-
https://occitanica.eu/files/original/083e7cfd3c6d431a59f649d63439fe01.jpg
146999704fb8c137a5a2c14612a7e431
Omeka Image File
The metadata element set that was included in the `files_images` table in previous versions of Omeka. These elements are common to all image files.
Bit Depth
8
Channels
3
Height
1131
IPTC Array
a:1:{s:11:"object_name";s:14:"1911 15e Anade";}
IPTC String
object_name:1911 15e Anade
Width
1696
https://occitanica.eu/files/original/253f56df821ba3b79e25ce10e147222a.jpg
f57c05aa796258afd0543848f8b07d0c
https://occitanica.eu/files/original/8c21900435a8b405d60ab38a8a10a975.jpg
875f21e547ae002904111b219682ff8c
https://occitanica.eu/files/original/d7aa0932ce9c1350298396a51511a83f.jpg
5e45020fbb07751bfeac9acc1267a6b2
https://occitanica.eu/files/original/81d873ddb3dafeac7aa4ce5a8960ba55.jpg
803ca19468c3986e2fc029ef30be7085
https://occitanica.eu/files/original/da9a01761405937a9c9abb1dc7af5143.jpg
8ac07f17f38d7a027db081e9b7026cc8
https://occitanica.eu/files/original/8f1fad10560508f2ba1da3dc1a373161.jpg
26d23547ebb2796edef92cad1e123808
https://occitanica.eu/files/original/7b2c34a8abfd19f8a9a744cc0a54c232.jpg
3c84fea344d8163be7fa212636345c0e
https://occitanica.eu/files/original/b4d54ad99b4a0a0e4067751739f30508.jpg
0af5243e7056a1242fc3706cae249d9a
https://occitanica.eu/files/original/9970cbbb697b0a4123475284effcfa2e.jpg
aeb9873a6da4bbd716455a09ff6e371e
https://occitanica.eu/files/original/43cbbc8beacd8017e64ac4ff532364a4.jpg
5a847259f19d58a90c8c526a4ed3c22e
https://occitanica.eu/files/original/c5b411e37991323d276f9aa00912edc3.jpg
8626a38ee8fbedecd92b2f9ea1000132
https://occitanica.eu/files/original/a2d86aeb14c49087079b414d2dd1b0d0.jpg
f31a3d310e31a22161ff8b43d61a53c2
https://occitanica.eu/files/original/0c61d0f0eda18595b528ee4f57475331.jpg
d48b6a9d4105f0fadca1476dc7e81bb4
https://occitanica.eu/files/original/5bfbd12c76af458ae6a7c85f847a878e.jpg
f3015828b146ddc8c9ba77de30e269db
https://occitanica.eu/files/original/5e8fb87da23f20a7fd528ed9905284a1.jpg
a1149af3cb1451eead30b8badd718385
https://occitanica.eu/files/original/71f06668125aca16810b83ffb01a3c82.jpg
a2be243c243ee0539784a8725d478940
https://occitanica.eu/files/original/2d3374d4d02b991ba5a32ecd4e43128d.jpg
7489953c0325e02e91f08e09a470dcd9
https://occitanica.eu/files/original/7b153a89e34ef131effa6c09b162fb08.jpg
7299ccbfe0b29be4622bee060ce9ec1d
https://occitanica.eu/files/original/c4969f9ef226fa04a7485cd90f90986e.jpg
2f2ad58de9c2c85be0c4a45cb9a7830e
https://occitanica.eu/files/original/ed81efd65fde14d99428f23757e6f434.jpg
51367ba3b2b6910196f818d7bd44bb3f
https://occitanica.eu/files/original/3cca0d5d103b2cc35596ae654fc526c2.jpg
65778376ecb1087b4743681b62ae00df
https://occitanica.eu/files/original/d7789c7ef9fd5c6cdddd9c6760f47a26.jpg
3545907a5854fd0cd924fd8c36c30377
https://occitanica.eu/files/original/25991908e8a9acbe4565a274ffa988b1.jpg
a23b18f9bce7b2d524ced596473ce9e3
https://occitanica.eu/files/original/836832823295d6e520ad09d005d84696.jpg
0278057685e9ed7b9156cd04ae76a04f
https://occitanica.eu/files/original/33cce8248aa43472bdd931c54d68bf44.xml
081e43e1d93bd063bade41633d610846
https://occitanica.eu/files/original/9e9b0b10236d67a4add1a97ec6b19574.pdf
ae3fcb62b766813af05fca3c1ebc06a0
PDF Text
Text
7" ANADE.
RECLAMS
DE
BIAltN E GASCOUG-NE
P
YENK 1903
1903!
Fidèle aux vieilles traditions dont la conservation est l'un
des articles de nos statuts, et sous les auspices des sentiments
de cordialité confraternelle qui régnent à l'Escole Gastou
Febus, nous souhaitons, de tout notre cœur, une bonne
année à nos chers confrères.
Bonne année à ceux qui, de loin, nous suivent de leurs
sympathies et accompagnent de leurs encouragements nos
efforts de chaque jour!
Bonne année à ceux qui, de plus près, nous prêtent, avec
tant d'entrain une collaboration précieuse.
Bonne année à eux tous ainsi qu'à ceux qui leur sont chers !
Bonne année enfin, à l'Escole Gastou Febus que soutient
si brillamment le dévouement désintéressé de ses membres
et leur foi dans son avenir !
Certes, cette foi ne peut que se confirmer aux consolants
progrès qui chaque jour se réalisent parmi nous.
Le nombre de nos adhérents croît sans cesse : grâce à eux,
nous avons pu augmenter notre tirage et donner à nos
Reclams, une plus grande importance : vingt pages au lieu
de seize !
C'est là un progrès capital qui nécessite de gros sacrifices,
mais qui nous permet d'ajouter de l'intérêt à notre bulletin,
par une plus grande variété de composition.
De plus, un pas en avant a été fait tout récemment. Nous
avons, conformément aux articles 5 et 6 de la loi de Juillet
1901, sur les Associations, déposé notre déclaration officielle
et nos statuts : ce qui nous donne la capacité juridique,
grâce à laquelle nous pouvons, désormais, sans aucune autorisation spéciale, ester ên justice, acquérir à titre onéreux,
posséder et administrer.
Plus tard viendra, nous en avons la ferme espérance, la
capacité civile : celle-ci nous permettra d'acquérir à titre
gratuit et facilitera ainsi les générosités testamentaires des
amis de notre œuvre.
Assurément, pour obtenir cette capacité civile qui fera de
�notre Escole un établissement d'utilité publique, il y aura
des difficultés à vaincre : elles seront vaincues, nous en
avons le ferme espoir, grâce au développement que prendre
notre œuvre, développement assuré par le redoublement de
foi et de dévouement de tous.
C'est pourquoi, chers confrères, nous saluons, avec
confiance, l'année nouvelle, si pleine pour nous de sourires
et d'espérances.
Bientôt nous vous ferons connaître le programme de nos
jeux floraux de 1903 ; ils seront particulièrement intéressants, car ils auront lieu au pays de Despourrins et de
Camélat, en Lavedan, dans ce nid charmant de verdure, de
soleil et de poésie qu'est Argelès !
Nous savons d'avance l'accueil qui nous y attend.
Nombreux s'ont les adhérents de l'Escole Gastou Febus,
dans cette ville aimable qui semble résumer toutes les
grâces, toutes les richesses pyrénéennes....
Nous irons faire revivre les souvenirs de Despourrins, qui
fut le prédécesseur des félibres.... Nous irons saluer les
plateaux verdoyants où paissaient les troupeaux de Jacoulet ;
les cascades argentées dont le bruyant murmure se mêlait
aux douces chansons de Béline ; ainsi nous marquerons
de glorieuses journées de plus, dans la vie laborieuse et
triomphante de l'Escole Gastou Febus.
Et nous formulons à la béarnaise notre dernier souhait :
Amies, boune anade acoumpagnade de hère d'autes.
ADRIEN PLANTÉ.
P. S. — Les succès de l'Escole continuent en France
comme à l'étranger.
Nous venons d'apprendre que notre nouveau confrère,
M. l'abbé Cyrille Labeyrie, de Maylis (Landes), l'un de nos
lauréats des Jeux Floraux de St-Sever, a pris part au concours
international ouvert par l'Université de Fribourg (Suisse),
sur ce sujet : « Les questions fondamentales de la Théologie ». Les mémoires devaient être rédigés en Français ou
en AUemand. M. Labeyrie, avec son mémoire de 976 pages,
a obrenu le prix Albert-le-Grand, soit 2,000 fr.
Félicitations au lauréat dont le succès fait honneur à notre
Escole, à son département, à la Gascogne : Gascons et
Béarnais poussent partout !
A. P.
�— 3 —
STATUTS
de la Société Félibréenne du Sud-Ouest
DITE
"
ESCOLE GASTOU FEBUS "
ARTICLE PREMIER. — La Société Félibréeane du Sud-Ouest, dite
Escole Gastou Febus, est constituée dans le but de développer
l'étude de la vieille langue romane des anciennes provinces de
Gascogne et de Béarn, de leuri| anciennes coutumes, de leurs
légendes, de leurs traditions, en un mot de tout ce qui se rattache
à l'histoire et à la législation du Béarn et des trois parties de l'ancienne Gascogne : les Landes, la Bigorre et l'Armagnap.
ART. II. — La Société a son siège à Orthez, département des
Basses-Pyrénées, où le Bureau se réunit selon les circonstances et
les besoins et prend, en son nom, les décisions nécessaires.
ART. III. — Le Bureau se compose de :
Un Président ;
Trois Vice-Présidents ;
Trois Secrétaires ;
Un Trésorier ;
Un Délégué général, résidant à Paris.
Il est assisté par une Commission administrative.
ART. IV. — Le Bureau est renouvelé tous les cinq ans; tous
ses membres sont rééligibles.
