La Renaissance, cette période de l'entre-deux, Moyen-Âge et Temps Modernes, peut prendre pour repère la chute de l'Empire Byzantin (1453) ou la découverte de l'Amérique (1496) et le règne des Valois et la fin des guerres de Religion avec la promulgation de l'Édit de Nantes (1589) par Henri IV. Il ne s'agit pas là de borner la Renaissance comme on borne une route mais d'en saisir le socle.
Dans ce déroulé historiographique nombreux furent les conflits, les guerres mais aussi les avancées notables en science, astronomie avec Copernic puis Galilée, astrologie avec Nostradamus, en arts avec Leonard de Vinci par exemple, et les Belles Lettres avec, en France, le mouvement de la Pléiade. Mais nous retiendrons ici l'essor du courant hurnaniste.
Ce courant est lié à deux facteurs, intellectuel et technique, amenés notamment par le XVe siècle. Georges Bischoff l'appellera « le siècle de Gutenberg ». Grâce à l'imprimerie, le livre sort des sphères du pouvoir (État, Église). Ce mouvement n'émane pas que de la capitale : en région on imprime et on diffuse. Le marché du livre est florissant à Toulouse, en Languedoc, et l'Occitanie tout entière connaîtra aussi sa Renaissance littéraire. Le livre opère comme un média. Cette révolution est comparable à celle d'internet de nos jours.
Le livre est le diffuseur d'une nouvelle philosophie qui place l'humain et les valeurs humaines au centre de la pensée. Mais quel fut le creuset de ce que l'on appellera plus tard « l'humanisme » ?
Après la chute de Constantinople, de nombreux hommes de lettres et de science byzantins se réfugient en occident, notamment en Italie. Les lettrés et artistes italiens tirèrent profit du savoir accumulé en Orient. L'hégémonie territoriale et politique du Saint Empire, avec Charles Quint facilite de facto les échanges des Flandres à l'Italie. Ce moment de l'histoire accélère la Renaissance culturelle de l'Occident et prépare l'explosion de la civilisation européenne du XVIe siècle.
Parmi les humanistes célèbres, on peut citer Érasme de Rotterdam, l'italien Pic de la Mirandole, l'anglais Thomas More. En France, Michel de Montaigne affirme dans les « Essais », parus à Bordeaux en 1580, les droits à la conscience individuelle et formule les principes humanistes : justice, liberté, respect de l'homme, droit au bonheur.
La pensée de Montaigne est à mettre en relation, entre autre, avec la révolution copernicienne (1540) qui place le soleil au centre de l'univers et non plus la Terre. Cette vérité scientifique emmène à penser autrement le rapport entre Dieu et l'homme. Ce rapport n'est plus vertical, l'homme est spatialisé dans un environnement. C'est ce que traduira la peinture de la Renaissance avec l'étude de la perspective.
Cette rupture profonde avec le Moyen Âge, le pape Eugène IV l'aurait anticipé quand il convoque à Bâle, le 23 juillet 1431, un concile sans précédent qui durera 17 ans. Ce concile se veut un Grenelle de l'Église, dirions-nous aujourd'hui. On sait qu'il compte 3500 intervenants et regroupe les têtes pensantes d'alors. Ce concile sera l'incubateur des réformes à venir aussi bien dans l'Église que dans la société.
Mais la machine se grippe, le pape est déposé en 1439 lors d'une session que préside Louis Aleman, archevêque d'Arles. On nomme un antipape, Felix IV, qui n'est autre qu'Amédée de Savoie. Très vite Rome reprend la main et Louis Aleman avec ses 70 chevaliers repartira vers son château de l'Empéri à Salon-de-Provence. Les idées développées à Bâle ont acquis une force inédite et forment un corpus synthétiseur amplifié et diffusé par le livre.
L'échec du concile de Bâle conduira aux « Protesta » prêchées par Luther en l'église de Spier le 19 avril 1529 et aux guerres de Religion en France et en Europe où les royaumes connaîtront une grande turbulence.
Le courant humaniste de la Renaissance deviendra l'humanisme au siècle des Lumières et sera une philosophie politique annonciatrice de la Révolution de 1789.
