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Manaset : JT du 25 novembre 2015
Valentin, Stéphane. Metteur en scène ou réalisateur
Cinquième épisode du journal télévisé de Manaset.fr, la vraie fausse information occitane.
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Jonathan CAPDEVIELLE
Association POPPYDOG

PRÉSENTATION

Au sein de ma famille il y a, il y avait, des personnes, des personnages même, qui ont nourri mon imaginaire, mes obsessions et aussi influé sur la manière de créer mes spectacles.
Durant une période charnière entre l’enfance et l’adolescence, l’environnement familial a été le théâtre où jours après jours se jouait une pièce, dont les scènes aussi drôles que dramatiques, me hantent encore aujourd’hui.
Saga met en scène ce « Roman Familial » en revisitant les souvenirs des lieux et en convoquant les personnages et les situations qui composent les épisodes de cette trépidante vie passée. Ces scènes sorties tout droit d’un documentaire ou d’un film, révèlent la théâtralité de cette enfance vécue au cœur d’une bande d’adultes qui se laissait aller à leur instinct sans trop se soucier du lendemain ou même des conséquences de leurs actes.
Le récit est construit à partir de celui de mes proches et plus particulièrement celui de ma sœur, qui fût avec mon beau-frère la principale actrice de cette histoire. Au plateau quatre interprètes portent ce récit autobiographique ou inventé et ensemble nous ré-interprétons les évènements de ce passé raconté au présent et qui s’entremêle au passé revisité. Le va et vient entre la narration et les scènes rejouées rend compte du caractère tout à la fois euphorique, ludique, mélancolique et sombre de ces épisodes de vie théâtralisée.
Dans la pièce, la chronologie des évènements n’est pas respectée. L’espace de représentation est une zone d’ombre, celle de la mémoire, qui met en lumière certains évènements et concrétise des situations ou des scénarios vécus, tout en laissant la liberté de les transformer et de les éloigner de leur réalité. La mémoire opère par tris, sauts dans le temps, décalages entre le corps présent et le langage, sensations brouillées ou ellipses.
Chaque matériau, archives, vidéos, scénographie, lumière, corps, jeu d’acteur doit trouver sa place pour entrer dans la symphonie du souvenir. Il y a comme deux formes de partitions qui nourrissent le récit, celle de la parole qui est presque continue, dans le style d’une pièce radiophonique ; et celle du mouvement des corps qui s’étire, se décale et par moment se fige.
Dans cette masse mémorielle, la frontière entre la réalité et la fiction est ténue. Une dissociation s’exerce entre le corps et la voix, entre l’action et la parole afin d’être au plus près du regard porté par l’enfant sur ces évènements intemporels parfois déformés, exagérés, absurdes, et qui sont le miroir de notre identité. Chaque interprète apporte une part de son histoire à ce récit et renforce la teneur autobiographique de la pièce.
Au plateau cette mémoire prend aussi la forme d’une scénographie conçue et réalisé par Nadia Lauro qui la qualifie « d’animal-montagne en fourrure, présence gardienne de la mémoire et avaleuse de souvenirs. »
Jonathan Capdevielle

Dossier complet : ICI

ÉQUIPE ARTISTIQUE

CONCEPTION ET MISE EN SCÈNE
Jonathan Capdevielle
TEXTE
Jonathan Capdevielle avec la participation de Sylvie Capdevielle et Jonathan Drillet
TRADUCTION EN OCCITAN
Joseph Fourcade
INTERPRÉTATION
Jonathan Capdevielle, Marika Dreistadt, Jonathan Drillet en alternance avec Robin Causse & Franck Saurel
CONSEILLER ARTISTIQUE – ASSISTANT À LA MISE EN SCÈNE
Jonathan Drillet
CONCEPTION ET RÉALISATION SCÉNOGRAPHIQUE
Nadia Lauro
ASSISTANT À LA SCÉNOGRAPHIE
Romain Guillet
LUMIÈRES Patrick Riou
CRÉATION SONORE
Christophe Le Bris
RÉGIE GÉNÉRALE ET PLATEAU, BRUITAGES LIVE
Jérôme Masson
RÉGIE SON
Vanessa Court
RÉALISATION COSTUME ANIMAL
Daniel Cendron
RÉALISATION COSTUME TRADITIONNEL
Cécilia Delestre
IMAGES Sophie Laly, Jonathan Capdevielle
ENFANT Kyliann Capdevielle
REGARD EXTÉRIEUR Gisèle Vienne et Virginie Hammel
PRODUCTION
Bureau Cassiopée – Léonor Baudouin et Manon Crochemore
DIFFUSION, ADMINISTRATION
Fabrik Cassiopée –Isabelle Morel et Manon Crochemore
REMERCIEMENTS
à Anne-Cécile Sibué-Birkeland, Alexandra Murillo, Laetitia Laplace, Maxime Laplace, Cynthia Laplace, Mercedes Tormo, Stéphanie Michaud, Didier Capdevielle, Alexandre Reyes, Florian Hémadou, Guillaume Hémadou, Eliane Roudaut et l’équipe du Quartz, scène nationale de Brest.

