Explorar los documents (134 total)

icone-e-anem-fonds-documentaire.png
CIRDÒC (Béziers, Hérault), fonds des dossiers thématiques
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Histoire du fonds

Le fonds des dossiers thématiques est constitué d'un ensemble de documents issus des recherches documentaires thématiques rassemblés et compilés par le personnel du CIDO puis celui du CIRDOC.

Modalités d'entrée :

Production propre de l'institution

Accroissement :

Fonds clos

Fonds complémentaire :

 

Description du fonds

DOS-A : Le fonds des dossiers auteurs du Cirdoc est constitué d'un ensemble de dossiers, chaqu'un se rapportant à un auteur de langue d'oc (de poséie, prose, théâtre...) ou dans certains cas à un auteur régionalistes de langue française. Sur chaque dossier se trouvent des références bibliographiques significatives se rapportant à l'auteur, issues du dépouillement de périodiques, parfois une copie des documents en question.

Dates extrêmes :

1880 - 2014

Langues représentées dans le fonds :

Occitan

Français

Importance matérielle :

1915 dossiers traités, soit environ 7 mètres d'archives linéaires. Seul le sous-fonds DOS-A est catalogué

Supports représentés :

Monographies imprimées

Périodiques (presse et revues)

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

DOS

Instruments de recherche disponibles :

Catalogue des archives et manuscrits du CIRDÒC

Accéder à la description détailllée du fonds

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultation sur place. Accès indirect.

Conditions de reproduction :

Toute reproduction en vue d'une édition ou production audiovisuelle de la documentation contemporaine soumise au droit d'auteur ne peut se faire sans l'accord des ayant-droits. La reproduction de documents à des fins de recherche, sans publication des documents, est acceptée sous réserve des impératifs de conservation laissés à l'appréciation des bibliothécaires du CIRDÒC.

fonds-documentaire.png
CIRDÒC (Béziers, Hérault), fonds Anatole Moulharac
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Histoire du fonds

Manuscrit de l'<i>Anacreoun cevenòu</i> (Coll. CIRDÒC, MOU-A)

Né le 22 octobre 1830 à Saint-Privat-de-Vallongue en Lozère, Anatole Moulharac est un érudit et poète cévenol. La littérature et l’histoire sont ses domaines de prédilection, une grande partie de son œuvre est élaborée autour du poète grec Anacréon à qui il consacre d’importantes recherches biographiques et littéraires.
Issu d'un milieu modeste, il poursuit de brillantes études et se présente à un concours pour le commissariat de la Marine. Le 1er février 1856, il entre dans le service de ce département, il y travaillera jusqu'à sa retraite en 1891. Décoré de la Légion d'honneur en 1888, il reçoit peu après les palmes académiques. La retraite ne marque cependant pas le fin de ses activités : il collabore à la Revue Maritime, au Moniteur de la Flotte, à la Revue Générale et au Bulletin du Club Cévenol. Parmi ses différents travaux on peut citer ses Notes sur le Siège de Paris, sa traduction du Voyage avec un âne dans les Cévennes de Robert Louis Stevenson et son Anacreoun cevenòu.
Le fonds présent au CIRDÒC est constitué d’une partie de ses archives de travail, ainsi que de ses travaux non publiés.

Modalités d'entrée :

Le fonds Anatatole Moulharac a été déposé par Joël Averous au CIRDÒC en février 2014

Accroissement :

Fonds clos

Description du fonds

Le fonds est constitué de trois grands ensembles :

- MOU-A : Manuscrit de l'Anacreoun cevenòu. Il est précédé d'une notice sur Anacréon et suivi par trois poésies occitanes d'Anatole Moulharac, traduites.

- MOU-B : Documents autour de l'Anacreoun cevenòu, début XXe siècle, en occitan et en français : 7 dossiers
Ces sept dossiers contiennent :

- les épreuves de l’Anacreoun cevenòu
- des documents sur Anacréon
- des correspondances avec l'éditeur de l’Anacreoun cevenòu
- des observations sur l'orthographe et la prononciation du dialecte cévenol
- un ensemble de deux extraits de poésies suivi d'une poésie complète
- de la correspondance privée
- de l'illustration et des documents sans rapports avec les travaux poétiques et historiques

- MOU-C : Notes historiques françaises, fin XIXe, en français : 2 dossiers.
Le premier dossier contient diverses notes historiques en français. Le second dossier contient des notes d'époque sur le Siège de Paris de 1870.