Mais alors, qu'en est-il aux XXe et XXIe siècles ?
Comment Louis XI, dès le delphinat, tisse une véritable toile d’araignée pour servir sa politique européenne et aboutir à l’annexion de ce comté souverain. La munificence, qui permet de s’affirmer symboliquement, sera un enjeu majeur du pouvoir sur le terrain provençal et René d’Anjou y aura recours aussi, dans la mesure de ses moyens. L’un est stratège, l’autre touche à tout. Les deux se prévaudront des ressorts de leur temps, notamment la vie spirituelle et le poids ecclésiastique. L’un s’attachera à des actions concrètes, l’autre au rayonnement d’une vie de cour à l’angevine qui instillera un certain attrait chez les Provençaux déjà enclins à la culture et au divertissement qu’on appellerait aujourd’hui “ patrimoine immatériel ”, telles les tarasquinades initiées par René. On s’interrogerra alors : quels bénéfices pour les Provençaux du XVe siècle ces deux grands princes ont-ils apportés ? Et pourquoi, dans la mémoire populaire, l’Angevin est-il resté le “ bon roi René ”? C’est sur cette thématique avec ces deux personnages atypiques et indissociables, que nous proposons une promenade entre Languedoc et Provence.
Au cours d’une conférence et d’un moment musical, on découvrira les différentes facettes du personnage complexe que fut René d’Anjou, auquel nous ajouterons un titre à ses nombreuses titulatures (duc d’Anjou, comte de Provence, roi de Jérusalem, roi
de Sicile, voire roi d’Aragon) : celui de prince des arts en Provence.
Le roi René est curieux de tout. Il porte de l’intérêt à tous les arts
et apporte sa contribution aux lettres françaises avec ses trois ouvrages : le Livre des Tournois, celui du Coeur d’Amour Epris et le Mortifiement de Vaine Plaisance. Ces oeuvres attestent cette relation qui lui était chère entre l’écrit et le dessin, rapport qu’illustrera si bien Barthélemy Van Eyck. René a une conception de la munificence bien partagée par ses homologues du XVe siècle, en particulier en Italie : un prince doit être cultivé, généreux et le faire savoir.
Comme l’écrit Françoise Robin, “ un prince comme René fait vivre
une bonne centaine d’artistes, ce qui est loin d’être négligable. ” Car la fête angevine donne à voir et à être vu. La musique est de toutes les festivités et l’Angevin entretient des instrumentalistes de toutes sortes : harpistes, luthiers, flûtistes, et pour l’extérieur, joueurs de trompettes, de cymbales, de tambourins. Il faut noter que l’entourage des princes donne aux notables le goût des grandes oeuvres, menant la Provence au faîte de son rayonnement culturel.
Yannick Frizet, docteur en histoire de l’art médiéval de l’Université d’Aix-Marseille, nous entraînera dans le jeu du chat et de la souris auquel se sont livrés le roi René et Louis XI. La Provence est une terre convoitée, non seulement par le roi de France, mais surveillée par le duc de Savoie puisqu’elle est terre d’Empire, par la maison de Milan, par les Catalans qui ont gardé certainement rancoeur de l’alliance matrimoniale qui les a dépossédés de la Provence. La maison de Barcelone y présidait depuis 1113 en dépit de la grande guerre méridionale (1080-1194). Plus d’actualité, les Aragonais sont en guerre contre le roi René à Naples.
Ainsi, au-delà des territoires, il y a la Méditerranée. Marseille est un enjeu majeur pour le commerce. L’oncle et le neveu l’ont bien compris, chacun à sa manière. Louis XI, calculateur, stratège dans ses alliances et leurs ruptures a pour objectif de jouer dans la cour des grands et veut rattacher à la couronne toute la bordure méditerranéenne, du Roussillon à la Provence. L’enjeu est de taille car les Aragonais dominent la Méditerranée occidentale avec les Baléares, la Sardaigne, Naples et la Sicile.
