Explorer les documents (133 total)

2014-11-06_Alranq-Claude_Martror_Page_1.jpg
Martror : la fête des morts / Claudi Alranq
Alranq, Claude
"La tradition fait la différence entre Toussaint que les pays d'oc nomment Totsants (fête de tous les saints ou Martror, fête des martyrs) et le Jour des Morts.

Toussaint est le premier novembre, le Jour des Morts le 2 novembre. Aujourd'hui les deux fêtes se confondent, comme elles confondent et minimalisent leur contenu : la toilette, le fleurissement et la visite mémorable du tombeau.

En Occident, cette fête est synonyme de deuil et de tristesse, alors qu'en d'autres lieux ou d'autres temps, elle peut ou a pu être joyeuse (Mexique), initiatique (les Anthestéries grecques), contagieuse (Rome), paillarde (les « insolenzas » du Brésil), initiatique (Tibet) ou volontairement écartée (Tziganes).

Alors que tout poussait à croire que, chez nous, cette fête perdait sa fonction de « rite de passage » et que la mort était de plus en plus occultée, elle a rebondi curieusement avec le Halloween des enfants, sous l’œil complaisant du commerce mondial.

Devant la multiplicité et la complexité du phénomène, les chercheurs hésitent à élaborer une véritable « anthropologie de la mort ». [Cette] causerie n'en a pas l'ambition, elle cherche seulement à contribuer au débat que le renouveau des temporadas (fêtes saisonnières liées au « patrimoine culturel immatériel ») suscite en pays d'oc."

Claude Alranq
vignette_P10b.jpg
Vidéoguide : Florac, terre de révoltes (en langue occitane sous-titrée français)

Le XVIe siècle est temps de Renaissance, artistique et culturelle. Pourtant, ce même siècle de François Ier est marqué en France par une guerre civile meurtrière qui va, durant plusieurs décennies, opposer catholiques et protestants.

A compter de la première moitié du XVIe siècle se développe, dans ce qui est encore une province du Saint-Empire romain germanique, un nouveau courant religieux qui va peu à peu gagner les pays limitrophes et bouleverser la situation religieuse et politique d'alors, le protestantisme.

Ce courant religieux émerge dans un contexte économique, politique et bien sûr religieux qui facilite son développement. Il trouve dans les terres d'Oc, et notamment en Languedoc, un terreau particulièrement favorable. Du XVIe siècle à la Révolution française, huguenots et camisards écrivent l'histoire en Gévaudan.

Ce vidéoguide d'animation a été réalisé en 2014 dans le cadre du projet e-Anem, financé par le FEDER en Languedoc-Roussillon.  

Version occitane sous-titrée en français.

vignette_P14a.jpg
Vidéoguide : Villeneuvette de fil en aiguille (en langue occitane sous-titrée français)

À quelques kilomètres de Lodève figure sur la carte la bien-nommée Villeneuvette, ou Fatura en occitan.
Au XVIIe siècle en effet, tirant parti de la tradition textile séculaire de Lodève, est créée ici une manufacture drapière autour de laquelle, de fil en aiguille et sous l’impulsion de ses directeurs, se développe une ville nouvelle dont nous vous proposons de découvrir l’histoire.

Ce vidéoguide d'animation a été réalisé en 2014 dans le cadre du projet e-Anem, financé par le FEDER en Languedoc-Roussillon.

Version occitane sous-titrée en français.

vignette_5270.jpg
Vidéoguides de Gignac et Saint-Guilhem-le-Désert
Centre interrégional de développement de l'occitan (Béziers, Hérault). Auteur
Kaleo design. Metteur en scène ou réalisateur

Les abords de Gignac dans l’Hérault accueillent la Tambourithèque, musée du jeu de balle au tambourin. Ce sport traditionnel du Languedoc, appartenant à la famille des jeux de paume, se pratique aujourd’hui encore grâce à l’instrument qui lui donna son nom : le tambourin.
Au cours du XXe siècle, sa pratique connaît un essoufflement avant que l'action de différents passionnés, dont l'auteur occitan d'Argelliers, Max Rouquette, ne concoure à un renouveau et à une restructuration de ce sport.

Après la santé du corps, le salut de l’esprit en prenant la route de l’abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert. Fondée au Moyen Âge, l’abbaye devient très vite un site incontournable de la Via Tolosana, l’une des quatre grandes voies du pèlerinage menant à Compostelle. Sa légende dorée et celle de son fondateur se transmettent encore sur les routes menant au tombeau du saint. Il faut pour cela emprunter l’intrigant Pont du Diable...

