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Èran tres que volián la Jana
La Granja. Collecteur
Chant de mariage interprété par La Granja

Maridem-los

La nuit de noces, les jeunes mariés doivent s’attendre à recevoir la visite de leurs invités qui, une fois la fête finie, viennent jusque dans leur lit leur faire manger le tourrin, une soupe bien poivrée servie dans un pot de chambre ! C’est que le mariage n’est pas seulement une affaire privée, et pas toujours une histoire d’amour. Cérémonie de passage symbolique et réel des jeunes à l’autonomie, il doit respecter certaines règles sociales. La société revendique un droit de regard sur la vie conjugale, et divers rituels viennent célébrer l’union, tels que les hommages... ou la tourner en dérision si les jeunes du village veulent manifester leur réprobation, dans le cas par exemple où une jeune fille épouse un homme plus âgé.

Charivaris, chansons parodiques et jonchées des mariés (carivari, cansons e camins novials) : ces rites issus du carnaval consistent à faire grand bruit devant la demeure des nouveaux mariés, en tapant sur des casseroles ou en soufflant dans des cornes, jusqu’à ce qu’ils sortent de chez eux et offrent un verre. Parfois même, les mariés sont montés à l’envers sur un âne et promenés ainsi à travers le village...

[Atlas sonore bourian, p. 37]
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Lo diluns... ; Lo camin novial
La Granja. Collecteur
Comptine : Pierrette Franconie
Récits :
Odette Salvan - Robert Rougié

Maridem-los

La nuit de noces, les jeunes mariés doivent s’attendre à recevoir la visite de leurs invités qui, une fois la fête finie, viennent jusque dans leur lit leur faire manger le tourrin, une soupe bien poivrée servie dans un pot de chambre ! C’est que le mariage n’est pas seulement une affaire privée, et pas toujours une histoire d’amour. Cérémonie de passage symbolique et réel des jeunes à l’autonomie, il doit respecter certaines règles sociales. La société revendique un droit de regard sur la vie conjugale, et divers rituels viennent célébrer l’union, tels que les hommages... ou la tourner en dérision si les jeunes du village veulent manifester leur réprobation, dans le cas par exemple où une jeune fille épouse un homme plus âgé.

Charivaris, chansons parodiques et jonchées des mariés (carivari, cansons e camins novials) : ces rites issus du carnaval consistent à faire grand bruit devant la demeure des nouveaux mariés, en tapant sur des casseroles ou en soufflant dans des cornes, jusqu’à ce qu’ils sortent de chez eux et offrent un verre. Parfois même, les mariés sont montés à l’envers sur un âne et promenés ainsi à travers le village...

[Atlas sonore bourian, p. 37]
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Per la bien cantar
La Granja. Collecteur
Bourrée interprétée par La Granja

Contes e racontes de velhada


Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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En tornant de velhar
La Granja. Collecteur
Contes e racontes de velhada

Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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Caminel lo mitan del monde ; La Revolucion
La Granja. Collecteur
Légende : Aimé Moncoutié
Récit :
Lucienne Pégourié

Contes e racontes de velhada

Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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Quand te disiá de venir ; Tres menetas assembladas
La Granja. Collecteur
Litanie facétieuse : Roger Bouyssou
Monologue chanté :
Christian Perboyre

Contes e racontes de velhada

Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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N'ai tres esquillas
La Granja. Collecteur
Bourrée chantée : Raoul Moulé


Contes e racontes de velhada

Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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Lo bon enfant ; L'autre jorn
La Granja. Collecteur
Récit toponymique : Basile Marcouly
Randonnée :
Georgette Ménauges

Contes e racontes de velhada

Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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Val mai un pichon chas si ; La bona del castèl ; Las femnas de Mercuès
La Granja. Collecteur
Contes e racontes de velhada

Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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Mèg-torns
La Granja. Collecteur
La lenga dels ausèls

De toutes les bêtes qui côtoient l’humain, les oiseaux sont sûrement ceux dont la parole est la plus prolixe. L’occitan a créé une multitude de mimologismes d’oiseaux, ces mots qui imitent un son et en particulier leur chant (lyu lyu, cascarasca...).

Savoir les imiter (degaunhar) est un signe d’adresse en même temps qu’une façon de les attirer pour les contempler, bavarder avec eux ou bien les chasser (les chasseurs utilisent des appeaux taillés dans le bois).

Ces chants démontrent que les anciens possédaient une solide connaissance de la nature et savaient s’adapter à ses lois.

[Atlas sonore bourian, p. 26]
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