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Auteur : Palay, Simin (1874-1965)
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Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Rose SALLE a vécu la plus grande partie de sa vie à Carcès (département du Var) où elle était assistance maternelle. Chanteuse et conteuse de tradition orale, elle a fait l'objet d'un important collectage ethnographique et linguistique entre 1984 et 1995 par Jean-Luc Domenge, enseignant, fondateur du musée des Arts et Traditions populaires de Castellane auteurs de nombreux articles et recueils sur la langue et les cultures populaires provençales. 

Au cours de 63 entretiens menés sur une décennie, représentant au total 126 heures d'enregistrements sonores déposés aux Archives départementale du Gard et ayant servi à plusieurs importants recueils composant la collection « Contes et chansons populaires de Provence » (éd. Cantar lou païs), Rose Salle constitue un important corpus linguistique et culturel.

Les principaux thèmes abordés par l'enquête concernent les âges de la vie, les cultures matérielles et immatérielles, les croyances, les expressions, etc. et surtout un important répertoire de chansons et contes qui ne semblent contenir aucune influence des mouvements renaissantistes du XIXe et XXe siècle (félibrige, occitanisme), ce qui en fait un important témoignage de la langue « naturelle » et des cultures provençales en dehors de tout projet de prestige littéraire, de reconstitution culturelle ou de revendications linguistiques et politiques.

Modalités d’entrée :

dépôt par Jean-Luc Domenge

Accroissement :

 

Description du fonds

« Le fonds présenté est une partie du corpus ethnologique et linguistique de Rose Salle interviewée par Jean-Luc Domenge (34 heures et 5 minutes sur un total de 126 heures) , choisis en collaboration avec le déposant.

Conformément au contrat de dépôt, ne sont pas inclus, dans cet inventaire à ce jour, des interviews que M. Domenge se réserve d'éditer. Au fur et à mesure des autorisations de celui-ci, ces contenus viendront compléter l'inventaire en ligne.

Rose Salle raconte, dans ce fonds majoritairement en provençal, la vie quotidienne de 1914 à 1950 dans un village du Centre Var (Carcès). Les thèmes principalement abordés sont les âges de la vie, les costumes, les croyances, la sorcellerie, la cuisine, les expressions, la médecine populaire, les métiers, les plantes dont celles médicinales et la vie domestique.

Plusieurs classes "patrimoine" d'école élémentaire ont rencontré Rose. Les échanges en français ont été aussi enregistrés. » (source : Inventaires en ligne des Archives départementales du Gard : http://www.archives.var.fr/)

Dates extrêmes :

1984-1995

Langues représentées dans le fonds :

Occitan

Français

Importance matérielle :

26h d'enregistrements sonores. Les témoignages sonores sont accompagnés de 58 transcriptions en provençal, de 2 captations vidéo et d'un ensemble de documentation personnelle écrite et iconographique de Rose Salle.

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Enregistrements sonores

Documents audiovisuels

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

36 AV

Instruments de recherche disponibles :

Inventaire en ligne 

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Archives privées - communicables selon les conditions du contrat de dépôt 

Conditions de reproduction :

Soumis à l'accord du donateur.

Mise en ligne : 13/05/2014
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Les premières formes d'organisation communale apparaissent de façon précoce dans le département de l'Hérault au cours du XIIe siècle dans les villes (Montpellier, Béziers). 
Aux XIIIe-XIVe siècles, l'institution du consulat se diffuse progressivement dans les communautés rurales à la faveur de la réorganisation des pouvoirs à la suite des évènements dits de la Croisade contre les Albigeois (1208-1249).
Les habitants obtiennent du roi et des seigneurs locaux des libertés pour s'administrer. Ils peuvent élire un nombre déterminé de consuls qui sont renouvelés chaque année. Ils sont responsables notamment de la répartition et de la collecte des impôts royaux sur le territoire de la communauté. Cette institution perdure jusqu'à la Révolution. Les communes, créées en décembre 1789, recueillent des archives des communautés.
En 1792, les communes héritent de la gestion de l'état civil (jusqu'alors tenu par les prêtres) et des archives des paroisses. Les communes de moins de 2000 habitants ont l'obligation de déposer aux Archives départementales dont elles dépendent leurs archives de plus de cent ans.