Ces vidéoguides d'animation ont été réalisés en 2014 dans le cadre du projet e-Anem, financé par le FEDER en Languedoc-Roussillon.

vignette_5265.jpg
Vidéoguides de Narbonne
Centre interrégional de développement de l'occitan (Béziers, Hérault). Auteur
Kaleo design. Metteur en scène ou réalisateur

Créée dans l'Antiquité, Narbonne possède un riche patrimoine, et a vu naître entre ses murs de grandes figures de l'histoire nationale. Il est pourtant encore des pans plus discrets de ce patrimoine que Narbonne dévoile progressivement à ces visiteurs.
Ainsi connaissez-vous la légende de la granhòta à trois pattes que vous découvrirez dans le bénitier de l'église Saint-Paul ? Le Narbonnais Hercule Birat nous en raconta l'histoire dans l'un de ses ouvrages en occitan.
C'est également à Narbonne que naquit Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville, qui rencontra le succès à la cour de Louis XV en proposant un opéra intégralement composé en occitan : Dafnis e Alcimadura.
Enfin, voguons sur le Canal de la Robine, raccordant Narbonne au Canal du Midi. Un rapprochement qui ne se fit pas sans difficulté.

Ces vidéoguides d'animation ont été réalisés en 2014 dans le cadre du projet e-Anem, financé par le FEDER en Languedoc-Roussillon.

vignette_P12c.jpg
Vidéoguide : Le canal de la Robine (en langue occitane sous-titrée français)

Comme de nombreuses villes, l'histoire de Narbonne est liée à celle d'un cours d'eau. La cité antique était autrefois placée sur le tracé de l'Aude, fleuve qui la reliait à la Méditerranée. Ville portuaire, son histoire économique dépendit pour beaucoup de son positionnement vis-à-vis des principales voies navigables et carrossables.
Ainsi, le choix de Sète à ses dépends en tant que débouché du Canal du Midi au XVII
e siècle, constitua-t-il un coup dur économique pour la ville, d'autant plus incompréhensible pour ses habitants que Narbonne bénéficiait d'une longue tradition fluviale et de canaux.

Tout l'enjeu des années qui suivirent fut alors de relier le Canal de la Robine au Canal du Midi, afin de rejoindre le réseau des trafics commerciaux régionaux principaux.

Ce vidéoguide d'animation a été réalisé en 2014 dans le cadre du projet e-Anem, financé par le FEDER en Languedoc-Roussillon.

Version occitane sous-titrée en français.

vignette_P12b.jpg
Vidéoguide : Daphnis et Alcimadure, opéra occitan (en langue occitane sous-titrée français)

Au sein du riche répertoire de Mondonville, maître de musique à la Chapelle à partir de 1740, une œuvre se distingue particulièrement : Dafnis e Alcimadura. Celle-ci révèle non seulement le talent du compositeur mais aussi l'audace de l'homme qui propose en 1754 à la cour du roi Louis XV, une œuvre entièrement composée en occitan.

Ce vidéoguide d'animation a été réalisé en 2014 dans le cadre du projet e-Anem, financé par le FEDER en Languedoc-Roussillon.

Version occitane sous-titrée en français.

vignette_P12a.jpg
Vidéoguide : La Grenouille de Saint-Paul (en langue occitane sous-titrée français)

La célèbre rainette de Narbonne, toujours présente dans l'église aujourd'hui, a une patte cassée. C'est autour de celle-ci que se concentre l'histoire rédigée en 1856 par le poète narbonnais Hercule Birat dans La Gragnotto dé Sant-Paul.

Ce vidéoguide d'animation a été réalisé en 2014 dans le cadre du projet e-Anem, financé par le FEDER en Languedoc-Roussillon.

Version occitane sous-titrée en français.

marvejols.JPG
Vidéoguides de Marvejols
Centre interrégional de développement de l'occitan (Béziers, Hérault). Auteur
Kaleo design. Metteur en scène ou réalisateur
La découverte de Marvejols nous fait passer du rire aux larmes, de la fête à l’effroi. Voyage au coeur du Massif Central, terre de musique où règne le duo cabrette-accordéon, mais où plane encore le souvenir d’un mystère sanglant qui a secoué la France du XVIIIe, celui de la Bête du Gévaudan.

Ces vidéoguides d'animation ont été réalisés en 2014 dans le cadre du projet e-Anem, financé par le FEDER en Languedoc-Roussillon.

vignette_P11a.jpg
Vidéoguide : Au loup ! Histoire de la Bête (en langue occitane sous-titrée français)
Durant trois années, du 11 avril 1764 au 19 juin 1767, le Gévaudan subit les assauts d'une bête féroce qui terrorise la population causant mort et désolation sur son passage. Les meilleurs chasseurs sont dépêchés sur le terrain sans succès jusqu'à cette journée de juin 1767 durant laquelle un homme de la région met un terme à la macabre cavalcade.

Ce vidéoguide d'animation a été réalisé en 2014 dans le cadre du projet e-Anem, financé par le FEDER en Languedoc-Roussillon.

Version occitane sous-titrée en français.
sur 14