Index des pièces :
- Dedicatoria.
- CATALANES :
- Marina: Nostre primer bes...; Quan olores una flor
- No estiguis trista! : Volaria teni un cor...; Quan veig lo cel...
- Amorosa : Tant sols visch apesarat...
Lo téu somris : Amor, amor, diu la gent...
- Jo't cantaré una cansó d'amor: Son tos llavis bella flor...
- Anyorament : Del amor les ferides...; Pel cami del poble amunt...
- ¿Nó...?
- Al matí : No puc veure una violeta...; Del amor visch, y per ell moro...
- Somriu! : ¿Sabs lo qu'es un petó, descrit...
- Fulla d'Album : Al néixer la ufanosa Primavera..
- Cansoneta : ... Y pensa aymada mia...
- Als téus ulls : De ta boqueta de rosa...; He estat avuy á n'el bosch...; Tinch el cor fet de bocins...; S'enlayra lo meu cor passant els núvols...
- A ma estimada Felipa : Aquets dos clotets que hi ha en la cara..; Voldria poguer ferte una cansó...; Quan cloguis esta nit tos ulls aymada...
- Jo't vull besar : Es nostra vida un pont...
- L'anell de promesa : Com escuma d'onada joganera...; Pensaba en mon amor...; Tos llavis entre-oberts...; Vinam á besar els polsos...
- ¿.....? : Mira quins ulls més bonichs...; Per un somris de tos llavis..., T'estimo com a l'ayre que's respira...; Quan vaig cap á montanya...; Quan veig algun aucell...
- A ma esposa
ARANESES :
- Daureix aquera buca polideta
- Era mia pastura
- Et noste pastú
- Idili
- At pin
- Era aubada
- Espusa mia
- Es mies cançús
Pour en savoir plus sur le fonds Jusèp Sandaran Bacaria : cliquez ici
Musique à danser d'Auvergne et du Limousin
Plus de renseignements sur le groupe : http://www.la-novia.fr/duo_puechgourdon.html
Partition pour voix de l'opéra Mireille en 3 actes.
Cet opéra est directement inspiré du poème épique Mirèio publié en 1859 par Frédéric Mistral.
Séduit par cette oeuvre, Charles Gounod décida de créer un opéra autour de l'histoire d'amour impossible entre Mireille et Vincent. Il confie alors la rédaction du livret à Michel Carré et, en 1863, part s'installer quelques semaines en Provence, pour composer son opéra auprès du "climat provençal" qui imprègne toute l'oeuvre de Mistral.
En 1864, Mireille est créé au Théâtre Lyrique à Paris. Dès sa création, il n'obtient qu'un succès très mitigé, notamment à cause de sa fin jugée trop dramatique.
Face à la réaction du public, Gounod - qui souhaitait rester fidèle à l'oeuvre de Mistral - se voit obligé de remanier son opéra. Il le réduit alors à 4 actes et y ajoute des dialogues parlés. Marie-Caroline Miolan Carvalho, créatrice du rôle de Mireille a également des exigences de virtuosité, peu compatibles avec le propos austère de l'oeuvre. De nombreuses autres modifications seront alors apportées à l'opéra au fil des représentations, souvent sans le consentement de leurs auteurs.
Ce n'est qu'en 1939 que Mireille fit son retour sur scène sous sa forme originelle grâce au travail de recherche du compositeur Reynaldo Hahn.
La version proposée ici est la version de création, présentée le 19 mars 1864 sur la scène du Théâtre Lyrique.
Partition pour voix de l'opéra Mireille en 5 actes.
Cet opéra est directement inspiré du poème épique Mirèio publié en 1859 par Frédéric Mistral.
Séduit par cette oeuvre, Charles Gounod décida de créer un opéra autour de l'histoire d'amour impossible entre Mireille et Vincent. Il confie alors la rédaction du livret à Michel Carré et, en 1863, part s'installer quelques semaines en Provence, pour composer son opéra auprès du "climat provençal" qui imprègne toute l'oeuvre de Mistral.
En 1864, Mireille est créé au Théâtre Lyrique à Paris. Dès sa création, il n'obtient qu'un succès très mitigé, notamment à cause de sa fin jugée trop dramatique.
Face à la réaction du public, Gounod - qui souhaitait rester fidèle à l'oeuvre de Mistral - se voit obligé de remanier son opéra. Il le réduit alors à 4 actes et y ajoute des dialogues parlés.