Dates extrêmes :

Fin XIXe - Début XXe

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (languedocien), français

Importance matérielle :

0.10 mètre linéaire, environ 300 feuilles

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Monographies imprimées

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

MOU

Instruments de recherche disponibles :

Description du fonds dans Calames (Catalogue en ligne des archives et des manuscrits de l'enseignement supérieur)

Inventaire dans le catalogue des archives du CIRDÒC

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultable au CIRDOC, en salle de recherche

Conditions de reproduction :

Toute reproduction en vue d'une édition ou production audiovisuelle de la documentation contemporaine soumise au droit d'auteur ne peut se faire sans l'accord des ayants-droit. La reproduction de documents à des fins de recherche, sans publication, est acceptée sous réserve des impératifs de conservation des documents.

logo-fons.png
BnF, Sous-fonds "Archives de la parole : Enquête phonographique en Limousin"
Centre interrégional de développement de l'occitan (Béziers, Hérault)

Histoire du fonds

1/ Les Archives de la parole

  Les projets de « panthéons sonores » de personnalités célèbres voient le jour dès la fin du XIXe siècle alors que se développent les techniques d'enregistrements. En 1899, une première institution chargée de constituer des fonds d'archives sonores est créée avec les Phonogrammarchiv de l’Académie autrichienne des sciences (Österreichische Akademie der Wissenschaften) 
En savoir + : voir les fonds occitans du Phonogrammarchiv de Vienne référencés dans le Répertoire du patrimoine culturel occitan 

En France, Alfred Ponge projette vers 1904 la création d'un musée phonographique et réalise ses premiers enregistrements, parmi lesquels celui de Frédéric Mistral, alors lauréat du prix Nobel, récitant quelque vers de son chef-d’œuvre en provençal Mirèio. L'enregistrement de Frédéric Mistral, comme l'ensemble des cylindres d'enregistrement de Ponge, ont malheureusement disparu. Voir l'article consacré à ce sujet dans Occitanica 

Il faut attendre 1911 pour qu'une institution dédiée à la création et la sauvegarde d'archives sonores soit créée en France, à la Sorbonne. Ce sont les "Archives de la parole", dirigées par le grammairien et historien de la langue française Ferdinand Brunot dans le cadre du projet d'Institut de phonétique de l'Université de Paris. Il bénéficie du soutien de l'industriel Émile Pathé qui dote les Archives de la parole d'un corpus d'enregistrements et surtout de matériels nécessaires à la réalisation d'enregistrements sur disque plat.

À l'instar du Phonogrammarchiv de Vienne, que Ferdinand Brunot a visité en 1910, les Archives de la parole vont produire leur propre documentation par des campagnes d'enregistrements sonores en studio et sur le terrain. Trois-cents enregistrements sont réalisés entre 1911 et 1914, répartis entre les différentes sections de l'institution :

I – Interprètes : enregistrements de type normatifs pour l'apprentissage de la diction et de la prononciation correcte du français ;

O – Orateurs : enregistrements de grands orateurs contemporains et voix célèbres ;

L – Langues : enregistrements des langues étrangères et méthodes de langues ;

M – Maladies : enregistrements liées aux pathologies de l'expression et de l'audition ;

D – Dialectes : enregistrement des dialectes du monde, en particulier les langues et dialectes de France

2/ La section D : Enregistrements dialectaux des Archives de la Parole

Ferdinand Brunot, ancien élève du philologue Gaston Paris, puis collaborateur du chartiste médiéviste Léon Clédat, s'intéresse tout particulièrement à la dialectologie, discipline en vogue à la fin du XIXe siècle et qui a donné lieu à la publication du monumental Atlas linguistique de la France de Jules Gilliéron et Edmond Edmont.

Cet atlas a été dirigé par J. Gilliéron à partir d'enquêtes par questionnaire menées sur le terrain par E. Edmont entre 1897 et 1901, couvrant 639 localités du domaine gallo-roman. Prenant l'enquête écrite pour modèle, Ferdinand Brunot envisage un ambitieux chantier d'enquêtes sonores sur douze ans prévoyant 15'000 disques d’enregistrements couvrant 2'500 localités à visiter. De ce projet inabouti « d'Atlas linguistique phonographique de la France », seules trois missions sont menées en 1912-1913 par les Archives de la Parole : juin-juillet 1912 dans les Ardennes franco-belges ; juin 1913 dans le Berry ; août 1913 en Limousin.

