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Accordéoniste formé chez les Brayauds, Tristan joue et danse les musiques auvergnates depuis son enfance. Séraphine commence la musique classique par le chant, la flûte et le violoncelle puis découvre et se passionne pour les musiques traditionnelles. Ces deux-là se sont rencontrés sur un air de bourrée au Gamounet en 2014 et ont décidé de réunir leurs univers pour proposer un bal traditionnel auvergnat parsemé de clins d’œils à d’autres musiques (classique, balkans, yiddish…) Il est couteau , elle est canif, ensemble ils vous proposerons de belles tranches de joies et de danses !
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Chez Tricoine est un groupe mono instrumental à la parité parfaite : 2 filles , 2 gars ! Le pigeonnier de M. Tricoine, au Gamounet, est leur atelier, le chaudron où ils mitonnent des airs de leur composition et assaisonnent les airs traditionnels des violonneux du massif de l’Artense (sud Puy-De-Dôme). Au son de leurs violons, ils vous feront danser scottishs, polkas, bourrées, valses et mazurkas…. Chez Tricoine participe également à des animations de rue, et à des apéritifs musicaux.
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Trois cornemuseux d’Auvergne, amoureux des musiques à bourdon, ils aiment cette épaisseur, cette profondeur du son, et les polyphonies improvisées qu’ils brodent sur des mélodies nouvelles et anciennes. Les timbres graves et aigus de leurs « musettes du Centre France » se marient, créant un trio de voix qui s’entrelacent, s’opposent, se complètent et se confondent afin d’exprimer un discours musical partagé. Ce trio de musettes s’inscrit tout naturellement dans la pratique des polyphonies de cornemuses, mise en place au début des années 80. A chacun son rôle : Marien joue les mélodies, Ivan brode des contre chants dans les médiums et les aigus, et Christian des contre chants dans les graves. Ces trois compères ont produit un enregistrement de cette déjà longue aventure musicale, mature comme les baies rouges qui ornent la jaquette de leur album, aux arômes confits, aux sons chauds, aux ambiances un peu mélancoliques et pleines de sagesse, aux odeurs de cuir et de bois durs, comme ces bons vins qu’ils apprécient …
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Lenga d'òc/Lengo d'o : Lei Santons, un art populari / Tè Vé Òc
TèVéÒc. Producteur
Cros, Amy. Metteur en scène ou réalisateur
Emission dau 3 de febrièr de 2017

Arribam sus la fin dei fèstas calendalas, amb lei belems que son una vertadièra tradicion de Provença, au costat dei pastoralas. Reportatge au Salon dei Santonièrs, en Arles. Aquí, amators e professionaus s'acampan per partejar una passion comuna d'aquest' art populari : lei santons.
Realizacion : Amy Cros
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Lenga d'òc/Lengo d'o : Trad'Hivernales : Mèdias e cultura d'òc / Tè Vé Òc
Gros, Lise. Metteur en scène ou réalisateur
TèVéÒc. Producteur
Cros, Amys. Metteur en scène ou réalisateur
Emission dau 27 de genièr de 2017

Lei Trad'Hivernales festejèron sa 18enca edicion dau 20 au 22 de genier de 2017.
Concèrts, atalhiers, Cafè Òc, conferéncia, platèu ràdio e taula redonda atrivèron un public qu'iverna pas. Lo tot, mai ò mens estacat a l'occitan que lei Trad meton cada an a l'onor. Dins aqueste reportatge, vos presentam un rendut-còmpte de l'edicion 2017, emb un accent sus la vida mediatica occitana.
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Avec l'Agenda de la FaBrica, ÒCTele et le CIRDÒC vous proposent en images, chaque mois, un avant-goût des rendez-vous culturels de tout le territoire occitan.

À voir aussi sur ÒCtele

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Calandreta de l'Union
Pour soutenir la Calandreta de l'Union et l'aider à trouver de nouveaux locaux, Eric Fraj chantera à la Salle des Fêtes de l'Union.

Accompagné à la guitare par Morgan Astruc il interprètera aussi bien en occitan, catalan ou castillan quinze poèmes de Federico Garcia Lorca dans la traduction de Max Rouquette, tirés du Romancero Gitano, du Cante Jondo, du Divan del Tamarit ou encore du Llama per Ignacio Sanchez Mejías.

La voix occitane toute de clarté et d'ombres, les rythmes andalous en résonance discrète fusionnent pour donner quelque chose de neuf, d'original et de très émouvant.

En première partie, Caña Brava vous proposera un concert-bal de musiques et chants latino-américians et du bassin méditerranéen.

Programme de la soirée :

18h00 : Caña Brava
20h30 : Eric Fraj

Buvette et restauration sur place

Tarif plein : 10 euros
Tarif réduit : 7 euros
Enfant -12 ans : gratuit

Pour en savoir plus
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Miralhet est un trio de part et d’autre des miroirs. Rassemblant, autour de Jacques Puech, Antoine et Clémence Cognet, ils proposent un bal où les mélodies roulent et grondent, scintillent et virevoltent, attirant et propulsant les acteurs dans leurs danses effrénées.
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La Vielha ("la vieille") chante des histoires venues d’hier qui parlent aux oreilles d’aujourd’hui. Ils sont quatre : Clémence Cognet, Lucie Dessiaumes, Loïc Etienne et une vieille, une vraie, ou presque. Trois musiciens pour interpréter les mélodies et les mots sensibles d’une poésie populaire du Massif Central et d’ailleurs. Une marionnette brodeuse de menteries pour animer le bal. Une musique vivante à danser, à écouter, pour le plaisir !
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Brayauds

L'association

L’association (loi 1901) a été créée en 1980, après avoir été durant 7 ans une activité de l’Amicale laïque de Saint-Bonnet près Riom.

