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Concèrt d'Ardalh (Bearn), a Saint Ferriol, lo 2 de setempre a 21h00 (10€)
Cafè­ cantaires ambe le Xavier Vidal, organizat lo 1er de setembre a 18 a Tolosa, per La Topina e l'associacion AMTET. Podètz cantar en occitan en grop acompanhats de musicaires, quin que siá vòstre nivel de lenga e de cantgratuit).
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Archives départementales des Hautes-Alpes, Fonds André Francès
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Histoire du fonds

André Francès est un universitaire, auteur de nombreuses recherches et publications sur le parler des Alpes.

Description du fonds

Le fonds se compose de notes d’enquêtes linguistiques menées par André Francès dans le cadre de ses travaux sur l’occitan parlé dans les Hautes-Alpes (occitan alpin) auprès de divers locuteurs des communes de La Salle-les-Alpes, Abriès, Molines-en-Queyras et Saint-Véran, Cervières, Saint-Chaffrey, Puy-Saint-Pierre, Puy-Saint-André, Saint-Martin-de-Queyrières, Villar-Saint-Pancrace, Le Monêtier-les-Bains, ainsi qu’un corpus d’enquêtes sonores menées auprès de locuteurs de la commune de Cervières.

- Accroissement

clos

- Dates extrêmes

1980

- Langues représentées dans le fonds

Occitan (provençal), français

- Importance matérielle

7 dossiers d’enquêtes ; 13 cassette audio.

- Supports représentés :

Manuscrits, enregistrements sonores.

Pour le consulter

- Identifiant du fonds

147 J 1 à 7 (notes d’enquêtes)
1 AV 48-60 (enregistrements sonores)

Instruments de recherche disponible

Inventaire en ligne sur le site des AD05

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Archives départementales des Hautes-Alpes, Fonds François Pascal
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Histoire du fonds

François Joseph Célestin Pascal (1848-1932) est né le 17 mai 1848 dans le village de l’Epine (Hautes-Alpes) au sein d’une famille de cultivateurs. Il rentre au séminaire à Chorgues, avant d’exercer comme vicaire dans plusieurs villages des Hautes-Alpes. En 1888, il devient curé de Méreuil, puis retourne à Gap en qualité d'aumônier du collège puis du Lycée où il restera jusqu’en 1908.
En 1879, il déclare sa volonté de s’engager pour la défense de son parler occitan dans un courrier adressé au majoral Victor Lieutaud. La même année, il publie son premier recueil de poèmes Une nia dou païs qui sera salué par Frédéric Mistral et Joseph Roumanille puis publié l’année suivante dans l’Armana Prouvençau dont il deviendra un collaborateur régulier.

En 1881, il fonde, avec des érudits locaux, la Société d’Études des Hautes-Alpes et l’Escolo de la Mountagno dont il devient le “Cabiscol” (responsable). À la Sainte Estelle de Marseille de la même année, il est élu majoral du félibrige et organise les fêtes du félibrige à Gap en 1882. Il poursuit son œuvre occitane par la traduction de l’Iliado d’Oumero, qui paraîtra en trois tomes entre 1884 à 1892.

Par la suite, il publiera régulièrement des poésies en occitan dans le journal de Gap Le courrier des Alpes, jusqu’à ses dernières publications en 1926. Il meurt à Gap le 24 mars 1932.

Description du fonds

Les archives des Hautes-Alpes conservent deux ensembles relatifs à l’œuvre de l’abbé François Pascal.
Le premier d’entre eux est conservé sous la cote 8 J et correspond au Fonds François Pascal. Bien que ce fonds ne soit pas encore inventorié à ce jour il demeure toutefois accessible sur place.
Quatre autres manuscrits de l’abbé François Pascal sont également consultables aux archives des Hautes-Alpes : un Livre du raison du félibrige et trois volumes de Notes sur la grammaire provençale et le félibrige.

