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La fille du fermier est un groupe composé de deux jeunes musiciens issus des musiques traditionnelles françaises, et d'ailleurs. Leur spécialité est le Massif Central. Benjamin joue du violon et chante ; Antoine est à la guitare et à la mandoline. Leur répertoire se compose de danses et convient particulièrement au bal, mais s'écoute également en concert. Bourrées, mazurkas, scottishs, polkas, valses, rondeaux, ou jigs sont au programme. Certaines sont traditionnelles, et d'autres, de la composition du groupe. Les deux musiciens n'hésitent pas à rendre cette musique vivante, dynamique, et surprenante. Chaque spectacle est différent. Chaque soirée, chaque public l'est également. Le groupe a un répertoire bien en poche, mais se met avant tout au service des danseurs, de son énergie, et de son style. Une bourrée trois temps pourrait bien finir en rock'n roll, et une mazurka sautillante, en vraie berceuse... ou l'inverse !
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Le Duo Montanaro propose une exploration poétique autour de la flûte et du violon et se présente comme une suite de pièces instrumentales écrites et improvisée : Ki. Ki en Hongrois désigne l’extérieur. Mais c’est aussi : Qui. Qui sommes nous ? La flûte et le violon se font écho à travers un dialogue épuré, nous entraînant dans une exploration de nous même et du monde qui nous entoure. Des compositions aux sonorités blues et traditionnelles, agrémentées de la singularité du jeu de Miquèu Montanaro et Baltazar Montanaro-Nagy nous font basculer de notre monde à un univers inconnu.
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Les Noëls sont à la musique provençale ce que les standards sont au jazz. Ces mélodies sont familières à chacun et se prêtent volontiers à la rlecture, à la variation spontanée et au détournement… C’est donc tout naturellement que Miquèu Montanaro propose une adaptation originale de ce répertoire en s’associant pour la musique à Serge Pesce, et pour le chant à la femme-troubadour Guylaine Renaud.
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"Dire que sa démarche est assez incomprise est un euphémisme. Il n’en a cure, fait le gros dos, se fait la main avec des musiques de théâtre ou de films. Paradoxalement, la conviction qu’il n’est pas totalement dans l’erreur il la trouve en Hongrie… Lorsqu’en mars 1990, il lance à Budapest l’ensemble Vents d’Est, plus de quinze ans de potlatch musical servent de soubassement à son utopie sonore. Avec Vents d’Est, il s’agit pour lui de fonder une sorte d’agora musicale à cheval sur plusieurs frontières, susceptible de susciter une musique ouverte, atemporelle, « imaginogène ». Une agora qui au fil des années sera nourrie d’amitiés électives dans laquelle vont se croiser Hongrois, Provençaux, Sardes, Grecs, Italiens, Espagnols, etc. Un caravansérail dans lequel feront bon ménage, la cornemuse et le piano à queue, le cymbalum et la vielle, les styles anciens et contemporains se frottant les uns aux autres pour accoucher d’une « nouvelle musique populaire » assumant ses origines pluriculturelles, loin des fusions réductrices. Une démarche dont Miquèu Montanaro a fait sa méthode… Ce qui implique un système d’écriture à plusieurs langages, à l’architecture stable et complexe, d’approche facile, dans lequel une grande place est laissée à la personnalité de chaque invité. Cette aventure autant humaine que musicale, de nombreux enregistrements en rendront compte ? C’est que l’exubérance entrepreneuriale d’un Miquèu Montanaro doit s’apprécier comme un « work in process » dont les concerts et les enregistrements sont des traces, des référents, façon de marier sa passion du voyage, son goût de la rencontre, et le besoin de se rassurer par le faire."

Franck Tenaille

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Anne Rivaud et Alexandra Lacouchie forment un duo accordéon-violon de musiques traditionnelles du Limousin, de la Marche et d'Auvergne.
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Denis Frossard
Joan-Francés Tisnèr
Quand les vendanges s’achèvent, il reste à faire mûrir leur fruit : la « vrenhada », et la saison a été bonne. Les variations sur chants traditionnels occitans de Gascogne, de la musique ancienne à celle d’aujourd’hui, les racines de l’universel, font les liens que toute tradition vivante sait entretenir avec d’autres cultures.

