Adolfo et Alfredo Zerkowitz : Adolfo Zerkowitz et Alfredo Zerkowitz, père et fils, ont photographié la Val d'Aran entre 1915 et 1980.
Modalités d’entrée :dépôt
Accroissement :Fonds ouvert (peut connaître des accroissements)
Les Zerkowitz conservent les originaux dans leurs archives privées. La documentation ingrèsse le 4 mai 2010. Le fonds est organisé selon les séries suivantes:
01. Peuples de la Val d'Aran.
02. Montagnes et cols de montagne de la Val d'Aran.
Elements :
AGA190-136-T2-106 : Carrèr d'Occitània damb ua gran nheuada. Fonda Talabart. num. 8814 (Pòbles dera Val d'Aran).
1940-1950
Langues représentées dans le fonds :Importance matérielle :
1 document
Supports représentés :Documents iconographiques
FONS AGA190-136
Instruments de recherche disponibles :Site internet des archives
Il existe un catalogue papier des unités documentaires. Un inventaire éléctronique existe également qui utilise le programme de Gestion Intégrale des Archives Comarcaus (GIAC).
La consultation s'effectue actuellement a travers ce programme par son Module de Consultation.
Le catalogue peut aussi être consulté par le moteur de recherche de fonds et documents des archives de la Xarxa d'Arxius Comarcals de Catalunya en web dera Subdirecciò General d'Arxius i Museus deth Departament de Cultura dera Generalitat de Catalunya.
Consultation libre.
Conditions de reproduction :Droits de reproduction de l' Archivo Zerkowitz.
Modalités d’entrée :
Accroissement :
Fonds ouvert (peut connaître des accroissements)
Fonds de 25000 ouvrages
Fonds courant plus fonds spécifiques sur les Arts du spectacle ( théâtre et cinéma), le Moyen Age et la Renaissance
Le fonds local porte sur le Périgord noir et le Périgord en général
Sujets représentés :
Littérature essentiellement( contes, théâtre, poésie)
Etude et histoire de la langue
Dictionnaires, glossaires
Musique
Moeurs et coutumes
Langues représentées dans le fonds :
Importance matérielle :
50 ouvrages environ
1 titre de périodique
Monographies Imprimées
Périodiques (presse et revues)
Classement dans le domaine "langues" et fonds local directement accessible
Le fonds local conservé en réserve
Accès au fonds de la bibliothèque de Sarlat via le catalogue départemental en ligne
Les bibliothèques possèdent leurs blogs.
Consultation sur place gratuite
Prêt selon conditions
Reproduction possible avec quelques restrictions
Médiathèque intercommunale du Piémont oloronais
Rue des Gaves - 64400 OLORON –SAINTE-MARIE
Tél. : 05.59.39.99.37 / Fax : 05.59.34.34.00
Contacts mail : mediatheque@piemont-oloronais.fr
mediathequepatrimoine@piemont-oloronais.fr
Site Internet: http://mediatheque.piemont-oloronais.fr
À l'origine bibliothèque municipale, la médiathèque intercommunale d'Oloron couvre aujourd'hui par sa documentation locale, le territoire de la ville et de ses environs (vallées avoisinantes, Aspe, Ossau et Barétous), et concerne d'une façon générale, le Béarn et son département, ainsi que dans une moindre mesure, la région.
Les collections de la médiathèque comptent actuellement environ 45 000 volumes (tous domaines confondus), dont près de 5 000 livres anciens.
Elle a pu compter dès sa création dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, sur d'importants dons de particuliers qui ont enrichi ses collections. Le premier de M. Casaucau, conseiller au parlement de Navarre, permis en 1763 d’ouvrir la première bibliothèque d'Oloron.
Depuis, le fonds s'est enrichi des apports de la Révolution (confiscation des ouvrages des congrégations environnantes, ainsi que de la bibliothèque de Mgr de Révol, évêque d'Oloron).
La médiathèque intercommunale d'Oloron se distingue par l'importance et la qualité de son fonds local, constitué de livres et documents, anciens et récents, sur l'histoire d'Oloron et du Béarn.
Notons quelques uns des ouvrages remarquables appartenant à ce fonds :
- Los Fors et costumas de Béarn : livre composite présentant les premières pages des éditions du XVIe siècle et du XVIIe siècle.
- L'Histoire des Comtes de Foix, Béarn et Navarre, […] de Pierre Olhagaray (Paris, 1629).
