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Commune d’Elne

Pour l’année 2017 la manifestation se déroulera les 21 et 23 juin 2017.

Au programme du projet Total Festum de cette année, la fête de la musique présentera non seulement des artistes locaux avec 6 spots musicaux au minimum mais également un spectacle de rue qui déambulera, à travers le centre-ville ce qui permettra de mettre en exergue le patrimoine monumental et d’amener le public à se déplacer sur l’ensemble des sites. 
Le 23 juin une troupe de Falcons de catalogne sud animeront la première partie de soirée et célébreront la Sant Joan avec une prestation artistique tout public présentant une, tradition catalane du début du siècle dernier. Le groupe les Al chemist clôturera la soirée.

Vendredi 23 Juin 2017 : Focs de Sant Joan

Plateau des Garaffes :

>> 21h00 : Falcons de « Baho » (Cat nord) et de « Villanova i la Geltrú » (Cat sud)

>> 22h15 : Arrivée de la Flamme

>> 22h30 : Concert du groupe « Al Chemist »


>> Voir le programme du 21 juin
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« En 1983, à huit ans, j’ai enregistré mon grand-père dans une langue rare qui me plaisait. Son occitan, il l’appelait la lenga nostra ».

En 2016 à partir de ce document, le GdRA invite au plateau pour sa pièce LENGA, les performeurs Maheriniaina Ranaivoson, acrobate de rue Merina de Madagascar ; Lizo James, initié Xhosa d’Afrique du Sud ; Julien Cassier, comédien Toulousain ; et Christophe Rulhes, musicien Occitan jouant cabrette et platines.

La pièce traite de la diversité et de la disparition des langues. Elle s’appuie sur des temps d’enquête menés dans les familles des performeurs, qui mettent en jeu sur scène leurs arts de faire, au fil des témoignages de leurs grands-mères, filmées en 2015 à Tananarive à Amparibe et au Cap dans les townships de Khayelitsha. Se dévoilent ainsi des récits de vie, de perte, de transmission et d’invention, des danses, des rites, des contextes politiques et naturels, des musiques et des multilinguismes. Madagascar et l’Afrique du Sud font partie des lieux hyper-divers en langues, faunes et flores qui existent encore sur Terre. En pleine guerre des natures, ces espaces tendent à disparaître. En France, les langues endémiques dont l’occitan perdent toujours des locuteurs. A partir d’un théâtre de la personne, avec l’énergie de l’acrobatie ou des gumboots, LENGA livre des fragments de ces lieux, de ces gens, de ces résistances et de ces innovations. Avec en prime, un cours jubilatoire et libre de langue à clic Xhosa.

La Guerre des natures

De par le monde se multiplient les points chauds d’un conflit environnemental qui s’apparente à une guerre des natures.
Le chasseur cueilleur qui vit en forêt amazonienne  n’est pas responsable du même impact carbone que le directeur d’une entreprise pétrochimique en occident. Il en subit pourtant les mêmes conséquences, voire pire. Pour la première fois dans la géohistoire, les scientifiques vont déclarer comme forces premières pour donner forme à la Terre celle qu’engendre les humains. Ils sont devenus le facteur tellurique, géologique, climatique le plus perturbateur de l’écosystème.
Cette nouvelle ère qui s’ouvre en incertitudes et  bouleversements, les géologues l’appellent "l’Anthropocène".
Qui ou quoi, dans l’histoire, est vraiment responsable de l’Anthropocène ?
Au fil d’une série de portraits glanés dans le monde, ce sont quelques histoires de cette guerre comme autant de batailles désespérées que le GdRA souhaite raconter et mettre en scène. Débute ainsi un nouveau cycle d’écriture théâtrale intitulé La Guerre des natures. Le premier volet de cette
série s’appelle LENGA.

