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Boyer, Henry
Martel, Philippe
Gardy, Philippe
Fournier, Georges
Le texte occitan de la période révolutionnaire propose un inventaire descriptif raisonné de la production imprimée et manuscrite en occitan des années 1788 - 1800. Il adjoint à cet inventaire une série d'approches et de lectures que permettent de mieux appréhender la répartition géographique des textes et leur signification convergente ou divergente selon les lieux, les moments et les situations.
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Martel, Philippe
Lespoux, Yann. Dir
Verny, Marie-Jeanne. Dir
« Vidas. En occitan, ça veut dire ‘vies’. Ce livre parle de vies, ou de moments de vie. Les vies de ces hommes et de ces femmes qui, depuis le XIXe siècle, se battent pour défendre et illustrer une langue, l’occitan. » – Lambert Lucas

En savoir plus :
http://www.lambert-lucas.com/livre/vidas-des-hommes-et-une-langue-itineraires-biographiques-xixe-et-xxe-siecles/
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Martel, Philippe
Attention : il s'agit de l'Occitanie « véritable » et non pas de la nouvelle région appelée à tort « Occitanie » et qui n'en est qu'une petite partie. De plus, cette région comprend la Catalogne-Nord (Pyrénées orientales) qui est catalane et pas occitane. Si on prend les grandes provinces, l'Occitanie authentique comprend : le Limousin, l'Auvergne, l'Aquitaine, la Gascogne (+ le Béarn), le Languedoc, la Provence (+ le comté de Nice) et le Bas-Dauphiné, soit 32 départements et 14 millions d'habitants. L'Occitanie se définit sur des critères linguistiques : l'ensemble des pays de langue d'oc. Il y a donc plusieurs Histoires mises ensemble, chacun des pays occitans ayant eu une histoire propre jusqu'à leur annexions par la France.
L'hypothèse de cet ouvrage, c'est qu'un espace linguistique est par définition un espace de communication. Cela implique au-delà de la langue, des contacts, des traits culturels partagés, et une certaine conscience, ne serait-elle que « méridionale ». Du coup, il est possible de raconter l'histoire de cet espace et de ses habitants.
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Autour de la loi Deixonne / Philippe Martel
Martel, Philippe
Loi  du 11 janvier 1951  relative à l'enseignement des langues et dialectes locaux, dite loi Deixonne (du nom de son rapporteur Maurice Deixonne, représenté ici), c'est la première loi française autorisant l'enseignement des langues régionales de France.
Philippe Martel fait une étude de cette loi dans son ouvrage  L'école française et l'occitan ou Le sourd et le bègue publié aux Presses universitaires de la Méditerranée.

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Casanova, Jean-Yves
Courouau, Jean-François
Martel, Philippe
Loin des clichés qui la réduisent à la simple exaltation d’une Provence mythifiée, l’œuvre de Frédéric Mistral, à la fois singulière et universelle, mérite d’être réexaminée dans sa diversité et d’être replacée dans le contexte littéraire qui l’a vue naître et évoluer, à la croisée du romantisme et du symbolisme.

Collection Études et textes occitans, n° 6
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Martel, Philippe
Vidas. En occitan, ça veut dire ‘vies’. Ce livre parle de vies, ou de moments de vie. Les vies de ces hommes et de ces femmes qui, depuis le XIXe siècle, se battent pour défendre et illustrer une langue, l’occitan, que le sens commun français ignore, ou ne rêve que de voir définitivement morte, comme tout ce qui n’est pas le français seul. Il y a là des noms connus, en tout cas de ceux qui savent quelque chose sur cette langue et son histoire : Frédéric Mistral, bien sûr, Robert Lafont. D’autres sont moins connus, voire inconnus, mais cela n’enlève rien à leurs mérites. Certains sont des écrivains de valeur (on épargne les autres au lecteur), d’autres des militants. Certains ont suivi des itinéraires curieux, il en est qu’on ne s’attend pas à voir figurer ici  ; pour d’autres, on se dit qu’on n’aurait pas forcément aimé les rencontrer. Mais tous, à leur manière, ont participé en leur temps à l’aventure millénaire de la langue et de la littérature d’oc.
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Quand le gascon fait la Révolution / Philippe Martel
Martel, Philippe

Communication de Philippe Martel à l'occasion du colloque organisé par le Comité Marianna à Puylaurens les 15 et 16 avril 1989, publiée dans : La Révolution vécue par la province : mentalités et expressions populaires en Occitanie.

