Explorar los documents (4489 total)

liza_L.jpg
Liza chante ses compositions jazz world dans la langue des troubadours — l'Occitan (Provençal), en y mêlant des paroles en Anglais et en Français. Ses mélodies de coeur s'inspirent de musiques d'Afrique du Nord, Tsiganes, Celtiques et Méditerranéennes, pour vous entraîner vers des terres qui font rêver.

"L" est une lettre qui représente le mot que vous souhaitez... Liberté, Lalla Liza, Loin si loin, L'amour, L'aventure, L'histoire, Libellule, L'esmai (l'émoi)...? "L" c'est aussi "elle"... la part de feminité, la douceur et le sourire de Liza.
artus.jpg
Après treize années à fouiller sa mémoire à la recherche de souvenirs qu'il n'a pas connu, Artús crée son folklore en s'émancipant des dogmes de la tradition, en dépassant l'héritage qu'il a reçu. Métissé, créolisé, il a remis en cause sa pratique pour obtenir une vision universelle du monde à travers l'ultralocal.
Radical, brut et indomptable, Artús ne cherche rien, n'attend rien, il s'impose et existe dans l'uniformisation actuelle.

Ce quatrième album s'appuie sur des textes du poète gascon Bernard Manciet, contes et légendes collectés avec Hubert Cahuzac dans la Grande Lande entre 1961 et 1964. Bernard Manciet a repassé ces textes par sa plume, dressant un tableau psychédélique d'une Lande dont le souvenir nébuleux transpire ici au travers de la musique d'Artús.
dupain.jpg
Dès l’origine, Dupain s’est pensé comme une machine à expérimenter et à résister. Expérimenter des brassages musicaux inédits, entre rock, electro et musiques traditionnelles. Résister en revendiquant une identité culturelle et linguistique plurielle, à la fois poétique, populaire et contestataire.
S’il chante en occitan et s’accompagne à la mandole, Sam Karpienia n’exalte aucun chauvinisme et préfère le maquis des insoumis aux territoires trop ordinaires, trop familiers, car conquis de longue date. Cette démarche, volontairement située hors des sentiers battus, donnera naissance à trois albums denses et singuliers, L’Usina (2000), Camina (2002) et Les Vivants (2005). Sam Karpienia et Pierre-Laurent Bertolino, rejoints par le flûtiste Gurvant Le Gac, le batteur François Rossi et le contrebassiste Emmanuel Reymond, créent aujourd’hui ensemble "Sòrga", un art brut musical de vielle et de chant, de forces percussives et de mélodies à danser ou à écouter, un « Folk Step » au coeur de l’imaginaire.
Spirales envoûtantes de la vièle à roue, envolées azurées de la flûte, rythme comme surgi d’un lointain tonnerre, et le chant toujours aussi âpre et saisissant de Sam Karpienia : Dupain est bien là, à la fois neuf et semblable à ce qu’il a toujours été.
boisson.jpg
BOISSON DIVINE naît en 2005 de la rencontre entre Baptiste Labenne (guitares, basse, chant, boha…) et Adrian Gilles (batterie, chant), respectivement âgés de 14 et 15 ans à Riscle, sur les hautes terres du Gers (32).

Dès le début, la volonté de créer des compositions personnelles est là. Le style musical est rapidement et naturellement trouvé. Ce sera un alliage entre identité Gasconne et Heavy Metal. Une fusion entre tradition et modernité, chantée soit en Français, soit dans la langue de la région. Les influences revendiquées renvoient au Heavy Metal 80’s (Accept, Iron Maiden, Saxon…), au Folk-Metal (Finntroll, Eluveitie, Dropkick Murphys…) et aux groupes régionaux (Nadau, Los de L’Ouzom, Los Pagalhos…) avec en sus une personnalité propre.

Les textes sont le reflet du quotidien des musiciens : rugby, vieilles légendes, odes à la terre, solidarité paysanne, bombances, chansons traditionnelles, sauvegarde du patrimoine, hommage à ceux qui ont marqué l’histoire.

Après de rares concerts amateurs (le nombre de musiciens limitant l’adaptation scénique), un exil du batteur vers la capitale pour cause de travail et une fois le nombre de compositions disponibles suffisant, l’enregistrement d’un premier album est commencé en août 2012. Mixage et mastering sont achevés en février 2013.

“Enradigats” pointe alors le bout de son nez.

BOISSON DIVINE s'engage dans sa propre voie, celle d'un style Rock Folk Metal certes enraciné, mais son regard est tourné vers l'horizon.
Rien ne pousse sans racines.
solelh-solelhaire.jpg
On se demandera peut-être quel est ce "Solelh solelhaire" (Soleil ensoleilleur) qui donne son nom à ce nouveau disque du groupe La Talvera....
Il s'agit en fait du titre d'une ancienne formulette ou d'une sorte d'incantation que disaient les bergers quand il faisait trop froid. Ce Soleil ensoleilleur pourrait bien être le soleil d'Occitanie mais aussi celui de tous les pays du sud, de Catalogne, de Sardaigne, du Portugal ou du Brésil...