ART. V. — Le Trésorier est dépositaire des fonds appartenant à
la Société : il paie les dépenses décidées par le Bureau, sur mandats
délivrés par le Président.
ART. VI. — Le nombre des membres de la Société est illimité :
ils sont admis sur la présentation d'un membre.
ART. VII. — La cotisation annuelle est fixée à six francs.
ART. VIII. — La Société publie un bulletin mensuel intitulé
Reclams de Biarn é Gascotigne, rédigé en français et en langue
romane par le Bureau et envoyé gratuitement à tous les membres.
ART. IX. — La Société se réunit une fois par an, en séance
générale, dans l'une des villes des quatre départements qui sont
compris dans son rayon : Basses-Pyrénées, Hautes-Pyrénées,
Landes et Gers : elle institue des jeux floraux dont les prix, consistant en médailles et en livres, sont distribués le jour de l'Assemblée générale.
Les jeux floraux comprennent un concours de prose et de poésie
en langue d'oc : ils comprennent aussi, pour les écoles normales
�— 4 —
de la région, un concours soit en français soit en gascon et, pour
les écoles primaires, un concours de version du gascon en français,
l'Escole Gastou Febus poursuivant le double but de conserver la
langue d'oc maternelle et d'assurer le culte de la langue française.
ART. X. — Le Président dirige les travaux de la Société ; il la
représente; il a la police des séances; il fait observer le règlement
et prend toutes les mesures nécessaires pour assurer les décisions
de la Société.
ART. XI. — Toutes les opinions étant largement représentées
dans la Société et ses membres ne s'étant réunis que dans une
pensée désintéressée de décentralisation et de progrès par l'étude,
la Société s'interdit toute polémique politique ou religieuse.
LOUS DE HOÈY
LOU CASTÈT D'OLIBÉ
Au coumfray mèste Ed. Loustalot.
Au soum de Baretous, en bic-de-bach d'Arête,
Segude en û parsâ d'arrosés e de flous,
Oun per bere sazou d'auserétz nou y-ha réte,
Droum, débat blue cape, uc case d'amous.
Lou gay roussignoulét noèyt e die y gourguéye
Sa cante embreyagande, à l'oumbre déu bousquét
De cassons c de hacs, entant que clacasseye
L'ayguéte de l'arrèc qui bâche d'et hourquét ;
D'et hourquét d'et Cassiàu qui méscle sas liloyes
E sas cansous d'Abriu dab las deu bosc diras,
E gay d'engalina la jôye de las jóyes
Qui jamey lusira débat lou céu d'Arias.
Noste Gastou-Fébus, en Castèt de Mouncadc,
Quoand, dab sa Cour, hasè princes e reys jelous,
Déu nid que jou bouy dise hauré hèyt sa pousade,
Tarcoélhe mey beroy grans dàunes e segnous.
Edounc, aquét beth nid que Baretous bayolc,
Sapiat toutz quin se clame, amies déu Gay-Sabé,
E bous sustout coumfrays de la biarnése Escole,
Aquét nid d'amous qu'ey Lou Castèt d'Olibê.
LOU FEL1BRE DE BARETOUS.
�— 5 —
ARRAYS D'ESTIU
E S T I U
Lou cèu qu'éy toustém cla, qu'éy hisséu lou sourélh ;
Lous hés qu'hau bouue aulou, héas las prades dalhades.
Aus cams bagnats d'arrays, que-s daure lou cabélh ;
Pous grits e la cigalhe aubades soun balhades.
A l'oumpre que hè bou, débat lous caps hoelhuts
Dous cassous, au cantè de l'arriu qui briuléye
Qu'habém, ta-s refresqui, bigarrèus fresc coelhuts
Aus bede, dous chuca, talèu pe gahe embeye.
Qu'éy l'estiu calouréuc : pous casaus, las eslous
Aus gnacs dou sou mourdéu detire s'estadécheu
E semieu sou sòu pingourlades coulous.
Lous bermis de Sén Yan héns l'herbe que lusécheu
Lou sé, per lous sendès oun marcham pè-descaus.
Las segayres deyà que s'esmoulen las haus.
Andrèu BAUDORRE.
L'ESCOLE
Dab l'an qui ba luca, la gaymaote maynade,
Aperade pou peys Escole de Gastou,
Que ba courre chens mét sus la sètau auade
E praba coum l'anésque aymade déu pastou.
Aleytade dab soega é sayeméa néuride,
Chic a chic que s'ey hèyte é qu'ha beroy crescut;
Hoèy que biu pou sourélh, per la bile flouride
E pous bousquéts oumbrius oun cante lou coucut.
Au crit : Febus abant ! ère s'en ey anade
Capbat cams é ciutats dab l'arris sòu poutou ;
Que camine tout dous é, d'arrays courounade,
Chens ayude que tié lou sou reyau bastou.
Qu'eu ba hère beroy aquét èr de reynéte
Oun luséch la béutat déu terradou nadau
E qu'esgaudéch lou cô de béde a sa manéte
U calam plâ causit, l'agulhe é lou didau.
En cousén que hara coum la daune pressade
Qui n'ey jamey chens coénte au larè déu paysâ;
E dab soun bèt calam, gabidan la pensade,
Qu'escribera taus hilhs la cansou déu parsâ.
Qu'escriura lous bercéts qui yumpen lous maynades
E hèn reba las mays plegades sòus dindòus,
Déus payrans que-ns hara broumba lous badinadyes
E que semiara flous a trubès noustes dòus.
YAN DÉU TUCÒU.
�— 6 —
CHOSES
DE
CHEZ
NOUS
Les Cagots dans la région d'Orthez
AU XVIIe SIÈCLE
Je n'ai pas l'intention de faire une dissertation à perte de vue
sur ces pauvres parias des temps passés, que le hasard d'investigations autrefois poursuivies dans les archives d'une localité voisine
d'Orthez m'avait permis de prendre, en passant, sur le vif. Je
n'aurai garde d'aller me rendre ridicule, en me fourvoyant au
milieu de ces doctes autorités qui en ont savamment écrit, — sans
arriver à s'entendre ni sur l'origine de la caste maudite, ni sur
l'étymologie des diverses appellations sous lesquelles on l'a
désignée suivant les lieux et les époques, ni sur les causes du
discrédit dans lequel elle a longtemps vécu.
Je préfère renvoyer les lecteurs des Réclams aux Marca, aux
Francisque Michel, aux Menjoulet, aux de Rochas, à ce dernier
surtout, dont l'étude complète a couru le Béarn, et aux citations
de seconde main sorties de la plume des Picamilh, des Dufourcet,
des Palassou, Faget de Baure, Joubert, Lande, Paré, Lespy. Ils
estimeront, comme moi, que ces graves oracles, avant de s'essayer
à nous persuader, feraient bien de s'accorder quelque peu entre
eux.
Mon but, plus modeste, n'est que de constater l'existence et de
montrer quelle dut être la condition des cagots dans le voisinage
d'Orthez.
Les cagotsont été assez nombreux, dans notre région, jusqu'au
jour où l'intervention de l'intendant du Bois de Baillet amena, par
l'ordonnance de 1683 que Louis XIV rendit en leur faveur, un
nouvel état de choses dans lequel cesse — du moins légalement,
sinon en fait — la distinction outrageante établie auparavant entre
eux et les autres sujets du roy.
Us portaient ici le nom français, dûment écrit dans les actes
officiels, de Chrestians ou Gèsitains. Il ne se trouve presque pas de
commune qui n'ait eu ou n'ait encore sa maison appelée du Chrestiàa, et c'est un indice, h peu près partout certain, qu'il y a eu là
des cagots.
Leur nom béarnais est bien Chrestiàa, et la preuve en est
surabondante aux archives des Basses-Pyrénées.
Ici, je demande à émettre une opinion toute personnelle. Il y a
�— 7 -des contrées, telle la Bretagne, où les cagots étaient dénommés
Cacous, Caqueux ou Caquins. Or, le terme de cacou — bien que
le Dictionnaire béarnais de Lespy ne le mentionne pas — est très
communément employé dans les environs d'Orthez, sans que je
sache au juste quel genre d'injure il peut bien traduire; mais il
m'est très fréquemment advenu d'entendre appliquer le qualificatif
de cacou à des gens antipathiques, et il m'a paru que des rustres
et des malotrus' étaient les plus fréquents bénéficiaires de ces
aménités du vocabulaire béarnais. Le mot ne serait-il pas un
souvenir du bon vieux temps des cagots ?
Dans les archives communales de Bonnut (série GG, 1 à 9), que
j'ai eu autrefois tout le loisir de compulser, j'ai relevé la généalogie
complète de deux familles, — j'allais dire : deux dynasties — de
cagots : les d'Araignats (transformés successivement en d'Araignés,
Laraignés, Larragné, et Larrégneste), et les Arrioudougert ou
Dugert, dont j'ai pu suivre la filiation directe à partir de 1616, et
découvrir la parenté et les alliances avec des cagots d'un grand
nombre de localités sises en Béarn, Lannes et Chalosse.
C'est une généalogie très intéressante à parcourir et très instructive, et je regrette que son étendue ne me permette pas de la
rapporter ici: on y trouverait la matière de conclusions qui seraient
peut-être le contre-pied d'opinions en cours.
Celles de ces conclusions qui me paraissent devoir résister à
l'épreuve d'une contestation sérieuse, je demanderai la permission
de les présenter, mais elles n'engageront que moi seul, et je me
défends bien d'avoir qualité pour en soutenir le bien fondé.
Il ressort premièrement des recherches qu'il m'a été possible de
faire, et des découvertes qu'elles ont amenées, qu'il y avait effectivement des cagots à Orthez et dans les environs, ainsi que dans
la région landaise avoisinante : les cagots de Bonnut sont alliés
par mariage avec d'autres cagots de Baigts, Orthez, Sarpourenx,
St-Boès en Béarn, et de St-Paul-les-Dax, Clermont et Bonegarde
en Gascogne.