Modalités d’entrée : dépôt par les archives communales

Accroissement : fonds ouvert

 

Description du fonds

Les archives des communes héraultaises sont très riches du fait de l'ancienneté des institutions communautaires. Dans beaucoup d'endroits, les archives conservées remontent au XVe siècle. 
L'occitan est communément employé comme langue administrative jusqu'au milieu du XVIe siècle. 
On rencontre deux types principaux de documents rédigés en occitan : les délibérations consulaires et les compoix. 
Les fonds des communes d'Aniane (10 EDT), de Gignac (114 EDT), de Lodève (142 EDT), de Montagnac (162 EDT) et de Puilacher (222 EDT) renferment le plus grand nombre de pièces et forment un corpus cohérent de sources sur la langue d'oc de la fin du Moyen-Âge dans le centre de l'Hérault.

Dates extrêmes :

1154-2005

Langues représentées dans le fonds :

Occitan

Français

Latin

Importance matérielle :

820 mètres linéaires

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

EDT

Instruments de recherche disponibles :

Inventaire en ligne 

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

 

Conditions de reproduction :

 

Mise en ligne : 02/06/2014
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Xavier Azéma (1926-...), docteur en théologie, évêque auxiliaire de Montpellier, est l'auteur d'une thèse sur le jansénisme dans le diocèse d'Agde au XVIIIe siècle et de plusieurs ouvrages d'histoire religieuse. Il est le fils de Pierre Azéma, figure du félibrige montpelliérain.

Modalités d'entrée :

Dons par Xavier Azéma en 1983 (entrée n° 1782, février 1983), en 1987 (entrée n° 2135, février 1987) et en 1992 (entrée n° 2662, 24 avril 1992)

Accroissement :

fonds clos

Fonds complémentaire :

CIRDÒC, Béziers, fonds Pierre Azéma

Description du fonds

Le fonds regroupe les archives de la famille Azéma de Montpellier, et particulièrement les papiers de Pierre Azéma, correspondance personnelle et articles de journaux (20 J 2-12).

Dates extrêmes :

1521-1942

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (languedocien)

Français

Importance matérielle :

14 notices, 0,70 ml

Supports représentés :

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

20 J (sous-série)

Instruments de recherche disponibles :

Inventaire en ligne des fonds conservés par les archives départementales de l'Hérault

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultation libre

Conditions de reproduction :

Reproduction libre

Mise en ligne : 02/06/2014
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

André Paul Cabrol est né le 11 janvier 1910 à Causses-et-Veyran. Après des études au séminaire, il est ordonné prêtre en 1933. Erudit spécialisé en histoire locale, en occitan et en toponymie, il effectue de nombreuses recherches sur l'origine des noms de lieu.
Reconnu pour ses connaissances, il seconde des étudiants et universitaires dans leurs recherches historiques, ethnographiques et toponymiques sur le département.
Dans les années 1950, il fait ainsi la connaissance de Frank R. Hamlin (décédé le 23 février 2000), universitaire britannique, qui s'intéresse aux toponymie de l'Hérault dans le cadre de sa thèse de doctorat. De 1971 à 1973, il conseille aussi Geoffrey Mills, universitaire canadien et élève de Frank R. Hamlin, dans ses travaux de doctorat en philosophie (Université de Colombie britannique, à Vancouver) portant sur La terminologie pastorale en Languedoc (thèse soutenue en 1974).
A la fin des années 1970, Frank R. Hamlin prépare la publication de ses travaux et associe l'abbé Cabrol à la relecture et à la critique de ses recherches. Durant cinq ans, de 1977 à 1982, l'abbé Cabrol et Franck R. Hamlin, échangent courriers scientifiques, fiches de dépouillement et recherches locales, aboutissant en 1983 à la publication, sous le nom des deux chercheurs, de l'ouvrage de référence "Les noms de lieux du département de l'Hérault : nouveau dictionnaire topographique et étymologique".

Modalités d'entrée :

Dépôt de l'abbé André Cabrol (entrée n° 2146, 26 mai 1987).

Accroissement :

Fonds clos

Fonds complémentaire :

 

Description du fonds

Le fonds de l'abbé André Cabrol se compose de quatre ensembles de documents :

- Les recherches toponymiques sur le département de l'Hérault pour l'ouvrage de Frank R. Hamlin Les noms de lieux du département de l'Hérault : nouveau dictionnaire topographique et étymologique où sont conservés notamment les fichiers alphabétiques de toponymes héraultais de l'abbé Cabrol (26 J 1-4).

- Les recherches et publications personnelles de l'abbé Cabrol où l'on trouve des sermons prononcés en occitan (26 J 8).

