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Text
�La vie de château pendant la guerre de Cent Ans
Pendant la guerre de Cent ans, trois grandes batailles sont perdues par la cavalerie française vaincue
surtout par les archers anglais : Crécy, Poitiers, Azincourt, déciment la noblesse et la ruine pour payer
guerre et rançon.
La captivité de Jean le Bon après Poitiers entraîne le paiement d’une énorme rançon qui alourdit
dramatiquement les impôts de tout le peuple.
Finalement, c’est grâce à l’artillerie que Charles VII pourra gagner la guerre mais cette nouvelle
arme rend obsolète le château fort tel qu’on le connaissait jusque là. Pourtant, c’est dans cette période de très
grandes difficultés politiques, financières, économiques, démographiques et sociales que connaît la France
au XIV et XV me siècle, que s’épanouit la vie de château et celles des hommes de la cour, les curiaux, dans le
respect de la notion de courtoisie.
I. Le château est un lieu de pouvoir
Dans la France du XIV et du XVe siècle le château domine toujours le paysage : il représente la
puissance, la force, la protection mais à partir du XVe siècle on ne construit plus de château fort à
l’exception du château de Bonaguil.
Charles V construit encore une forteresse à proximité de Paris pour s’y réfugier en cas de troubles à
Paris, c’est le château de Vincennes, le plus haut donjon d’Europe, des murs si épais qu’ils peuvent résister à
l’artillerie et des tours qui supportent les canons. Mais c’est aussi une habitation royale avec de grandes
salles, des cheminées à tous les étages et de l’eau de source captée à 3 kilomètres.
Pourtant, à Paris même, le roi désormais construit ou aménage des palais royaux pour mettre en
valeur la majesté royale. Ainsi au Louvre, la « Grande Vis », le grand escalier, met en scène la montée
solennelle du roi devant ses sujets. La grande salle de parement doit montrer la majesté du roi au milieu des
courtisans ou dans son conseil. La chambre de retrait préserve l’intimité du roi. En étage, les fenêtres du
logis royal s’ouvrent largement sur les jardins.
Tous les princes et grands seigneurs imitent le roi dans leurs constructions pour montrer leur
puissance et leur richesse. C’est particulièrement le cas du duc de Berry, frère de Charles V qui fera
construire 17 châteaux. Nous connaissons l’existence et l’allure de certains grâce aux miniatures des
« riches heures du duc de Berry ». Partout on introduit un nouveau confort, des ouvertures, des
cheminées, des tapis et tapisseries, des vitraux et des jardins.
LES
VALOIS CONSTRUISENT UN NOUVEAU MODÈLE CURIAL
Ils veulent une cour brillante qui rassemble une élite autour d’un chef, le roi. Cette cour est un
instrument de cohésion politique au service des souverains.
Il y a une véritable mise en scène de la royauté : Charles V met en place le cérémonial du sacre qu’il a
renouvelé. Il fait réaliser une vingtaine de couronnes, un sceptre et une épée dite de Charlemagne. C’est une
politique de prestige.
Il y a une concentration de la richesse au service du souverain et le trésor royal devient le ciment de
1
�la cour. Les dépenses domestiques représentent plus de 70% des dépenses publiques. En 1379, le roi
Charles V accumule un trésor de 4 tonnes de métaux précieux et de 3906 œuvres d’art. Ce trésor légitime
son pouvoir et lui permet de s’assurer de fidélités car donner c’est dominer. Les cadeaux qui lui sont faits
sont ainsi redistribués dans un échange de dons et de contre dons qui se retrouve dans toute la société
nobiliaire.
Le roi protège ses serviteurs et les valorise comme Bertrand Duguesclin, de petite noblesse, qui
devient connétable de l’armée royale de Charles V ou Jacques Cœur, simple bourgeois de la ville de Bourges
devenu grand argentier et conseiller écouté de Charles VII. Mais leur pouvoir dépend toujours du roi qui
peut changer de favoris ou les abandonner et même les rejeter brutalement comme Jacques Cœur, dépouillé
et mis en prison par Charles VII, peut être parce « qu’il aimait trop paraître », ou Olivier Clisson, le favori
que Philippe VI avait fait exécuter en l’accusant de trahison.