Distribution

Mise en scène : Christophe Rulhes
Avec : Lizo James, Maheriniaina Pierre Ranaivoson,
Christophe Rulhes & Julien Cassier
Conception, texte et mise en scène : Christophe Rulhes
Chorégraphie : Julien Cassier
Scénographie : le GdRA
Musique : Christophe Rulhes et Lizo James
Images : le GdRA, Edmond Carrère et Ludovic Burczykowski
Costumes : Céline Sathal
Direction technique : David Løchen
Lumière : Adèle Grépinet
Son : Pedro Theuriet
Photographie : Nathalie Sternalski & Loran Chourrau - le Petit Cowboy
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Christophe Rulhes
Julien Cassier
Un théâtre de la Personne

Le GdRA est une compagnie de théâtre fondée en 2007 par l’auteur, metteur en scène, anthropologue et musicien Christophe Rulhes et l’acrobate, chorégraphe et scénographe Julien Cassier. Ils associent à leur écriture comédiens, circassiens, performeurs, danseurs, musiciens, créateurs numérique, cadreurs et réalisateurs, chercheurs et universitaires. Selon les pièces en cours, le GdRA compose ainsi un groupe variable à la croisée des disciplines artistiques et fabrique un jeu à l’adresse directe et spontanée. Le texte s’élabore depuis l’enquête auprès du public et du réel. Un théâtre anthropologique nourrit par l’image et le film documentaire, pétri de fiction et de réalité, cherchant à transfigurer l’ordinaire au plateau.
 
Parcours

En 2010, le GdRA est invité au 64eme festival d’Avignon. En 2014, « SUJET » clôt au théâtre Garonne de Toulouse « Le triptyque de la personne » débuté en 2007 avec « Singularités ordinaires » et poursuivi par « NOUR » en 2010. En 2013, la compagnie crée « Vifs, un musée de la Personne » dans le cadre de la capitale européenne de la culture à Marseille. Par ailleurs et depuis 2007, avec un cycle théâtral intitulé « Les Experts du Vécu », le GdRA invente une dizaine d’œuvres scéniques, installations, muséographies, liées par l’enquête à des territoires et à des partenaires spécifiques : citons pour les deux dernières « COMMUN(S) » en 2015 et « LAVELANET » en 2016. Entre 2007 et 2017, le GdRA bénéficie d’une reconnaissance grandissante en France et à l’étranger et joue notamment au Théâtre Vidy-Lausanne, à la Grande Halle de la Villette à Paris, au Théâtre National de Bruxelles, au festival TAC de Valladolid, au Festival Via à Mons, au Festival d’Avignon en France, dans de nombreuses Scènes Nationales et dans des Centres Dramatiques Nationaux Français.
Le GdRA anime aussi régulièrement son dispositif « Pour une Belle Diplomatie », temps de transmission et d’échanges des savoirs – ateliers, stages, formations, communications – et dialogue fréquemment avec des chercheurs tels que Bruno Latour, Joëlle Zask, Alicia Buckstein, Constance de Gourcy, Vincent Girard. Christophe Rulhes, diplômé de l’EHESS en sociologie et en anthropologie est souvent invité à l’Université – EHESS Paris Toulouse, Science Po Paris/SPEAP, Sorbonne nouvelle Paris, INRA Toulouse – pour traiter de recherche action ou des rapports arts/sciences et théâtre/humanités.
 