Encore plus que les précédents, cet album est conçu comme une véritable histoire, un conte, avec un début, une fin, des chemins tortueux, des rivières en crue, la rencontre avec le pays albigeois, un cheminement dans le temps... où des textes poétiques y côtoient des chansons à contenu plus engagé.

Solelh solelhaire recèle une grande diversité de styles, de timbres, de rythmes, et d’ambiances sonores, rappelant tous les territoires artistiques traversés par les musiciens de La Talvera (Occitanie, Brésil, Argentine, Maghreb...). Mais ce disque compte aussi de nombreux invités : Aelis Loddo (voix et violon), Silvério Pessoa (voix), Ricardo Fraga (batterie, percussions...), Thiago Hoover (viola), mais aussi le joueur de rabeca Claudio Rabeca, et de nombreux musiciens aux univers musicaux très variés : Thierry Rougier (guitare), Zino Moudjeb (guimbri, mandole), Soheil Nourian (zarb, daf...)...
medin.jpg
Le monde de Guillaume Lopez est imaginaire, sans frontière, entremêlé d’Espagne, de Catalogne, d’Occitanie, d’Andalousie, de Maghreb… Il y évolue entre musiques traditionnelles, musiques improvisées et chanson, trois genres dans lesquels il excelle et se plaît.

D’un chemin jalonné de rencontres, il extrait aujourd’hui une nouvelle création, un autre voyage, initiatique, en terres méditerranéennes : « Medin’Aqui ».

Chaque musicien de ce spectacle est un compositeur-interprète de haut vol, aussi funambule que Guillaume, ses flûtes et sa voix virevoltantes, et tous dialoguent dans leurs langages musicaux propres, leurs styles et leurs répertoires, navigant à vue entre le savant et le populaire, entre la fête et l’émotion, le chant et la musique, la danse et le groove. Les horizons d’habituels compagnons de route de Guillaume Lopez (Thierry Roques, Pascal Celma, Cyril Amourette, Simon Portefaix), rejoignent ceux de Sam Burguière, multi-instrumentiste des Ogres de Barback, et d’Amine Tilioua, spécialiste de la Sana’a, le violon arabo-andalou, pour une rencontre d’esthétismes et de cultures.
face-CD-Quaus-de-Lanla-1024x911.jpg
Le permier disque du trio polyphonique Quaus de Lanla. Un Bal à la Voix novateur et énergique où se succèdent bourrées, scottisch ou encore mazurkas.
alide.jpg
Premier album de l'artiste aranaise Alidé Sans, entièrement écrit et composé par ses soins, l'abum Eth Paradís ei en tu nous embarque du Val d'Aran vers l'Occitanie en passant par la Catalogne, de la rumba à la soul en passant par le reggae, à la découverte des mondes intérieurs de la jeune chanteuse.
coveralbum.jpg
AVEC SON 4e ALBUM «TANT QUE VIRA…», DU BARTAS FAIT TOURNER SA MUSIQUE AUTOUR D’UNE MEDITERRANEE INSOUMISE ET OUVERTE SUR LE MONDE.

Les 13 titres de « Tant que vira… » posent, en occitan, un regard affuté sur le monde. Percussions terriennes, chant collectif, cuatro et violon oriental brassent une culture languedocienne en perpétuelle évolution, où conscience politique, poésie et rythme ne font qu’un. Ses sources d’inspiration, le groupe les puise dans sa terre languedocienne, là où gisent tant d’histoires, collectives ou individuelles. Des tranches de vie tour à tour drôles et tragiques, racontées avec malice en occitan, mais aussi en arabe. Des histoires « d’ici » qui parlent du monde actuel : car Du Bartàs inscrit sa musique et ses textes dans une démarche de modernité, et non dans une identité cloitrée que dénonce avec acuité la chanson « Sèm totis bastards». Du Bartàs réinvente ainsi un son méditerranéen chaleureux et insoumis, où chacun peut trouver sa place pourvu qu’il veuille garder les yeux et les oreilles grandes ouvertes…. Portés par le chant énergique de cinq voix d’hommes, les 13 titres de cet album, invitent à retrouver le plaisir du chant partagé et de la fête... pour refaire le monde jusqu’au bout de la nuit.
CDurbanbaleti.jpg
L'album est le résultat de rencontres entre les deux musiciens du groupe et d'artistes croisés sur la route qui ont influencé le travail du groupe. Toujours fidèle à la tradition du balèti occitan, l'album intègre les accents urbains du Rap ou du Postrock.
Les textes sont des compositions personnemmes ou des emprunts à des poètes anciens et actuels. Les influences variées, mènent du côté d'Italie, de Bretagne ou de Centeilles. Guitare, accordéon et flûte sont toujours au centre de la musique. Le mot "balèti" n'est pas usurpé car la majeure partie des morceaux de l'album sont destinés à faire bouger les danseurs de scottish, mazurka, bourrée ou encore polka.
Modernité, jeunesse et enracinement font que cet album peut se mettre entre toutes les oreilles.

Pour le commander : Accéder au Bon de Commande

Pour le télécharger : Itunes, Deezer
sus 449