- L'Histoire du Béarn, de Pierre de Marca (Paris, 1640).
- Compilation d'auguns priviledges et reglamens deu pays de Béarn (Orthez, 1676)...
- NAVARROT, Xavier. Le Chansonnier d'Oloron : choix de chansons de Navarrot. Pau, 1890. COTE 781.962 NAV
Outre les livres anciens, le fonds local présente une importante variété de documents sur ou en occitan, abordant les thématiques de la langue, de l'histoire, de la production littéraire occitane...
Le fonds comprend environ 100 bandes magnétiques, films ou pellicules ; environ 30 cassettes audio ;
environ 20 CD musicaux ;
10 titres morts ou périodiques ;
2 périodiques Béarn ;
25 titres magazines
À ce jour, environ 670 documents catalogués consultables en salle de consultation et 350 documents catalogués en magasin.
La Société pour l'étude des langues romanes est fondée en 1869 à Montpellier autour des romanistes Charles de Tourtoulon, Francesc Camboliu, Anatole Boucherie, Achille Montel et Paul Glaize. Ils sont rejoints dès le premier conseil d'administration par d’autres spécialistes comme Charles Revillout ou Octavien Bringuier. Par la suite, d’autres noms prestigieux les rejoindront avec d’abord Alphonse Roque-Ferrier, qui deviendra le secrétaire et principal animateur de la Société et de sa revue jusqu’au début du XXe siècle, puis Camille Chabaneau, ou encore Achille Luchaire. En 1870, la jeune Société crée une revue savante, la Revue des langues romanes, qui paraît pour la première fois en 1871.
La Société regroupe des chercheurs, enseignants, archivistes, bibliothécaires et érudits poursuivant des travaux de recherche en philologie romane (étude de langue et littérature ancienne des littératures romanes), et en particulier d’études occitanes. Mais la Société s'inscrit aussi dans une quête de reconnaissance de la langue d'oc comme grande langue de production littéraire aux côtés des autres langues latines. Cette quête rejoint les buts et les intentions du Félibrige, dont les fondateurs de la Société sont d’ailleurs tous membres.
La Société d’études des langues romanes devient rapidement le principal centre d’étude et d’édition de la recherche en domaine occitan et roman hors de Paris, et par ses publications, sera un contrepoint aux positions philologiques dominantes dans la France de la jeune IIIe République de l’après-défaite de 1870. En plein contexte de nationalisme exacerbé de l’après défaite de Sedan, l’université parisienne, derrière Gaston Paris, fort de ses chaires de professeur à l'École des Chartes, au Collège de France et à l'École pratique des Hautes études, entretient une idéologie centraliste et unitaire dans l’étude des questions linguistiques en France. Les positions de Paris vont jusqu’à nier l’existence de langues « véritables » sur le territoire national autres que le français officiel en proposant une carte linguistique formée d’une infinité de variations linguistiques locales à la périphérie du français officiel.
Face à cette vision, la Société et sa revue vont revenir aux sources et éditer quantité de textes littéraires, scientifique, administratifs en ancien occitan mais également valoriser la littérature occitane contemporaine en publiant les textes des grands auteurs occitans contemporains. Dans le dernier tiers du XIXe siècle et le début du XXe siècle, la Société d’études des langues romanes fut donc un organe particulièrement important de ce que l’on nomma le mouvement de Renaissance d’oc, en œuvrant à la fois pour une décentralisation scientifique, la reconnaissance de la langue occitane et de la valeur de son patrimoine littéraire et écrit.
Le fonds de manuscrits conservé à la Bibliothèque universitaire Ramon Llull de l’Université Paul-Valéry de Montpellier documente la première période d’activité particulièrement riche de la Société, entre 1869 et 1900. Cette période est marquée par un développement des études romanes - et donc occitanes - dans les universités du Midi de la France avec la création de chaires auxquelles sont nommés des personnalités qui contribuent à la vie savante de la Société montpelliéraine : Charles Joret à Aix-en-Provence, Léon Clédat à Lyon, Achille Luchaire à Bordeaux, Anatole Boucherie et Camille Chabaneau à Montpellier.