Philippe Martel est Professeur à  l'Université Paul-Valéry de Montpellier, historien de la littérature et de l'espace occitan.

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Agrégation langues de France – épreuve commune histoire et sociolinguistique : Exemple de devoir corrigé et conseils pratiques et méthodologiques / Philippe Martel
Martel, Philippe
A partir du sujet suivant : La question 29 du questionnaire Grégoire de 1790 est ainsi libellée : « Quelle serait l’importance religieuse et politique de détruire entièrement ce patois ? » On analysera les réponses théoriques et pratiques qui ont été données à cette question sans se limiter à celles reçues par Grégoire lui-même, Philippe Martel donne quelques conseils de méthode et une proposition de traitement du sujet.
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La Révolution française et les langues de France
Martel, Philippe
Il est admis depuis longtemps que la Révolution française de 1789 constitue une étape importante de la marginalisation des langues de France, pas seulement dans le domaine administratif et judiciaire mais dans tous les domaines de la vie sociale.

Après un état des lieux des langues de France à la veille de la Révolution, Philippe Martel analyse dans ce cours comment la question de la politique linguistique s'est posée entre 1789 et 1799, quels ont été les enjeux et les effets réels. Il expose enfin comment, en préparant le triomphe du français, la Révolution a  préparé, à sa façon, les renaissances des langues de France.
Bancarel, Gilles (CIRDÒC)
Lespoux, Yan
Martel, Philippe
Verny, Marie-Jeanne

Enseignant, fondateur de la société folklorique « La Pastourelle », auteur de pièces de théâtre.

Éléments biographiques

Issu d’une famille du monde rural, Adrien Vézinhet naît à Sainte-Radegonde le 27 avril 1912. Il fait des études à Rodez avant de devenir professeur de Lettres au Lycée Foch de Rodez de 1937 à 1946. Par la suite il devient censeur au Lycée Pierre Loti de Rochefort-sur-Mer (1947), puis au Lycée de Rodez (1950) et au Lycée Joffre de Montpellier (1957). En 1968, il est nommé proviseur de la Cité scolaire d’Alès avant de devenir proviseur du Lycée Henri IV de Béziers où il achèvera sa carrière dans l’enseignement (1970-1974). Il décède à Montpellier le 28 mars 1984. Un hommage lui a été rendu en 1993 à Sainte-Radegonde où une plaque a été apposée à sa mémoire.

Engagement dans la renaissance d’oc

Dès le temps où il enseigne au Lycée Foch, avant la guerre et pendant, il milite pour l’occitan dans l’enseignement. À la Libération, il fait partie des fondateurs de l’hebdomadaire Le Rouergat. À Rodez, il est un ardent promoteur de la langue d’oc et des traditions locales. Au début des années 1950, il accompagne la fondation de la société folklorique la Pastourelle (jeune bergère) en dirigeant les danses et en écrivant des pièces de théâtre en collaboration avec Henri Mouly et Jean-Marie Lacombe. Installé à Montpellier, il devient un des animateurs de la Montanharda amicale des aveyronnais. En 1979, il prépare la publication du Teatre de la Pastorela, réunissant pièces et contes en occitan. Six de ces pièces seront écrites pour le théâtre la Pastorella qui en fera son répertoire.

Le livre est ainsi présenté sur le site de l’éditeur :
(http://ideco-dif.com/ieo_edicions/terra_de_cocanha/lo_teatre_de_la_pastorela/index.html) :
« [...] C’est à Sainte-Radegonde que mon Père revenant de son premier jour à l’école communale devait déclarer à sa mère : « Ai pas res compres de çò que disiá lo mèstre d’escòla. Parla pas la meteissa lenga que nosautres ». Ainsi allait la vie au début de ce XXe siècle. Le seul outil vernaculaire entre les habitants du village était la langue occitane plus communément qualifiée de Patois. [...] » André Vezinhet.

C’est cette langue qu’il maîtrise à merveille et ses coutumes qu’Adrien Vezinhet, enfant du Rouergue, allait s’acharner à transmettre. En prenant la plume pour écrire des pièces de théâtre, qui furent jouées de Montpellier à Paris en leur temps, c’est également un témoignage d’une société et de ses questionnements qu’il nous donne. Si le temps a fait son œuvre, les questions du déracinement et des relations familiales sont toujours d’actualité. Ce recueil comprend les 6 pièces suivantes : L’Escampat, La Tatà de Borniquet, Maridam la Tatà, La Bastarda, Lo Pastre del Masvièlh et Las Catas de la Bruguièra.

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