Forme

L’action débridée, le texte et le corps acrobate ou dansant sont centraux au GdRA. La musique est orale, teintée d’une conviction post-punk, libre, improvisée, bruitiste et chansonnière, modale et nourrie par le monde. L’engagement des performeurs correspond à une dissémination biographique sur scène. Les interprètes mettent en jeu par leur corps, une part de leur vécu et de leur histoire propres. Lors des temps de répétition, le texte s’écrit en partie pour eux et par eux. Ils sont donc invités parce qu’ils détiennent des gestes et des informations privilégiés quant au récit à dire, ses thèmes, ses savoirs faire et ses savoirs être. Auteurs de leur présence, ils sont conviés à jouer une version possible de leur authenticité.
Depuis quelques années déjà, on peut entendre parler ou lire au sujet du travail du GdRA, de la mise en œuvre d’un théâtre anthropologique, du réel, ou documentaire. En acceptant la part fictionnelle immanente à toute réalité et la part de réel qui habite chaque récit, Christophe Rulhes et Julien Cassier semblent chercher avant tout une fiction vraie et des formats aptes à révéler et à déployer les singularités de tout un chacun. C’est donc un théâtre de la personne, avec ses fragilités et ses capacités, qu’ils remettent à l’œuvre à chaque proposition. Ce théâtre de la participation forte de l’interprète ou du témoin, trouve un écho dans les arts politiques et la philosophie pragmatiste. A cet égard et depuis 2016, Joëlle Zask, philosophe et politiste française est présidente du GdRA.
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Christophe Rulhes est né en 1975 dans une famille paysanne et occitane. Il pratique la musique et le chant dès le plus jeune âge. Durant les années 1990 il est diplômé en communication, en sociologie et en anthropologie à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales de Paris et chercheur doctorant allocataire associé au laboratoire CAS-LISST de Toulouse. Il joue de consort de la musique en France et à l’étranger pour le concert, le spectacle, la danse, le documentaire, la télévision. Dans les années 2000 il multiplie les expériences artistiques à la croisée de plusieurs disciplines dont la musique, l’écriture, la scénographie, le mouvement, l’image et le son, la mise en scène et les sciences humaines. En 2005 il cofonde le GdRA avec Julien Cassier. Depuis 2007 et le premier spectacle de la compagnie Singularités Ordinaires, son travail questionne une articulation potentielle entre les arts et les sciences humaines au coeur d’un théâtre physique, narratif, pluriel. Christophe Rulhes écrit à partir du public et par l’enquête sur des thèmes récurrents : fragilités et capacités de la personne, flamboyances de l’ordinaire, invention du quotidien, identité narrative, singularité, écologie des pratiques, problèmes environnementaux, recueil de paroles considérées comme subalternes ou peu audibles. Pour un théâtre des humanités, adressé à tout un chacun, se voulant ludique et libre, engagé dans le présent.
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Office de Tourisme d’Argelès

La ville d’Argelès sur Mer perpétue la grande tradition de la « Nit de la Sant Joan » qui célèbre le solstice d’été le 23 juin au soir.
Aujourd’hui à Argelès sur Mer, la Sant Joan est une fête très attendue alliant les rituels et traditions propres au Pays Catalan :
Le rassemblement populaire, la gastronomie, le folklore et les danses traditionnelles, les fleurs, le Feu, la poudre, les Arts de le Rue, la musique vivante … sont autant de vecteurs et médias d’échange et de convivialité pour partager et sensibiliser tous les publics à la culture et à la langue Catalane
Quatre jours de Fête colorée et vivante pour rencontrer l’âme du Pays Catalan

Samedi 24 JUIN

Devant le musée el casal de l’Albera – place des castellans
10 h 00 - Distribution de «  Ramallets de la Sant Joan »
Organisé par El Casal de l’Albera


>> Voir le programme du 17 juin
>> Voir le programme du 23 juin
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Office de Tourisme d’Argelès

La ville d’Argelès sur Mer perpétue la grande tradition de la « Nit de la Sant Joan » qui célèbre le solstice d’été le 23 juin au soir.
Aujourd’hui à Argelès sur Mer, la Sant Joan est une fête très attendue alliant les rituels et traditions propres au Pays Catalan :
Le rassemblement populaire, la gastronomie, le folklore et les danses traditionnelles, les fleurs, le Feu, la poudre, les Arts de le Rue, la musique vivante … sont autant de vecteurs et médias d’échange et de convivialité pour partager et sensibiliser tous les publics à la culture et à la langue Catalane
Quatre jours de Fête colorée et vivante pour rencontrer l’âme du Pays Catalan