Ferdinand Brunot et le dialectologue Charles Bruneau, qui l'accompagne pour la première mission dans les Ardennes, abandonnent rapidement le questionnaire dialectologique classique (traduction de mots ou de phrases) pour « laisser parler » les locuteurs.

Si les trois enquêtes dialectologiques menées par Ferdinand Brunot et conservées dans le fonds des Archives de la parole constituent un corpus d'enregistrements sonores rares et précieux de locuteurs de langues de France à la veille de la Guerre de 1914-1918, elles reflètent cependant les représentations de F. Brunot sur les « patois » objets de son enquête. Ferdinand Brunot, par ailleurs grand admirateur de l'abbé Grégoire qui posa les fondements idéologiques de la nécessaire uniformisation linguistique par « l'anéantissement des patois », s'inscrit aussi dans l'héritage savant des philologues parisiens Gaston Paris et Paul Meyer, qui perçoivent les langues et dialectes parlés dans les régions françaises comme des objets d'étude pour l'histoire de la langue française, traces moribondes d'un état linguistique archaïque. La connaissance sociolinguistique de la France est alors perçue de façon atomisée par l'enquête dialectologique qui survalorise les différenciations locales au détriment de toute perception unitaire des langues et composantes dialectales. De plus, la plupart des travaux dialectologiques n'auront aucun recours aux importants corpus écrits, particulièrement importants pour l’occitan, rejetant la réalité linguistique non-francophone dans la seule oralité populaire, souvent paysanne. Comme son ancien maître Gaston Paris, F. Brunot n'envisage les langues de France que comme des « vieillards qui se meurent » et il s'agit d'en conserver le souvenir face à une mort programmée et imminente, forcément incompatible au progrès. Cette représentation deviendra même littéraire en 1913 pour la seconde mission dans le Berry : désormais l'étude dialectologique a laissé la place à la reconstitution sonore de l'univers fictionnel de Georges Sand.

Pour autant, les enquêtes dialectales de Ferdinand Brunot témoignent paradoxalement d’une France aux langues bien vivantes : « Oscillant entre dialectologie et représentation lettrée, parfois folklorisante, du monde paysan, ces enquêtes n'en constituent pas moins un témoignage sonore exceptionnel car unique sur la société rurale française avant le grand bouleversement de la guerre de 1914-1918. »

Il faut attendre 1939 pour voir se réaliser de nouvelles missions phonographiques institutionnelles, essentiellement axées sur du « folklore musical » ou ethnomusicologie.
Citons la campagne de Roger Dévigne et de la Phonothèque nationale dans l'arrière-pays niçois en 1939 [faire lien vers fiche de fonds dédiée] et la même année la mission en Basse-Bretagne du Musée national des arts et traditions populaires. Le projet d’Atlas phonographique de la France imaginé par F. Brunot ne sera véritablement réalisé qu’à partir des années 1950 dans le cadre de la réalisation des atlas linguistiques régionaux [en savoir + : consulter l’article Corpus “Les enquêtes linguistiques sur l’occitan en France de 1790 à nos jours]

 

Modalités d'entrée :

Aujourd’hui conservées par le Département de l’audiovisuel de la Bibliothèque nationale de France (successeur de la Phonothèque nationale, elle-même héritière des collections des Archives de la Parole et du musée de la Parole et du Geste).

En 1920, le phonéticien Jean Poirot prend la suite de Ferdinand Brunot à la tête des Archives de la Parole. Hubert Pernot lui succède après son décès en 1924. C’est sous la direction de ce dernier que les Archives de la Parole deviennent le « musée de la Parole et du Geste » en 1928.

Accroissement :

Fonds clos.

Description du fonds

Le fonds de l'Enquête phonographique en Limousin est constitué de 72 enregistrements sonores sur 48 disques plats Pathé Saphir de 30 cm de diamètre réalisé par Ferdinand Brunot entre le 22 juillet et le 30 août 1913 en Corrèze dans le cadre des activités des Archives de la Parole (Université de Paris) et d’un projet inabouti d'Atlas linguistique phonographique de la France. Chaque disque est accompagné d'une fiche d'enquête qui documente sur l'identité du locuteur.
Itinéraire de l’Enquête phonographique en Limousin

Fonds complémentaires :

En dehors des enregistrements de l’Enquête phonographique en Limousin, F. Brunot a également produit plusieurs collectage en occitan lors des enregistrements en studio à la Sorbonne : BnF. Département de l’audiovisuel. Sous-fonds : Archives de la Parole. Enregistrements à la Sorbonne :

