Pastorale provençale rédigée en 1893 par des membres des Œuvres de Saint-Joseph, rue Puget à Marseille.
Lettre écrite par Frédéric Mistral à Ludovic Legré le 2 avril 1859 depuis Paris, conservée par l'Académie des Sciences Lettres et Arts de Marseille. Il est question de son poème Mirèio.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.
Cette chanson considérée comme l'hymne de la Provence a été écrite par Frédéric Mistral sur l'air d'un noël traditionnel de Nicolas Saboly.
Cette chanson illustrant l'amitié entre catalans et provençaux a été créée en 1867 lorsque écrivains et hommes politiques offrirent aux félibres provençaux une coupe en argent en remerciement de l’accueil réservé au poète catalan Víctor Balaguer, exilé politique en Provence en raison de son opposition au gouvernement d'Isabelle II d'Espagne.
Cada annada, per l'organizacion del carnaval de Niça, un grand concors èra lançat per la creacion d'una cançon que devendriá la cançon oficiala del carnaval e cantada pendent tot lo desfilat. Las particions e las cançons seleccionadas èran aital editadas puèi vendudas las setmanas que precedissián e que seguissián lo carnaval.
De totas las proposicions, foguèt aquesta, en dialècte Niçard, que remportèt lo concors en 1911.