Les Valois sont des bibliophiles, Charles V surtout, qui possède dans la tour de la Librairie au
Louvre, 1000 livres ce qui en fait la 3 e bibliothèque de l’Occident. Ces livres sont souvent des œuvres d’art
coûteuses sur de beaux parchemins, richement illustrés de miniatures et d’enluminures. Mais pour Charles
V, les commandes de livres sont aussi un moyen de contrôler le savoir : il fait rédiger le livre du nouveau
cérémonial du sacre, il veille à l’écriture de l’histoire de son règne de son vivant, mettant l’histoire au service
du pouvoir, tout est fait pour mettre totalement en valeur la personne du roi. Il veut que désormais, le
savoir, jusqu’alors contrôlé par les clercs, soit accessible aux laïcs. Il commande donc 724 livres en français,
et sur des sujets scientifiques et il les fait prêter à ceux qui travaillent pour lui. Un gardien de la librairie tient
le registre de ces prêts.
Les Valois veulent faire connaître leur image. Ils se font représenter sur les premiers tableaux
officiels et l’image de Charles V est toujours en tête de toutes les ordonnances.
II. Le château est un lieu de vie
LES CURIAUX SONT HÉTÉROGÈNES
C’est surtout une population urbaine et masculine. Les nobles y sont sur-représentés mais il y a
aussi, pour les basses œuvres, des gens moins remarquables et un roi des ribauds. Les femmes sont moins
nombreuses : les princesses ou les châtelaines, les lingères et les prostituées. Cette société bigarrée connaît
des frictions mais les curiaux font l’apprentissage du contrôle de soi et de la courtoisie. Charles V se faisait
un devoir de « se montrer de bonne humeur, quelque souci qu’il eut ».
LE NOMBRE DES CURIAUX EST VARIABLE
Il y a l’entourage du prince et les Conseillers du roi : au moins 250 personnes et dans le personnel de
l’Hôtel du roi, un membre sur deux doit être présent par roulement. Mais, suivant les périodes, ce
personnel connaît de fortes variations. Ainsi, Philippe VI emploie 400 personnes en début de règne et
seulement 60 à la fin.
Pour Charles V, c’est en fin de règne que le roi dont le prestige est désormais établi, emploie 700
2
�personnes pour sa maison, 350 pour la maison de sa femme et 260 pour la maison de ses enfants. La cour
royale représentait en moyenne 5000 à 10.000 personnes, c'est-à-dire 10% des emplois à Paris
Pour Charles VI, au contraire le début du règne est brillant, avec 700 personnes dans son entourage
en 1380 mais en fin de règne, le roi, devenu de plus en plus fou, est un peu abandonné avec seulement 180
personnes à son service en 1420 tandis que les « princes aux fleurs de lys » se déchirent pour contrôler le
pouvoir qu’il ne peut plus assurer.
LE FASTE DES PRINCES
Plus le seigneur est puissant, plus il doit dépenser pour tenir son rang aussi les grands seigneurs font
étalage de leur richesse et de leur position. Comme le roi, ils choisissent un décorum qui marque leur
supériorité et habillent leurs nombreux serviteurs et officiers de livrées à leur couleur, plus ou moins
richement suivant leur position par rapport à leur seigneur. Le duc de Bourgogne entretient 500 personnes
en 1449 et en aura 900 en 1477. Il est devenu le grand duc d’Occident
L’esthétisation de la vie de Cour se traduit dans tous les domaines : la musique, le chant, la poésie,
les jardins. La Beauté doit être au service des princes.
L’Elégance, devient un témoignage du statut social. C’est ainsi qu’on peut évoquer l’apparition d’une
« véritable révolution de la mode » avec ses changements radicaux et ses outrances confinant au ridicule :
le pourpoint devient l’uniforme des hommes, avec des variations de manches, suivant les périodes et les
poulaines s’allongent à leurs pieds. Plus tard, la Houppelande sera plus ou moins riche, de tissu, de couleur
et de fourrure et plus ou moins longue. Pour les femmes, c’est la mode des hennins de plus en plus hauts et
des traines de plus en plus longues. Les prédicateurs critiquent violemment ces excès et ces dévoilement des
corps qu’il s’agisse des décolletés provocants de ces dames ou des chausses trop ajustées et suggestives de ces
messieurs. Charles VII utilisera la mode des pourpoints aux grandes épaules renforcées pour cacher son
apparence plus chétive et Agnès Sorel, la dame de Beauté, lancera la mode des grands fronts épilés, des
tailles hautes et des grands décolletés.