Ils ne paraissent pas, en dépit d'une opinion très accréditée,
peut-être trop généralisée, avoir été absolument traités comme des
êtres inférieurs et méprisables : car des familles très marquantes
ne dédaignaient pas de frayer avec eux et d'accepter le parrainage
de leurs enfants, — et parfois même, il y avait réciprocité (V. plus
loin, actes des 1er mars 1617 et 19 septembre 1635).
Ainsi nous voyons Bertrand de Péduboscq en 1632, 1639 et 1640,
Marie de Péduboscq, en 1623, Arnaudine de Péduboscq, en 1643,
François de Péduboscq, en 1678, Jeanne de Péduboscq en 1678 et
�— 8 —
1696, le chirurgien Jean Darména en 1691, François de Lafltte,
praticien, en 1696, Bertrand Dufau et Jeanne de Vignolle d'Arsague en 1722, tenir sur les fonts du baptême des enfants de gésitains :
or ce n'étaient point les premiers venus que ces représentants des
maisons Péduboscq, Darména et Lafitte, qui avaient droit de
sépulture dans l'église do St Martin et remplissaient les premières
charges dans la communauté.
Cependant, aussi longtemps que les populations, sans leur être
aussi hostiles qu'on veut bien le dire, leur ont témoigné de la
froideur et une certaine défiance, les cagots ont dû continuer à
se tenir d'eux-mêmes à l'écart des autres habitants. Il y a peu de
temps encore, à Orthez même, on ne se liait guère avec lous tignous
dé Magret : au point de vue légal l'incapacité des cagots avait
cessé, au point de vue moral leur situation était toujours inférieure.
Mais de là à supposer qu'un sentiment général et prolongé
de profonde aversion s'affirmât à leur encontre, il y a loin.
Ils ont bénéficié d'une large tolérance et joui d'une considération
relative dans notre contrée.
A Bonnut même, on les voit se mêler assez ouvertement au reste
de la population. Tout au plus avaient-ils des places distinctes à
l'église. On montrait naguère (avant la restauration de l'édifice en
1875) leur porte d'entrée et leur bénitier à St-Martin ; mais personne,
parmi ceux qui l'avaient entendu prononcer, ne savait plus à quoi
répondait le terme de cagot.
Voici encore, sur leur compte, des notes qui seront l'occasion
d'une curieuse étude de mœurs. Le jour sous lequel s'y montrent
cagots et non-cagots permet de s'assurer qu'ils se valaient à peu
près les uns les autres.
Du 26 février 1615 : Baptême de Charles de Leytou, « fils bastard
« d'Henry de Leytou et de Marie de Fourcade, gésitains. Parrain
« Charles d'Araignats ; marraine Brune de Pomarting, mary et
« femme dits du Chrestian ».
Les maisons Lacrouts ou Chrestiàa, Peiletach ou Labaigt étaient,
à Bonnut, habitées par des cagots, — et on n'en trouve que là.
La recherche et la déclaration de paternité étaient alors d'une
pratique courante, et bien peu de filles-mères balançaient à décliner le nom de leur séducteur. Souvent on voit ce dernier régulariser
la situation par un mariage en forme. Parfois aussi, c'est un tiers
bénévole et complaisant qui s'offre pour cette réparation d'honneur.
C'est ainsi que Marie de Fourcade épousa bientôt le frère de la
marraine, Bertrand de Pomarting, dont elle eut doux petits cagots
très légitimes.
�— 9 1er
Du
mars 1617 : Baptême de Charles de Molia « fils bastard de
« nions, du Molia, seigneur de Sarporenx et de Jeanne du Bourg,
« P. et M. Charles d'Araignats et Brune de Pomarting, gésitains.»
L'église de Bonnut-St-Martin paraît avoir eu, dans cette partie
du xvne siècle, la spécialité des baptêmes de la bastardalhe de la
contrée, qui pullulait, ajoutant un appoint respectable au chiffre
de la population que, d'autre part, des ménages réguliers très
prolifiques travaillaient très méritoirement à faire progresser.
La clientèle affluait donc au baptistère, surtout à l'époque da
curé Demolia (1630-55), un parent peut-être du susdit seigneur de
Sarpourenx. C'est une figure curieus3 que celle de ce curé : il ne
péchait guère par pudibonderie, et il était le plus approprié à pareille
besogne qui se pût souhaiter. Certains des acte3 de baptême écrits
de sa main sont d'une telle crudité d'expression, que le croustillant
Rabelais et le brave caperàa de Bideren, d'hilare mémoire, en
eussent certainement rougi : c'étaient de purs séraphins au prix.
A noter surtout un acte du 17 janvier 1647, dont beaucoup de
plumes laïques, parmi les moins prudes, répugneraient à prendre
copie conforme : Dumolia y traite fort incong'rûment la pauvre vierge
folle qui s'en est laissé conter. Ce n'est guère ecclésiastique, et il
n'a pas même l'excuse d'une vertueuse indignation motivée par la
conduite sujette à caution de sa paroissienne.
Du 16 octobre 1633: Estienne (d'Araignés et Brune de Labaig,
jésuitains, sont parrain et marraine de Brune de Minville, fille de
Pierre de Minville et Marie de Laborde, non gésitains.
Du 3 juin 1634 : Jean de Guirault et Marie de Fons de Camp de
Bueix (auj. Houns-de Cam, en St-Boès), gésitains, ont deux
enfants jumeaux, dont l'un filleul de Jean de Sousleys, l'autre
d'Estienne d'Araignés et Catherine de Sousley, — touajésuiiains.
Du 19 septembre 1635 : Charles d'Araignés et Brune de Pomarting sont parrain et marraine de Brune de Bernard, fille de Jean
de Bernard et Catherine de Capdeville, non gésitains.
Du 30 décembre 1635: Baptême de Catherine d'Araignés « fille
bastarde d'Estienne d'Araignés, jésuitain comme a esté déclairé
en justice par Catherine de Sosleix dite Cabin, meredu d'enfant
et qui nest point jésuitaine, ses pere et mere ont de nouveau
confirmé devant la porte de leglise par plusieurs, parrin et
marrine sont Arramond fie Pedeboscq et Catherine d'Araignés
sœur du susd. père et led.baptesme a esté faict par moy Demolia
« curé susd. »
Catherine de Sousleys, comme Marie de Fourcade, trouva « sabot
à son pied », malgré la présence de l'enfant illégitime, dans la
2
�— 10 —
personne d'Arnaud de Lasserre. Le 18 novembre 1637, naquit leur
fils, Charles, filleul de Charles et Catherine d'Araignés, jésuitains.
On ne faisait 'pas souvent la petite bouche dans ce temps-là. Il
est vrai que, même aujourd'hui, les exemples ne sont pas rares de
ces unions faciles où l'éponge est passée avec indulgence sur des
« accidents » antérieurs peu catholiques.
Le terme de jèsuilain employé pour gésitain se retrouve presque
toujours sous la plume de Demolia. Avait-il, comme Pascal ( les
Provinciales étaient sur le point de paraître), quelque dent contre
les jésuites? Il ne faut certes pas le classer parmi les jansénistes,
dont il est loin de professer l'étroit rigorisme, et au demeurant,
son style nous le montre comme un prêtre peu recommandable.
« Du 31 octobre 1644: Baptême d'Etienne de Laurette, bâtard de
Pierre de Laurette « musnier habitant Darramous » (Ramous) et
de Jeanne de Caubeigt « habitante de Laneplaa en Béarn laquelle
sest refugee au put lieu de Bonnut ainsi que Jeanne Daraignés
femmi saige nous a desclairé ». Estieune d'Araignés et Jeannique
Ducasse sa femme, gésitains, étaient parrain et marraine.
Arrêtons ici les citations, qui pourraient être multipliées, et qui
déjà nous débordent.
De ce qui précède, on peut inférer que les cagots n'avaient pas,
comme on les en accusait parfois, le monopole des mauvaises
mœurs, que l'on constate également chez les non-cagots, lesquels
affichaient fréquemment un commerce illicite avec les sœurs ou
les filles de gésitains.
Nous y trouvons la preuve qu'on pouvait sortir de l'état de cagot :
ainsi les Sousleys, Sosleys ou Sosleix étaient les ramifications
d'une même famille, dans laquelle on comptait des membres encore
gésitains, et d'autres qui ne l'étaient plus, émancipés, sans doute,
par le mariage.
Longtemps honnis et méprisés, les cagots avaient été presque
partout comme parqués dans certains (quartiers. A Bonnut, ils
étaient groupés dans le voisinage de St-Boès. La cagoUrie de ce
lieu devait également toucher à celle de Bonnut : les noms de
Guiraut, Lacrouts, Pelletach, Perligou, Houns-de-Cam, sont
toujours attachés à des lieux-dits de l'une et de l'autre commune,
enfermés dans un rayon restreint d'un demi-kilomètre; ils sont
une révélation. Il en est de même de ces familles do cagots
originaires de Baigts et alliées aux d'Araignés et aux Dugert de
Bonnut : les maisons Pourret, Conte et Mongay existent toujours,
presque contiguës, bordant la route de Baigts à St-Girons.
On dit encore que les cagots étaient souvent considérés comme
�— 11 —
de malfaisants sorciers, qu'on les réputait ladr:s ou lépreux, et
que leur attouchement était regardé comme dangereux ou impur.
Cela est possible, et diverses études parues au point de vue médical
paraissent l'avoir établi : ainsi « las uncles en carcolh » de Salies
seraient un reste de déformation physique provenant héréditairement des cagots ; seulement, s'en est-on assuré par la recherche
généalogique des ascendants, et a-t-on constaté la situation de
ces derniers en tant que cagots ou non cagots? Cette infirmité, du
reste, était-elle l'apanage exclusif de la race suspecte ? Autant de
points d'interrogation qui restent sans réponse.