FICHE TECHNIQUE 


Sur demande auprès de POPPYDOG : ICI

CONTACT DIFFUSION

Poppy Dog
c/o Fabrik Cassiopée, 25 rue Michel le Comte, 75 003 Paris

Production – diffusion – Administration :
Fabrik Cassiopée  
Manon Crochemore  |  manon@fabrikcassiopee.fr
Isabelle Morel  |  isabelle@fabrikcassiopee.fr
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Manaset : JT du 8 juillet 2015
Valentin, Stéphane. Metteur en scène ou réalisateur
Quatrième épisode du journal télévisé de Manaset.fr, la vraie fausse information occitane.
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Manaset : JT du 1er juin 2015
Valentin, Stéphane. Metteur en scène ou réalisateur
Troisième épisode du journal télévisé de Manaset.fr, la vraie fausse information occitane.
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Manaset : JT du 21 février 2015
Valentin, Stéphane. Metteur en scène ou réalisateur
Deuxième épisode du journal télévisé de Manaset.fr, la vraie fausse information occitane.
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Jordi Labouysse
Jean-Luc Madier

PRÉSENTATION

Les libertés politiques, culturelles et religieuses en Agenais et dans la société occitane du Moyen Âge.
Animée par Jordi Labouysse et Jean-Luc Madier (chants).
 

CONTACT DIFFUSION

Tél. : +33 6 76 47 32 12
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Le JT de Manaset : la vraie-fausse information occitane
Valentin, Stéphane. Metteur en scène ou réalisateur

Le journal télévisé de Manaset.fr, site d'informations parodique en langue occitane.

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Jonathan CAPDEVIELLE
Association POPPYDOG

PRÉSENTATION

Convoquant le registre de l’autofiction, sorte de documentaire sous forme de confession, Adishatz/Adieu met en évidence l’itinéraire d’un personnage entre vie réelle et vie fantasmée ou rêvée. La pièce est écrite à partir de chansons, de conversations, qui évoquent comme des carnets intimes, les racines ou la famille.
Les chansons sont un des modes d’expression de ce garçon, elles interviennent d’abord comme une structure musicale et rythmique puis au fil du temps révèlent ses obsessions, ses émotions et une certaine nostalgie qui gagne peu à peu le public. Chantées a capella, elles font naître d’emblée une certaine vulnérabilité du personnage, son authenticité. L’absence de musique fait entendre plus clairement les paroles, qui résonnent comme un langage à part entière. Certaines chansons sont traduites de l’anglais au français et font l’objet de traitements divers : détournements, répétitions ou décalages, accompagnement musical chanté ou registres qui s’entremêlent (de Madonna à Cabrel).
Adishatz/Adieu est construit à partir de la technique de l’imitation souvent utilisée pour divertir. Ici elle est détournée avec une force autrement plus trouble. Il est important de multiplier les contrastes, de composer avec différents modes d’expression de la voix, pour signifier des identités diverses, brouiller les pistes, en jouant avec l’humour et la gravité, entre autres, comme force de distanciation.
Il est intéressant de rendre visible le chemin parcouru dans cette tentative de s’approprier « un autre » ainsi que les outils mis en œuvre pour atteindre une certaine justesse ou même échouer. Et cela vaut aussi bien pour les personnes “connues” que pour celles de l’entourage proche, famille et amis. Il s’agit aussi physiquement d’emprunter les postures des clips vidéos et de s’approprier les codes de la pop tout cela dans un souci de véracité. Le corps en mouvement se dissocie parfois de la parole et laisse entendre les voix d’autres personnages issus du souvenir.
A un moment donné un choeur d’hommes apparait. En choisissant d’interpréter avec eux des chants traditionnels, le personnage met l’accent sur des stéréotypes populaires du Sud-Ouest, tout en évoquant les racines et la tradition. La culture pop, Tarbaise (de Tarbes), ainsi que celle de la boîte de nuit font partie de ses obsessions, de son histoire aussi. C’est ce curieux mélange, entre culture locale et culture internationale qu’il explore tout au long de la pièce. Le personnage est traversé par de multiples attitudes, qui évoquent notamment la fragilité, l’adolescence ou la virilité. Figure ambivalente, il vacille entre grâce et grossièreté. Le recours au travestissement permet d’accentuer l’idée d’une certaine solitude, tout en évoquant quelque chose de délicat et sensible. Le travestissement est commun à l’homme et la femme et peut-être utilisé pour les deux sexes. Une étrangeté, un trouble qui permettent tous les retournements ou détournements. La solitude est perceptible : elle est triste et mélancolique mais jamais tragique.
Avec cette pièce, j’ai travaillé sur la nostalgie des choses, pour convoquer cette mémoire fondatrice de l’identité : l’enfance ou l’adolescence, la nostalgie de ces tubes d’hier qui ont marqué mon vécu et qui résonnent encore aujourd’hui…

