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Lo Cobreto. - 1923, n°39 (Juin), Onnado 04
Vermenouze, Arsène (1850-1910)
Lo Cobreto. - 1923 - N° 39
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Lo Cobreto. - 1923, n°40 (Juillet), Onnado 04
Vermenouze, Arsène (1850-1910)
Lo Cobreto. - 1923 - N° 40
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Lo Cobreto. - 1923, n°41 (Os), Onnado 04
Vermenouze, Arsène (1850-1910)
Lo Cobreto. - 1923 - N° 41
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Lo Cobreto. - 1923, n°42 (Setembre), Onnado 04
Vermenouze, Arsène (1850-1910)
Lo Cobreto. - 1923 - N° 42
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Lo Cobreto. - 1923, n°43 (Octobre), Onnado 04
Vermenouze, Arsène (1850-1910)
Lo Cobreto. - 1923 - N° 43
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Lo Cobreto. - 1923, n°44 (Noubembre), Onnado 04
Vermenouze, Arsène (1850-1910)
Lo Cobreto. - 1923 - N° 44
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Lo Cobreto. - 1923, n°45 (Decembre), Onnado 04
Vermenouze, Arsène (1850-1910)
Lo Cobreto. - 1923 - N° 45
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Lo Cobreto. - 1924, n°46 (Jombiè), Onnado 04
Vermenouze, Arsène (1850-1910)
Lo Cobreto. - 1924 - N° 46
Lu Rauba Capèu 02.JPG
A Nice, le « Rauba-Capèu » est un vent de mer qui décoiffe...et le moins qu'on puisse dire c'est que ce groupe n'a pas choisi son nom par hasard ! Enfants des baletis de l'arrière-pays niçois, les frères Casagrande, Renaud et Sylvain, accordéonistes et chanteurs, font de leur musique, faite d'airs traditionnels des Alpes du Sud et de compositions inspirées, une vraie musique populaire sur laquelle il est très difficile de ne pas danser ou au moins suivre le mouvement ! Leur fougue est doublée de l'énergie d'un batteur aux rythmes lourds et soutenus et de la légéreté mélodique d'un fifre qui vient souligner l'ensemble. Lu Rauba-Capèu soufflent un vent de saine folie, qui pousse loin les chaises et rapproche les publics, porte le chant et les basses, et érode les frontières musicales : trad, folk, reggae, jazz... Tot aquò es pas que de balèti !
Lo Còr de la plana Copyright  Augustin Le Gall.jpg
Marcha !
Avec ce répertoire, le choeur masculin le plus explosif d’Occitanie poursuit son action de ré-appropriation. Consacré aux chants politiques, Marcha ! s'appuie sur des textes des trobaires marselhés, une bande d'écrivains politiques ouvriers de la fin du XIXè, qui voulurent en découdre avec toutes les formes de répression et d'autorité. A ces chants anticléricaux, radicaux et joyeux, répondent des compositions où Lo Còr de la Plana pointe ce qui fait la Marseille d'aujourd'hui : la médiocrité des édiles, la répression stupide de ceux que l'on appelle à tort canalha, les collusions politico-mafieuses… mais aussi les allégresses, les espoirs et les coups de gueule de la cité phocéenne, la puissance savoureuse de ses habitants. Une géopolitique de l'humain, un zeste de sauvagerie élégante, et beaucoup d'indépendance !
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