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INOC

Voici les enregistrements des interventions de la table ronde : « Sur le terrain », qui se sont déroulées Jeudi 26 octobre 2017 de 9h30 à 12h à l'Ethnopôle GARAE (Maison des mémoires, 53 rue de Verdun), Carcassonne

Intervention de Guy Bertrand :


Complément d'intervention de Guy Bertrand :



Intervention de Luc Charles Dominique :


Intervention d'Henri Francès :


Intervention de Xavier Vidal : 


Intervention de Bernat Ménétrier : 


Intervention de Pierre Laurence : 


Intervention supplémentaire de Luc Charles-Dominique : 


Intervention d'Alain Servant : 


Intervention de Laurent Cavalié :

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Georges Rouquier
Pendant un an, de 1944 à 1946, Georges Rouquier a partagé la vie d'une famille paysanne, la sienne, dans la ferme Farrebique à Goutrens, dans le Rouergue.

[Source : Les Documents cinématographiques]
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Introduction au troisième séminaire annuel en ethnomusicologie de la France
INOC
Introduction à la rencontre : Sylvie Sagne, présidente du GARAE, Jean-Jacques Castéret directeur de l'ethnopôle INOC, François Gasnault conservateur du patrimoine, chercheur au iiAC-LAHIC
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Blin-Mioch, Rose
On ne s'étonnera pas de voir la place tenue dans ce livre par ces femmes qui ont eu un rapport particulièrement étroit avec la langue d'oc, au point de l'écrire, comme déjà Lydie de Ricard, comme Léontine Goirand, issue d'une famille protestante et républicaine, ou de la chanter comme Rose Bordas. On croisera ici Lazarine de Manosque, femme au travail (volaillère à Marseille), divorcée, républicaine avancée et néanmoins poétesse d'oc respectée par Mistral, ce qui n'est pas rien. Ou cette institutrice sétoise, Olga Criscelli, animatrice de ces Abeilles sétoises auxquelles Rose Blin- Mioch avait déjà consacré une étude, association féminine liée aussi bien au Félibrige local qu'à la Ligue de l'enseignement. Sans oublier, de l'autre côté de la barrière des sexes, le regard porté sur les femmes par Théodore Aubanel, cofondateur du Félibrige, aux heures de loisir que lui laissait son vrai métier, imprimeur du Pape à Avignon. Son œuvre ne se limite pas à la célébration de la beauté des jeunes filles – ses correspondances montrent que ce n'était pas pour lui simplement un exercice de style convenu. Son théâtre, très sombre, aborde aussi la question de la frustration féminine et du viol, en des termes qui lui ont valu les foudres des milieux catholiques et de droite (c'est à l'époque tout un) dont il était pourtant issu.

C'est donc de femmes exceptionnelles, si humbles qu'elles aient été par ailleurs, qu'il est question ici. Leurs parcours valent le détour, et ce ne sont pas seulement des lectrices qui doivent les suivre. Nul doute, en tout état de cause, que l'histoire ne s'arrête pas là, pas plus que les recherches de Rose Blin-Mioch. Oui, il y a encore tant de choses à découvrir... Philippe Martel
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Lafont, Robert
Torreilles, Claire. Trad.
Traduction française de Claire Torreilles

Les chemins de la sève, le seul titre suggère au lecteur une infinité de pistes et d'images vitales dont l'attente est comblée par ce second roman de Robert Lafont, publié en 1965 [...] De la chronique, l'ouvrage a certes la composition éclatée, mais du roman il a bien l'épaisseur narrative et la richesse métaphorique qui enchantent la lecture.
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Troisième séminaire en ethnomusicologie de la France / INOC
Rencontre interrégionale collecteurs des musiques et danses traditionnelles
Carcassonne 2017
INOC
Troisième séminaire en ethnomusicologie de la France / INOC
Rencontre interrégionale collecteurs des musiques et danses traditionnelles
Carcassonne 2017
D'autres sessions ont eu lieu à Lorient et à Vitré.
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Mistral, Frédéric
Fayet, Gustave. Illustrateur
Une édition exceptionnelle du chef-d’œuvre de Frédéric Mistral Mirèio, avec une nouvelle traduction de Claude Guerre attendue autant que discutée depuis près d’un siècle !