Les cagots auraient exercé généralement les professions de
charpentiers, cordonniers, tisserands, sages-femmes : nous voyons,
en effet, dans le dernier acte rapporté, que Jeanne d'Araignés est;
qualifiée de femme saige. Or pour qui songe à la délicatesse innée
de la femme, à sa propension naturelle aux idées superstitieuses,
à la crainte qu'inspire le nom de sorcier, et à la répugnance instinctive qu'on éprouve à l'égard de gens soupçonnés d'un'mal
caché, il y a de quoi s'étonner de la confiance accordée à ces
matrones : étaient-elles donc aussi redoutées, et les cagots en
général aussi redoutables qu'on le croit, sur la foi de certains
écrits ?
La profession libérale de médecin (megde) était aussi, et surtout,
réservée aux cagots. Il doit donc y avoir d'autres causes au mépris
dont on les honorait... autre part qu'à Bonnut.
Mais le plus grand nombre faisaient le métier de charpentier :
c'est ainsi que nous voyons, à Loubieng, vers 15*75, à la suite
d'une convention avec Bernard de Lembeye, trésorier communal,
le cagot Menauton de Lees se charger de la réparation du temple
et de la façon de six bancs (Arch. des B.-P. E 123T). Les cagots
avaient été les grands charpentiers de Gaston Phœbus à Pau, à
Montaner, etc.
Il y a toujours, à Loubieng, une maison Chrestiàa. Le dénombrement de 1385, sous Gaston-Phœbus, porte : lo crestia. (Invent,
des Arch. des B.-P. t. VI. p. 6"7).
Je n'aurais pas voulu terminer sans rappeler en quelques traits
un type resté légendaire dans tout ce pays, et qui paraît résumer
et concentrer en lui, dans sa célébrité, la défaveur attachée à la
qualité de cagot : mais ce serait allonger démesurément un sujet
déjà trop étendu, et malgré tout incomplet, et le Gagot de Gamachies fera l'objet d'un prochain article.
J. GARDÈRB.
�- 12 —
PROUJÈT D'ESTATUT FELIBREN
PREPARA PÈR LOU
CAPOULIÉ P. DEVOLU Y E LOU BAILE J. RONJAT (')
PREAMBULE
Lou Capoulié semound à la meditacioun di Felibre Majourau e
dis acamp de Mantenènço e d'Escolo felibrenco, un proujèt de
revesioun de l'Estatut de 1876.
En seguido de l'espandido dóu Felibrige e à dicho qu'éu coubravo à cha un li terraire dóu Païs d'O, s'es vist que lou dich
Estatut èro de mens en mens óusserva. Soulecita de plusiour part
pèr n'assegura l'óusservacioun, lou Capoulié a recouneigu que,
dins la situacioun atualo, l'aplicacioun rigourouso de l'Estatut
adurrié la bourroulo e la desbrando entre Felibre que soun pamens
uni mouralomen coume de fraire esperitau dòu même sang.
E, dins acò, la nécessita d'un Reglamen pòu pas se discuti : Fau
pas se leissa prene eici à l'equivoco proupagado pèr aquéli que van
repetissènt : « L'on embrigado pas li roussignòu ! »
Es pas d'acò qu'es mestié.
L'obro santo dùu Felibrige caup dos part que l'Estatut destinguis
belèu pas à bastanço :
1 ) L'acioun individualo qu'escapo en touto règlo couleitivo
preciso; elo s'es prouvado jusqu'aro, lou mai, pèr la flourido
literàri qu'es la marco essencialo c glouriouso de nosto Respelido.
Es bèn tout vist qu'aqui chascun volo de sis alo e siblo emé sa
flahuto : aqui dounc, liberta coumpleto dins lis idèio, lou dialèite,
la grafio etc.. Baslo ! l'armounio supcriouro que s'establira fourçadamen dins aquel ordre de fa, es lou tèms que lacoungreio, eDiéu
recouneira proun li siéu ;
3d) A coustat d'acò, i a l'acioun couleitivo que s'eisercis pèr la
reiinioun, la paraulo, lou journau, lou fa, la mutualita, la proupagando de tout biais pèr l'enançamen di grand principe que nous
soun coumun en tóuti e que voulèn, tóuti, faire aveni. Aqui, es
(1) Lous counfrays de
d'estudia aquéste proujèt
l'Escole Gastou Febus que soun pregats
é de manda lous lous eretics à Mous de
Lalanne, carcat dous adouba en u debis qui heram pari aus Reclams.
Pou moumèn n'Iiabém a dise qu'û mout : Biarn ë Gascougne que
soun prou grans é prou numerous enta merita-s ûe Mantenenci, si
per cas que sic que las Mantenencis é debin esta mantengudes.
N. P. L. R.
�—
13 —
assouludamen indispensable d'èstre fourtamen ourganisa, de
s'impausa fervourousamen uno lèi e de n'en jura dins soun cor
l'òusservanço. Sènso acò, nòstis esfors reston eternamen isoula,
sènso pourtado soucialo ni forço véritable Un esplouraire nous a
counta que 10 europen onbrant coutrio e d'acord, au même crid
de : « Isso 1 » soulevèron, unofustasso que 60 nègre tòuti en aio
e tirant cadun de touto sa forço, mai sènso acord ni disciplino,
avien pas pouscu boulega d'uno ligno... Aqui, regarden-nous
un pau.
Permié li coustumo que se soun establido en vióulacioun de
l'Estatut, n'i a que soun dins l'eime de la Raço mièjournalo e
rapelkm lè coustitucioun de nòsti rèire libre. Aquéli coustumo
soun de counsacra; mai n'i a d'autro, tambèn, que soun de coundana e d'abouli, entre autro aquelo de pas paga d'escoutissoun...
Es pas i « roussignòu » en tant que cantaire e piéutejaire, que
nous adreissan eici. Noun.es is Felibre sènso noumbre que trobon
naturau e facile de paga l'escoutissoun de vint clube o assouciacioun de tourisme o d'alpinisme et que trobon jamai uno pèço
de cènt sòu pèr favouiisa la proupagaado felibrenco e lou sauvamen de la patrio. A-n-aquéu regard avèn prepausa de moudifica
founcieramen li règlo aministrativo de 1876.
Basto ! que chascun, prenent pèr tèmo lou proujèt que pourgissèn, n'en médite, afeciouna; que se discutigue aqui dessus dins
li group; que tóuti li majourau e li group mandon pèi au
burèu counsistouriau sis óusservacioun e si vot. De tau biais, en
sesiho counsistourialo, se poudra oubra en counèissenço de causo.
Salut en Santo-Estello,
PÈIRE DEVOLUY.
PROUJÈT D'EST AI UT FJEL.IBREIV
TITRE lé
TOCO DÓU FELIBRIGE
ARTICLE PROUMIÉ. — Lou Felibrige es establi pèr afreira e empura
li pouèto e lis escrivan qu'emé sis obro sauvon la lengo d'o, li
sabènt e lis artisto emai tóuti lis ome de bon voulé que dins sis
estùdi, si travai, si- pres-fa, si lucho, emé sis ressourço de tout
biais, mouralo e materialo, se dounon pèr toco pietadouso lou
reviéure e la glòri di païs d'O.
Founda pèr Santo-Estello, lou 21 de mai 1854, le Felibrige s'es
coustituï e ourganisa lou 21 de mai 1876.
�— 14
—
ART. 2. — Soun enebido, dins lis acamp dóu Felibrige, li discussioun poulitico e religiouso.
ART. 3. — Dno estello à 7 rai'es lou simbèu dóu Felibrige, en
memòri di sèt Felibre que lou foundèron à Font-Segugno, di sèt
Troubaire qu'autrc-tèms establiguèron li Jo flourau toulousen e
di sèt Mantenèire que li restaurèron à Barcelouno en 1859.
TITRE II
OURGANISACIOUN GENERALO DÓU FELIBRIGE
ART. 4. — Li Felibre se destrion en Majour au, Mantenèire e
Ajudaire. S'afrairon lou mai que podon en groupamen loucau e
regiounau que se noumon, segound la tradicioun felibrenco.i^sco^o.
Lis Escolo se groupon èli-memo en Mantenènço courrespoundènto i grandi regioun de la Terro d'O.
ART. 5. — Li Felibre majourau soun chausi entre aquéli qu'an
majamen countribuï à la reneissènço dóu Gai-Sabé. Soun au
noumbro de cinquanto e soun acamp porto lou noum de C'ounsistôri felibren.
Soun elegi pèr si parié en sesiho dóu Counsistòri e recebon d'encartamen signa dóu Capoulié.
An dre de vote simple au Counsistòri, de vote double dins lis
Assemblado generalo e dins lis acamp di Mantenènço e dis Ecolo
ounte soun iscri.
ART. 6. — Li Felibre mantenèire soun chausi entre aquéli que
fan provo d'afecioun felibrenco dins touto óucasioun de la vido.
Soun en noumbre ilimita.
Soun nouma pèr li Mantenènço en acamp mantenenciau. Après
l'eleicioun, lou Sendi de la Mantenènço n'en fai raport au Counsistòri en marcant li titre de cade nouvèl elegi.
Lou Counsistòri rrounounciosoulennamen l'amessioundefinitivo
e deliéuro i nouvèu Mantenèire d'encartamen signa dóu Sendi de
la Mantenènço e dôu Capoulié.
Li Felibre mantenèire an dre de vote simple dins lis Assemblado
generalo e dins lis acamps di Mantenènço e dis Escolo ounte soun
iscri.
