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L'Aiòli. - Annado 06, n°213 (Nouvèmbre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-treizième numéro de l'Aiòli.
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L'Aiòli. - Annado 06, n°214 (Decèmbre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-quatorzième numéro de l'Aiòli.
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L'Aiòli. - Annado 06, n°215 (Desèmbre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-quinzième numéro de l'Aiòli.
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L'Aiòli. - Annado 06, n°216 (Desèmbre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-seizième numéro de l'Aiòli.
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Le testament d'un juif de la ville de Carpentras
Texte anonyme du XVIIIe siècle en occitan. Daté d'aprés "Essai sur l'histoire littéraire des patois du Midi de la France au XVIIIe s" par Jean-Baptiste Noulet, 1877, n° 348
La correspondéncia entre Frederic Mistral e Marius Bacquié-Fonade
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Marius Bacquié-Fonade ?


Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.

Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié, apparait au sein de leurs échanges.

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Au-delà du XIXe siècle ? Jaurès, la République et le pluralisme culturel / Marion Fontaine
Fontaine, Marion
« Si Jaurès est aussi célébré aujourd’hui, et de manière aussi consensuelle, c’est parce qu’il exprime une nostalgie, celle éprouvée pour une République française du XIXe siècle, présentée comme unitaire, adossée à une citoyenneté qui aurait alors été vécue comme une évidence et à une culture nationale, douée en même temps d’un rayonnement universel. Cette peinture d’un Jaurès républicain dit le vrai, mais dit-elle tout le vrai ? C’est cette interrogation qu’éclaire cet essai, en s’intéressant à la manière dont l’homme tente de comprendre les changements qui, notamment sur le plan culturel, dessinent le XXe siècle. C’est un Jaurès plus inattendu et moins classique qui apparaît ici et qui ouvre des questions, celles touchant à la gestion de l’unité et à la diversité, qui, plus que jamais, intéressent, notre début de XXIe siècle. L’œuvre jaurésienne peut ne pas seulement servir à conforter des certitudes ou des regrets ; elle est susceptible d’avoir une portée bien plus dérangeante, et bien plus féconde, pour notre temps. »
Cet essai politique revient en particulier sur les articles publiés par Jean Jaurès en 1911 sur la place des langues dites régionales, en particulier l'occitan, dans l'enseignement.
Disponible en téléchargement gratuit sur le site de la fondation Jean-Jaurès : https://www.jean-jaures.org/publication/au-dela-du-xixe-siecle-jaures-la-republique-et-le-pluralisme-culturel/
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Le Félibrige : un incertain nationalisme linguistique / Philippe Martel
Martel, Philippe

Introduction de Philippe Martel

"La langue d’oc pour étendard : ce titre de la synthèse la plus récente sur l’histoire du Félibrige dit assez le rôle central tenu par la langue dans le discours de la « renaissance » d’oc au 19e siècle. Et de fait, le Félibrige des origines, en 1854, c’est d’abord un petit groupe de poètes de la région d’Avignon, unis par leur désir d’écrire en « provençal ». Et ce n’est qu’assez progressivement que ce petit groupe s’élargira au point d’essaimer dans la trentaine de départements de l’aire historique de la langue d’oc, tout en développant un discours revendicatif.

Mais que revendique-t-on ? Les félibres se donnent-ils pour seule tâche la défense de leur langue ? Ou bien passent-ils de la défense de la langue à celle du pays où elle se parle, et dès lors, cette démarche les amène-t-elle à remettre en cause l’appartenance de ce pays à l’État français ? Bref, passe-t-on, selon un schéma observable ailleurs, d’un mouvement purement culturel à un mouvement de plus en plus radical aboutissant à la naissance d’un authentique nationalisme ?"


Consulter l'édition électronique de l'article (sur le site Revues.org) : http://mots.revues.org/4273
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Les chansons du troubadour Rigaut de Barbezieux / texte préparé par Camille Chabaneau ; introd. ; trad. et notes par Joseph Anglade
Rigaud de Barbezieux (11..-11..)
Chabaneau, Camille (1831-1908). Éditeur scientifique
Anglade, Joseph (1868-1930). Traducteur
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Villeurbanne, Centre des Musiques Traditionnelles Rhône Alpes (CMTRA)
CIRDÒC - Mediatèca occitana

Historique et missions

Le Centre des Musiques Traditionnelles Rhône-Alpes (CMTRA) est une association régionale accueillie par la ville de Villeurbanne. Il oeuvre depuis plus de vingt ans dans le domaine des musiques traditionnelles, des musiques « du monde » et de l’ensemble des patrimoines de l’oralité, sur l’ensemble de ce territoire. À travers ses missions de recherche, d’animation du réseau régional et de valorisation culturelle, il participe à la reconnaissance de ces pratiques culturelles et de ceux qui les font vivre ; à leur médiation auprès des publics, à l’accompagnement de la création artistique et de la transmission des savoirs.
Le CMTRA mobilise et fédère un réseau vaste et hétérogène composé d’associations de terrain (culturelles, socioculturelles, éducatives, communautaires), de professionnels de la culture, d’artistes, d’institutions culturelles et patrimoniales qui ont comme socle commun d’œuvrer à la vitalité des formes expressives de l’oralité culturelle et à la promotion des musiques traditionnelles, des musiques migrantes et des patrimoines de l’oralité. Ce réseau est structuré autour d’un forum annuel, de commissions de travail thématiques (pratiques amateurs, spectacle vivant, transmission, recherche, documentation…), de journées d’échange de pratiques et de la Semaine des Patrimoines Vivants. 
Les projets de recherche-action du CMTRA ont une vocation de valorisation patrimoniale et de reconnaissance des diversités culturelles des territoires de Rhône-Alpes. Fondée sur des recherches ethnographiques, des collectes de témoignages musicaux et la constitution de fonds d’archives sonores, la démarche mise en œuvre permet de réaliser des états des lieux des pratiques culturelles populaires, traditionnelles et migrantes qui, loin des sphères publiques de la culture, s’expriment dans l’espace privé des familles et des réseaux de solidarité. Chaque projet conduit à une publication grand public, à des réalisations documentaires ou artistiques et à la mise en œuvre d’événements favorisant le décloisonnement culturel, l’échange et la créativité collective. 
Caractérisée par la multiplicité des formes qui la composent, la grande famille des musiques traditionnelles et des musiques du monde rassemble les expressions instrumentales et vocales de tradition locale, les différentes formes de revivalisme et de fusion ; les musiques issues des migrations anciennes et récentes et toutes les formes hybrides nées de la rencontre des cultures. Plus que tout autre domaine du spectacle vivant, il porte sur le devant de la scène des enjeux liés à la redéfinition sociale des identités et des altérités, ainsi qu’à l’expression des cultures minoritaires dans l’espace public. Ce secteur artistique d’une grande créativité pâti pourtant d’un manque criant d’espaces de diffusions et du renouvellement des formats de scène. 

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Enquêtes en Pays de Cèze

Contacts

77 rue Magenta 
69100 VILLEURBANNE 
Tél : 04 78 70 81 75 
fax : 04 78 70 81 85 
www.cmtra.org 

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