[1] RLR, 1874, série 1, t. V : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k19828x/f422
Conten : introduction d'A. Gazier ; réponse d'Auguste RIGAUD, Montpellier, 28 janvier 1791 ; réponse de la Société des Amis de la Constitution, Carcassonne, s. d.
[2] RLR, 1874, série 1, t. VI : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k198298/f581
Conten : réponse de la Société des Amis de la Constitution, Carcassonne, s. d. (suite).
[3] RLR, 1875, série 1, t. VII : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k19830g/f111
Conten : réponse de la Société des Amis de la Constitution, Carcassonne, s. d. (suite et fin ; réponse de François Chabot, Saint-Geniès, Aveyron, 4 septembre an II [1792].
[4] RLR, 1875, série 1, t. VIII : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k19831t/f71
Conten : réponse d'aun anonyme, s. l., s. d. [Bas-Languedoc, Roussillon ou Cerdagne] ; réponse de Sénard, Toulouse, 1er septembre 1790 ; réponse de la Société des Amis de la Constitution d'Auch, département du Gers, s. d.
[5] RLR, 1876, série 2, t. I : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k198325/f276
Conten : réponse de la Société des Amis de la Constitution d'Auch, département du Gers, s. d. (suite)
[6] RLR, 1876, série 2, t. II : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k19833h/f28
Conten : réponse de la Société des Amis de la Constitution d'Auch, département du Gers, s. d. (suite et fin) ; réponse de Grégoire curé des Palais, Valence-d'Agen, 27 février 1791 ; réponse de Chaudon, Mézin (Lot-et-Garonne), 30 messidor an II [18 juillet 1794].
[7] RLR, 1877, série 2, t. III : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k19834v/f178
Conten : réponse de Pierre Bernadau, Bordeaux, 4 septembre 1790 (et aussi : traduction en occitan par P. Bernadau de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, 10 septembre 1790).
[8] ibid. : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k19834v/f230
Conten : réponse de Pierre Bernadau, Bordeaux, sept. 1790-janvier 1791 (suite) ; réponse de la Société des Amis de la Constitution de Mont-de-Marsan (dépt. des Landes), s. d.
[9] RLR, 1877, série 2, t. IV : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k198356/f213
Conten : réponse de la Société des Amis de la Constitution de Mont-de-Marsan, s. d. (suite) ; réponse de la Société des Amis de la Constitution du club de Périgueux (Dordogne), Périgueux, 28 novembre 1790 ; réponse du citoyen Dithurbide (sur le basque), Lectoure, 1er messidor an II [19 juin 1794] ; réponse de la Société des Amis de la Constitution de Maringues (Puy-de-Dôme), s. d. ; réponse de la Société des Amis de la Constitution, Limoges, 6 novembre 1790.
[10] RLR, 1878, série 2, t. V : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k19836j/f9
Conten : réponse de Colaud de la Salcette, district de Dire (dépt. de la Drôme), 12 janvier 1792 ; Claude-François Achard, « Syntaxe de l'idiome provençal » présentée au Comité d'Instruction Publique, 1794.
[11] ibid. : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k19836j/f237
Conten : Claude-François Achard, « Syntaxe de l'idiome provençal » (suite) ; réponse de Lorain fils, district de Saint-Claude (dépt. du Jura), 14 septembre 1790 (dialectes bourguignons) ; réponse de Joly, Saint-Claude (dépt. du Jura), 7 septembre 1790 ; réponse de M.-J.-P. Rochejean (Jura ; Ardèche), 15 mars 1791.
[12] RLR, 1878, série 2, t. VI : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k19837w/f51
Conten : réponse de M.-J.-P. Rochejean (Beaumarchais, Seine-et-Marne ; Sully, Loiret), 15 mars 1791 ; (notes de Grégoire) patois de Maconnais, Dombes, Bresse ; (notes de Grégoire) Bourguignon ; réponse de Bernardet, Mazille (Saône-et-Loire), 28 décembre 1790 ; réponse d'Oberlin, Strasbourg, 28 août 1790 (dialecte d'Alsace) ; réponse d'Aubry curé de Bellevaux (duché de Bouillon, région wallonne), 26 février 1792.
[13] ibid. : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k19837w/f169
Conten : réponse d'Aubry curé de Bellevaux (duché de Bouillon, région wallonne), 26 février 1792 (suite : Dictionnaire du patois du duché de Bouillon ; Conjugaison des verbes wallons).
[14] RLR, 1879, série 3, t. I : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k198387/f53
Conten : réponse de J.-B. Hennebert, Saint-Omer, 21 novembre 1790 (dialectes de l'Artois) ; réponse de Vincent Poupart, Sancerre, 9 septembre 1790 (dialectes du Berry) ; réponse de Pressac, curé, Saint-Gaudent (dialectes du Poitou, dépt. de la Vienne), s. d.