ART. 7. — Li Felibre Ajudaire soun nouma pèr lis Escolo e
chausi entre lis ome de bon voulé que s'afeciounon i causo de
noste Reviéure e desiron l'iniciacioun sant-estelenco. Soun en
noumbre ilimita. Lis Escolo podon à sa voulounta ié donna dre de
vote pèr tóuti questioun d'ameuistracioun interiouro. Podon èstre
amés is acamp generau e mantenenciau sus la presentacioun d'un
felibre mantenèire de soun escolo, mai i' an pas dre de vote.
(A suivre.)
�LOUS
L I B I S
: L'Armagnac Noir ou Bas-Armagnac, Auch, dans
toutes les librairies 1902, petit in-8° de iv-348-xn p. et 1 carte. —
Prix : 3 fr.
PAUL DUFFARD
La poésie populaire est en particulier honneur dans le SudOuest : notre dernier numéro en fournissait la preuve. En même
temps qu'il s'imprimait, s'envolait des presses auscitaines un recueil
dont on agréera bien que nous disions aussi un .mot.
C'est qu'il est commode ce joli petit in-8° tout pimpant et un
agréable bréviaire pour le promeneur. Il contient beaucoup de renseignements, nombre de faits : il nous instruit agréablement sur
des mœurs que nous connaissons à la vérité puisqu'elles se ressemblent dans la région, mais on y trouve la couleur locale. De même
en effet que les abeilles composent leur miel odorant et savoureux
des fleurs de chaque pays, lequel prend ainsi l'arôme et le goût
du terroir, il n'en va pas autrement des coutumes, des légendes
ou des traditions qui, les mêmes par leur fonds, se diversifient, se
nuancent en tirant du sol leurs qualités natives, et c'est ce qui en
rend la lecture curieuse. Or l'Armagnac, mieux que tout autre,
doit donner une bonne odeur de fruit.
Aussi au seigneur, l'honneur. Dans une première partie l'auteur
décrit l'Armagnac noir, son vin pétillant, son nectar appréciable
lorsqu'il coule des vieilles amphores, Eauze, la capitale, avec son
marché pittoresque où les caractères se trahissent dans les marchandages faisant apparaître le génie pratique, la netteté de pensée
la vivacité de langage, l'entrain joyeux et spirituel, caustique un
brin et avisé des Gascons. Les ennemis du bon produit qu'est cette
liqueur sont dénoncés. Il y a dans ces 39 pages bien des notions
précieuses sur une question intéressant la santé publique.
Dans la deuxième partie l'auteur étudie la famille avec ses repas,
ses réunions et ses travaux : le fauchage, la moisson, les vendanges
où l'on retrouve comme un écho de l'antique linos grec chanté par
l'enfant à la voix cristalline, tandis que les vendangeurs frappent
la terre en cadence pede libero. Puis une noce, dont on nous conte
les phases variées, défile avec ses rites divers, son hyménée peu
différent de celui que rappelle Homère; ensuite le baptême, la
sépulture, les superstitions. Enfin, les" amusements publics, les
séculaires courses et les réjouissances de la vie : le charivari qui
inspira si heureusement Jasmin, l'asouade et rla cagnade, point
mentionnée jusqu'ici.
Dans une troisième partie l'auteur, complétant Bladé, a recueilli
�— 16 —
douze contes : il semble que, pour notre plaisir, il ait écouté seulement les « bonnes histoires » transmises et racontées, comme dans
le Médecin de campigne de Balzac, en hiver, par des auditoires
successifs « desquillant » le maïs ou taillant dans les « bimès »
les liens du sarment qui sommeille. De certains d'entre eux, il ne
serait point difficile de trouver des versions en Europe, mais ce
n'est pas le cas ici d'étudier la mythologie comparée. Suivent sept
chansons, huit rondeaux, dix-neuf transcriptions musicales. Une
bonne carte du pays termine le volume.
Ces récits sont contés avec bonne humeur, entrain, en un style
alerte et piquant. C'est à peine si je me permettrais de dénoncer
une tendance de l'auteur à l'optimisme. Si je ne craignais des mots
le faste pédantesque, je dirais aussi que le psychologue trouvera
dans cette œuvre matière à réflexions, car l'âme de la région
transparaît dans ces manifestations spontanées, primesautières.
Mais, imprudent, je m'avance trop, car une charmante préface de
M. L. Couture, à la mémoire de qui ce travail est dédié, en marque
la vraie portée et il y aurait impertinence que de s'avancer sur ce
terrain après un jugement aussi bien motivé.
— La librairie Charpentier a publié dans la collection des romans
à 3 fr. 50, Le Chevalier d'Ostatat de M. Charles de Bordeu, dont
j'avais plaisir à entretenir dernièrement nos confrères. Maintenant
qu'il leur est facile de le lire, ils pourront juger combien l'auteur
est le peintre descriptif et imagé de la vieille terre de Béarn.
— Je ne sais pourquoi on attache aujourd'hui un sens déplaisant
à ce qualificatif « polygraphe », comme si les plus grands et les
plus nobles esprits n'avaient été en quelque manière des polygraphes, comme si cet adjectif n'impliquait pas souplesse et compréhension large d'esprit. Et donc d'être polygraphe, je louerai M.
l'abbé Daugé qui, cette fois, se plaît à décrire en 24 p. gr. in-12
(Dax : Labèquej, la curieuse collection numismatique de M. le Dr
Lévrier, à Aire.
Louis BATCAVE.
' Notre confrère, Louis Batcave, fut officiellement chargé, à la
réunion de St Sever, de préparer une histoire du Béarn à l'usage
des écoles primaires. Nous avons le plaisir d'annoncer à nos
lecteurs que ce travail est presque terminé. Nous remercions notre
confrère de son empressement et nous le félicitons des bonnes
pages qu'il a bien voulu nous communiquer.
A. P.
Notre vaillant ami Louis Batcave est en deuil : il vient de perdre,
à Paris, une tante aimée, mère adoptive de Madame Louis Batcave.
Au nom de YEscole qui prend toujours une grande part à tout ce
qui touche ses membres, peines ou joies, nous offrons nos plus
affectueuses condoléances à M. et Mm0 Louis Batcave !
A. P.
�— 17 —
LISTE
DES
MEMBRES DE L'ESGOLE GASTOU-FÉBUS
r
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
35
36
37
38
39
40
41
42
48
44
45
Abadie, Alphonse, Rédacteur des Postes et Télégraphes, Pau.
Abadie, Félix, Argelès, Hautes-Pyrénées.
Abadie, François, Président de la Société Borda, Dax.
Abadie, Joseph, huissier, à Lourdes, Haut- s-Pyrénées.
Abbadie-Tourné, Conseiller Général, à Eaux-Bonnes, B.-Pyrénées.
Abeilhé (Mmo), à Pau.
Alicof, boulevard Saint-Germain, £42, Paris.
Alméida (A.-G, d'), félibre, àMezin, Lot-et-Garonne.
Anneslay (Mme), à Quillebaudy, Orthez.
Aran, receveur de l'Enregistrement, à Gourçon, Charenu-Inférieure.
Aressy (abbé), vicaire d'Abos, par Monein.
Arnaudat (Henri d'), à Orthez.
Arnaudin, Félix, à Laboueyre, Landes.
Arrepaux, Calixte, médecin, à Artix, Basses-Pyrénées.
Arriu, Alfred, 10, rue des Cordeliers, Pau.
Baco, (A), instituteur, à Belus, Landes.
Badiole, (A), curé, à Angous, Basses-Pyrénées.
Balencie, Jacques,docteur en médecinea Athis-Mons, Seine-et Oise.
Baradat, à Sames.
Barberen, Pierre, Conseiller Général, à Oloron.
Barrère, Antoine, 17, Place de la République, Pau.
Barrieu, Joseph, négociant, à Pouillon, Landes.
Barthety, Hilarion, Archiviste municipal, Pau.
Barthou, Louis, Député des Basses-Pyrénées, Paris.
Bataille-Furet (Mme de), à Pontacq.
Batbedat, Dooteur, à Bayonne.
Batcave, Louis, avocat, 27, rue Molitor, Paris.
Bauby, Léopold, secrétaire général honoraire de la Société des
Amis des Arts, à Orthez.
Baudorre, André, instituteur, à Aubous, par Portets, B.-Pyrénées.
Bérard (abbé), à La Rochefoucaud, Charente.
Bégué, instituteur, à Maubourguet, Hautes-Pyrénées.
Bégué, Barthélémy, instituteur, à Urcuit.
Bergez, instituteur, à Lurbe, par Asasp, Basses-Pyrénées.
Beziat, André, à Balensun, Basses-Pyrénées.
Bibal, maire, à Masseube, Gers.
Bignon, Michel, à Biarritz.
Bon, Docteur à Arthez, Basses-Pyrénées.
Bon, Docteur à Mimbaste, Landes.
Bonhomme, R., à Galapian, par Aiguillon, Lot-et-Garonne.
Bonnemaison, Hôtel des Vallées, Lurbe-St-Christau, B.-Pyrénées.
Borie, Paul, notaire, à Dax, Landes.
Botto, ingénieur des Arts et Manufactures, à Pau.
Boué,Charles,professeurflépai temental d'Agriculture, Tarbes, H.-P.
Bouilherce, à l'Ecole Normale de Lescar, Basses-Pyrénées.
Bourciez,professeur à l'Université, 139, cours Victor-Hugo, Bordeaux.
�46
47
48
49
50
51
52
53
54
55
56
57
58
59
60
61
62
63
64
65
66
Bousquet, Adolphe, avoué à Dax.
Branet, Alphonse, à Auch, Gers.
Brèque, U), Jean, instituteur, à Monein, Basses-Pyrénées.
Brocas, IM, instituteur, à Féas, par Aramits.
Cabaiiès, Léon, négociant, à O oron.
Cabarbay, Jean, à Tarbes, Hautes-Pyrénées.
Caillabère (abbé), à Piétat, près Tarbes.
Cailhebar. Ernest, maire, à Estang, Gers.
Cambus, Orner, pharmacien, à Orthez.