Jeudi 23 JUIN

De 19 h à 22 h Avenue de la libération


Repas Catalan de Saint Jean avec animation musicale en catalan et français 

>> 19 h 30 - Défilé de la chorale des classes bilingues en musique avec un groupe de spectacle de rue en déambulation « à déterminer » et la Cobla Tres Vents - rues du village (place république / Rue république / Avenue de la libération / Place Gambetta) 

>> 21 h 30 - Quai d’honneur – Port Argelès
« Arribada de la flama del Canigó » en Barque catalane à Port Argelès et accueil de la Flamme sur les Quais
Avec Granyotarem et les relayeurs des associations de la ville
Départ du Relai de la Flamme

Place Gambetta -GRAN VETLLADA CATALANA

>> 20 h - Concert de la Chorale Polysongs des classes bilingues de l’école de musique 

>> 20 h 40 - Sardanes populaires avec le Foment de la Sardane Evolution et Ball de Gegants avec la colla Gegantera d’Argelès-sur-Mer.

>> 21 h 30 - Lecture du Texte « Flama del Canigó » 
Arrivée du Relai de la Flamme et des Fagots de la Sant Joan 
Grand défilé avec les associations Granyotarem, Colla Gegantera, les Cantaïres, les associations du relai de la flamme, et d’autres…
GRAN FOC DE LA SANT JOAN

>> 22 h 15 - Distribution de muscat et de rousquilles 

>> 22 h 45 - Intervention de spectacle de rue (prog en cours)

>> 23h - Spectacle pyrotechnique avec « Mille et une étoiles » 

>> 23 h 15 - « Gran Ball Catala » amb la Cobla Tres Vents

>> Voir le programme du 17 juin
>> Voir le programme du 24 juin
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À partir de ses souvenirs d’enfant dans la ferme familiale dans le nord du Périgord, Patrick Lavaud nous convie à une découverte sensible de la langue et de la culture occitanes d’hier et d’aujourd’hui.

Au fil de ses rencontres avec des personnages touchants et chaleureux, il nous transmet son amour de la langue occitane et nous guide sur les chemins de la tradition orale et de la culture populaire, de la toponymie et de la signalisation bilingue, du conte et de la création littéraire, de l’enseignement et de l’avenir de la langue.

L’expérience personnelle devient mémoire collective et la langue occitane révèle sa part d’universalité.

52 min.
Occitan sous-titré. (Sous-titrages français et anglais disponibles)


 http://vraivrai-films.fr/catalogue/lenga-damor

 

Note d’intention de l’auteur

La langue d’oc est intimement liée à mon enfance.

J’allais alors souvent dans la ferme de mes grands-parents paternels, à Piégut-Pluviers, dans le nord de la Dordogne, et je les entendais toujours parler en occitan. Ils le parlaient entre eux, avec mon père, leurs voisins,leurs amis, leurs bêtes. À moi, ils me parlaient en français, selon une logique bien connue dans l’ensemble des pays d’oc. Enfant, je n’ai jamais compris que personne à l’école ne me parlât de la langue de mes grands- parents qu’ils utilisaient tous les jours et qui leur permettait d’exprimer tous les sentiments de l’âme humaine. J’aime penser aujourd’hui que l’occitan fut la langue dans laquelle ils se sont aimés, leur langue d’amour.

Depuis plus de 30 ans, je n’ai pas arrêté d’agir en faveur de la langue et de la culture d’oc. J’ai construit un engagement polymorphe visant à me réapproprier « ma » langue, à recueillir la mémoire populaire de tradition orale et à faire connaître la culture occitane. Les récents accidents cardio-vasculaires de mon père, qui l’ont privé de la parole, m’ont fait subitement prendre conscience de la disparition de la mémoire familiale de la langue de mes grands-parents. Ce film est né d’un désir : celui de rendre hommage à la langue d’oc. Celle des derniers témoins de la vieille civilisation paysanne limousine dont j’ai connu les derniers rameaux dans les années 1960. Mais aussi celle des locuteurs d’aujourd’hui qui l’utilisent encore au quotidien, l’écrivent, la chantent, la content ou l’enseignent.

