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Livre (65)
Tipe : Libre / Data : 1890
Consulter sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k229402b/f40.item
Vinols de Montfleury nous explique dans sa préface de l'ouvrage que « dans cette partie du Velay circonscrite par les montagnes, on parle le pur Vellavien ; dans cette contrée tout est méridional, le caractère, le parler et les allures de la population ».

Son dictionnaire est publié pour la première fois dans les Annales de la Société d'agriculture, sciences, arts et commerce du Puy, (tome 34, 1878-1889). Il comporte deux parties : une première consacrée aux observations grammaticales et conjugaisons, une seconde consacrée au vocabulaire patois Vellavien-Français, puis du vocabulaire Français-patois Vellavien, complétée par un supplément et des poésies patoises.
Mise en ligne : 05/01/2017
Mise en ligne : 05/01/2017
Tipe : Libre / Data : 1835

Consulter le document sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62119167

Coumbettos dit Couquel était en 1835 un ouvrier ébéniste de Castelnaudary, sans instruction, mais doué d’une remarquable facilité pour composer et improviser de petites pièces patoises qu’il chantait lui-même et qui eurent bientôt une vogue extraordinaire.
La plupart de ses pièces, nous dit Louis de Santi, « ont été composées au cabaret à l’occasion de menus incidents dont les héros étaient ordinairement des ouvriers du faubourg qu’il habitait ou des camarades ». Santi précise à son sujet : « Beau garçon, âgé de 30 ou 35 ans, doué d’une superbe voix de baryton,  il était la coqueluche des ouvriers de cette petite ville. Malheureusement il buvait beaucoup et il a laissé la réputation aussi bien d’un incorrigible ivrogne que d’un joyeux compagnon ».

La plus célèbre de ces pièces, consacrée à Castelnaudary, a été la Coumplainto dél Capou dé la gato. La gato était une vieille femme très avare qui possédait un vieux coq qui disparut un beau soir de son poulailler. Elle accusa quelques jeunes gens, dont Couquel faisait partie, de l’avoir volé et de s’en être régalé - c’était le pendant du chat de la mère Michel - Couquel ne manqua pas l’occasion d’en faire une chanson qui fut le Capou de la gato, que tout le monde chanta bientôt à Castelnaudary. Le traiteur Lamocho dont il est question dans cette pièce tenait un cabaret sur le port fréquenté ordinairement par Coumbettos. Tous les personnages nommés dans la pièce Las mouninos étaient les amis de cabaret de Couquel ; ils ne sont, comme c’était alors l’habitude, désignés le plus souvent que par leurs surnoms et mentionnés dans les poèmes que sous leurs initiales. Ainsi én Corno (én C) était un plâtrier appelé Embrit, Ruqua (R) un jardinier, Cabos un forgeron, Gomart ou Gomard un ancien soldat ivrogne fieffé, Baptiste Dutar (D) un marchand de Castelnaudary. (Informations relevées par une note manuscrite dans l'exemplaire du CIRDOC).
Mise en ligne : 01/12/2016
Tipe : Libre / Data : 1816
En 1816, François-Just-Marie Raynouard publie le premier volume de son Choix des poésies originales des troubadours. Les preuves historiques de l'ancienneté de la langue romane. Recherches sur l'origine et la formation de cette langue et éléments de sa grammaire avant l'an 1000. 
Mise en ligne : 03/09/2015
Tipe : Libre / Data : 1888
Édition du texte de la Nòbla leiçon, recueil de poèmes occitans de l'Église vaudoise, d’après le manuscrit de Cambridge, accompagné de ses variantes et suivi d'une traduction française et de traductions en vaudois moderne, publié par Édouard Montet en 1888.
Mise en ligne : 03/09/2015
Tipe : Libre / Data : 1889
Étude consacrée aux traductions de la Bible en provençal et en dialecte des vallées vaudoises, publiée par Samuel Berger avec un appendice par Paul Meyer publié dans la revue Romania (t. XVIII) en 1889.
Mise en ligne : 03/09/2015
Tipe : Libre / Data : 1882
Registre manuscrit écrit en 1668 sous le nom de « Le livre de l’épervier » contenant un recueil de chartes communales et tarif de l’élection du Haut-Rouergue ou Millau en 1666. Ces chartes sont transcrites en occitan par un bourgeois de la ville de Millau du nom de Caylus, à partir d’un registre datant du milieu du XIVe siècle (1349) contenant les chartes originales. L’épervier qui a donné son nom au livre est reproduit en tête de l’ouvrage, sous les blasons de la couronne de France et de la ville de Millau. Il fait allusion à la franchise de droits de péage accordée par la ville pour les éperviers. Le registre cartonné in-4°, relié en basane fauve pour moitié et restauré avec un parchemin au dos, est conservé aux archives municipales de Millau cote AA11 (inventaire Affre, 1852). L’original contenant les chartes est conservé à la BnF. C’est Léopold Constans qui édite le texte en 1882 avec une introduction, un glossaire et une table des noms propres dans les publications de la Société d’étude des langues romanes (Montpellier).


Consultable au CIRDÒC-Mediatèca occitana, CAC 2423
Mise en ligne : 03/08/2015
Tipe : Libre / Data : 1859
Premiers textes de Pèire Goudelin connus par la réimpression conforme à l’édition de 1610, publiée par Auguste Abadie au XIXe siècle.

Consultable au CIRDÒC-Mediatèca occitana : CR XIX-15
Mise en ligne : 03/08/2015
Mise en ligne : 04/08/2015
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