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Dalharí, Jan

Un bestiaire médiéval et imaginaire.
Illustrations et textes surgissent du vide du papier, découpé par un laser, selon un procédé mis en œuvre par René Turc des éditions Papiers coupés.
Un livre objet relié en accordéon, ou en éventail (un leporello dans le langage technique du monde du livre).
Pour le plaisir et l’enchantement  des yeux, un véritable objet de collection.

Texte occitan gascon de Jan Dalharí

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IEO 31
Événements de rue, musiques, théâtre, cinéma. Plus de 80 événements pour tous les goûts à Toulouse et sa région, dont 40 gratuits

Rens. www.festivaloccitania.com
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Lézidéfuz
Ce duo de musique populaire distille une musique métissée, chantée en français, portugais et occitan. Formé en 1992 par Françoise Chapuis (voix, pandeiro) et Rita Macêdo (voix, pandeiro). Femmouzes T vient de famous trobairitz, néologisme occitano-anglais pour femme troubadour célèbre, un clin d’œil aux Fabulous Trobadors.

Rens. www.ieo-lemosin.org / 06 31 40 77 26
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Viaule, Sèrgi (Trad.)
Bilbo, comme tous les hobbits, est un petit être paisible et sans histoire. Son quotidien est bouleversé un beau jour, lorsque Grandalf le magicien et treize nains barbus l’entraînent dans un voyage périlleux. C’est le début d’une grande aventure, d’une fantastique quête au trésor semée d’embûches et d’épreuves, qui mènera Bilbo jusqu’à la Montagne Solitaire gardée par le dragon Smaug... Prélude au Seigneur des anneaux, Bilbo le Hobbit a été vendu à des millions d’exemplaires depuis sa publication en 1937, s’imposant comme l’un des livres les plus aimés et les plus influents du XXe siècle. 
John Ronald Reuel Tolkien (1892-1973) né à Bloemfontein, écrivain, poète, philologue, essayiste et professeur. Mondialement connu pour ses romans Bilbo le Hobbit et Le Seigneur des anneaux.

Traduction en occitan languedocien par Serge Viaule.

En savoir plus :
https://editions-des-regionalismes.com/TOLKIEN-J-R-R-Bilbon-lo-Hobbit-o-un-anar-torna
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Magre, Maurice

Lo tresaur dels Albigeses, tout comme La sang de Tolosa, est un roman de la geste médiévale occitane. Le légendaire et la mythologie y tiennent une place importante. Il s’agit d’un genre littéraire pas encore assez développé dans les Lettres occitanes. Pourtant, le riche et passionnant passé occitan est matière à évocations romanesques et poétiques. Maurici Magre l’avait comprit et sut se l’approprier. Tellement que pour l’auteur toulousain, cette geste glisse rapidement vers la quête spirituelle. Grâce à son caractère fantastique, et même ésotérique, ce roman fascinant nous plonge dans l’étrangeté d’un monde où la magie est permanente. Maurici Magre nous offre là une œuvre envoûtante qui entre dans la tradition du roman occitan au XXe siècle.
La traduction de Miquèla Cabayé-Ramòs sait faire vivre cette œuvre initiatique dans une langue occitane des plus justes et dynamiques qui soit. Maurici Magre méritait bien cet hommage.

Maurice Magre naquit le 2 mars 1877 à Toulouse. Il mourut le 11 décembre 1941 à Nice. Remarquable romancier. Toutes ses œuvres narratives mériteraient d’être traduites en occitan, langue dans laquelle il dira son regret de ne pas les avoir écrites. 

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CIRDOC
Vendredi 14 septembre 2018
18h30-20h

Le CIRDOC et l’Institut national de l’audiovisuel lancent un partenariat inédit autour de la création de « 50 ans de borbolh occitan », un site web qui retracera un demi-siècle d’histoire, d’actualité, de culture occitane à travers les archives de la télévision et les collections du CIRDOC.