- Les recherches pour la thèse de doctorat en philosophie de Geoffrey Mills sur La terminologie pastorale en Languedocien : étude dialectologique et sémantique qui consistent en un nombre important d'enquêtes orales (26 J 10).

- Un ensemble d'ouvrages, revues et tirés-à-part que l'abbé Cabrol a réuni sur des thématiques telles que la toponymie (26 J 11), l'histoire locale (26 J 12-13), le culte des saints et l'histoire religieuse (26 J 14).

Dates extrêmes :

1891-1987

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (languedocien)

Occitan (provençal)

Français

Importance matérielle :

15 notices, 0,90 m.l.

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Monographies imprimées

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

26 J (sous-série)

Instruments de recherche disponibles :

Consulter l'inventaire en ligne du fonds sur le site des archives départementales de l'Hérault

Ressources en ligne

 

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Communication libre.

Conditions de reproduction :

Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture.

Mise en ligne : 02/06/2014
Tipe : Centre de ressorsa
Les fonds occitans des Archives départementales de l'Hérault :
Mise en ligne : 03/06/2014
Tipe : Centre de ressorsa
Si dès sa création en 1864 l'opéra Mireille de Gounod n'eût pas le succès escompté, il fit pourtant, dès l'invention des premiers supports d'enregistrement (1877 pour les cylindres phonograpiques et 1887 pour le disque), l'objet de plusieurs enregistrements et édition de disques.

Illustrant le glissement du grand opéra lyrique voulu par Gounod à l'opéra-comique tel qu'il fut considéré par la presse à sa création, les divers enregistrements phonographiques ne laissent à entendre que les grands airs, occasions pour leurs différents interprètes de faire démonstration de leur virtuosité.
Voici une sélection d'enregistrements "primitifs" de grands airs de cet opéra, classés en suivant le déroulement de l'action.
Mise en ligne : 20/03/2014
Tipe : Centre de ressorsa / Data : 2014-03-20
1 / Les origines de l'Académie de Marseille

L' Académie de Marseille fut fondée par lettres patentes en août 1726. Fille adoptive de l'Académie française, elle eut le maréchal de Villars, Gouverneur de Provence, comme premier Protecteur. Composée de vingt membres, elle en accueillit trente lors de sa transformation en Académie des Belles Lettres, Sciences et Arts en 1766. Espace de culture littéraire et de rayonnement scientifique, la Compagnie obtint de Louis XVI, la direction de l'observatoire de la Marine.

Supprimée à la Révolution (le 21 août 1793), elle reprend vie dès 1799, tout d'abord Lycée des Sciences et des Arts, puis en 1802 : Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts. Depuis cette date, quarante membres sont répartis en trois classes (Sciences 18, Lettres 12, Beaux-Arts 10). Elle élit aussi dix académiciens libres (non résidants), vingt associés (membres de l'Institut de France), quarante correspondants et des membres à titre étranger.

Pluridisciplinaire, l'Académie participe depuis treize ans à la Conférence nationale des Académies, association qui rassemble, sous l'égide de l'Institut de France, vingt-huit académies de province, la plupart antérieures à la Révolution. Elle est membre de la jeune Académie de la Méditerranée qui a tenu à Marseille en juillet 2000 sa séance de rentrée solennelle. Au cours de l'année de grandes conférences publiques sont organisées.

La Compagnie n'a jamais cessé de publier : Recueils, Mémoires et Documents, plus récemment Dictionnaire des Marseillais et du Parler marseillais et de distribuer des prix annuels.
Ainsi, l'Académie s'efforce-t-elle, depuis 1726, de transmettre un message de culture scientifique, littéraire et artistique. Elle reste profondément attachée à sa mission : défendre la langue française et promouvoir le rayonnement de l'image de Marseille et de la Provence.

À ce titre, l'Académie de Marseille conserve une précieuse bibliothèque, riche de nombreux ouvrages anciens, pour partie datant du XVIIIe siècle, ainsi que des archives.



2/ La Bibliothèque de l'Académie de Marseille

Débutée dès 1726, cette bibliothèque recèle de nombreux livres rares et précieux, des brochures inédites et des ouvrages retraçant l'histoire de la pensée et des sciences. Parmi les ouvrages conservés dans la bibliothèque de l'Académie de Marseille, figurent les Mémoires, revues et brochures éditées par cette société savante depuis sa fondation. Notons par ailleurs l'existence d'un important fonds ancien, constitué de près de 10'000 documents, datant pour certains du XVIIIe siècle.