René d’Anjou a pour objectif de développer le port de Marseille pour rivaliser avec Gênes et les ports français méditerranéens. Ce port est la pierre angulaire du développement de la Provence. Il doit faire face aux dangers déjà cités mais aussi aux Barbaresques d’Afrique du Nord. Dans cet espace aux multiples enjeux qu’est la Méditerranée occidentale en ce XVe siècle, René est un prince encore chevaleresque, attaché à la valeur de la parole donnée, contrairement à Louis XI. Il est reconnu par ses pairs comme tel mais cette qualité ne va pas toujours avec la politique et René le prodigue manque de moyens. Il convient également de s’interroger sur le sort des Provençaux dans cette mouvance. Yannick Frizet apportera un éclairage inédit sur la vie du littoral provençal à la seconde partie du XVe siècle, tant sur le plan économique avec la réactivation du commece en Méditerranée, que sur le plan sécuritaire face à la piraterie dont furent victimes villes et villages. Il montrera également comment les pouvoirs urbains, avec leurs moyens propres, ont su gérer ce fléau de façon plus efficace que les rois-comtes de Provence et leurs hauts dignitaires.
Après la salle des festins et la visite de l’église Sainte-Marthe, Aldo Bastié, conservateur du Château de Tarascon, construit de 1400 à 1435, nous fera découvrir son histoire. Cette forteresse possède une double fonction militaire et résidentielle. Elle symbolise la puissance des ducs d’Anjou, princes de sang. Elle fut construite par Louis II et Louis III pour maintenir leur autorité sur le couloir méridional du fleuve, proche d’Arles d’Avignon et de Marseille. Elle est une base de leurs ambitions en Méditerranée. Les aménagements de confort ainsi que les jardins sont l’oeuvre de René (1409-1480), grand amateur d’art et du bien vivre. A la mort de Charles du Maine, frère et successeur de René, le château devient propriété du roi de France, Louis XI. Le château de Tarascon est un chef d’oeuvre du Patrimoine Européen. Il est classé aux Monuments Historiques Français depuis 1840.
Maguy Chapot-Blanquet, Vice-présidente Histoire et cultures en LanguedocParmi les nombreuses impressions de cantiques spirituels en occitan (plus ou moins mêlé avec le français) du XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, nous pouvons citer :
Des années 1970 jusqu’aux années 2010 la revue trimestrielle La Beluga de Limós a publié tous les ans le jugement du carnaval de Limoux de l’année en cours.
C’est donc ici un accès direct à un corpus de textes humoristiques, satyriques et politiques.
En effet, ces jugements permettent de régler en place publique tous les problèmes de la société limouxine de l’année écoulée. Parfois, il est compliqué de comprendre et d’expliquer les allusions, les noms de villages ou de personnes, car ils font références à des lieux, des personnages ou des événements locaux. Mais ces jugements permettent aussi de faire un récapitulatif des événements internationaux et nationaux majeurs de l’année. Carnaval est invariablement accusé de tous les maux, quel qu’en soit le niveau, local, national ou international, jugé coupable et exécuté.
Outre ce qui est raconté dans ces textes et l’importance qu’ils représentent au regard du déroulement du carnaval, l’intérêt de ce corpus se situe aussi dans la langue employée. En effet, ils ont tous été écrits en occitan et traduits en français. Nous n’en donnons ici que leur version occitane. Mais au fur et à mesure que les années passent il est intéressant de remarquer que les auteurs, anonymes, ont de plus en plus mélangé le français à l’occitan. Ainsi dans les textes des dernières années de publication on trouve de plus en plus de français dans le texte en occitan.
« Poètes-ouvriers » est une appellation donnée à une génération d’auteurs et de poètes actifs durant le XIXe siècle. Employée dans les textes d’analyses littéraires occitanes depuis le début du XXe, elle revêt cependant des significations parfois différentes selon son contexte d’utilisation et ne fait, encore aujourd’hui, pas consensus.
D’abord parce que le concept « d’ouvrier » est en pleine évolution au XIXe siècle. La signification du mot telle qu’employée depuis le XVIIIe de « celui ou celle qui travaille à la main » se transforme en celle de travailleur de la grande industrie qui, au cours du XIXe siècle, est en plein développement.