Camélnt (abbé), économe à Saint-Paul, Angoulême.
Camélat, Miqueu, secrétaire de l'Escole, à Arrens, par Aucun, H.-P.
Camou, Docteur, 36, place Gambetta, Bordeaux.
Camy, Henry, rue Samoiiz'ít, Pau.
Candelot, André, "0, rue Bonaparte, Paris.
Cantin, Charles, maire de Sordes, par Peyrehorade, Landes.
Canton (abbé), curé de Simacourbe, Basses-Pyrénées.
Capdepont, Docteur, 9, rue du Louvre, Paris.
Capdeviellc (abbé), profes.de dessin au Collège St-Eugène, Alger.
Cupdeviello, Jean-Pierre, Hôtel de la Paix, Madrid.
Carassus, Jean, à Lescar, Basses-Pyrénées.
Cardailhac (Baron de), juge au Tribunal de la Seine, 83, boulevard
St-Michel, Paiis.
67 Cardailhac iXavier de), avocat à Tarbes, Hautes-Pyrénées.
68 Carmouze, Abel, industriel, à Argelès.
69 Carmouze, Pierre, à Argelès.
70 Carrère (abbé), professeur au Grand-Séminaire, B.iyonne, B.-P.
71 Carrère, Principal au Collège do Barcelonnetto, Basses-Alpes.
72 Casabonno, Jules, à Oloron
73 Casaubon, Docteur, à Igos, Landes.
74 Castaing, Aleide, instituteur, à Mascaras, par Garlin.
75 Cfslera (d'Avczac (le), 3, rue du Vieux-Colombier, Paris.
76 Catalogne, Député des Basses-Pyrénées, Paris.
77 Cazamayor-Dufuur (Docteur E.), à Oioron-Sto-Marie, B.-Pyrénées.
78 Cazaux, Conseiller Général, à Pouillon, Landes.
79 Cazaux, Marcelin (Docteur), 30, rue Gustave-Courbet, Paris.
80 Cazes, Henri, 2*\ Piedras, Buenos.-Ayres.
81 Cénac, conseil général, à Argelès, Hautes-Pyrénées.
82 Ceseas, vétérinaire, à Orthez, Basses-Pyrénées.
83 Chabeaux (M"'e Paul), 46, rue Porteneuve, Pau.
84 Champetit r do Ribes, Maurice, rue de Castiglione, 10, Paris.
85 Chaperot, propriétaire, à Morlaàs.
86 Charbonneau, J.-B,, à Saint-Etienne de Bayonne.
87 Chéron, Louis, rue Brauhauban, Tarbes.
88 Chesnelong, Joseph, à Orthez.
89 Claverie-Lacourrau, à Bayonne.
90 Combiens (de), à Caen, Calvados.
91 Correch, Conseiller à la Cour, Pau.
92 Coudeu, Joseph, négociant, agent commercial du Chili, 3, rue
Edmond About, Paris.
93 Coudirolo (Le Pasteur), à Châtillon-sur-Loire, Loiret.
94 Coulon, professeur au Collège Chaptal, 1, rue Hennequin, Paris.
95 Courrèges, Café Suisse, à Argelès.
96 Courrier de Salies (Le), à Orthez, Basses Pyrénées.
97 Courteault, archiviste paléographe, 1, rue de l'Université, Paris.
98 Cuzacq, géomètre-expert, à Tarnos, Landes.
99 Darclane. notaire. secréle de l'Escole, à Sort, par Montfort, Landes.
<00 Darman (Mmc), Hôtel des Ambassadeurs, à Tarbes.
�— 19 —
101
102
103
104
105
106
107
108
109
110
111
112
113
114
115
116
117
118
119
120
121
122
123
124
125
126
127
128
129
130
131
132
133
134
135
136
137
138
139
140
141
142
143
144
145
146
147
148
149
150
151
152
153
154
Darodes, chapelier, 2, rue des Cordeliers, à Pau.
Darracq, Auguste, notaire, à Dax, Landes.
Daubagna (abbé), curé à Arrette, Basses-Pyrénées.
Daugé (abbé), curé de Beylongue, Landes.
Davezies, ancien notaire, à Argelès. Hautes-Pyrénées.
Dejeanne. D', Vice-Président de l'Escole, à Bagnères-de-Bigorre.
Delom, Chef de Bureau à la Préfecture de Pau.
Delpech-Cantaloup, Saint-Clar, Gers.
Depeton, fils, à Saint-Martin-de-Hinx, Landes.
Depierris, négociant, à Morlaàs.
Descamps, Emile, négociant, à Mézos, Landes.
Descandes, Armand, 70, Quai du Mont-Riboudet, à Rouen.
Destandau, Prés, du Tribunal, Villeneuve-s/-Lot, Lot-et-Garonne.
Destecan, capitaine, à Pau.
Destribats, Inspecteur Primaire, à Bayonne.
Détroyat, Arnaud, banquier, à Baronne.
Dirassen (abbé), curé à Castéide-Doat, Basses-Pyrénées.
Dirassen, Michel, meunier à Guiche, Basses-Pyrénées.
Dirassen, Victor, ingénieur des mines, Société franco-belge,
Apartado 34, Bilbao (Espagne).
Dubaïat (abbé), aumônier du Lycée, à Pau.
Dubeau, secrétaire en chef de la mairie, Bagnères-de-Bigorre.
Duboscq-Taret, Eugène, administrateur des colonies, Garlin.
Dubourdieu, Docteur, à Saint-Lon, Landes.
Ducourau, 6, Boulevard des Capucines, Paris.
Dufau, Joseph, 2, rue Carrerot, Oloron, Basses-Pyrénées.
Dufau, Pierre, maire de Saint-Boès, Basses-Pyrénées.
Dufau, Sylvain, 4, rue. Saint-Jacques, à Pau.
Dufau, lieutenant-colonel, en retraite, à Orthez.
Dufourcet, Louis, à Dax, Landes.
Dufourcq, Docteur, maire à Marsous, par Aucun, Hautes-Pyrénées.
Dulac, Auguste, Docteur, à Ossun, Hautes-Pyrénées.
Dulau, Constant, Député des Landes, Paris.
Dupas, notaire, à Argelès, Hautes-Pyrénées.
Dupaya, François, pharmacien, à Montfort-Chalosse, Landes.
Dupourqué, Emile, lieutenant de vaisseau, à Salies-de-Béarn.
Duprat, Edouard, à Saint-Louis, Sénégal.
Dupuy, Conseiller à la Cour d'Appel, Pau.
Dupuy, O., chirurgien-dentiste, à Pau.
Durey, Marcel, Capiscol de l'Escole gascoune de Margarido, à
Nérac, Lot-et-Garonne.
Durieu, à Saint Sever, Landes.
Dutauziès, Docteur, 96, rue Ordinaire, Paris.
Egyptien. Gustave, à las Costaderas, Azul, République Argentine.
Escudé, avoué, à Orthez.
Espagnole, instituteur, à Lourdes, Hautes-Pyrénées.
Estibayre (M. d'), vicaire, à Sainte-Marie-d'Oloron, B.-Pyrénées.
Eygun, instituteur, à Bruges, Basses-Pyrénées.
Eyt, J., instituteur, à Bizanos, par Pau, Basses-Pyrénées.
Filadelfo (Mme Requier), à Gerdes, Hautes-Pyrénées.
Florence (Le R. P.), à Anglet, Basses-Pyrénées.
Foissy (abbé), curé à Billère, près Pau.
Fontan, Marius, propriétaire, à Aignan, Gers.
Forsans, Paul, 11, rue Boudet, Bordeaux.
Forsans, Jules, 7, rue Croizillat, Bordeaux.
Fouchou, Edmond, Président de la Société des Troubadours
Montagnards, Tarbes.
�— 20 —
155
156
157
158
159
160
161
162
163
164
165
166
167
168
169
170
171
172
173
174
175
176
177
178
179
180
181
182
Fourcade, Gaston, banquier, à Argelès, Hautes-Pyrénées.
Fourcade, Justin, négociant, à Oloron.
Fourcade, Xavier, 8, place Thiers, Oloron, Basses-Pyrénées.
Fourcade, à Hours, parEspoey, Basses-Pyrénées.
Fouriscot, négociant, à Pontacq.
Fournets, de l'Académie Nationale de Musique, Paris.
Fr. Célestin, Bénédictin, à Urt, Basses Pyrénées.
Gallard (Docteur Franck), 24, place Vendôme. Paris.
Gallard (marquis de), a Saint-Sever, Landes.
Gardey (Mgr), curé de Sainte-Clotilde, Paris.
Gardère, instituteur, à Loubieng, Basses-Pyrénées.
Gardère, adjud. au 38e d'infanterie, caserne du Prince Eugène, Paris
Gardilanne (de), Alfred, à Dax, Landes.
Gassie, Paul, Conseiller de Préfecture, Tarbes, Hautes-Pyrénées
Gassie (abbé), curé de Saint-Quentin de Chalai, Charente.
Gaye, 31, rue de Longchamps, Paris.
Gaye, Henri, Docteur, à Pau.
Gelibert, conducteur des Ponts-et-Chaussées, à Dax, Landes.
Guichamann, Docteur, à Arzacq, Basses-Pyrénées.
Guilhaumet, (A), curé de Saint-Pé, à Oloron, Basses-Pyrénées.
Hitchins, Gaston, homme de lettres, 8, rue Mourot, à Pau.
Hoô-Paris, J.-R., Conseiller Général, 7, rue Taylor, à Pau.
Hum-Sentouré, marbrier, à Oloron, Basses-Pyrénées.
Jarvis, John, pharmacien, à Pau.
Jaulerry, à Biarritz.
Jorly, Alphonse, instituteur, à Saint-Savin, Hautes-Pyrénées.
Labadie, Michel, à Vic-Fezensac, Gers.