Les Sciences, arts et belles-lettres, sujets d'intervention et de réflexion de l'Académie, côtoient dans la bibliothèque, les ouvrages relatifs à l'histoire de la Provence. Récits de voyages, poésies, livres de médecine, atlas...

Les collections occitanes de l'Académie de Marseille :

Mémoire de Marseille et de la Provence, ayant compté dans ses rangs des membres prestigieux dont le poète occitan Frédéric Mistral (1830-1914), la Bibliothèque conserve également de précieuses archives, pour partie relative à l'histoire et à la langue occitanes.


3/ Patrimoine occitan numérisé

Fonds de correspondance entre Frédéric Mistral et Ludovic Legré conservé par l'Académie des Sciences Lettres et Arts de Marseille, sur Occitanica.

Les Mémoires publiés par l'Académie sont quant à eux présents sur Gallica.



4/ Instruments de recherche

La bibliothèque et les archives de l'Académie de Marseille ont fait l'objet de l'établissement de près de 4500 notices, enregistrées dans la base de données e-corpus à découvrir ICI.
Mise en ligne : 20/03/2014
Tipe : Centre de ressorsa / Data : 2014-03-20
1/ Les origines de la Bibliothèque de Marseille


La BMVR, Bibliothèque de Marseille à Vocation Régionale, a pour but de favoriser l’accès du public le plus large à l’écrit, à l’image, au son et aux technologies de l’information et de la communication.

Historiquement, la bibliothèque de Marseille est l'une de ces bibliothèques publiques nées des confiscations révolutionnaires. À sa fondation en 1799, elle s'installe dans l'ancien couvent des Bernardines. Outres les ouvrages confisqués, ses premières collections sont complétées à partir de 1792 par les bibliothèques des émigrés et la bibliothèque de l'Académie de Marseille.

Les collections n'ont dès lors de cesse de s'enrichir, connaissant au XIXe siècle un accroissement spectaculaire. C'est à cette même époque que débute une vaste opération d'inventaire des fonds et qu'est parallèlement créé le fonds Provence, aujourd’hui noyau du département de la Documentation régionale. Outre les fonds patrimoniaux conservés par les Fonds rares et précieux, la Documentation Régionale conserve conformément à la loi tous les documents de contenu régional, quelque soit leur domaine thématique, reçus au titre du dépôt légal imprimeur, ainsi que les document acquis, qu'ils soient d'étude ou grand public, afin de constituer une véritable mémoire locale.
La BMVR se compose aujourd'hui de 8 bibliothèques municipales, d'un service pour les collectivités, et de 9 bibliothèques associées. Au sein de ce réseau, l'Alcazar est un des Pôles associés de la BNF, et dépositaire du dépôt légal imprimeur en région PACA. Ce dernier est une précieuse source de constitution de nos collections. Elle participe à un réseau de conservation partagée, axé sur les périodiques (régionaux et non régionaux) et les fonds jeunesse, coordonné par l'Agence Régionale du Livre).


2/ Les collections occitanes des Bibliothèques de Marseille

Si la plupart des bibliothèques marseillaises proposent à leurs lecteurs des ouvrages et périodiques courant relatifs à la langues et à la culture occitanes, c'est auprès de l'Alcazar que sont déposés les principaux fonds patrimoniaux.

La Bibliothèque de l'Alcazar dispose de fonds en langue d'oc et sur les langues régionales, d'un point de vue linguistique et littéraire. Ils concernent essentiellement le département Patrimoine et dans une moindre mesure, les départements Jeunesse et Musique.

Le département Patrimoine de l'Alcazar regroupe deux services :

Le Fonds ancien

Il s'agit de documents datant d'avant le 20e siècle, fonds contemporains tels que les Fonds littéraires méditerranées, divers fonds iconographiques, etc. Ces fonds sont conservés en réserve, consultables sur place, sur microformes et supports numérises.
Parmi ces fonds, il existe des monographies et des périodiques en langue provençale et occitane. Les périodiques ont été catalogués informatiquement, contrairement aux monographies qui seront progressivement traitées.


Le Fonds Provence

Il offre deux types de fonds, à partir du 20e siècle :
- un fonds conservé en magasin, consultable sur place, par tout type de public (grand public et chercheurs).
- un fonds en libre-accès, composé d'usuels à consulter sur place, et de documents empruntables.

La plus grande partie des documents conservés en magasin recouvre les domaines suivants : histoire locale, histoire des communautés et de l'immigration, géographie et guides ; langues, littérature et arts ; folklore, cultures locales, communautaires et interculturelles ; sociologie et politique. Les secteurs scientifiques et économiques sont peu représentés, à l'image de l'offre de l'édition régionale, peu représentative dans ces domaines.