[15] ibid. : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k198387/f183
Conten : réponse de Pierre Riou, laboureur à Plougonoil, 17 octobre 1790 (breton) ; réponse de [Lequinio ?], s. l., s. d. (breton) ; Appendice : Rapport de Grégoire à la convention ; lettres reçues par Grégoire après 1791.
Une fois l'hérésie cathare mise à bas et les domaines des souverains languedociens entrés dans l'escarcelle française, les anciens châteaux dits encore parfois "cathares" sont tout particulièrement mis à profit. La clé de voûte demeure Carcassonne, le siège de la sénéchaussée.
La paix des Pyrénées et l'entrée du Roussillon dans le giron français, met fin au rôle militaire de la forteresse. Laissé à l'abandon à compter de cette date, le château de Quéribus a fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques en 1907. Grâce à cette reconnaissance, il bénéficie depuis 1951 d'un important programme de restauration. On peut y découvrir aujourd'hui encore des vestiges de son rôle défensif mais également de la vie quotidienne de ses habitants : citerne enduite destinée à récupérer les eaux précieuses lors d'un siège, corps de logis...
Al còr d’Aude, Carcassona e sa ciutat legendària escondon mantun secret. Caminarem sus las muralhas puèi anirem cap a la vila bassa al rencontre de l’un de sos melhors ambaissadors, Renat Nelli. Après anirem a la Bibliotèca d’aglomeracion de Carcassona per descobrir un dels caps d’òbra de la literatura occitana : lo Roman de Flamenca, unenca pèça originala medievala en occitan encara conservada en tèrras d’òc.
Se pòt pas parlar de Carcassona sens res dire de la dòna que, segon la legenda, li auriá balhat son nom : Dòna Carcàs. Una istòria que s’i mesclan Carlesmanhe, d'espaurugals e un porcelon gras...
L'identité d'une ville se construit fréquemment autour d'un ensemble de mythes fondateurs, de marqueurs symboliques réunissant sa population. Ville jeune, Sète naît réellement avec son port en 1666. C'est tout naturellement que le port, les canaux qui font de Sète la Venise languedocienne, la baleine de sable - son emblême, et les produits locaux faisant la part belle aux fruits de la mer - pensons à la tielle - soulignent le caractère maritime de celle qui fut au départ une île entre mer et étang.
Aux rangs des symboles et mythes fondateurs figurent sans conteste les joutes nautiques, pratiquées une première fois lors des Fêtes accompagnant la fondation officielle de la ville. Si Sète n'en est pas le berceau originel, les joutes nautiques de la ville se sont progressivement hissées vers les sommets de la pratique.
La naissance de la pratique des joutes à Sète, accompagne celle de son port, officiellement inauguré le 29 juillet 1666 (cf. TREMAUD, Hélène. Les joutes languedociennes. Paris, éd. Maisonneuve et Larose, 1968). Pour son baptême, la ville de Sète reçu les joutes en présent. Ce seraient des pêcheurs d'Aigues-Mortes qui auraient pour l'occasion initiés les habitants locaux à cette pratique sportive durant ces journées particulières.
À Sète, les joutes se déroulent dans le Canal royal, ce bras d'eau relayant la ville à l'étang de Thau, creusé par Riquet à l'époque de Louis XIV et de son ministre Colbert. Un espace délimité par le pont National et le pont Legrand, et que s'approprient pour un temps les jouteurs. Leur pratique s'inscrit alors pleinement dans la ville, sa vie quotidienne et son histoire, en ce cadre d'exception qui renvoie aux origines et aux pères fondateurs de la ville. L'espace d'ailleurs se modifie le temps de la fête. Des gradins, ouverts à tous et gratuits, permettent aux spectateurs de tous horizons de s'installer pour regarder l'affrontement.
La fin du XVIIIe siècle semble marquée par le tournant d'un combat par équipe, à une lutte d'individu à individu, dont les modalités s'ordonnance dès lors sur la base du hasard d'un tirage au sort. Un temps, l'opposition nouvelle, bascule de celle de deux groupes d'âge, groupe des jeunes célibataires face aux hommes mariés, à celle de métiers, de quartiers, voire de communautés : lutte entre quartier-haut et la Bourdigue, pêcheur de haute-mer et pêcheur d'étang.