Labaig Langlade (abbé), vice-président de l'Escole, curé à Momas
Basses-Pyrénées.
183 Labarthe, professeur d'espagnol, au Lycée de Pau.
184 Labastie, Pierre, Salies-de-Béarn, Basses-Pyrénées.
18î Labat, Docteur, professeur, à l'Ecole vétérinaire de Toulouse.
186 Labatut, Docteur, à Dax, Landes.
187 Labeyrie, Cyrille (abbé), à Maylis par Mugron, Landes.
188 Labeyrie, Léon, tailleur, à Dax.
189 Laborde (J.-B.), professeur au Collège, à Oloron, B.-Pyrénées.
190 Laborde-Barbanègre, 46, rue Porteneuve, Pau.
191 Laborde-Barbanègre, Charles, 46, rue Porteneuve, Pau.
192 Laborde-Barbanègre, Pierre, 46, rue Porteneuve, Pau.
193 Laborde-Lassalle (André de), à St-Sever-sur-Adour, Landes.
194 Lacaze (abbé), aumônier, à Pau.
195 Lacaze, sous-inspecteur de l'Enregistrement, à Lectoure, Gers.
196 Lacaze, greffier de la justice de paix de Lembeye.
197 Lacaze, Edouard, à Boueil, près Garlin.
198 Lacaze, Paul, 38, rue Montpensier, à Pau.
199 Lacoaret, Docteur, 36, rue Alsace-Lorraine, Toulouse.
200 Lacoarret, J.-B., maire de Salies.
201 Lacoste, Jean, boucher, à Oloron, Basses-Pyrénées.
202 Lacoste, Paul, avocat, à Orthez.
203 Lacoste, Sylvain, 3, rue Henri IV, Pau.
204 Lacrampe, Adolphe, à Argelès.
205 Lafont, Ernest (A), instituteur, à Aiguillon, Lot-et-Garonne.
206 Lafore, Pierre-Daniel, notaire, à Sauveterre, Basses-Pyrénées.
207 Lafore, Jule3, 23, rue de l'Ancienne Comédie, Paris.
208 Lafourcade, avoué, à Oloron, Basses-Pyrénées.
209 Lagnoux, receveur des Postes, à Argelès, Hautes-Pyi énées,
210 Lagrèze (comte de), à Billère, près Pau.
�I
211
212
213
214
215
216
217
218
219
220
221
222
223
224
225
226
527
228
229
230
231
232
233
234
235
236
237
238
239
240
241
242
243
244
245
246
247
248
249
250
251
252
253
254
255
256
257
258
259
260
261
262
263
264
265
26g
— 21 —
Lailhacar (Guelfe de), 8 bis, rue de Châteaudun, Paris.
Lalanne, J.-V., instituteur, secrétaire de l'Escole, à Bidache, B.-P.
Lalanne- J.-B., rua do Ouvidor, 150, Rio-de-Janeiro, Brésil.
Lalonguerie, négociant, à Arzacq, Basses-Pyrénées.
Lamaignère (A), curé de Habas, Landes.
Lamarque (le capitaine), château des Ormes, Preignac, Gironde.
Lamarque, notaire, Oloron, Basses-Pyrénées.
Lamarcade, J.-P., maire, à Miramont-Sensacq, Landes.
Lunette (abbé), curé de Saint-Jean-Poudge, Basses-Pyrénées.
Lannelongue, protr, membre de l'Institut, 3, rue François Ier, Paris.
Lanusse, Maxime, docteur ès-lettres, professeur au Lycée Gharlelemagne, 59, rue Claude-Bernard, Paris.
Laplacette (A), instituteur, à Navarrenx.
Larrieu (abbé), rue Chanzy, à Oloron.
Lhept, instituteur, à Morlaàs.
Laporte, rue Théodore Ducos, Bordeaux.
Larrassiette, professeur à l'Ecole Normale de Dax.
Larroque, Edouard, 75, cours d'Albret, à Bordeaux.
Larroque, Eugène, banquier, à Orthez, Basses-Pyrénées.
Lassallette, Docteur, rue Bernadotte, Pau.
Lasserre (abbé), secrétaire-général de l'Evêohé, à Bayonne.
Lasserre, J.-E., avooat, rue Gassies, Pau.
Lasserre-Capdeville, à Baigts, Basses-Pyrénées.
Latécouère. adjoint au maire cle Bagnères-de-Bigorre.
Latour, ralle Perù, à Buenos-Ayres.
Latourette, Louis, homme de lettres, 93, rue Lépic, Paris.
Laulhé (abbé), curé d'Argelos, par Thèze.
Lavielle, Docteur, à Dax.
Lavigne, Paul,secrét. général, de la Préfecture,Niort,Deux-Sèvres.
Lendrat, greffier à la Cour d'Appel, Pau.
Leon-Dufour, Docteur, à Saint-Sever, Landes.
Léon-Dufour, Eugène, 1, rue Largilière, Paris.
Lesbazeilles, notaire, à Onesse, Landes.
Lesparre, Léon, 25, rue Saint-Pierre, Dax, Landes.
Lestage, Docteur, Conseiller Général, à Poyanne, Landes.
Lestremau, (abbé), curé de Laluque, Landes.
Leugé (Mme), à Pontacq, Basses-Pyrénées.
Lignac, Docteur, à Villeneuve-de-Marsan, Landes.
Limendoux, Fernand, propriétaire, à Oloron, Basses-Pyrénées.
Loubière, J.-B., négociant, à Oloron, Basses-Pyrénées*
Lisle, Albert, place Saint-Pierre, à Orthez, Basses-Pyrénées.
Loustalot (E ), avocat, à Oloron, Basses-Pyrénées.
Loussalets-Artets, instituteur, à Saint-Castm, par Morlaàs.
Loustau, Louis, juge de paix, à Vic-Fezensac, Gers.
Lubet-Barbon, 110, boulevard Haussmann, Paris.
Luxce, secrétaire en chef de la Mairie de Pau.
Maigret, directeur d'Ecole Communale, Orthez, Basses-Pyrénées
Marchand, J.-H , adjoint des Affaires Civiles, à Tananarive.
Maré, Romain, instituteur, au Boucau, Basses-Pyrénées.
Maumus, avocat, à Mirande, Gers.
Mazères, Félix, calle Pérù, à Buenos-Ayres.
Meillon, Alphonse, Hôtel Gassion, Pau.
Menjou, Emile, ingénieur des Arts et Manufactures, Pau.
Mérillon, Armand, à Tillac, Gers.
Mesmey, Henri, à Narosse, Landes.
Mestre, avocat, à Dax.
Michelet, J., 132, rue du Bac, Paris.
�— 22 —
267
268
269
270
271
272
273
274
275
276
277
278
279
280
281
282
283
284
285
286
287
288
289
290
291
292
293
294
295
296
297
298
299
300
301
302
303
304
305
306
307
308
309
310
311
312
313
314
315
316
317
318
Millardet, George?, professeur au Lycée, Mont-de-Marsan, Landes.
Monfort, Pau!, négociant, 52, rue Chanzy, à Oloron, B.-Pyrénées.
Montiton, instituteur, Bergouey, Basses-Pyrénées.
Mora, Nicolas, propriétaire, Onesse, Landes.
Moureu, compositeur, rue Préfecture, Pau.
Moureu, maire de Biarritz.
Nabarraa (A), vicaire à Notre-Dame, Oloron, Basses-Pyrénées.
Nabias (Docteur de), doyen de la Faculté de Médecine, Bordeaux.
Navarre, directeur de l'Union Pyrénéenne, 16, rue Duvivier, Paris,
Navarret, Isidore, avocat à Lourdes.
Nouions, J., Député du Gers, 99, rue Courcelles, Paris.
Palay, Simin, rue des Anglais, à Pau.
Passy, Paul, professeur à l'Ecole des Hautes Etudes, 20, rue de la
Madeleine, à Bourg-la-Reine, Seine.
Pauzat, Charles, recev. de l'Enregist., à Brai-sur-Somme, Somme.
Pauzat (Docteur), major de lie classe, attaché au Ministère de la
Guerre, 53, avenue Bosquet, Paris.
Pebayle, Paul-Emile, 13, rue de Marseille, Paris.
Pédebidou, sénateur des Hautes-Pyrénées, Paris.
Pédscoste, instituteur, à Viella, Gers.
Pépouey (abbé), bibliothécaire-archiviste de la ville de Bagnèresde-Bigorre.
Pellisson (chanoine), aumônier de Saint-Ursule, Pau.
Pellisson, Henri, homme de Lettres, à Arrette, Basses-Pyrénées.
Péré, rue Louis Lacaze, Pau, Basses-Pyrénées.
Perguilhem, Joseph, directeur d'Ecole, à Pau
Perrin (Mm«), villa Perrin, Bizanos, Basses-Pyrénées.
Peyraffitte, Maître d'Hôtel, à Argelès.
Peyre, Roger, profess1' au Lycée Oharlemagne, 13, rue Jacob, Paris.
Peyré, Auguste, Conseiller Général, à Oloron, Basses-Pyrénées.
Peyré, notaire, à Castets, Landes.
Pieu, Alphonse, à Saint-Louis, Sénégal.
Pinard, rue d'Anjou, 9, Paris.
Planté, Adrien, Président de l'Escole, à Orthez, Basses-Pyrénées.
Planté, François, conducteur des Ponts-et-Chaussées, à Argelès.
Poey (abbé), Aumônier, rue Lamothe, Pau.
Poisson, Conseiller Général, à Rion, Landes.
Pon (abbé), Pau.
Poque, Lucien, l"r commis des Hypothèques, à Lourdes, H.-P.
Pouey (du), président honoraire de la Société Académique de
Tarbes, à Séméac, Hautes-Pyrénées.
Poulot, instituteur, à Lucgarrier, par Espoey.
Pourtalé, 20, rue Latapie, Pau.
