Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.
De son nom vertadièr Claude Réquier nascuda Duclos, originària de Gerda pròche de Banhèras de Bigòrra. Poetessa e felibressa occitana, amiga de Mistral, coronada a l’Acadèmia dels Jòcs Floraus e als Grands Jòcs Floraus del Felibritge. A la debuta de las annadas 1910, se sarra del partit politic Action Française de Charles Maurras. Catolica e regionalista, es fòrça activa dins la defensa e la valorizacion de las tradicions localas.
Lo destinatari d’aquesta letra, datada del 6 d’abril de 1887, es pas nommat. Mistral l’apela pas que “mon cher maestro”. Lo felicita per la capitada encontrada per sa composicion musicala sus la “Raço Latino” (que lo tèxt es de Mistral) pendent la Santa-Estèla a Canas, los 27 e 28 de mars de 1887. Se tròba qu’un article de l’Armana Prouvençau de 1888 nos apren qu’es Mager que metèt aqueste tèxt en musica. Es la rason per laquala se pòt atribuïr la letra a Charles-Amédée Mager.
Mistral parla de “20 000 auditeurs de tous les pays d’Europe”, çò que representa en efièch un public considerable, aquí perqué vòl tornar far l’experiéncia a l’escasença d’un autre eveniment, l’inauguracion del monument a Amédée Pichot a Arles. Mistral es un grand amator de cansons, el-meteis canta, e escriu un fum de tèxtes destinats a èsser meses en musica sus d’aires qu’existisson ja o per de compositors. Se pòt citar per exemple la famosa "Coupo Santo". D’un cèrt biais, se sarra atal de la tradicion dels trobadors e de lor poesia lirica.
De son nom vertadièr Claude Réquier nascuda Duclos, originària de Gerda pròche de Banhèras de Bigòrra. Poetessa e felibressa occitana, amiga de Mistral, coronada a l’Acadèmia dels Jòcs Floraus e als Grands Jòcs Floraus del Felibritge. A la debuta de las annadas 1910, se sarra del partit politic Action Française de Charles Maurras. Catolica e regionalista, es fòrça activa dins la defensa e la valorizacion de las tradicions localas.
Aquela letra, datada del 8 de novembre de 1894, es dactilografiada, s’agís probablament d’una còpia. Es la responsa a una demanda de Filadelfa de Gerda : comprenèm qu’esperava de Mistral una presentacion de las Corts d’Amor. El refusa e explica que las recèrcas serián tròp laboriosas per que prenga lo temps de s’i consacrar, e remanda Filadelfa a las òbras de Marieton sul subjècte d’una part e de Joan de Nòstradama, Les Vies des plus Célèbres et Anciens Poètes Provençaux d’autra part.
Mistral evòca sovent las Corts d’Amor dins sas òbras : podèm supausar que son per el un espaci simbolic de l’edat d’aur provençala idealizada. S’es efectivament fòrça inspirat de Nòstradama, mas la presenta letra nos entresenha sus lo crèdit qu’acòrda a la valor istorica de son obratge. Los tèrmes e expressions qu’emplega daissan pas cap de dobte : lo raconte es fòrça ninòi (“très naïf”), l’autor es suspècte (“suspect”) mas nuança sas criticas : “il dit des choses si poétiques qu’elles sont dignes d’être crues par ceux qui vivent d’illusion”. La nocion d’ilusion es indissociabla del percors de Mistral : se remarca particularament dins son procediment creatiu e romanesc, que partís de mites e legendas per metre en scèna un passat gloriós e idealizat. Las Corts d’Amor interèssan Mistral mas sul plan poetic mai qu’istoric.
Per anar mai luènh :
LAFONT, Robert, Mistral et le mythe des cours d'amour, in Moyen Âge et littérature comparée : actes du septième congrès national, Poitiers 27-29 mai 1965, p. 185-196 (Còta CIRDOC : LAF 080). Veire la notícia SUDOC