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Armanac nissart. - 1907
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Armanac niçart 1907
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Armanac nissart. - 1904
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Rolland, Victor (1868-1943). Directeur de publication
Armanac niçart 1904
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Armanac nissart. - 1903
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Rolland, Victor (1868-1943). Directeur de publication
Armanac niçart 1903
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Récuil dé cansous patoisos / pér Coumbettos dit Couquel, Tournur dé Catelnaudary
Coumbettos (dit Couquel, tourneur)

Consulter le document sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62119167

Coumbettos dit Couquel était en 1835 un ouvrier ébéniste de Castelnaudary, sans instruction, mais doué d’une remarquable facilité pour composer et improviser de petites pièces patoises qu’il chantait lui-même et qui eurent bientôt une vogue extraordinaire.
La plupart de ses pièces, nous dit Louis de Santi, « ont été composées au cabaret à l’occasion de menus incidents dont les héros étaient ordinairement des ouvriers du faubourg qu’il habitait ou des camarades ». Santi précise à son sujet : « Beau garçon, âgé de 30 ou 35 ans, doué d’une superbe voix de baryton,  il était la coqueluche des ouvriers de cette petite ville. Malheureusement il buvait beaucoup et il a laissé la réputation aussi bien d’un incorrigible ivrogne que d’un joyeux compagnon ».

La plus célèbre de ces pièces, consacrée à Castelnaudary, a été la Coumplainto dél Capou dé la gato. La gato était une vieille femme très avare qui possédait un vieux coq qui disparut un beau soir de son poulailler. Elle accusa quelques jeunes gens, dont Couquel faisait partie, de l’avoir volé et de s’en être régalé - c’était le pendant du chat de la mère Michel - Couquel ne manqua pas l’occasion d’en faire une chanson qui fut le Capou de la gato, que tout le monde chanta bientôt à Castelnaudary. Le traiteur Lamocho dont il est question dans cette pièce tenait un cabaret sur le port fréquenté ordinairement par Coumbettos. Tous les personnages nommés dans la pièce Las mouninos étaient les amis de cabaret de Couquel ; ils ne sont, comme c’était alors l’habitude, désignés le plus souvent que par leurs surnoms et mentionnés dans les poèmes que sous leurs initiales. Ainsi én Corno (én C) était un plâtrier appelé Embrit, Ruqua (R) un jardinier, Cabos un forgeron, Gomart ou Gomard un ancien soldat ivrogne fieffé, Baptiste Dutar (D) un marchand de Castelnaudary. (Informations relevées par une note manuscrite dans l'exemplaire du CIRDOC).
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L'amistansa de Joseph Soulet
Soulet, Joseph (1851-1919)

Poème dédié à l'amitié, envoyé par Joseph Soulet au concours littéraire de la Société Archéologique de Béziers en 1894.
Ce poème est curieusement annoncé comme étant rédigé en dialecte montpelliérain et non sétois, pourtant le dialecte original de l'auteur.

Poème du XIXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Devise : "I'a pas res de milhou que la doussa amistat, un ome sans amies, viéu pas mai qu'a mitat"

Cité dans le Bulletin de la Société Archéologique de Béziers, 1894


Pour en savoir plus sur Joseph Soulet : cliquez ici

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T'en-anes pas de Joseph Soulet
Soulet, Joseph (1851-1919)

Poème recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.

Devise : "Véne dins lous jardis de flora, Ensacha depoudre dentra."

Cité dans le Bulletin de la Société Archéologique de Béziers, 1894.


Le poème est dédié à la Muse et envoyé par Joseph Soulet au concours littéraire de la Société Archéologique de Béziers en 1894.

Pour en savoir plus sur Joseph Soulet : cliquez ici

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Cocanha Triò

Présentation du conte musical 


« Cacha niu, c'est le plus jeune de la fratrie, le petit dernier de la nichée... Un jour du mois de juin, il a dû quitter son village et partir loin, chez sa tante. La route réserve toujours des surprises, et les rencontres, aussi étranges soient-elles, font toujours grandir... »

Un spectacle qui mélange récit, extraits de collectages vidéos, illustrations animées, chants et percussions.

À partir d’anecdotes collectées auprès des anciens et de trois contes occitans traditionnels, les trois chanteuses de Cocanha ont imaginé un spectacle sur le voyage initiatique du jeune « Cacha niu » : prendre la route seul et affronter les loups, rencontrer les fadarèlas, la célébration du solstice et la fête de la Sant Joan, les rituels, les bals, les danseurs et musiciens... Entre projection vidéo et images animées, chants et percussions, le fil de l’histoire se déroule sans crier gare : “Ieu sabi un conte… “. 


Fiche technique 

Equipe : 3 chanteuses/conteuses (Cocanha) et 2 technicien-nes.
Durée : 50 mn et 1h (à la demande).
Langue : En français et/ou occitan.
Public : Dès 5 ans.

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Puisant dans ses racines occitanes et dans ses voyages à travers le monde, Florant Mercadier invente des histoires à l’imaginaire métissé et à l’humour irrésistible…
Tirés « du Placard« , issus « du Pays de Nulle Part » ou dormant « entre deux eaux« , ses contes donnent vie à de savoureux personnages. Artiste complet, musicien membre des groupes Eydolon et Stille Volk, sur scène, Florant Mercadier mêle contes et musique, s’accompagnant à la vielle à roue, à la cornemuse, à l’harmonica ou au carémère…


Ses spectacles :
« L’Occitanie pour les nuls » (dès 7 ans). 
« Contes du placard » (dès 9 ans).
« Contes entre deux eaux » (dès 9 ans).
« Contes du Pays de nulle part » (dès 3 ans).

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Chadeuil, Michel

Cet ouvrage est d’abord le résultat d’une collecte de proverbes et de dictons commencée dès l’enfance autour de la table familiale et avec pour seul matériel une mémoire toute neuve. Elle se poursuivit dans des discussions, des soirées ou des enquêtes de terrain à travers tout le Périgord, avec une plus forte représentation des environs de Périgueux et de Brantôme ainsi que de Sarlat et du Périgord noir. On y ajoutera une partie de la Haute-Vienne et quelques cantons limitrophes appartenant à des départements voisins. Certains informateurs, bien que résidant en Périgord, ont pu être originaires de régions occitanes plus éloignées ou ont pu rapporter des dires entendus ailleurs.
Le premier mérite de ce travail de plus de soixante ans est donc de préserver de l’oubli le fruit de l’observation séculaire des saisons, des mois et des jours en pays occitan. Le préserver mais aussi l’expliquer et le remettre dans son contexte, en dépit des bouleversements tant sociologiques que climatiques. Et nous faire partager, avec la plus grande justesse, l’extraordinaire richesse du savoir ancestral.

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Almanach de la Mouche clermontoise. - 1868
La Mouche clermontoise (Clermont-Ferrand)
Almanach en relation avec  le journal satirique La Mouche clermontoise publié de juillet à décembre 1867.
L'almanach contient des textes en dialecte auvergnat et en français. Le seul numéro connu est celui de 1868.
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