Désireux de porter au grand jour – et au plus grand nombre ! – les pépites que renferment les archives télévisuelles, l’Institut National de l’Audiovisuel et le Cirdoc s’associent pour créer une plateforme interactive en ligne autour de 50 ans d’histoire sociale, culturelle, artistique et politique vue au prisme de l’occitan et de la culture occitane. Véritable point d’entrée dans la langue et la culture « oc » de ces cinquante dernières années, cette fresque entièrement bilingue, fruit d’une collaboration entre l’Ina, le CIRDOC et un comité de spécialistes et d’historiens, s’appuiera sur les fonds d’archives de la télévision publique pour documenter des thématiques variées (art, littérature, mouvements sociaux, éducation, politique…).

Articulée avec l’encyclopédie numérique Occitanica , c’est une offre unique qui se dessine sur le web, pour mettre à la portée de tous la langue et la richesse culturelle occitane ! 

Venez assister au lancement du projet ! Rencontres et projections sont au programme.
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Intégré l’héritage des illustres ainés comme Massilia ou les Fabulous : ils sont la génération suivante, celle qui a grandi naturellement avec ce sound system à l’occitane, sans complexe. Droits, ils avancent sur leur propre chemin d’un rap ou d’un reggae engagé, radical, conscient et festif. Les chansons sont souvent sociales, elles parlent de notre quotidien, de nos barrières et des clichés qu’on traîne. Elles ont toujours cette pointe, ce fil acéré qui fait tout voler en éclat et pousse à la réflexion. Son dins una lenga sens estat, sens policia, sens termièra, per crear e recampar. Mauresca a son propre «blues», son propre «punk» et permet d’échapper à la centrifugeuse du centralisme. Mauresca rêve d’Occitanie comme les beatnik rêvaient de Big Sur en Californie, ils tracent leur route, la portent sous leurs pas, la déroulent…
Fai la rota minòt !

Rens. www.mauresca.fr
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exposition / appel à collecte
CIRDOC
Du 14 septembre au 12 octobre
10h-18h du lundi au vendredi

« Pas Jamai Vist ! » est une exposition qui explore la mémoire visuelle régionale. C’est aussi un appel à collecte : chacun peut participer en apportant ses propres photos ou vidéos.

Contribuez à la mémoire visuelle régionale ! Vous détenez des photos retraçant la vie quotidienne, les événements sociaux ou culturels, les transformations du paysage et des modes de vie en pays biterrois et en Occitanie? Venez les faire numériser gratuitement au Cirdoc, elles enrichiront une exposition de documents inédits sur l’histoire contemporaine de la région !

Nous recherchons particulièrement des photos ou vidéos portant sur les thèmes suivants : Manifestations et événements sociaux régionaux, Traditions festives locales (fêtes patronales, Carnaval, feux de la Saint-Jean…), Cultures de la vigne et du vin, Vie culturelle occitane (spectacles en occitan, balèti, etc.)

