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« Chichi chahute les règles littéraires en écrivant comme on parle préférant jouer avec les mots et les faire chanter plutôt que de se contraindre à un cadre poétique académique. Mais attention, il ne chante pas, il fait chanter les mots ! Le défi était de parvenir à composer une musique respectant la musicalité des phrasés fleuris de l’accent provençal du poète. Ainsi chaque composition a été cousue main.

Quant à la littérature de ficelle, elle nous est tout droit inspirée de la littérature de cordel brésilienne. Ce rapport au Brésil les inscrit dans la lignée de la nouvelle musique occitane portée par la Linha Imaginòt.

Ces poèmes déclamés en musique sont faits pour être entendus ou lus avec l’accent mais aussi admirés et exposés ! »

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Maud Herrera
Concert minimaliste pour alto et voix / hurlements modulés en chanson.

Le projet « Tal Coal » (prononcé « t.a.l kɔ.a.l ») a commencé à germer en 2018 lorsque Maud Herrera a mis en musique le poème d’Audre Lorde, Coal. Depuis, l’enjeu de ce solo a été de tisser une musique contemporaine, improvisée et méditée, instrumentale et chantée. Partir de l’écoute du phénomène sonore, s’y plonger, autant dans les textures de l’alto que dans le son numérisé du magnétophone à bandes des collectages de chant ou de violon du Haut – Agenais, entre autres. Le travail du solo est loin d’être solitaire : sont convoquées différentes mémoires musicales comme par exemple des chants de noces collectés par Pèire Boissière, des chants de traite du Vénézuela, mais aussi involontairement des évocations de la voix de Nico du Velvet Underground, des suites de Bach pour violoncelle ou de la musique d’Eleni Karaindrou pour le film « Ulysse’s gaze » de Theos Angelopoulos.

A travers une écriture musicale orale, sans partition, faite aussi de protocoles d’improvisations à partir de fragments (par exemple d’une polyphonie de Guillaume Dufay ou d’une prière judéo-alsacienne) de motifs répétitifs ou de modes, Tal Coal tente de dessiner, comme dit la philosophe Vinciane Despret, un « territoire chanté » : fait de ruines vivantes, de bribes, de mélodies et de reliefs, pour expérimenter peut-être d’autres temporalités que celle linéaire de notre culture. Tal Coal est une œuvre ouverte, évolutive.

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Aimé et Matia prennent comme terrain de jeu des chants anciens, pour la plupart collectés dans les villages de l’Occitanie (de l’Auvergne au Haut Agenais, en passant par le Languedoc…).
Des chansons d’amour, des chants de labeurs, des histoires de cocus…
C’est avec une grande complicité que les artistes, tous deux férus de métissages musicaux, se plongent dans ce répertoire si particulier, en y ajoutant une liberté tout à fait personnelle, et en ne laissant jamais de côté l’humour et le plaisir de rencontrer un public.

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CIRDOC - Institut occitan de cultura
Chants du Moyen-Âge et d’aujourd’hui ; interprétation exceptionnelle de musique troubadouresque, mais aussi compositions originales du groupe ; répertoire d’Occitanie, d’autres cultures méditerranéennes et de chants séfarades ; poésie courtoise ancienne ou contemporaine. Par la finesse d’une musique acoustique où priment la beauté et la pureté des voix, le trio Prima Vera nous propose une traversée de différentes époques, cultures et styles : musiques du monde, musique ancienne (Moyen-Âge et Renaissance), chant lyrique, répertoire classique et baroque, chanson populaire, poésie.

Les formules possibles : trio ou duo.

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Concert/bal. La rencontre de la Trova cubaine et des troubadours occitans.

On raconte qu’au 18e siècle, des immigrants français de Saint-Domingue et d’Haïti arrivèrent à Cuba et jouèrent un rôle dans la naissance de la Trova cubaine, en amenant avec eux poèmes et chansons d’amour inspirées des troubadours et trouvères…

Hier comme aujourd’hui, tout part d’une rencontre ; celle de la chanson cubaine (la Trova)  et des troubadours occitans, dans un concert bal exubérant où les répertoires, les chants et les instruments occitans et cubains se mêlent et se métissent.

Se retrouveront donc sur scène La Trova Project, groupe dirigé par le pianiste de jazz Raphaël Lemonnier, et la Soubirane, trio vocal polyphonique féminin d’Occitanie.
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Polyphonies gasconnes.
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L'Arrenilhet, c'est le "cri". Arrenilhets ce sont les quatre voix d'Elodie, Emilie, Lucie et Maude qui se rencontrent pour faire vibrer le chant polyphonique gascon au féminin. Elles chantent avec harmonie, sincérité et tendresse leur attachement à la langue gasconne, à l'univers des chansons qu'elles interprètent. Elles revisitent avec enthousiasme et dynamisme les histoires d‘amour de bergers (et bergères !), des histoires de la vie quotidienne qui ont traversé les âges. »

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Trois voix à danse sur chants d'amour et de révolte.

Voix de rien de tout, de femmes et d'artisanes. Souffles de terre, de chair, de fer. Se cherchent, se tournent, s'engagent, avec vos pieds, et puis nos mains.

Clume est un groupe polyphonique des environs de Saint-Etienne, qui réécrit et compose des chants en occitan et en français, en s’inspirant du mouvement des mots et des danses trads.

Clume propose plusieurs formats : bal ou concert, sonorisé ou acoustique.

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Spectacle musical.
Musique, chant, conte, trouvailles poétiques et beaucoup d'émotions, Urtzu est un spectacle à la croisée des arts, qui puise son histoire dans les mythologies populaires de Carnaval et des fêtes rituelles communes à certains pays d’Europe et du monde. A la fois conte et concert, Urtzu (l'Homme-sanglier) nous plonge dans un univers intimiste et nous entraine à la frontière du visible et de l'invisible.

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Quand se gonflent les poumons de l’un et le soufflet de l’autre, l’air raconte toujours une histoire. L’accordéon de Guilhem Verger met en relief le chant de Laurent Cavalié, et colore son groove puissant à la Bombe du Lauragais.

Connectés au patrimoine poétique occitan mais aussi à leur imaginaire, attachés à leur sol et aux gens qui l’habitent, ils se sont réunis autour de la vision commune d’un monde d’échange permanent entre l’ici et l’ailleurs, gageant que c’est en ayant bien les pieds dans sa terre que l’on s’ouvre à l’extérieur.

Laurent et Guilhem sillonnent sur des pistes qui passent entre plusieurs univers, flirtent discrètement avec la danse, reliés par leurs sens du rythme, la mélodie de la poésie et la poésie de la mélodie...

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Les guitares s’étirent, vrombissent, le cajón respire et palpite. Les voix éclatent de ces mots anciens nécessaires aujourd’hui. Alors les corps glissent et soupirent, les souliers crissent et transpirent. La fièvre s’empare du parquet qui rougit, fume de désir.

Paulin Courtial (guitares, voix) et Arnaud Cance (percussions, voix) puisent dans la matière du chant populaire occitan une énergie qui déclenche les rouages de la machine à danser.

Leurs arrangements, entre force brutale et infinie douceur, rendent hommage aux textes de ces poètes inconnus qui ont marqué la mémoire collective. Chaussez-vous solidement et laissez-vous happer par la transe. Mbraia balance ton bal !

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