En 1878, la Société participe en collaboration avec le Félibrige à l’organisation des Fêtes Latines à Montpellier. Ces fêtes appellent alors à bâtir une confédération latine européenne (basée sur l’entente catalane, italienne, roumaine et occitane) afin de proposer une réponse aux hésitations politiques du félibrige tiraillé entre des tendances autonomistes et les appels du nationalisme français. En dehors du champ politique, ces fêtes voient l’organisation d’un important concours littéraire le Chant du Latin, qui vise l’exaltation ce sentiment de fraternité romane. Les textes envoyés pour ce concours composent également le fonds de la Société.
La Revue des Langues romanes, existe encore de nos jours et est éditée par l'Université Paul-Valéry de Montpellier.
Le fonds de manuscrits de la Société des langues romanes de la Bibliothèque universitaire Ramon Llull de l’Université Paul-Valéry est composé de 87 manuscrits, rassemblés en 48 volumes. Ils proposent des poésies et des fables en langues d'oc et catalane du XIXe siècle ainsi que des études linguistiques sur certains parlers occitans.
Ces manuscrits peuvent être regroupés en quatre catégories :
- envois pour le concours triennal de la revue
- envois pour le concours du Chant du Latin de 1878
- envois pour publication dans la Revue des Langues romanes
- envois littéraires et scientifiques d'origine indéterminée
La plupart de ces manuscrits ont été déposés au cours du XXe siècle par la Société des Langues romanes à la Bibliothèque Universitaire Historique de Médecine. Ils ont été transférées à la Bibliothèque de Lettres et Sciences humaines (devenu ensuite Bibliothèque universitaire Ramon Llull) en 1980.
Langues représentées dans le fonds : occitan (languedocien, provençal), catalan, français, latin
Importance matérielle : 87 documents, rassemblés en 48 volumes (une cote par volume)
Supports représentés : Manuscrits, tapuscrits
Accroissement : Fonds courant - Réserve
Modalités d’entrée : Ce fonds a été déposé en 1895 par la Société des Langues Romanes à la Bibliothèque de Médecine de Montpellier, puis transféré à la Bibliothèque de Lettres et Sciences humaines en 1980
Identifiant du fonds (cotes extrêmes) : H 625 - H 676
Horaires de consultation : Du lundi au vendredi de 9h à 19h
Les documents peuvent être photographiés pour un usage privé mais, par souci de conservation, les photocopies ne sont pas autorisées. Si vous devez diffuser ces reproductions dans le cadre d'un travail universitaire ou d'une publication, veuillez contacter au préalable la responsable du fonds.
1 bis, boulevard Du Guesclin
BP 180 34503 BÉZIERS cedex
04 67 11 85 10
secretariat@cirdoc.fr
Le CIRDÒC-Mediatèca occitana est l'établissement public à vocation interrégionale chargé de la sauvegarde, de l'étude et de la transmission du patrimoine culturel occitan.
À sa création en 1999, le CIRDÒC hérite des collections rassemblées depuis 1975 par le Centre international de Documentation occitane (CIDO, association loi 1901, dissoute en 1995). Grâce à de nombreux achats, dons, legs et dépôts, les collections du CIRDÒC sont constamment enrichies et représentent aujourd'hui, avec plus de 100'000 volumes du XVe siècle à nos jours, la plus importante collection linguistique et culturelle occitane. Les collections du CIRDÒC couvrent l'ensemble du champ documentaire occitan, notamment géo-linguistique (auvergnat, alpin, gascon, languedocien, limousin, provençal), socle de la vocation interrégionale de l'établissement.
Le fonds des Imprimés occitans anciens (antérieurs à 1850), les manuscrits isolés (environ 1900 pièces), les fonds d'Archives privées (100 mètres linéaires), d'Affiches et estampes (plusieurs milliers d'affiches, photographies, dessins, gravures) constituent les axes forts des collections du CIRDÒC et de sa politique d'acquisition. Les collections de périodiques (1800 titres, dont 200 abonnements vivants) couvrent l'ensemble du paysage documentaire occitan et des disciplines voisines (linguistique et philologie romane, histoire régionale, domaina catalan, etc.).
Le CIRDÒC propose également une médiathèque de lecture publique pour la consultation sur place, le prêt à domicile et le prêt aux collectivités (associations, bibliothèques, établissements d'enseignement), qui met en accès libre près de 5'000 documents tous supports.
Les collections patrimoniales sont communiquées sur demande dans une salle de lecture spécifique.