Sortons notre mémoire des placards !
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Formé en 2015 par Louis Pezet et Hugo Collin, Feràmia est un groupe toulousain de musique actuelle en occitan. Ses influences éclectiques, de l'electro à la chanson, en passant par le jazz et quelques excursions éthiopiennes, donnent à entendre une lecture originale de l'occitan et de ses univers. Le premier album de feràmia, "Lo drac pòt èsser tanben una soca", parait en septembre 2016. « Feràmia », « bête sauvage » en languedocien, mais le terme a ici une connotation mythologique, fantastique. Le mot Feràmia fait ainsi référence à ces créatures que les fantasmes des hommes ont amenées à la vie au cours des âges. Plus qu’une identité, encore en construction, c’est une ambition que porte ce nom. L’ambition de retravailler la littérature occitane, la langue, son bestiaire, bref, son univers, à travers une musique vivace et multiple… Cependant, ici, nulle « fossilisation » nostalgique des racines perdues, Feràmia n’entend pas reconstituer un enième musée, visant à défendre une « culture », ou un « patrimoine », qui se substituerait à la mémoire des hommes. Le but est plutôt de s’introduire nuitamment dans ces musées, d’en briser les vitrines, de voler tout ce qu’elles contiennent, de les emporter dans une île, et, fidèles aux enseignements du docteur Monroe, de les reconstruire, de les hybrider, de leur insuffler de la vie et de la sauvagerie, pour créer de nouvelles « Feràmias », de nouvelles créatures fantastiques. La musique portée par Feràmia se veut elle aussi pilleuse de tombes. L’auditeur n’entendra pas ici de musique traditionnelle occitane, et il sera certainement surpris par le décalage entre le contenu des textes, par exemple des poèmes occitans du début du XXe, et le langage musical utilisé dans l’interprétation. Car il en ressort quelque chose qui s’apparente plus à Frankenstein qu’à la récitation de poème avec accompagnement musical. Et c’est tant mieux : Feràmia voudrait échapper à une tendance actuelle de l’industrie culturelle, qui nous abreuve de titres dont on connait tout avant même de les avoir écoutés parce qu’ils répliquent inlassablement des recettes, des façons de faire, dont notre oreille est familière. Feràmia n’est ni du « pop-rock », ni du « jazz métissé », ni de « l’electro-lounge-world-tendance Haïti » ou que sais-je encore, ce n’est pas non plus de la musique « fusion ». Leur musique, ils la voudraient louvoyante, surprenante, inconfortable puis sereine, entrainante puis déstructurée. Ici et là, on pourra donc reconnaître l’influence de la musique ethiopienne, la puissance des instrus dub, des refrains aguicheurs, des rythmiques électro, ou encore l’influence de grands noms jazz américain, et on pourra même assister à une conférence de volatiles. C’est donc la prosodie de la langue, et l’univers mental qu’elle porte qui intéresse Feràmia, et musicalement, tout ce qui leur passe sous la main. Ainsi dans le premier album, "Lo drac pòt èsser tanben una soca" , à côté des poèmes du début du XXeme siècle, comme Lafont, Rouquette, Camproux, Cordes, Gualtier ou Allier, figurent trois textes originaux, qui s’inspirent de l’imaginaire occitan. Pour Feràmia, c’est un langage qui peut servir à exprimer tout autant ce qui a été que ce qui va être. La pastourelle, la bergère de « Quora vendrà », peut être une véritable bergère, mais aussi une anarchiste végano­maniaque, une caissière au poignet meurtri, une geek surmenée, une actionnaire qui scrute anxieusement les présages de la bourse, ou même ta mère. A l’auditeur d’en décider. Feràmia c’est un groupe modeste et encore jeune, qui ne demande qu’à partager et à construire un univers nouveau, avec vous public adoré qui va acheter notre album et venir voir nos concerts. Feràmia chante en occitan mais ne se fait pas conservateur de musée. C’est la prosodie de la langue et l’univers mental qu’elle porte qui a motivé ce choix. Si de nombreux morceaux sont issus du patrimoine littéraire occitan (adaptations de poèmes de Robert Lafont, Léon Cordes …), le but est d’emmener cette langue vers de nouveaux territoires sonores. Musique en occitan, mais non musique occitane, le quintet traite cette langue comme un instrument à part entière. Il en va de même pour l’imaginaire occitan, et notamment son bestiaire fantastique. Avec Feràmia, La tarasque, monstre hybride dont on raconte en Provence qu’elle fut domptée à coup d’eau bénite, se rebiffe, et part pour sa propre croisade qui la mènera jusqu’au rivage de l’Uruguay, où elle rencontrera les tambours du Candombe. Et pendant ce temps, le Drac, le diable occitan, est sorti de l'étable et joue maintenant des tours dans le métro toulousain.

Rens. www.feramia.com
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Vox Bigerri, chœur d’homme spécialisé dans les polyphonies du sud de l’Europe, et des Pyrénées en particulier, s’associe à Jim Black, batteur incontournable de la scène jazz new-yorkaise.
Au programme : des chants à danser de Gascogne, des chants de veillées de la Bigorre et du Bearn, des standards du Jazz, des pièces de création.

Sortie de l'album Tiò

Pascal Caumont : voix
Fabrice Lapeyrere : voix
Régis Latapie : voix
Bastien Zaoui : voix
Jim Black : batterie


Rens. www.voxbigerri.com
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