  • AP-125 ; AP-637
Chansons populaires du Limousin interprétées par Léon Branchet, folkloriste et musicologue.
Disque AP-125 : La calha : bourrée
Disque AP 637 : Margarita
  • AP-102 ; AP-197 ; AP-198 ; AP-199
Disque AP-102 face A : Le loup garrou : récit en parler de Cellefrouin (Limousin) / Abbé Pierre-Jean Rousselot (linguiste)
Disque AP-197 : Conversation (dialecte limousin) / Auguste Paloty et Amable Crouzy, 12 mars 1913
Disque AP-198 : Questionnaire (dialecte limousin) / Auguste Paloty, 12 mars 1913
Disque AP-199 : Questionnaire (dialecte limousin) / Amable Crouzy, 12 mars 1913
  • AP-200
Disque AP-200 : Chansons et poésies populaires en patois d'Auvergne, interprétées par Eugène Lintilhac.
  • AP-203
Conte rouergat (Aveyron), dit par Charles de Pomairols (poète).

L’ensemble des enregistrements en occitan des Archives de la parole, numérisés par la BnF et publiées dans Gallica sont accessibles depuis Occitanica : voir le corpus “Enregistrements sonores en occitan de la collection des Archives de la parole (1911-1914)

 

 

Dates extrêmes : 

1913

Langues représentées dans le fonds :

occitan

Importance matérielle :

48 disques + fiches d’enquêtes

Supports représentés :

Disques (90 t, saphir) 

Pour le consulter :

Identifiant du fonds :

AP 

Instruments de recherche disponibles :

> Répertoire national des bibliothèques et fonds documentaires (RNBFD)
Description générale du fonds des Archives de la parole.
http://ccfr.bnf.fr/portailccfr/jsp/index_view_direct_anonymous.jsp?record=rnbcd_fonds:FONDS:730

> BnF - Archives et manuscrits : inventaire complet du sous-fonds [Enquête phonographique en Limousin] http://archivesetmanuscrits.bnf.fr/ead.html?id=FRBNFEAD000078617

> BnF - Catalogue général : notices des documents constituant l’[Enquête phonographique en Limousin]
http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb413012180/PUBLIC

 

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Disques originaux, archives papier et photographiques non communicables (sauf autorisation du Service des documents sonores du Département de l'Audiovisuel).
Originaux numérisés consultables librement en ligne (Gallica)

Conditions de reproduction :

Reproduction (partielle ou intégrale) soumise à autorisation écrite (Département de l'Audiovisuel, Service des documents sonores).
www.bnf.fr

 

fonds-documentaire.png
Bibliothèque nationale de France, Collection Coquebert de Montbret
CIRDÒC-Mediatèca occitana
De 1807 à 1812, Charles-Etienne Coquebert de Montbret et son fils Eugène conduisent l’Enquête impériale sur les patois, première grande enquête officielle de statistique et de sociolinguistique menée en France. Interrompue en 1812 par le ministère de l’Intérieur, la documentation rassemblée et produite par l’Enquête impériale est aujourd'hui dispersée entre plusieurs fonds et établissements documentaires. La majeure partie se trouve à la Bibliothèque de Rouen, à la Bibliothèque nationale de France (NAF 5910-5914) et dans la section de linguistique de la Collection Coquebert de Montbret (NAF 20080-20081), et aux Archives nationales (F17 1209).

Voir tous les fonds de l’Enquête impériale sur la patois : Occitanica-corpus “Enquêtes linguistiques sur l’occitan”.

Histoire du fonds

Modalités d'entrée :

Don du Muséum d'Histoire naturelle, 1895. D. 3304. 

Description du fonds

« Collection Coquebert de Montbret » : 25 vol. ms. contenant les papiers de Charles-Étienne Coquebert de Montbret, commissaire des Relations extérieures à Hambourg et Amsterdam, directeur de la Statistique au ministère de l'Intérieur, membre de l'Institut (1755-1831), et de son fils Eugène Coquebert de Montbret, secrétaire interprète aux Affaires étrangères (1785-1849) et adjoint de son père au bureau de la Statistique lors de l'Enquête impériale sur les patois.

L'ensemble de la collection, issue d'un don du Museum national d'histoire naturelle qui conserve toujours les archives des travaux scientifiques de Coquebert de Montbret, est représentative de l'activité de Charles-Etienne et d'Eugène Coquebert de Montbret, diplomates et savants. La collection contient une section de « Linguistique » (2 vol. : NAF 20080-20081 contenant une partie des archives de l'Enquête impériale sur les patois, dispersées après 1812). 