Le cd Vrenhadas (prod. Menestrèrs Gascons) qui vient de paraître, propose une reprise des grandes chansons du répertoire (« Carnaval », « Los Junquets », « Hilhòta de delà l'aiga »...) en duo avec Joan- Francés Tisnèr (chant), ainsi que des pièces d'ensemble ou des solos de guitare sur la musique traditionnelle occitane, avec Christian Josué (flûte à trois trous), Marc Castané (accordéon, boha) et Valérie Chabanel (guitare). La formule de concert issue de ce travail, propose tous les titres du cd et bien d'autres, avec le chanteur et musicien Joan-Francés Tisnèr, dans le duo Dus de Canta.
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Corne d'aur'Oc interprète les chansons de Georges Brassens traduites en Occitan (plus précisément en dialecte languedocien oriental) par Philippe Carcassés, ainsi que certains titres en instrumental, avec des instruments traditionnels (hautbois du Bas-Languedoc, cornemuse "Bodega", flûte de pan "Frestèu" et accordéon diatonique).
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Biscam Pas avec leur nouvel album Le bal Queb’Oc vous propose un voyage de l'Occitanie au Québec... Une rencontre et un voyage en clin d’oeil au travers des styles musicaux, instruments et des danses de ces deux contrées. Les danses : Contredanse, danse ronde, set carré, valse, quadrille, polka, cercle et cotillon (livrets des chorégraphies pour les danses Québécoises et Acadiennes sur demande). Comment est né le Bal Queb’Oc ? De la rencontre de trois passionnés de musiques à danser, venus d’horizons musicaux différents. Ce CD est né de l’envie de partager cette passion avec les danseurs en dehors des bals et ateliers qu’ils animent...
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Biscam Pas était le surnom de Gustave Thérond, félibre de Sète, ville où s'est formé l'ensemble... Ce sobriquet occitan, signifiant "on ne râle pas" est passé dans le langage "francitan" de la ville, trait d'humour quand on connaît l'esprit "reborsièr" (frondeur) des natifs de cette île singulière...

Le groupe a plusieurs possibilités de prestations et concerts :

-Le balèti, avec les danses occitanes (bourrées, sauts béarnais, sautières, branles, rigaudon, rondeaux ...). Et des danses d'autres traditions : cercle circassiens, bourrées du Berry, fandango ...

-Le Bal Québ'Oc : Contredanses québécoises et acadiennes, sets carrés, p'tit cotillon et quadrilles, danses accessibles à tous, animées par le "caller" Patrick Plouchart et son épouse Marion (avec possibilité d’un atelier d’initiation l’après-midi du bal).

-"Lengadoc als quatre vents", présentation musicale de la région

-"Corne d'Aur'oc", Brassens ... en occitan !)

-"Nadal occitan", Noëls languedociens et provençaux.

-"Canta Graile", une formule de rue en collaboration avec le groupe Zinga-Zanga

-Une animation bal musette (goûters dansants, maisons de retraite...), ainsi que des ateliers de danse et des cours de musique traditionnelle.
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INVITATION AU VOYAGE

Remonter une rivière de la mer jusqu’à sa source, voilà une belle aventure, un beau voyage que Jean-Yves et Myriam vous proposent : vivre la naissance des musiques populaires en Amérique et revenir à leurs sources en Europe.

Arrivés au XVIème siècle, les Français débarquent sur ce nouveau continent avec leurs bagages, leurs coutumes, leur culture. Musiques, chansons, instruments de musique font partie du voyage : une grande aventure commence dans cette Amérique du Nord naissante.

Du Québec aux Montagnes Appalaches, de la Louisiane au Rio Grande, des musiciens violoneux irlandais, écossais, français vont diffuser leurs répertoires à travers tout le pays : un formidable métissage culturel est né.

Vielles à roue ou à archet, violons, cornemuses, guitare, accordéons, anciennes chansons de toute l’Europe alimentent ce répertoire populaire vivant et nouveau.

Le groupe « Musiqu’à Deux » vous invite à le suivre jusqu’aux sources : Espagne (Galice), Irlande, Suède, France (Occitanie).

Violons aux accords sauvages, violon Stroh (violon trompette), accordéons diatoniques, guitare, vielle à roue, Nyckelharpa suédois (vielle à archet scandinave), cornemuses : Gaïta de Galice, Boha landaise, Chabrette Limousine, musette Béchonnet d’Auvergne, musette 16 et 23 pouces du Berry et chants.

Jean-Yves vous racontera cette fabuleuse aventure dans cet univers de transmission orale où les liens culturels se nouent pour ne plus former qu’une grande famille musicale, tout en vous présentant les instruments de musique.

PASSANT PAR LAMAZIERE BASSE...

Des Monédières (Corrèze) à l'Artense (Cantal), en passant par Lamazière-basse (Gorges de la Dordogne), création issue du répertoire des violoneux de ces terroirs ainsi que des musiques et chansons recueillies par Jean Ségurel.
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