- Accroissement

clos

- Dates extrêmes

XIXe-XXe siècles

- Langues représentées dans le fonds

Occitan (provençal), français

- Supports représentés :

Manuscrits

Pour le consulter

- Identifiant du fonds

8 J

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Archives départementales des Hautes-Alpes, Fonds Paul Pons
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Histoire du fonds

Paul Pons d'après une photographie publiée dans <i>Prouvenço d'aro</i>, n°28, 1989

Paul Pons (1910-2003) est né à Digne d’un père catalan-mayorquain et d’une mère gavote le 8 juillet 1910. Après des études au Lycée Gassendi de Digne et à la faculté des Lettres d’Aix, il obtient sa licence en histoire-géographie. Il entre dans l’enseignement en 1929 comme maître d’internat au collège de Cannes, puis à Manosque et enfin à Aix-en-Provence où il retrouve René Jouveau. De 1929 à 1931, il assure la publication mensuelle du journal Lou Gavouot.

D’abord mobilisé en 1939 dans les Alpes, il est rapidement démobilisé suite à la défaite française et rentre enseigner à Valence, puis à Briançon, la Flèche et finalement à Gap. Enseignant en histoire-géographie et en provençal, il milite au début des années 1950 en faveur de la loi Deixonne qui permet l’enseignement des langues régionales.

En 1956, il organise la sainte Estelle de Gap où il est élu majoral du félibrige et en 1961 il participe aux premières rencontres Provence-Piemont à Santo-Lucio de Coumboscuro.
Membre du bureau du Prouvençau à l’Escolo et co-fondateur de l’Unioun Prouvençalo, il en devient président. Il intègre ensuite la Société d’Études des Hautes-Alpes et y publie plusieurs études d’histoire régionale. Bien que retraité en 1970, il continue de préparer les élèves du lycée de Gap aux épreuves de provençal au baccalauréat. Il devient Capoulié du félibrige en 1989 et occupe cette place jusqu’en 1992. Il décède à Gap en 2003.

Description du fonds

Le fonds Paul Pons se compose d’un ensemble hétérogène de notes de lectures, brouillons, tirés-à-part, documentation et correspondance. Il se rapporte à des études extérieures aux Hautes-Alpes (notamment Italie et Provence), d’histoire locale (géographie, histoire) et au régionalisme.
Il contient également des dossiers relatifs au félibrige ainsi que la correspondance reçues par Paul Pons.

- Accroissement

clos

- Dates extrêmes

1929-2002

- Langues représentées dans le fonds

Occitan (languedocien, provençal, vivaro-alpin), français, catalan

- Supports représentés :

Monographies imprimées, manuscrits, périodiques, documents iconographiques

Pour le consulter

- Identifiant du fonds

96 J 1 à 114

- Instruments de recherche disponibles

inventaire imprimé

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Sandra Juan, CIRDÒC
Les Biterrois et les Narbonnais se réuniront le mercredi 21 septembre prochain à Béziers à l'invitation du Cercle occitan biterrois, pour une soirée d'échanges autour de la littérature et de la musique occitanes.

À 17h30, rendez-vous au CIRDÒC pour un Aperitiu-Charadissa en compagnie de Colette Derdevet-Meneau, auteure en 2015 de l'Empalhaire, d'Alan Roch et de son ouvrage 2800 signes, et de l'humoriste Clamenç qui présentera pour l'occasion le récent Còps d'uelh.

À 20h30, pour poursuivre la soirée en musique, le cercle occitan de Béziers vous convie à la MJC Raimon-Trencavel pour un concert exceptionnel de Philippe Vialard. Inscription gratuite auprès du cercle occitan au 04.67.11.85.10. / ieolengadoc@ieo-oc.org
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Joanna Cassoudesalle - CIRDÒC

STAGE ouvert à tous :
lecteurs ou non de la musique : l'apprentissage passera par l'oralité mais les textes et partitions serons fournis.