- Fonds des dossiers thématiques
- Bibliothèque et archives du Collège d'Occitanie
- Fonds des correspondances du début de félibrige
- Fonds des manuscrits isolées
A propos des fonds d'archives et manuscrits :
Le CIRDÒC ne conserve que des fonds privés issus de dépôts, dons ou achats. De nombreux types de documents sont ainsi conservés : manuscrits, photographies, dessins... et couvrent l'ensemble des parlers occitans du Béarn à Nice. Les documents les plus anciens remontent aux début du XVIe siècle, mais les XIXe et XXe siècle demeurent les périodes les plus abondantes en ressources.
A propos des fonds de documentation contemporaine :
Les fonds contemporains sont composés de tous les livres publiés en occitan, quel que soit le dialecte ou la graphie employée. Mais également de tout document en français permettant l'étude de la langue, de l'histoire ou de la civilisation occitanes.
Catalogue général des collections
Inventaire des fonds d'archives
L'intégralité des collections numérisées occitanes du CIRDÒC sont accessibles sur Occitanica.eu
"Saint Jean ! Saint Jean ! S'écriaient-ils. / San Jan ! Sant Jan Sant Jan ! Cridavon. »
« Toutes les collines étincelaient / Tòuti li colo esbrihaudavon. »
« Comme s'il avait plus des étoiles dans les ombres ! / Coume s'avié plóugu d'estello dins l'oumbrun !"
« Cependant la rafale folle / Enterin la Flamado folo »
« Emportait l'encens des collines / Empourtavo l'encèns di colo »
« Et la rouge lueur des feux / Emé di fiò la rougeirolo »
« Vers la Saint planant dans le bleu crépuscule." / Vers lou Sant, empla dins lou blu calabrun. » Frédéric Mistral, Mireille. Chant VII, 1859.
Dès 1963, cette tradition fut entretenue et vivifiée par le Cercle des Jeunes Gens, instaurant la veillée du feu puis son transport le lendemain jusqu'au Palais des Rois de Majorque, au cours du "Rey del foc" initié par Jean Iglesis.
Le renouveau catalan observé dès les années 1950-1960, se propage progressivement en terres occitanes et tous particulièrement en Provence, deux régions d'ailleurs historiquement liées. Dans les années 1980, les feux de la Saint-Jean connaissent ainsi un renouveau dans cet espace grâce à l'influence directe des Catalans de Salon-de-Provence, qui redonne vie au bûcher provençal en faisant appel pour cela à la flamme du Canigou.
À compter de 1981 est créée une Maintenance des feux de la Saint-Jean et dès 1985, une branche provençale voit le jour afin de maintenir les liens ainsi créés. Entre 1985 et 1986, des fagots de bois, "li balaus de Sant-Jan", rassemblés par de petits provençaux et enrubannés aux couleurs de leur région, participent d'ailleurs à l'ascension du Canigou à l'occasion de la Saint-Jean d'été, et viennent rejoindre le bûcher. L'opération prend l'appellation de "Li recampado di Prouvençau au Canigou". Les relations fondées dans les années 1980 se maintiendront jusqu'à nous. La Maintenance provençale reçoit ainsi chaque 23 juin à midi, les coureurs de Saint-Cannat. Au terme d'une course de relais de trois jours, ceux-ci rejoignent Arles au départ de la Casa Peiral de Perpignan. Ils y remettent alors la flamme du Canigou qui servira le soir même à embraser le bûcher.
FABRE, Pierre-Jean ; La Saint-Jean en Provence ; [S.l.] : Comité de Provence des mainteneurs des feux et traditions de la Saint-Jean, [1987?]
VAN GENNEP, Arnold ; Le folklore français, tome 2. Paris : R. Laffont, 1999.
Joana, vieille fille de 60 ans à la retraite dans un village du Languedoc. Son oncle Vincent vient de mourir et lui a tout laissé : l'argent, la maison, les vignes. Et voici qu'arrive Mathilde Delbàs, une fille qui cherche un toit et un travail. Joana ne veut pas la garder mais peu à peu, apprécie de ne plus être solitaire. De plus, Joana voudrait aller rendre visite à Rémi, un ami d'enfance qui est professeur à l'université de Baltimore aux USA. Elles s'embarquent toutes les deux dans un grand voyage, et quel voyage !
Présentation de la compagnie Gargamela :
Depuis 1988, la Compagnie Gargamela-théâtre sillonne les routes à la recherche d'un théâtre populaire, un théâtre d'expression de peuple, qui va chercher ses racines dans le fond, et la forme dans la fête Carnavalesque comme dans la poésie des Troubadours.