Pouyanne, Henri, à Saint-Louis, Sénégal.
Pouyanne, Sylvain, à Saint-Louis, Sénégal.
Prada-Lavigne, substitut, à Bagnères-de-Bigorre, II.-Pyrénées.
Prat, J.-B , notaire, à Oloron, Basses-Pyrénées.
Prince, facteur des Postes, Pau.
Poncabaré, secrétaire de la Mairie, à Oloron, Basses-Pyrénées.
Poydenot, Arthur, à Montgaillard, par Saint-Sever, Landes.
Puyau, Ferdinand, avocat, à Dax, Landes.
Rancèze, Auguste, Esquina Tèatinos y San Pablo, Santiago de Chili.
Reclus (Docteur Paul), de l'Académie de Médecine, 9, rue. des
Saints-Pères, Paris.
Redon, Charles, boucher, 7, rue Montpensier, Pau.
Ribes (A) (Mu« G.), professeur de dessin, Oloron, Basses-Pyrénées.
Rieu, employé des Postes, à Tarbes.
�— 23 —
319
320
321
322
323
324
325
326
327
328
329
330
331
332
333
334
335
336
337
338
339
340
341
342
343
344
345
346
347
348
349
350
361
352
253
354
355
356
357
Roques, avoué, à Lourdes, Hautes-Pyrénées,
Rosapely, Norbert, homme de Lettres, à Vic-Bigorre, H.-Pyrénées.
Rousseau, commandant, à Baigts, Basses-Pyrénées
Roussille, Paul, président du Tribunal de Commerce, à Pau.
Saint-Maoary, Eugène, avenue Henri Martin, 78, Paris.
Saint-Orens, pharmacien, à Dax, Landeu.
Sajous, Paul, Hôtel de France, a Lourdes.
Salenave (A) (abbé), curé doyen de Labastide-Clairence, B.-P.
Salles-Cazeaux (abbé), curé de Mascaraàs, près Garlin.
Samanos, Docteur, à Saubusse, Landes.
Sarrailh, Léonce, lieutenant-colonel, à Bérenx, Basses-Pyrénées.
Sarrailh, Louis (A), instituteur, à M'onein.
Sarremone, Docteur, 17, rue d'Edimbourg, Paris.
Sassissou, Victor, Hôtel de Franco, Biarritz.
Sempé, notaire, à Artix, Basses-Pyrénées.
Sentex (Docteur), maire, St-Sever-sur-Adour, Landes.
Sérez (Docteur Bertrand), chef du Service de Santé,à Hanoï,Tonkin.
Severin, Serres, imprimeur, Saint-Sever-sur-Adour, Landes.
Seyrez, Ernest, à Lourdes.
Silhou, Directeur d'Ecole, à Pontacq.
Société de Borda (La), à Dax.
Société (La), Lous Cantadous det Labéda, Lourdes.
Société des Sciences, Lettres et Arts (La), de Pau.
Sorbé, Joseph, pharmacien, à Argelès
Souviron, Edouard, à Oloron, Basses-Pyrénées.
Supervielle, Inspecteur Primaire, à Arreau, Hautes-Pyrénées.
Tardan, professeur à l'Ecole Supérieure de Pau.
Tarissan, pharmacien, à Argelès, Hautes-Pyrénées.
Tastet, P.-, négociant, à Saint-Jean-de-Luz.
Taverne, maire d'Eaux-Bonnes.
Thélin (de), Ingénieur en chef des Ponts-et-Chaussées, Tarbes.
Thore, Emile, conseiller d'arrondissement, à Carresse.
Thou, Inspecteur Primaire, à Orthez, Basses-Pyrénées.
Tora, Joseph, chef de musique, à Oloron, Basses-Pyrénées.
Toulet, homme de Lettres, 27, rue Cassette, Paris.
Trapes, Auguste, professeur, H, rue Préfecture, Pau.
Trouilhé, instituteur, à Higuères-Souye, par Morlaàs.
Vergez-Vigneau, receveur des Contributions Indirectes, à Argelès.
Veisse (A), curé d'Estialecq, Basses-Pyrénées.
Errata du dernier numéro
Page 255, au lieu de : Que poudets crede qu'ère chique.
lire : Que poudets crede qu'ère clique.
Page 257, 4e et 5" lignes, au lieu de : « loin des contrées littéraires »,
lire : « loin des centres littéraires ».
Loti yèrant : H. MAURIN.
PAU, EMPRIMERIE VIGNANCOUR — PLACE DOU PALATfS.
�— 24 —
BIBLIOTÈQUE GASTOU-FEBUS
(Félix) : Contes populaires recueillis dans la Grande
Lande, le Born, les Petites Landes, le Marensin, 1887.
ARTÈ nou POURTAU : Gras e Magre, 1889.
—
Erbes Aortes.
—
Melhe arride que ploura, 1899.
Armanac dou Bou Bìarnès e dou Franc Gascou. Pau, quoate anades.
CAMELAT (Miquèu) : Et Piu-Piu dera me^Laguta, 1895.
—
Louiset de Lacountre, 1897.
—
Beline (pouème), 1899.
—
Le Patois d'Arrens (notes de phonétique).
—
L'élément étranger dans le patois d'Arrens.
DAMBIKLLE : Parpalhous y Flourines, 1898.
DAUGÉ : Sênte Quiteyre (tragédie), 1899.
—
Flous de Zane, 1901.
—
Ue camade en Italie, 1901.
DEJEANNE : Caoucos Failos de Lafontaine, en rimos bigourdanos
(2« Editiou), 1899.
GASSIAT : Ou Cout dou Houec, 1897.
LABAIG-LANGLADE : Pouésies Biarnéses, 1893-1897,
—
Briulétes estarides dou mé casau (tresau floc).
LACOARRET (DR) : Au péis berd (Biarn), 1901.
LACOSTE (Sylvain) : Du Patois à l'Ecole primaire, 1900.
—
Coundes e DeMsets, 1900.
—
Recueil de Versions gasconnes, 1902.
LALANNE (J.-V.) : Coundes Biamés. Pau, 1890.
—
Ue Benyence, 1899.
LARROQUE : Arrepouès, 1897.
—
Noces de village en Béarn, 1896.
—
Causes bielhes d'Orthez, 1897,
PAL A Y (Yan) : Coundes, 1899.
PALAY (Simin) : Bersets de Youenesse e Coundes, 1899.
—
Cansous entaus Maynadyes.
—
Sounets e quatourzîs, 1902.
PELLISSON : Noste-Dame de Sarrance, 1898.
—
Discours d'û patriote Biamés, 1901.
PEYRÉ (Auguste) : Petites Pouésies y Cansouétes, 1901.
ARNAUDIN
�
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Patrimoine écrit occitan:périodiques
Description
An account of the resource
Ce set contient les périodiques numérisés par le CIRDÒC issus des collections des partenaires d'Occitanica
Revista
Item type spécifique au CIRDÒC : à privilégier
Région Administrative
Aquitaine
Variante Idiomatique
Gascon
Aire Culturelle
Gascogne
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Reclams de Biarn e Gascougne. - Anade 07, n°01 (Yénè 1903)
Subject
The topic of the resource
Occitan (langue) -- Périodiques
Littérature occitane -- Périodiques
Gascon (dialecte) -- Périodiques
Littérature gasconne -- Périodiques
Description
An account of the resource
Reclams. - janvier 1903 - N°1 (7eme Année)
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Planté, Adrien (1841-1912)
Lou felibre de baretous
Baudorre, André (1866-1941)
Tucou, Yan deu
Gardère, J.
Devoluy, Pierre (1862-1932)
Ronjat, Jules (1864-1925)
Batcave, Louis (1863-1923)
Maurin, H.
Source
A related resource from which the described resource is derived
<p>Bibliotèca de l'Escòla Gaston Febus</p>
<p><br /><a href="http://www.reclams.org/" target="_blank"><img style="height: 97px;" src="http://occitanica.eu/images/omeka/gaston_febus.jpg" alt="" height="97" /></a> </p>
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Escole Gastou Febus (Pau)
Imprimerie de Vignancour (Pau)
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1903
Relation
A related resource
Vignette : <a href="http://www.occitanica.eu/omeka/files/original/e472a8c919c77eed6b76d1205b58246f.jpg">http://www.occitanica.eu/omeka/files/original/e472a8c919c77eed6b76d1205b58246f.jpg</a>
<a class="link_gen " href="http://www.sudoc.fr/039860345" target="_blank">http://www.sudoc.fr/039860345</a>
Is Part Of
A related resource in which the described resource is physically or logically included.
Reclams de Biarn e Gascounhe <a href="http://www.occitanica.eu/omeka/items/show/2019">(Accès à l'ensemble des numéros de la revue)</a>
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
application/pdf
1 vol. (24 p.)
Language
A language of the resource
fre
oci
Type
The nature or genre of the resource
Text
publication en série imprimée
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
<a href="http://www.occitanica.eu/omeka/items/show/2098">http://www.occitanica.eu/omeka/items/show/2098</a>
INOC_Y2_3_1903_01
Rights
Information about rights held in and over the resource
Domaine public/Domeni public
License
A legal document giving official permission to do something with the resource.
Certains droits réservés
Temporal Coverage
Temporal characteristics of the resource.
19..
Alternative Title
An alternative name for the resource. The distinction between titles and alternative titles is application-specific.
Reclams. - Annada 07, n°01 (Genèr 1903)
Occitanica
Jeu de métadonnées internes a Occitanica
Portail
Le portail dans la typologie Occitanica
Mediatèca
Sous-Menu
Le sous-menu dans la typologie Occitanica
Bibliotèca
Type de Document
Le type dans la typologie Occitanica
Numéro de revue
Contributeur
Le contributeur à Occitanica
Inoc
Catégorie
La catégorie dans la typologie Occitanica
Documents
Béarn
Gascogne
Reclams
Revue