CONTENU du STAGE :
Les musiciens de Sirigauda vous proposent de venir vous plonger dans l'univers des chants traditionnels en langue d'oc de la Drôme et des Alpes, chansons et rigaudons chantés, et même dansés !
Vous serez accompagnés au son du violon, et pourrez mettre en pratique les chansons à danser apprises lors du concert-bal donné par Sirigauda le dimanche après-midi.

Sources : livre-CD « Chansons traditionnelles et populaires de la Drôme » et « chansons populaires des Alpes françaises » (1903) de Julien Tiersot

Rencontre :
Rencontre avec Han Schook, Jean Bernard Plantevin et Patrick Mazellier auteurs du livre Chansons traditionnelles de la Drôme vendredi 21 octobre soir

Sirigauda :
Sirigauda s'attache à mettre en valeur et transmettre les chansons et airs à danser des Alpes, principalement en langue d'oc, autour bien sûr de cette danse emblématique qu'est le rigaudon. Sirigauda s'appuie sur différentes sources de collectages, du XIXe siècle à nos jours, voire certaines sources même plus anciennes sur le propre répertoire de Thierry Cornillon, reçu en tradition orale, tant en chant qu'au fifre.

www.facebook.com/sirigauda

https://youtu.be/lnr8G8LmT6E
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BLANCAFLOR vous emmène au XVIème siècle, à la Renaissance, à la découverte de chants, danses, chansons à danser,...

Les musiciens de BLANCAFLOR, issus de Flor Enversa et nourris de leur expérience en musique traditionnelle, musique renaissance et recherches en lutherie, ont à coeur de transmettre ce patrimoine poétique et musical de la Renaissance, au son des liras da braccio, violons, luth, viola da mano, rebec, flûtes,...

Blancaflor s'attache tout particulièrement à développer trois axes:

- la mise en valeur du patrimoine musical et poétique en langue d'oc de la Renaissance (l'ensemble est basé en Provence et s'intéresse au répertoire de la Provence, mais aussi de toute l'Occitanie)

- retrouver le lien si évident entre musique traditionnelle et musique renaissance, tant par les timbres de voix, par l'énergie de la danse que par l'art de l'improvisation.

- travail de lutherie: reconstitutions d'instruments d'après les sources de l'époque par les membres de Blancaflor eux-même (viola da mano, liras da braccio, rebec...)

Les musiciens de Blancaflor sont issus de l'ensemble Flor Enversa, ensemble spécialisé dans l'art des troubadours du XIIe et XIIIe s.

Mai d'infos : aquí

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Flor Enversa (la fleur inverse, d'après une chanson de Raimbaut d'Orange) chante la lyrique courtoise des troubadours, et emmène son public 800 ans en arrière, dans l'Occitanie du Moyen Âge, dans ces cours du sud de la France habitées par la cortesia et la fin’amor.

Les troubadours y composent poésie et musique en langue d’oc, et proposent dans leurs chants un nouvel art de vivre guidé par l’amour. Ils louent jeunesse, beauté, générosité, courage, instruction et intelligence, sincérité et noblesse de cœur, qui embellissent la dame désirée, le troubadour lui-même et son chant.
Des dames composent aussi, telles Clara d’Anduza ou la Comtesse de Die.

De toutes origines sociales, humbles jongleurs à leurs débuts ou de sang royal comme Richard Cœur de Lion, les troubadours investissent les cours et les châteaux d’un immense élan créatif, qui atteindra un sommet tel qu'il influencera les trouvères au nord, les minnesänger en Allemagne et même Dante en Italie.

Flor Enversa, c’est Domitille Vigneron et Thierry Cornillon, des passionnés de la lyrique courtoise des troubadours. Chanteurs, instrumentistes et chercheurs, ils font revivre avec un souci d’authenticité et de sincérité les œuvres de ces poètes du XIIème et XIIIème siècles, véritables joyaux de notre culture.