Dans la vaste sphère du patrimoine rural, elle privilégie d’emblée les domaines de l’expression que sont la musique, le chant, la danse. Recherche, formation, et expression sont les trois axes majeurs de son action.

Son travail de collecte lui permet de rassembler de nombreuses données sur les répertoires, les instruments, l’interprétation, mais aussi le cadre environnemental dans lequel ces disciplines artistiques se sont développées. Forts de ces acquis et de ces expériences, les Brayauds développent leurs initiatives dans le domaine expressif : création de plusieurs ensembles musicaux aux répertoires et styles variés, mise en œuvre de spectacles combinant musique, danse théâtre.

Enfin et surtout, maintien d’une pratique vivante, spontanée, des musiques et danses traditionnelles lors de bals, concerts, veillées… Appuyés par leur reconnaissance musicale sur le plan national, sollicités par une importante demande de formation, favorisés par la possession d’un outil d’accueil aussi remarquable que le Gamounet, ils organisent des stages de formation dès 1982 et rapidement ce lieu devient un important centre de transmission des connaissances orales.

Depuis 1998, l’association est reconnue comme Centre Départemental des Musiques et Danses Traditionnelles du Puy-de-Dôme (CDMDT 63) ; elle fait partie du réseau régional fédéré par l’Agence des Musiques des Territoires d’Auvergne, et du réseau national de la Fédération des Associations de Musiques et Danses Traditionnelles.

Depuis lors, l’association mène de nombreuses activités dans les domaines de la formation (une dizaine de stages de musique et de danse par an, une école de musique associative, le réseau TRADAMUSE…), de la diffusion (une saison culturelle riche, un festival « Les Volcaniques« …), de la création (près de 20 groupes brayauds) et de la conservation (Le Gamounet, archives…).

Le CDMDT63

Depuis 1998, les Brayauds sont officiellement Centre départemental des musiques et danses traditionnelles du Puy-de-Dôme.

Alors que des CDMDT43, 15 et 03 existaient déjà depuis de nombreuses années, il devenait nécessaire de créer un CDMDT63 sur le département, distinct de la structure régionale existante. Avec le soutien de l’AMTA et de la DRAC Auvergne, notamment, le choix de le confier aux Brayauds, plutôt que de créer une nouvelle organisation, a été guidé par l’importance des activités départementales de notre association.

Le CDMDT63 n’est pas une entité supplémentaire distincte de l’association Les Brayauds ; une partie des activités de l’association entre en réalité dans la catégorie des actions du CDMDT63.

Les groupes brayauds

Depuis sa création, l’association compte en son sein des formations musicales différentes. Qu’il s’agisse de lien générationnel, artistique, affectif ou esthétique, chaque groupe brayaud a sa raison d’être, et s’engage associativement.

Un groupe « estampillé brayaud », selon la formule historique, s’engage en effet par les valeurs qu’il transmet et par l’aide indispensable qu’il apporte à l’association. Chaque groupe brayaud joue en effet bénévolement (exceptés les professionnels) au Gamounet et en dehors du Gamounet, dans une logique d’éducation populaire : l’apport financier en contrepartie de leurs prestations permet aux Brayauds d’entretenir leur lieu et de financer, en partie, l’école de musique.

Le cadre du Gamounet a toujours été favorable à la création artistique. Les anciens élèves de l’école de musique, souvent regroupés en fin de cursus au sein de l’enseignement « musique d’ensemble », sont amenés à former leurs propres groupes ; des musiciens de passages, qui ont été à la fois nombreux et fondateurs dans l’histoire des Brayauds, peuvent être séduits par le lieu et/ou ses occupants ; des musiciens chevronnés ont parfois l’envie d’explorer un nouvel univers musical ou de monter un nouveau projet différent de ce qu’ils font déjà, sous l’œil et l’oreille attentifs, bienveillants mais également constructifs des autres…autant de raisons qui font que le Gamounet peut être qualifié de « pépinière » à musiciens, ajouté au fait que le patrimoine immobilier de l’association comprend au moins 5 salles de répétition qui peuvent être utilisées à volonté par les musiciens brayauds durant l’année – sauf le mercredi, jour d’école de musique !

Ces conditions, qui ont été mises en place dès les années 1980 par une équipe de bénévoles engagée et visionnaire, ont permis dès le départ la multiplication et le perfectionnement des formations musicales, qu’elles préexistent à leur arrivée dans l’association ou non : Basse Combrailles, Réveil Matin, Passe Aqui, Eau Forte, Taravelle, Les Blaireaux… Près de 50 groupes différents se sont formés au sein de l’association ; chaque année amène son lot de nouvelles créations, mais aussi parfois de mise en sommeil de projets qui seront repris quelques années plus tard… ou non ! Si certains n’existent plus aujourd’hui, ou plus sous la même forme, tous ont partagé un fond commun qui est celui de l’amour de leur territoire et de la belle musique. Aujourd’hui, une vingtaine de formations différentes co-existent chez les Brayauds-CDMDT63.

 Que le choix artistique du groupe se porte sur la stylistique de telle ou telle aire culturelle, sur la mise en avant de tel instrument, sur le réinvestissement d’un répertoire ou la création musicale, sur la musique à danser ou à écouter, sur l’utilisation des possibilités modales ou l’exploitation minimaliste assumée des mélodies, sur la variation mélodique ou rythmique, il ressort en effet une unité des groupes brayauds.

La cadence, les choix musicaux et même, parfois, le style des musiciens font qu’en l’absence même de répertoire commun, il est bien souvent facile d’identifier un groupe brayaud lâché dans la nature…

Tous les groupes brayauds se déplacent et jouent aussi bien au Gamounet qu’en dehors. N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus !

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