Il s’inscrit aussi dans une démarche de reconnaissance de la pluralité linguistique de la France que sont venus conforter la modification de la Constitution française de juillet 2008 (« Les langues régionales appartiennent au patrimoine de la France ») et les engagements du Président de la République de ratifier la Charte européenne des langues régionales et minoritaires.

Le film sera totalement parlé en occitan, sous-titré en français. Je veux faire entendre cette langue et le choix de mener les entretiens en occitan nous permettra de pénétrer dans l’intimité d’une société. Je souhaite entraîner le spectateur dans des rencontres chargées d’humanité et partager avec lui des souvenirs personnels liés à l’enfance et des questionnements contemporains relatifs à la dignité de la langue et des personnes qui la parlent. Je le guiderai dans sa découverte des usages quotidiens de la langue, de la tradition orale et de la culture populaire, de la création littéraire d’aujourd’hui ou encore des politiques publiques en faveur de l’enseignement.

À l’opposé de tout passéisme, ce film fait découvrir une culture vivante, longtemps méprisée et marginalisée.
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Aqueste còp Clamenç, umorist occitan, a portat al fenestron los eveniments magèrs de l'annada 2016. Me dirètz amb tot çò que s'es passat los subjèctes li mancan pas ! A degut far la tria. Trobarètz dins Tè... Ve !, passat a la molineta umoristica, satirica de l'umorist : lo Brexit, Trump, atemptats de Niça, racisme, Primàrias, nom de nòstra novèla region... Li a calgut dos jornals televisats, una matinala e una miègjornala per ne far lo torn. E, ben segur, aurètz la meteò (trufandièra, de pubs e dins los dos jornals al fenestron : de reportatges, de dorsièrs e los convidats suspresa... dins una lenga occitana dont mai aisada de comprene qu'aqueles eveniments los coneissètz totes !
Tè... Ve ! un espectacle en doas partidas de 45 mn caduna. A pas descobrir de son canapè mas dins una sala d'espectacle, se convidatz Clamenç... de segur !
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Clamenç (André Clément) est un humoriste de langue occitane, ancien conseiller pédagogique à l'occitan de Lozère. Une fois à la retraite, il fut en mesure de bâtir (écriture et mise en scène) des spectacles d'humour, à un rythme régulier d'un par an : Agachs en 2010, Fintadas en 2011, Relucadas en 2012, Vist! en 2013, Còps d'Uèlh en 2014...

Avec un regard aiguisé, avec une langue occitane aisée à comprendre, Clamenç observe la société qui nous entoure avec ses logiques, ses contradictions... Le maître à penser de Clamenç est Pierre Desproges. Il se nourrit également de Raymond Devos et Guy Bedos.

En 2017 il revient avec un spectacle consacré au monde de la télévision et à l'actualité vue par le prisme cathodique, Tè...vé !

En 2018, ce sera au tour de Òc-limpià. Tandis qu'en 2019, il proposera ses nouveaux sketchs autour du spectacle Zo... Mai !

Son site internet : www.clamenc.fr
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Dennis et Ray Noble sont deux frères, universitaires passionnés par la musique de la langue occitane. Grands amateurs de sa chanson, du Moyen-Âge à nos jours, ils ont entrepris de former un groupe aux influences mêlées, reprenant des chansons traditionnelles, populaires, médiévales, ou de composition récente (Nadau, Periaguda...).
Les frères Noble et leurs amis des "troubadours d'Oxford" réalisent quelques concerts par an, afin de, principalement, faire découvrir la chanson d'expression occitane à des anglophones, des universitaires. Ils se voient en cela comme des "entertainers", des "artistes animateurs" qui ramènent une musique à la vie pour leur auditoire.
sus 1490