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MEJ Trio
MEJ Trio est un groupe toulousain de reprises des chansons de Georges Brassens, fondé par Georges Madaule, Jacques Echenne et Alain Jubert. Le groupe est en quelque sorte adoubé par le maître, puisque Georges (Brassens) eut l'occasion de rencontrer, voir et apprécier sur scène Georges (Madaule).

Malheureusement celui-ci décède en 2002, et avant que Didier Coll ne prenne sa suite à la guitare et au chant, MEJ Trio fait appel pour un temps au chanteur occitan Éric Fraj. Celui-ci amènera pour un disque et une série de concerts sa voix grave et veloutée mais aussi quelques textes du grand Georges traduits en occitan.

Ce disque a été enregistré en public, au Bijou (Toulouse).
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Peiraguda est un groupe du Périgord fondé en 1978 par Jean Bonnefon, Patrick Salinié et Jean-Louis Garrigue. Le groupe chante exclusivement en occitan et choisit une orientation musicale résolument folk (deux guitares, deux chants, une basse) pour la large majorité de ses chansons.

Les Peiraguda se démarquent à l'époque par le fait de ne pas mettre en avant seulement des textes militants occitans mais également des chansons dites de variété. Ils se font remarquer alors pour leur richesse poétique et la qualité de leurs arrangements harmoniques autour des guitares et des voix, privilégiant les timbres naturels aux compositions électriques, plus en vogue à l'époque.

Séparés en 1988 (notamment pour monter le projet parallèle Bigaròc avec Joan-Pau Verdier), ils se reforment en 2003 et jouent toujours depuis.

Depuis ses débuts, le groupe a suivi une évolution lente, au gré de l'arrivée et du départ de musiciens, toujours autour des duos de base Salinié/Bonnefon et chanson/guitare. On peut compter ainsi plusieurs "périodes" dans la vie du groupe :

-De 1977 et le premier concert de ce groupe alors inconnu mais bien accueilli à Albi jusqu'à 1980 le groupe est un trio résolument folk acoustique, faisant simplement intervenir Gilbert Guillaume à la flûte sur quelques morceaux (il composera Campesino dans le premier disque Leberon).

-De 1980 à 1983, Peiraguda se fait davantage folk-trad, avec notamment l'arrivée de Bernard Gilet à l'accordéon, au violon et à la contrebasse. Il donnera la coloration musicale de l'album Raiç (1980). Sur La dama pijonièra (1982) Peiraguda se dirige davantage vers les chansons traditionnelles, ils y enregistreront également La Perinqueta avec des enfants de Calandreta.

-En 1983, Jean-Louis Garrigue, un des trois fondateurs de Peiraguda, quitte le groupe pour suivre sa carrière de médecin. Autour du duo restant interviennent des musiciens professionnels et reconnus, tels Jean Laguionie à l'accordéon ou au piano (Varsovia), ou encore Jean-Marc Pernon à la guitare électrique, donnant un aspect davantage folk-rock audible en particulier sur le disque De mai en mai. Ce dernier sera à l'origine de la rencontre entre Peiraguda et Francis Cabrel, et de l'amitié, notamment musicale, qui s'ensuivit. Le groupe se sépare finalement en 1988-1989.

-Lorsque Peiraguda se reforme en 2003, on retrouve autour du duo Salinié/Bonnefon le guitariste Jacques Gandon ainsi que le bassiste François Paoli. Ils enregistreront un disque à quatre, Lo temps de la memòria (2004) où Peiraguda reviendra à son folk-chanson occitane souligné de guitares mélodiques.

-Depuis 2003, Peiraguda a changé plusieurs fois de formation, à l'occasion de concerts-événements où ils se produisent aux côtés du Choeur des Hommes du Périgord, de Joan de Nadau, de Marti...

Le groupe est aujourd'hui composé de Jean Bonnefon (guitare, chant, composition), Patrick Salinié (guitare, chant, composition), Jacques Gandon (guitares), Laurent Chopin (batterie), Patrick Descamps (basse) et Thierry Roques (accordéon).

Une bonne partie du groupe Peiraguda participe également à "L'Affaire Brassens", un spectacle musical (en français cette fois) autour du chanteur de Sète.
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Attaché aux airs traditionnels, le duo (Juliette et Jean-Pierre) est également influencé par des sonorités plus modernes. Tournicoton Electrad'Oc vous propose des musiques à danser, puisées principalement dans le répertoire occitan, ainsi que des compositions personnelles.

Les sons des vielles à roue électroacoustiques, instruments de prédilection de TEO, sont modulés à l'infini. Viennent s'y ajouter le chant en langue d'Oc, d'autres instruments (psaltérion, flûte, mandole, mandoline, basse…), et des rythmes de percussions traditionnelles et électroniques (loops, samples, machines...).

Le résultat est surprenant par l'originalité des arrangements ainsi que par la dynamique qui s'en dégage, bien appréciée pour le balèti.

Les vielles électro-acoustiques ouvrent les portes à la musique moderne, celle de l’univers des sons modulés, travaillés, torturés : TEO, le mariage du Trad, du Rock et de l'Électro !
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Tres a cantar est un groupe formé par 3 amis en Aveyron : Arnaud Cance, Arnaud Péan et Olivier Daillut. Il se caractérise par une approche moderne et accessible de chants traditionnels, chants de travail, de lutte, d'amour, chansons à boire, n'hésitant pas à réinterpréter certains titres en faisant preuve d'un certain humour et en jouant sur la complémentarité totale des voix masculines du groupe.

Tres a cantar se dit très influencé par des aïeuls tels que Gacha Empega (Manu Théron fait une intervention sur leur CD).