Ces modèles, nés à la cour du roi se diffusent d’abord chez les princes qui rivalisent dans le luxe de
leurs habits, de leurs tissus, de leurs couleurs, de leurs fourrures, de leurs bijoux puis ce modèle se répand
dans les châteaux et seigneuries de tout le pays et même chez les riches bourgeois.
LES ACTIVITÉS ORDINAIRES AU CHÂTEAU
L’activité principale des seigneurs et des princes est l’entraînement aux armes et au combat et la
chasse est alors conçue comme le meilleur entraînement à la guerre. Il faut entretenir des meutes de chiens
et des équipes de vénerie. Les dames peuvent participer à cheval à la chasse au faucon et au petit gibier.
Dans le château rénové et ouvert davantage sur le paysage, on joue aux échecs et aux cartes qui
viennent d’être inventées, après avoir « levé la table », dans la grande salle où l’on a mangé sur des tréteaux
et des bancs, chacun selon son rang.
3
�III. Le château est le lieu des grandes fêtes
Toutes les réceptions de grands personnages donnent lieu à toute une série de fêtes :
L’entrée dans une ville et la remise des clés, est un cérémonial coûteux et longuement prévu. Ainsi
Charles V avait minutieusement préparé la venue de l’empereur, son oncle, et de son fils: le roi sur un cheval
blanc, légèrement en tête, tandis que l’empereur et son fils étaient sur des chevaux noirs. La majesté royale
ne devait pas être inférieure à celle de l’empereur. Il fallait aussi impressionner celui-ci : malgré son âge,
Charles V lui a fait visiter tous ses châteaux, assister à des parades et participer à de grandes fêtes et à de
superbes banquets.
Les banquets sont l’occasion de faire étalage de sa richesse et de son rang, de se distinguer socialement pour
renforcer son prestige. La disposition des tables est caractéristique : au centre, la table d’honneur réservé au
prince et aux invités d’honneur, quelquefois sur une estrade ou surmontée d’un dais. Les plus hauts
personnages, dos à la cheminée, occupent le « haut bout ». Plus on s’en éloigne, plus on descend dans la
hiérarchie. Les femmes ne sont à la table d’honneur que le jour de leur mariage. Les convives n’occupent
qu’un côté de la table pour faciliter le service et permettre d’apprécier les attractions. On dresse la table avec
de grandes nappes sur lesquels sont mis les tranchoirs, larges tranches de pain qui servent d’assiettes,
quelques couteaux. Chez les princes, de la vaisselle d’or et d’argent est mis en étalage sur des dressoirs et sur
la table on place des nefs, belles pièces d’orfèvrerie dans lesquelles on place les couverts.
Le moment de passer à table est annoncé au son du cor : « on corne l’eau » pour se rincer les mains
avant de manger puisqu’on mange avec les doigts. Tous les services sont annoncés par les trompettes. Les
musiciens accompagnent le banquet. Il y a entre trois et cinq services et chacun correspond à un nombre
élevé de plats différents, jusqu’à une dizaine, parfois plus mais personne ne les mange tous : on mange ce qui
est mis devant vous par les serviteurs et qui correspond à votre rang. Le premier service est l’apéritif : fruits,
échaudés, et mets salés arrosés de vins épicés et doux. Le deuxième service est celui des potages, c'est-à-dire
des aliments cuits dans les pots. Le troisième est celui des rots, viandes cuites rapidement ou poissons. Le
quatrième est la desserte : préparations sucrées. Enfin on termine par l’issue : gaufres et vins sucrés. Après les
grâces (prières de remerciements), on se lave les mains, on débarrasse les tables, souvent pour le bal qui suit.
Les tranchoirs et les morceaux non consommés seront distribués aux plus pauvres. Entre les services, se
déroulent les entremets. Dans les grands banquets, ce sont de véritables spectacles mis en scène avec des
décors impressionnants : en 1378, on joue devant l’empereur la prise de Jérusalem par Godefroi de Bouillon
avec des barques et une ville et au fameux banquet du faisan en 1454, le duc de Bourgogne Philippe le Bon
fait réaliser 24 entremets avec décors de tours, de navires, de châteaux.