Ensuite parce que le terme « ouvrier » peut avoir indistinctement trait à des patrons aisés du secteur manufacturier, à des propriétaires terriens ou des ouvriers de la plus simple condition.
Enfin, parce que la question du thème traité par le « poète-ouvrier » dans ses écrits se pose à plusieurs titres : un auteur travaillant dans le secteur de l’industrie peut-il être considéré comme « poète-ouvrier » s’il écrit un texte purement comique et sans aucune forme de réflexion sur son contexte social ? Et à l’inverse, un prêtre publiant un texte à propos de sa condition sociale et de celle de ses fidèles peut-il être considéré comme un « poète-ouvrier » ? De même, pour un haut-fonctionnaire rédigeant un texte à propos de la misère sociale dont il peut être témoin.
Ces différentes problématiques inhérentes au concept même de « poète-ouvrier », ainsi que l’émergence au début du XXe siècle de la littérature prolétarienne, autre genre littéraire proche mais distinct, ont mené les chercheurs contemporains à faire évoluer la notion vers celle de « voix d’en bas » embrassant ainsi un corpus littéraire plus large mais plus clair et dont l’illustration la plus récente est la publication en 2009 de l’ouvrage collectif Mémoires de pauvres, qui interroge individuellement la situation sociale de neuf auteurs occitans pouvant être rattachés à l'appellation « poète-ouvrier ».
Le premier spécialiste ayant employé la notion de poète-ouvrier pour la littérature occitane est le félibre, écrivain et professeur de langue et de littérature provençale, Émile Ripert, dans sa thèse La Renaissance provençale : 1800-1860. Il y consacre la seconde partie de son second chapitre « Les poètes-ouvriers en Provence ». S’il n’y définit pas la notion de « poètes-ouvriers », ne faisant qu’une présentation des auteurs qu’il intègre au mouvement, il effectue, dans le chapitre précédent, une analogie entre « poésie-ouvrière » et « poésie-populaire » et sous-entend que ces notions sont plus générationnelles qu’esthétiques ou littéraires. Les « poètes-ouvriers » y sont ainsi présentés comme les héritiers des « protecteurs de la poésie populaire » : comme les influents George Sand et Alphonse de Lamartine, tous deux poètes, actifs contributeurs de la vie intellectuelle et littéraire française du XIXe siècle et promoteurs de la mouvance d’émancipation populaire par la littérature. L'appellation est donc employée pour une génération de poètes actifs durant la période romantique et n’a pas été pensée pour être interprétée au pied de la lettre quant à l’activité professionnelle des auteurs auxquels elle fait référence. Elle reflète davantage le paternalisme de la bourgeoisie littéraire française vis-à-vis d’une génération d’auteurs nouvelle ainsi que sa vision presque idéalisée de sa situation professionnelle.
L'appellation « poète-ouvrier » disparaît avec la période romantique en ayant eu une influence bien plus importante pour la littérature française que la littérature occitane. Elle s’est ainsi surtout employée durant une période comprise entre la Monarchie de Juillet et le début du Second Empire soit entre 1830 et 1852.
Par la suite, plusieurs spécialistes de la littérature vont tenter de définir cette notion ou plutôt de redéfinir le concept même de « poète-ouvrier », trop sujet à interprétation. La proposition retenue aujourd’hui par les spécialistes du domaine occitan est celle proposée par Edmond Thomas dans son livre Voix d’en bas : la poésie ouvrière du XIXe siècle, édité chez François Maspero en 1979, dans la troisième note de la page 22 :
Il n'y a pas d'ouvrier dans le sens où on l'entendra à partir des années 1840. Le sens actuel de "travailleur de la grande industrie" ne pouvait naître qu'avec celle-ci. Le mot est donc encore pris dans le sens où l'employaient Rousseau et les hommes du XVIIIe siècle : "celui ou celle qui travaille à la main à quelque ouvrage que ce soit. Tout artisan qui travaille de quelque métier que ce soit" (Trévoux 1771). Je l'utilise dans ses acceptions successives, mais il est évident que la première poésie ouvrière, également antérieure aux grandes concentrations urbaines, ne pouvait être écrite que par des artisans. D'autre part, l'ambiguïté de certaines désignations de métiers peut faire courir le risque d'assimiler des patrons aisés ou propriétaires terriens bien pourvus à des ouvriers : imprimeur, cultivateur, vigneron, horloger-bijoutier, graveur par exemple.