Actif officiellement jusqu'à 2008 et un concert d'adieu, le groupe se reforme toutefois occasionnellement depuis 2015, partageant la scène avec des groupes plus récents, tels que Cocanha, Alidé Sans et Paulin Courtial...
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Pamela Varela

Une femme arpente à la manière des anciens troubadours les routes verdoyantes du Périgord. Entre mythe et réalité, elle fait la rencontre d’autres femmes, de tous âges, qui se racontent peu à peu. Elles s’interrogent sur leur construction identitaire et l’importance de la parole - et de la langue - qui tisse un fil entre les générations. Elles livrent des moments forts de leur existence. Un feu crépite. Mais si la parole s’éteint, la transmission s’arrête et l’amnésie guette. Ces femmes rieuses et pleines de fougue posent une question essentielle : comment vivre sa vie ?

Las sasons est le fruit d’une collecte sur la mémoire occitane, réalisé avec le Pôle Patrimoine et Occitanie de l’Agence culturelle départementale de la Dordogne. Le film a été écrit à partir d’une série d’entretiens avec des femmes de trois générations qui vivent en Dordogne. Pamela Varela signe ici une fresque faite de rencontres à la fois fortes et pudiques. Un vrai trésor de mise en scène pour ce road movie occitan résolument contemporain !  

Avec : Monique Burg - Melissande Artus - Charlotte Colombier Faure - Lucette Dubreuil Lachaud - Cécile Hautefeuille - Ginette Lafaye -Herminie Thommasson

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D’abord poussés par le désir de reconstruire des instruments oubliés, Robert et Pierre vous proposent une musique très variée où cornemuses et hautbois se marient pour constituer des duos traditionnels de toutes sortes.

Plus particulièrement attirés par les Pyrénées, ces deux musiciens vous feront découvrir les sonorités particulières du Clari, de la Samponha, de l’Aboes du Couserans, des cornemuses aragonaises, catalanes ou aranaise.

Envie d’authenticité ou besoin de danser, voilà ce que ces deux musiciens, ces deux luthiers enthousiastes et créatifs, ces deux amoureux des Pyrénées, apportent avec leurs cornemuses et leurs hautbois : Une musique traditionnelle, haute en couleurs, un grand souffle d’air frais !

Plusieurs formules sont proposées :

Le concert tourné autour d’une grand choix d’instruments à vent essentiellement pyrénéens mais aussi languedociens comme la boudègue ou la chabrette limousine. Concert didactique durant lequel bon nombre de chansons aussi bien basques qu’occitanes ou catalanes sont chantées.

Le bal. Riches de leur expérience issue des groupes Trencavel et Gadalzen, Pierre et Robert reprendront toutes les chansons à danser de Trencavel composées par Alain Floutard et Robert Matta. Les danses traditionnelles actuelles vous seront jouées avec cette fois ci la présence de l’accordéon, de la guitare, du chant et bien sûr de l’ensemble des cornemuses et hautbois.

Le passe rue articulé autour de duos puissants comme la gaita de Boto et la Samponha, la boudègue et le graïle, le sac de gemecs et la Tarota catalane.
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Avec deux hautbois et un tambour, Timbrat réinvente une musique de rue festive et timbrée, ancrée dans une "mondialité" (E. Glissant), en s’inspirant de la formule typique orientale zurna et davul. Bastien Fontanille et Maxence Camelin, de leurs amboesas, et Julen Achiary, de son davul, sonnent et chantent des airs de Gascogne, du Languedoc, d’Auvergne et du Pays Basque. En propulsant ces mélodies anciennes à la sueur de leur front, Timbrat emmène la foule dans un mouvement collectif tourbillonnant, organique et puissant.
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Le groupe du coin, c'est trois gars qui viennent du coin. Mais faut pas croire qu'ils y restent, dans leur coin. Non. Comme la planète est ronde, ils y ont trouvé tout un tas d'autres coins. Le temps d'un tour de chant, ils voyagent sans valise des berges du Don en Russie jusqu'au fond d'une mine en Espagne. Ça fait un peu loin mais ils sont drôlement courageux. Parfois, aussi, ils font juste quelques pas pour savoir ce qui se chante du côté de la Gascogne ou de l'Alsace. Jusqu'en Alsace, oui, c'est vous dire s'ils vont partout. Et puis, les pieds meurtris, fatigués des voyages incessants, ils reviennent chez eux pour écouter s'il ne s'y trouverait pas aussi quelques jolies notes. Le groupe du coin, c'est trois gars qui sont de par là mais qui aiment bien aussi vous trimbaler un peu ailleurs.
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Lorsque Michel Esbelin et Tiennet Simonnin se rencontrent en 2008 lors d’un bœuf de musique auvergnate à Paris, l’entente humaine et musicale est immédiate. Très vite, l’idée de jouer en bal s’impose… Ces deux musiciens revisitent les grands classiques du répertoire auvergnato-parisien, pour le plus grand plaisir des danseurs !

(Photo : © Charlotte Girard)
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Les Rejetons du Bal est un groupe de bal folk au répertoire éclectique ; en plus des danses folk incontournables (valse, scottish, polka, mazurka, cercle circassien...), le trio propose un répertoire varié de danses régionales (bourrée 2 et 3 temps, rondeau, an dro, polska...). Une musique de bal aux influences multiples, avec des touches de musique auvergnate ou irlandaise, mêlant compositions, airs traditionnels et chansons à danser. Outre un bal folk classique, le trio peut proposer :
  • une initiation aux danses folk avant ou pendant le bal,
  • un bal folk pour enfants (à partir de 6 ans)
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