Figure dans ce fonds, des ouvrages rares, dont le premier livre imprimé à Marseille en 1595, Obros et rimos prouvenssalos, écrit en provençal par Bellaud de la Bellaudière. ( à découvrir en ligne sur Occitanica : aquí, l'édition de 1884 par Burnand, de Mireille de Mistra.

Les départements Jeunesse et Musique

1. Le département Jeunesse présente quelques dizaines de documents en langue provençale, occitane et corse (dictionnaires, albums, contes).
2. Le département musique propose des musiques traditionnelles au sein des regroupements suivants : Corse, Languedoc, Provence. Par contre, des groupes utilisant le provençal, tels que Massilia Sound System, ne sont pas classés en musique traditionnelle, et donc non repérables par les nons initiés. La mention de langue n'apparaît pas à ce jour dans les notices informatiques.


3/ Patrimoine occitan numérisé

La revue l'Aiòli, fondée en janvier 1891 par Frédéric Mistral, a fait l'objet d'une importante campagne de numérisation.

4/ Instruments de recherche

Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France, tome XV, par Albanès (1-1656). Supplément, tome XLII par H. Barré (1657-1671).


Catalogue en ligne des Bibliothèques de Marseille.
CCFr Manuscrits

CCFr Manuscrits PALME : Répertoire national des manuscrits littéraires français du XXe siècle

Enluminures

Sudoc PS

CDrap : Répertoire d'articles de périodiques dépouillés par des bibliothèques
Mise en ligne : 20/03/2014
Tipe : Centre de ressorsa / Data : 2014-03-20
1/ Les origines du Musée Frédéric-Mistral


Installé au 11 avenue de Lamartine à Maillane, dernière demeure du grand poète Provençal, le Musée Frédéric-Mistral offre au visiteur une vision de la vie et de l'oeuvre de l'auteur de Mirèio.

Frédéric Mistral s'intalle en 1876 dans cette demeure bourgeoise du XIXe siècle, construite par ses soins face à la Maison du Lézard, propriété dans laquelle il vécut avec sa mère de 1855 à 1876.
Là, aux côtés de sa jeune épouse, Marie Louise Aimée Rivière, Frédéric Mistral reçoit proches et personnalités de son temps, et compose la seconde partie de son œuvre.

Le poète lègue la demeure et ses collections mobilières par son testament du 7 septembre 1707. La commune de Maillane entre en possession de ses biens, ainsi que de ceux de Mme Mistral, au décès de celle-ci le 6 février 1943.

La demeure, meublée et décorée par Frédéric Mistral, lieu de conservation de sa correspondances et des quelques 1200 ouvrages et souvenirs accumulés par le prix Nobel de littérature de 1904, devient alors Museon Frederi Mistral, le musée Frédéric Mistral.

Pour en savoir plus sur l'histoire de la Maison de Maillane : ICI.

2/ Les collections du Musée Frédéric-Mistral

Outre l'importante correpondance du Poète (60000 pièces) qui retrace les relations et échanges de Mistral avec les grands noms littéraires, artistiques et politiques de son temps, le Museon offre au visiteur une immersion dans le décor qui abrita la rédaction de la seconde partie de son œuvre.
Portraits, sculptures, photographies constituent les riches collections de cette demeure classée aux Monuments Historiques depuis l'arrêté du 31 juillet 1930.

Les collections sont réparties en différents ensembles :

- Fonds manuscrits non administratifs postérieurs à 1790 : fonds dans lequel figure l'abondante correspondance de Mistral ainsi que des manuscrits autographes originaux, de la documentation personnelle...

- Fonds imprimés XIXe-XXIe siècles : il s'agit là de la bibliothèque personnelle des époux Mistral.

- Fonds de périodiques anciens

- Fonds iconographique

- Fonds musicaux

- Gravures, estampes et dessins

- Objets et œuvres d'art



3/ Instruments de recherche

Guide des ressources documentaires en Provence-Alpes-Côte d'Azur. ICI.
Mise en ligne : 20/03/2014
Tipe : Centre de ressorsa
Un ensemble de documents graphiques nous permettent de voir plus précisément ce que donnait l'opéra Mireille sur scène. Créé sur la scène du Théâtre Lyrique en 1864 par Charles Gounod sur un livret de Michel Carré il est adapté de l'oeuvre Mirèio de Frédéric Mistral.
Mise en ligne : 20/03/2014
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