Au delà des difficultés intrinsèques de définition de la notion de « poète-ouvrier », l’histoire littéraire occitane connaît des difficultés spécifiques pour adapter ce concept à ses propres auteurs.
La principale difficulté est directement liée à la situation économique de l’Occitanie (au sens de territoire géographique s'étendant de Bordeaux à Nice en remontant jusqu’à Clermont-Ferrand) qui connaît au XIXe siècle un développement industriel bien moins important que dans le Nord de la France limitant de par ce fait l’existence même de poètes-ouvriers potentiels. Cette difficulté est également accentuée par l’éloignement géographique des cercles littéraires parisiens qui impulsent les modes, protègent et parrainent des auteurs en devenir mais bien souvent résidant plus près de la capitale. Seuls quelques rares auteurs comme Jasmin parviendront à faire tomber la barrière linguistique qui séparent alors les poètes occitans de la reconaissance nationale.
Le XIXe siècle marque un tournant pour la littérature occitane. Celle-ci connaît un regain de vitalité extrêmement important d’abord impulsé par les romanistes, précurseurs d’un grand mouvement d’étude de la poésie des troubadours. Les poètes-ouvriers, épiphénomènes d’un élan plus vaste de renouveau littéraire leur emboîtent le pas bientôt suivis par le Félibrige, dont le chef de file, Frédéric Mistral, sera couronné par le Prix Nobel de littérature en 1904.
Les poètes ouvriers s’inscrivent ainsi dans le second temps de l’histoire littéraire occitane du XIXe siècle. S’ils sont pour certains parvenus à rencontrer un succès populaire parfois localement important leurs situations professionnelles très diverses couplée à une appellation vague pouvant être sujette à interprétation a mené le concept à évoluer aujourd’hui vers une acception plus large du sujet aussi bien sur le concept de poète que sur celui d'ouvrier.
La liste ci-dessous est proposée à titre provisoire et reste ouverte à toutes suggestions et redéfinitions du corpus auquel elle fait référence.
Identité de l'auteur | Origine géographique | Profession(s) | Lien vers les œuvres disponibles sur Occitanica | Lien vers la biographie de l'auteur |
Abric, Louis | Lunel, (Hérault) | Boulanger | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Allavène, Adolphe | Aix-en-Provence, ; Marseille, (Bouches-du-Rhône) | Doreur-Miroitier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Arnaud, Joseph | Vaucluse | Cordonnier | ||
Astier, Jean-Baptiste | Marseille, (Bouches-du-Rhône) | Cristallier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Aubry, François | Avignon, (Vaucluse) ; Nîmes, (Gard) | Serrurier | ||
Bellot, Pierre | Marseille, (Bouches-du-Rhône) | Marchand et fabricant de drap | ||
Bénazet, Olympe-Louis | Toulouse, (Haute-Garonne) | Nombreux métiers dont chanteur des rues | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Benoît, Robert | Périgueux, (Dordogne) | Coiffeur | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Blanc, François | Marseille, (Bouches-du-Rhône) | Cordonnier | ||
Boillat, Justin | Nîmes, (Gard) | Commis chez un marchand de vin puis greffe au tribunal de commerce | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Boissier, Auguste | Die, (Drôme) | Artisan-tanneur | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Bonnet, Pierre | Beaucaire, (Gard) | Cafetier | ||
Borghero, Louis | Marseille (Bouches-du-Rhône) | Tonnelier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Brousse, Guillaume | Fonbarrade (Lot-et-Garonne) | Laboureur | ||
Caillat, Jean-Baptiste | Bouches-du-Rhône | Serrurier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Carvin, Jean-Baptiste | Marseille (Bouches-du-Rhône) | Musicien | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Cassan, Denis | Avignon, (Vaucluse) | Prote | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Castela, Jean | Tarn-et-Garonne | Meunier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Cazaux, Jacques | Montréjeau, (Haute-Garonne) | Tailleur | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Cazes, Antoine | Millau, (Aveyron) | Fumiste | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Chauvier, Philippe | Bargemon, (Var) | Forgeron, ouvrier cloutier | ||