Marie-Caroline Miolan Carvalho, créatrice du rôle de Mireille a également des exigences de virtuosité, peu compatibles avec le propos austère de l'oeuvre. De nombreuses autres modifications seront alors apportées à l'opéra au fil des représentations, souvent sans le consentement de leurs auteurs.
Ce n'est qu'en 1939 que Mireille fit son retour sur scène sous sa forme originelle grâce au travail de recherche du compositeur Reynaldo Hahn.
La version proposée ici est une version remaniée, en cinq actes et sept tableaux, représenté pour la première fois sur la scène du Théâtre National de l'Opéra-Comique le 13 mars 1901.
Cet article de Gustave Clément-Simon (1833-1937), extrait du Bulletin de la Société Scientifique, Historique et Archéologique de la Corrèze (Tome XV), est une description raisonnée de quelques manuscrits se rapportant au Limousin de par leur sujet ou l'origine de leurs auteurs. Il décrit tout particulièrement le manuscrit dit de Gallaup de Chasteuil (p.23 et suivantes), aussi appelé "Chansonnier de Béziers", conservé aujourd'hui à la médiathèque du CIRDÒC à Béziers (cote Ms 13).
Ce manuscrit occitan est une copie datant de la fin du XVIIe siècle - début XVIIIe siècle d'un chansonnier médiéval des troubadours, relié en parchemin aux armes de Gallaup de Chasteuil.
Pour en savoir plus sur le Chansonnier de Béziers :
Geneviève Brunel-Lobrichon, "Le chansonnier provençal conservé à Béziers", dans Actes du premier congrès international de l'Association internationale d'études occitanes / éd. par Peter T. Ricketts. - London : A.I.E.O, 1987, p. 139-147.
Cyril P. Hershon, "Le chansonnier de Béziers, édition semi-diplomatique" La France Latine, n.150, 2010, p.5-298 ; n.152, 2011, p.7-184.
Association basée au Puy-en-Velay, La Nòvia mène des projets culturels multiformes autour des musiques dites traditionnelles. Son objectif principal est la création d'un collectif de musiciens réunis autour d'enjeux esthétiques communs et cohérents. Son action porte aussi bien sur le management de groupes, la production discographique, la pédagogie et la création d'événements.
La Nòvia produit quelques groupes ayant une préoccupation commune : la recherche de la qualité du son. Pour eux, l'objet enregistré est un moyen de cristalliser des choix esthétiques forts avec la volonté d'obtenir un son respectant la richesse des timbres et de leurs instruments. Pour cela, une attention particulière est portée sur le matériel utilisé lors de la prise de son et sur le support de l'objet final. Loin des canons actuels de la musique compressée, ils cherchent un grain de son reflétant leur goût commun pour la musique sauvage et modale.
Les productions de La Nòvia s'affirment d'ailleurs comme des objets artisanaux, tirés à peu d'exemplaires et sans distributeur. Le graphisme des pochettes est élaboré en collaboration étroite avec les musiciens et les productions de l'association laissent une grande part aux objets uniques : disques vinyles en édition très limitée avec pochettes fabriquées artisanalement. L'association est aujourd'hui devenue un véritable espace d'échange entre musiciens, un lieu d'expérimentation, de discussion et de réflexion autour d'enjeux que sont la communication, la production de spectacles et la diffusion des musiques dites traditionnelles. Elle produit ainsi plusieurs groupes qui travaillent avec le riche matériel que leur offre les musiques traditionnelles, le retravaillent afin d'en faire ressortir des compositions originales respectant toute l'intensité poétique et sonore de ce repértoire.
Pour en savoir plus sur l'association, ses groupes et ses artistes : http://www.la-novia.fr/
Ce groupe composé de Matèu Baudoin (chant, violon, pandeiro, tambourin à cordes), Basile Brémaud (chant, violon), Yann Gourdon (vielle à roue) et Nicolas Rouzier (chant, chabrette) s'est réuni dans une Clèda, un ancien séchoir à châtaignes, le lieu où l'on enfumait pour conserver.
Ces musiciens venus du Béarn, d'Auvergne, du Limousin et des Cévennes se sont servi de ce lieu comme abri et refuge pour élaborer leur discours musical et comme point de ralliement pour unir leurs expressions.
Plus de renseignements sur le groupe : http://www.la-novia.fr/la_cleda.html