ÉQUIPE ARTISTIQUE

CONCEPTION ET INTERPRÉTATION Jonathan Capdevielle
LUMIÈRE Patrick Riou
RÉGIE GÉNÉRALE Christophe Le Bris
RÉGIE SON Johann Loiseau
COLLABORATION ARTISTIQUE Gisèle Vienne
REGARD EXTÉRIEUR Mark Tompkins
ASSISTANCE AUDIO Peter Rehberg
ASSISTANT ARTISTIQUE POUR LES TOURNÉES Jonathan Drillet
DIFFUSION, ADMINISTRATION Fabrik Cassiopée – Manon Crochemore, Manon Joly et Isabelle Morel
AVEC LA PARTICIPATION d’ECUME, ensemble choral universitaire de Montpellier – direction musicale Sylvie Golgevit – avec (en alternance) Pierre-Yves Bruzzone, Renaud Lebrun, Paco Lefort, Jean-Luc Martineau, Olivier Strauss, Benoit Vuillon.
REMERCIEMENTS Aurélien Richard, Mathieu Grenier, Tibo Javoy et Ya Basta, pour l’enregistrement et mixage des chœurs sur “pitaladyfacegalaxymix”, Jean-Louis Badet, et à Barbara Watson et Henry Pillsbury.

AVEC L’AIDE DE DACM et l’équipe technique du Quartz, Scène Nationale de Brest

FICHE TECHNIQUE 


Sur demande auprès de POPPYDOG : ICI

CONTACT DIFFUSION

Poppy Dog
c/o Fabrik Cassiopée, 25 rue Michel le Comte, 75 003 Paris

Production – diffusion – Administration :
Fabrik Cassiopée  
Manon Crochemore  |  manon@fabrikcassiopee.fr
Isabelle Morel  |  isabelle@fabrikcassiopee.fr
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Manaset : JT du 5 septembre 2014
Valentin, Stéphane. Metteur en scène ou réalisateur
Premier épisode du journal télévisé de Manaset.fr, la vraie fausse information occitane.
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Lo Nau

PRÉSENTATION

Si la lumière décline en cette période de solstice, les paroles des poètes continuent d’enchanter la Mediatèca occitana. Suivez ces Lutz en camin portées par les artistes du collectif Lo Nau – Domenja Lekuona, Jordan et Joan-Francés Tisnèr et Jakes Aymonino – au cours d’une soirée « mosaïque » où la lyrique des troubadours des XIe au XIIIe siècles, métissée de musique électronique, croisera les vers d’auteurs et autrices contemporains (Sylvan Chabaud, Aurèlia Lassaque…). Cette fantaisie musicale nous emporte avec elle, entre alternance de style et de répertoire, au gré de dix siècles de création littéraire, pour le bonheur d’une soirée partagée. 
 

ÉQUIPE ARTISTIQUE


Avec :
Domenja Lekuona : récitante
Jordan Tisnèr Lekuona : chant, flabuta, tamborin à cordes électroacoustique
Joan-Francés Tisnèr : compositions, chant, tamborin à cordes électroacoustique, traitements sonores et diffusions
Jakes Aymonino : chant, guitare, traitements sonores


FICHE TECHNIQUE 

Tout public. 
Durée : 1h00
 

Conditions techniques :

Fiche technique auprès de la Cie Lo Nau. 


CONTACT DIFFUSION

Tél. : 06 88 73 83 93
admin@lonau.eu
http://www.joanfrancestisner.com-https://joanfrancestisner.bandcamp.com/-http://www.verdeblu.org/
https://www.facebook.com/lonau.joanfrancestisner
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