Le spectacle le plus prisé de ces fêtes de prestige, c’est le tournoi.
A cette période, il connait une évolution importante : ce n’est plus comme auparavant, une véritable
guerre entre deux camps, dangereuse et rentable pour les gagnants, sur un vaste terrain sans clôture mais cela
devient un spectacle avec des règles qu’il faut respecter, avec des arbitres, sur un terrain délimité, avec un
cérémonial, sous le regard des dames en grand apparat qui choisissent et encouragent leur champion.
Désormais les jouteurs sont protégés, avec des armes émoussées, des armures lourdes. Les prouesses des
jouteurs sont appréciées comme celles de nos sportifs et le gagnant reçoit sa récompense de la dame du
tournoi. Le prince René d’Anjou codifie les règles et met en place pour la cour royale des pas d’armes, qui
sont des jeux dramatiques de combats sur des sujets tirés des romans de chevalerie.
La bourgeoisie urbaine veut créer ses propres tournois comme sur la grand place de Bruges ou à
4
�Paris des joutes sur la Seine.
La vie de la cour attire et fidélise les grands seigneurs.
Les bals avec des danses codifiées sont appréciés après banquets et tournois. Le premier vrai bal de
cour eut lieu pour le mariage de Charles VI et d’Isabeau de Bavière et met en valeur l’élégance des danseurs.
Le bal le plus connu fut tragique : c’est le fameux bal des ardents où Charles VI et ses amis s’étaient déguisés
en sauvages avec des toiles et des poils encollés à la poix pour une momerie. Le duc d’Orléans s’étant
approché d’un sauvage avec une torche pour essayer de le reconnaître a mis le feu à sa toile et tous les
malheureux se sont enflammés. Charles VI a été sauvé de justesse par sa tante, la duchesse de Berry qui l’a
enveloppé dans sa grande robe mais il a été profondément traumatisé par la mort de ses amis.
IV . Conclusion : un nouvel idéal
Dans cette culture d’élite, chacun cherche à se distinguer par son faste, ses vêtements, ses prouesses
à la cour et par la participation à des ordres de chevalerie
Jean le Bon a crée en 1351 un ordre de chevalerie, « la noble maison de l’étoile » où les chevaliers
juraient de ne jamais reculer : cela a provoqué leurs disparitions. Philippe le Bon, duc de Bourgogne, crée, le
10 janvier 1430, « l’ordre de la toison d’or » qui lui se perpétuera .
A côté de ces ordres militaires, se développent des cours d’amour (en 1400, à la St Valentin,
Philippe le Hardi et Louis de Bourbon instituent la Cour amoureuse), des académies poétiques, même dans
les villes, sous l’influence des romans courtois et des romans de chevaleries des siècles précédents qui servent
toujours de référence comme ceux du cycle d’Arthur.
Ainsi naît un nouvel idéal humain : l’homme de cour, toujours maître de lui, respectueux des dames,
élégant, généreux et même fastueux et surtout follement courageux : l’homme courtois
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"La vie de château pendant la Guerre de Cent Ans" contribution au colloque " La Guerre de Cent Ans en pays de langue d'oc (XIV<sup>e</sup> au XV<sup>e</sup> siècle)" / Monique Dunoyer-Luche
"La vida dins un castèl pendent la Guèrra de Cent Ans" contribucion al collòqui "La Guèrra de Cent Ans en país de lenga d'òc (XIV<sup>en</sup> al XV<sup>en</sup> sègle)" / Monique Dunoyer-Luche
Description
An account of the resource
Monique Dunoyer-Luche, agrégée d'Histoire, présente dans cette contribution les caractéristiques de la vie de château durant la Guerre de Cent Ans.
Monique Dunoyer-Luche, agregada d'Istòria, presenta dins aquela contribucion las caracteristicas de la vida dins un castèl pendent la Guèrra de Cent Ans.
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Dunoyer-Luche, Monique
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2016-08-19 Marion Ficat
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13..
14..
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Guerre de Cent ans (1337-1453)
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La vie de château pendant la guerre de Cent Ans / Monique Dunoyer-Luche
"La vida dins un castèl pendent la Guèrra de Cent Ans" / Monique Dunoyer-Luche
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