Quand le peintre et collectionneur Gustave Fayet (1865-1925) se consacre au soir de sa vie à illustrer Mireille, le sublime chant d’amour et de liberté de Frédéric Mistral, et la beauté de la Provence s’imposent à lui avec évidence. Les soixante-douze planches qu’il dessine à la plume et au roseau composent une œuvre majeure, mêlant indissolublement la Provence de Mistral et celle de Vincent Van Gogh, que nul n’avait avant lui rapprochées.

2024 commémore les cent vingt ans de la disparition du poète Frédéric Mistral, qui a reçu le prix Nobel de littérature en 1904, soit quarante-cinq ans après la publication de Mirèio.
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Le village de Sabres vit naître, en 1923, Bernard Manciet. De son enfance, inspirée par Casaus perdus, la compagnie du Parler Noir a tiré un spectacle où se croisent un rat, une grand-mère, un écarteur, un instituteur. Ces personnages, liés à la Maison Bernard Manciet élaborée par les Archives départementales des Landes, entraînent le spectateur dans l’enfance poétique du jeune Bernard.

Public : à partir de 6 ans
Durée : 40 minutes

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Patrick Vaillant
Avec sa manière , sa musique et ses mots , en provençal et en français, Patrick Vaillant nous transporte dans un ailleurs merveilleux où il fait jeu du familier ou de l'insolite (chansons, comptines, conte traditionnel de Provence).

Livret + CD.

Patrick VAILLANT : voix et tous instruments.

Extraits sonores:

1 - La Tarasca
2 - Adieu Paure carnaval
3 - Haricot
4 - Rigaudon du Lézard
5 - Anem veire l'enfanton
6 - Qui qui qui
7 - Pan bagnat
8 - Catherine ma voisine
9 - Lo maridatge dau parpalhon
10 - Tap tarat
11 - Som som
12 - Allons nous coucou
13 - Jan de l'ours
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Fabre, Pierre. Ed.
Les lettres de Frédéric Mistral à sa femme présentées dans cet ouvrage sont parvenues par hasard entre les mains de Pierre Fabre. N’ayant pas été destinées à être publiées, elles sont absolument inédites. L’auteur s’est posé bien des questions avant de les réunir dans ce recueil : par exemple sur leur intérêt, quand il s’agit de sujets en apparence anecdotiques, ou sur leur apport à notre connaissance de la philosophie mistralienne, en comparaison avec d’autres déjà publiées.

Pourtant, ces lettres constituent un ensemble nouveau significatif pour notre connaissance de la vie et de l’œuvre de Mistral. C’est en effet l’occasion d’approcher Frédéric Mistral au-delà des discours convenus, en lui rendant un peu de son humanité. Connaissait-on Mistral dans son quotidien ? Et connaissait-on celle qui avait partagé presque quarante ans de son existence, en dehors de son seul statut de « noble veuve » après le décès de Mistral ?

« L’ouvrage qui est présenté prend en considération un corpus total de 453 lettres originales, constitué de 287 lettres de Frédéric Mistral à Marie Rivière et de 166 lettres de Marie Rivière à Frédéric Mistral. Il n’est pas une nouvelle biographie. Il n’a d’autres prétentions que de vouloir simplement compléter celles existantes ou en corriger certains points par un ensemble de touches successives. Le lecteur n’en deviendra peut-être pas plus ou pas moins « mistralien ». Nous ne croyons pas pour autant qu’il y restera insensible. Tout comme nous supposons qu’il visitera désormais différemment la maison du poète, berceau de l’intime, nous subodorons aussi qu’il (re)découvrira ses écrits avec un regard renouvelé. » (Extrait des « Notes liminaires ».)
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