Cluzel, Pierre | Sauzet, (Drôme) | Tailleur | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Coumbettos, dit Couquel | Castelnaudary, (Aude) | Tourneur | ||
Courbin, Jean | Portets, (Gironde) | Forgeron, serrurier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Daniel, Claude | Nîmes, (Gard) | Ouvrier typographe | ||
Delbès, Antoine | Agen, (Lot-et-Garonne) | Tailleur | ||
Desanat, Joseph | Tarascon (Bouches-du-Rhône) | Divers métiers dont : taillandier, forgeron puis charcutier | ||
Favier, François | Avignon, (Vaucluse) | Marbrier | ||
Fédières, Adrien | Montpellier, (Hérault) | Maître-maçon | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Galséran, Félix | Marseille, (Bouches-du-Rhône) | Tonnelier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Gélu, Victor | Marseille, (Bouches-du-Rhône) | Nombreux métiers dont cheminot | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Granier, André-Louis | Marseille, (Bouches-du-Rhône) | Forgeron | ||
Grenier, Arnaud | Lot | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | ||
Grivel, Roch | Crest, (Drôme) | Tisserand | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Gruvel, Josselin | Haute-Garonne | Ouvrier corroyeur | ||
Guisol, François | Brignoles, (Var) | Tanneur | ||
Honnoré, Louis | Marseille, (Bouches-du-Rhône) | Ouvrier typographe | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Jasmin | Agen, (Lot-en-Garonne) | Coiffeur | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | Biographie de l'auteur |
Julié, Louis | Millau, (Aveyron) | Ouvirer gantier | ||
Lacombe, Joseph | Caussade, (Tarn-et-Garonne) | Menuisier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Lacroix, Mathieu | Gard | Maçon | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Laugier, Fidèle | Marseille, (Bouches-du-Rhône) ; Var | Cordonnier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Maillet, Alphonse | Vaucluse | Tailleur | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Mazabraud, Joseph | Haute-Vienne | Tailleur | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Mengaud, Lucien | Toulouse, (Haute-Garonne) | Peintre, bijoutier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Palay, Jean | Pyrénées-Atlantiques | Tailleur | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Payan, Toussaint | Marseille, (Bouches-du-Rhône) | Ouvirer tonnelier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Pélabon, Louis | Toulon, (Var) | Voilier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Petit, Jean | Creuse | Maçon et tailleur de pierre | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Peyrottes, Jean-Antoine | Clermont-l'Hérault, (Hérault) | Potier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | Biographie de l'auteur |
Poncy, Charles | Toulon, (Var) | Maçon | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | Biographie de l'auteur |
Mestre Prunac ; Liberat, Jacques | Sète, (Hérault) | Boulanger | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Reboul, Jean | Nîmes, (Gard) | Boulanger | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Revel, Pierre Marie | Aude | Prêtre | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Richier, Amable | Maréchal-ferrant | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | ||
Rieu, Charles | Bouches-du-Rhône | Maçon | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Rigal, Jean | Agen, (Lot-en-Garonne) | Tailleur | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Roch, Hippolyte | Montpellier, (Hérault) | Ferblantier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Tavan, Alphonse | Bouches-du-Rhône | Cultivateur puis employé des chemins de fer | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Verdié, Jean-Antoine | Bordeaux, (Gironde) | Boulanger, grenadier, vannier, marchand de journaux | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | Biographie de l'auteur |
Vestrepain, Louis | Toulouse, (Haute-Garonne) | Cordonnier-bottier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | Biographie de l'auteur |
Veyre, Jean-Baptiste | Cantal | Sabotier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Vidal, Jean-Paul | Issel, (Aude) | Potier | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana | |
Younet, Jean | Montauban, (Tarn-et-Garonne) | Voir les œuvres de et sur l'auteur disponibles sur Occitana |