langue nationale.