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L'imitation de Jesus-Christ traduit par Rippert
De imitatione Christi (Imitation de Jésus-Christ ) est une œuvre anonyme de piété chrétienne, écrite au XIVe siècle : Thomas a Kempis est généralement considéré comme l'auteur de cette œuvre mais elle est parfois attribuée à Jean Gerson. C'est selon toute vraisemblance le félibre provençal Adolphe Ripert (1815-1909), notaire à Cadenet puis à Marseille, ami de Frédéric Mistral et grand-père d'Émile Ripert (1882-1948) également félibre de renom, qui est à l'origine de cette traduction qui fut présentée au concours du Chant du latin à Montpellier en 1878.
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La cansou de la lauseto / par Achille Mir
Mir, Achille (1822-1901)
Poésie en occitan languedocien du félibre audois Achille Mir (1822-1901). Originaire d'Escales, non loin de Lézignan-Corbières, Mir fut une figure importante du félibrige languedocien. Texte en occitan et traduction française en regard.
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Lettre de Frédéric Mistral à Ludovic Legré : 20 septembre 1871
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Lettre écrite par Frédéric Mistral à Ludovic Legré le 20 septembre 1871 depuis Maillane, conservée par l'Académie des Sciences Lettres et Arts de Marseille. Dans cette lettre, il est question du sculpteur Jean-Barnabé Amy.
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Vocabulaire languedocien et françois
Rochegude, Henri-Pascal de (1741-1834)

Le Vocabulaire languedocien et françois est un manuscrit de Henri Pascal de Rochegude (1741-1834) rédigé à la fin du XVIIIe siècle et relatif à la langue occitane de son temps.

Après un avertissement concernant la prononciation du languedocien, il est structuré en quatre parties : 

- un « vocabulaire languedocien et françois », de 20 pages suivi d’un supplément de 4 pages pour un total d'environ 3000 mots.
Pour écrire l’occitan, Rochegude ne marque pas le « r » de l’infinitif, note comme en français la voyelle « ou » mais garde les diphtongues « ai », « eu »… et le digraphe « lh » : abrassa => embrasser, abeura => abreuver, aizino => ustensile, cantou => coin, daurat => doré, talha => tailler.

- les « noms patois de quelques espèces de plantes… », environ 140, à partir de l’ouvrage du Montalbanais M. Gatereau.

- 5 pages d’« idiotismes », 435 expressions occitanes avec la traduction en français.
Christian Laux les donne selon l’orthographe de l’auteur et dans la graphie classique, en 1989 et 1990, dans quatre numéros de la Revue du Tarn (n°135, 136, 138, 139). Ces « idiotismes » sont également présents dans le Trésor dóu Felibrige de Frédéric Mistral.

- 3 pages de tables de conjugaison, vraisemblablement à l’usage personnel de Rochegude.

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Uno Félibrejade ou le gai savoir à Toulon du Docteur Monier
Monier
Article du Dr Monier, félibre toulonnais, rédigé en occitan (provençal maritime) au sujet d'une réunion de félibres autour de Frédéric Mistral, en février 1881 à Toulon.
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Lettre de Frédéric Mistral à Marius Bacquié-Fonade : 29 mai 1909
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Marius Bacquié-Fonade ?

Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.

Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié, apparait au sein de leurs échanges.

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Lettre de Frédéric Mistral à Marius Bacquié-Fonade : 2 avril 1904
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Marius Bacquié-Fonade ?

Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.

Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.

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Lettre de Frédéric Mistral à Marius Bacquié-Fonade : 23 février 1903
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Marius Bacquié-Fonade ?

Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.

Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.

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Lettre de Frédéric Mistral à Marius Bacquié-Fonade : 27 décembre 1902
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Marius Bacquié-Fonade ?

Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.

Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.

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Lettre de Frédéric Mistral à Marius Bacquié-Fonade : 10 février 1902
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Marius Bacquié-Fonade ?

Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.

Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.

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