Le début du XXe siècle, marqué en 1902 par la création de la première société de jouteur, la « Société des jouteurs cettois » opère une nouvelle évolution (cf. DI NITTO, Paul-René. C'était Cette. Ch.III. Montpellier, Espace Sud, 1996. P.171). Progressivement le jeu se codifie de plus en plus (on passe à un nombre limité de passes, cinq puis trois), emprunte aux sports leurs caractéristiques (le blanc de la tenue, le caractère compétitif qui augmente quand croît le nombre de sociétés), sans perdre malgré tout, son identité réelle.
Saint-Louis de 1891, deux femmes sur la tintaine. Cette année-là, les joutes jusque-là réservées aux seuls jouteurs locaux, s'ouvrent régionalement, avec la création du tournoi du Lundi. L'édition de 1891 est également marquée par la participation de deux sœurs, Anne et Elyse Sellier, toutes deux originaires de la Pointe Courte. L'Éclair du 2 septembre 1891 fait le résumé de cette joute particulière, qui vit s'affronter les deux sœurs (Anna envoyant sa sœur mais aussi un autre jouteur, dans les eaux).
Quelques jouteurs célèbres :
Barthélémy Auvenque, dit le Terrible, l'un des premiers champions historiques des joutes sétoises, Don Quichotte de l'Ancien Régime, qui fit le défi de jouter conre le pont levis en bois qui traversait le canal royal à son époque.
Hilaire Audibert dit l'Espérance, originaire du Quartier Haut, qui se démarqua en portant habit noir et cravate blanche sur la tintaine, fut gravement blessé (il manqua perdre un œil) et Martin le Gaucher, de la Bordigue, sont successivement les champions des joutes au XIXe siècle.
Louis Vaille dit le Mouton, premier XXe siècle, dix fois triomphateur de la Saint louis entre 1904 et 1923 (cf. BLANC. Ibid. P.35). Un homme d'une importante corpulence, il pesait aux alentours de 150 kg, qui souffrit d'un manque de popularité très certainement lié à cette physionomie hors du commun.
Codifiées différemment, empruntant aux sports modernes son organisation, les joutes nautiques n'en demeurent pas moins traditionnelles dans leur forme et leur respect d'un certain cérémonial, bien que la fréquence accrue du nombre de tournois diminue d'autant l'intérêt portée aux défilés. Cependant les joutes de la Saint-Louis demeurent un temps à part. Elles sont surtout partie prenante de l'identité sétoise et contribue hier comme aujourd'hui, à la bonne vie de la cité et à la sociabilisation entre communautés. L'ensemble des cérémonies, défilés, rites qui entouraient et entourent toujours la pratique des joutes, contribuent à l'affirmation d'un groupe social unifié.
Lo roman de Flamenca, redigit en occitan al sègle XIII per un anonim, nos es arribat jos la fòrma d’un sol manuscrit incomplet, retrobat a Carcassona a l’escasença de las confiscacions revolucionàrias.
Aquela videoguida d’animacion realizada en 2014 dins l’encastre del projècte e-Anem vos propausa de (tornar) descobrir aquel cap d’òbra sulfurós de la literatura medievala, demorat desconegut per mai de sièis sègles.
Version occitana sostitolada en francés
Aquesta seria de vidèoguidas en occitan escricha e producha pel CIRDÒC propausa de descobrir lo patrimòni cultural e toristic de la region Lengadòc-Rosselhon amb 48 filmòts d'animacion tematics d'une durada de 2 a 3 minutas.
Produch mercé al sosten del FEDER en Lengadòc-Rosselhon.
Episode 3 : Lo Monstre de la rivièira
Le Monstre de la rivière
Sostitolatge francés e anglés disponible
Perqué i a una sèrp qu'engoulís un enfant sus las armas de Bisan ?
Compausat de 8 sequéncias, Un còp èra Bisan es estat realizat en 2014 per Fred de Fred a partir d'enquèstas sonòras en occitan fachas pels escòlans de la Calandreta de Bisan de Menerbés (Aude) e d'imatges d'archius recampats per lo CIRDÒC-Mediatèca occitana e los estatjants de la comuna.
Cans, Michel, “Les villages de l'Hérault dans les années 1950" / Michel Cans, réalisateur
"Réouverture de la coopérative L'Oulibo à BIZE" in JT Montpellier, ORTFMO 1970, collections INA RBF06075373
"Huilerie de Bize-Minervois" in JT Montpellier, ORTFMO 1973, collections INA RBF06075309
"Le nadalet, une vieille coutume" in Échos et reflets, ORTFTL, 1969, collections INA RBC9604022762
"La véritable histoire de la Tarasque" [images animées] / Marchand, Lionel, réal. Cinéfacto (Gard) 2011.
Fonds Mazard, archives familiales conservées au CIRDÒC-Mediatèca occitana
Bonnis, Pierre, "Ma bigno" / Pierre Bonnis, (1873-1933)