Ce duo s'enrichit volontiers de la collaboration d'autres artistes, chanteurs et musiciens.

Flor Enversa se base dans son interprétation sur une langue d'oc vivante et sur la manière de chanter en chant traditionnel pour retrouver ce chemin de l'oralité qui était celui des troubadours.

L'ensemble utilise lors de ses concerts des instruments reconstitués pour la plupart par les musiciens eux-même d’après sculptures, enluminures de manuscrits, recherches archéologiques, textes et traités, ceci afin de faire revivre les sonorités du Moyen Age.

L'accompagnement instrumental est improvisé comme il l'était à l'époque. (vièles à archet, vièle en huit, rote, harpe, psaltérion, flûte,...)

Flor Enversa propose de nombreux programmes de concert autour de l'art des troubadours.

Flor Enversa a enregistré trois disques: les chansons de Raimbaut de Vaqueiras, troubadour provençal (Savis e fols, 2009), celles du troubadour auvergnat Peirol (Senher Dalfin, 2010) et un album autour du seigneur et troubadour Blacatz (Blacatz de Proensa, 2013, Bravo Trad Mag).

Depuis sa création en 2006, Flor Enversa s'est produit dans de nombreux festivals en France et à l'étranger: Italie, Allemagne, Musée du Moyen Age à Paris, Abbaye de Vignogoul, Les Estivales du Conseil Général des Alpes Maritimes, en Provence, Alsace, Bourgogne, Normandie, Auvergne, sud-ouest...et notamment dans le Festival Trobarea dont Thierry Cornillon est le directeur artistique et fondateur, autour de l'art des troubadours.

Par ailleurs, Flor Enversa a aussi animé des stages autour de l'art des troubadours et des instruments qui peuvent accompagner le chant à cette époque. (sources manuscrites, langue d'oc, archéo-lutherie, modes de jeu , improvisation instrumentale,...)

Les membres de Flor Enversa, Thierry Cornillon et Domitille Vigneron ont également été invités à parler de leurs travaux autour des troubadours ou de leurs recherches en lutherie lors de colloques, séminaires ou tables rondes: colloque Philologie et musicologie (Rome, 2015),
colloque « Restitution du son-l'instrumentarium du Moyen Age » (Paris et Chartres – 2014), séminaire Musiconis (Paris Sorbonne,2014), festival de Largentières...
Mais également lors d'émissions de télévision ou radio (FR3 émission « Vaqui » en langue d'oc, France Culture, Radio Pays (émission en langue d'oc, Paris), radio argentine, ou dans des entretiens avec la presse: articles dans Histoire et Images Médiévales, Inf'oc... et lors de conférences (festival Trobarea, Abbaye de Vignogoul, les Amis de la Langue d'oc à Paris...)

Les membres de Flor Enversa poursuivent, en parallèle de leur activité de concert, une activité de recherche en lutherie qui leur permet d'aller au plus près des sources de l'époque et de recréer régulièrement des instruments qui seront ensuite joués en concert: nombreuses vièles à archet de différents modèles dont plusieurs sans touche, rebec, rote (sorte de harpe double avec caisse centrale), mais aussi psaltérions, harpe, flûtes, frestel,...

Les musiciens de Flor Enversa ont également créé BLANCAFLOR, ensemble qui se consacre aux musiques de la renaissance, et Sirigauda sur les chants et musiques à danser des Alpes (rigaudons,...).

Mai d'infos : aquí

 
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Hergé
Rabasse, Thérèse. Trad.
Rabasse, Claude. Trad.
Cette traduction du quatrième volume des aventures de Tintin en occitan, dialecte languedocien, est réalisée dans le cadre de la VAPAL, l'association pour la VAlorisation du PAtrimoine de Leucate (Aude). Elle sort à l'occasion de la grande exposition Tintin programmée à Port-Leucate de juillet à septembre 2016.
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