Contenu du fonds :

> BNF - NAF 20080 : Collection Coquebert de Montbret : vol. 3 : Linguistique, t. I  (368 f.)

Ligne de démarcation de la langue française au nord-est (1807). -- Spécimens de patois picard, gallau, lyonnais, occitan (gascon, languedocien). -- Chansons de la Creuse et de Porrentruy. -- Dialectes italiens, roman de Suisse et catalans. -- Chansons en dialecte sicilien et grec moderne. -- Traductions de la parabole de l'Enfant prodigue en allemand, espagnol, occitan (gascon), grec, italien, portugais et slavon.

> BNF - NAF 20081 : Collection Coquebert de Montbret : vol. 4 : Linguistique, t. II 196 f.

Démarcation entre le bas et haut allemand, par Grimm. -- Facsimilés d'actes islandais. -- Langues tartare, finnoise, mikemake, huronne. -- Les Gitanes (1808). -- Notice sur les Arméniens et leur langue, par Chahan de Cirbied (1811). -- Recueil de copies d'actes relatifs aux Juifs de France (1198-1299), de Provence (1512), d'Alsace (1784), de Parme (1789), de Francfort-sur-le-Mein (1816), etc.

Importance matérielle :

2 vol., recueils factices, montés in-fol. (368, 196 f.)

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

NAF 20078-20102 (collection Coquebert de Montbret)
> Section de « Linguistique » : NAF 20080-20081

Instruments de recherche disponibles :

BnF - Archives et manuscrits (catalogue en ligne : http://archivesetmanuscrits.bnf.fr/)

Accéder à l’inventaire complet de la collection Coquebert de Montbret de la Bibliothèque nationale de France (NAF 20078-20102) : http://archivesetmanuscrits.bnf.fr/ead.html?id=FRBNFEAD000006471

icone-e-anem-fonds-documentaire.png
Archives départementales du Lot-et-Garonne, fonds du Jasmin d’argent
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Histoire du fonds

Frontispice du livret Jasmin d'argent de 1922, d'après Jean Torthe.Le Jasmin d'argent, « société littéraire de l'Agenais » a été fondée en 1920 par Jacques Amblard et qui organise un concours annuel de poésie sur le principe des jeux floraux. À l'image de la violette des Jeux floraux toulousains, les initiateurs de ce nouveau concours de poésie décernaient à l'origine un jasmin en argent, double référence à la fleur et au grand poète occitan d'Agen, Jasmin.

Dès 1930 le prix prend la forme d'un diplôme et d'une médaille. Depuis 1952, les Jasmin d'argent sont décernés en séance solennelle sur la scène du théâtre d'Agen ou de Villeneuve-sur-Lot. Le concours récompense des compositions littéraires dans trois catégories : poésie française, poésie francophone émanant d'un auteur étranger et poésie ou prose en occitan ou en catalan.

Modalités d'entrée :

Dépôt

Accroissement :

Fonds ouvert

Fonds complémentaire :

 

Description du fonds

Dossiers thématiques pour 1980-2004, livrets du Jasmin d'argent, articles de presse et photographies des manifestations du Jasmin d'argent.

Dates extrêmes :

1921-2002

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (languedocien)

Occitan (gascon)

Français

Catalan

Importance matérielle :

 

Supports représentés :

2,50 mètres linéaires

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

132 J

Instruments de recherche disponibles :

État des collections

Ressources en ligne

 

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultation libre

Conditions de reproduction :

Libre, attention droits de propriété intellectuelle, oeuvres de l'esprit

icone-e-anem-fonds-documentaire.png
Archives nationales (Paris), Fonds Géraud Jouve
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Histoire du fonds

Portrait de Géraud Jouve. © http://www.assemblee-nationale.fr

Géraud Jouve (1901-­1991) est un journaliste, résistant, député socialiste du Cantal à la Libération (1946-­1951) puis diplomate. Ses archives ont été confiées aux Archives nationales par son fils Pierre Jouve en 1992. Parmi le dossier de « papiers personnels », on trouve une série de documents témoignant de l'intérêt de Géraud Jouve pour l'Auvergne et sa langue, en particulier la région de Trizac (Cantal) dont il était originaire.

Modalités d’entrée :

don de monsieur Pierre Jouve, 1992

Accroissement :

 

Description du fonds

Le dossier 549AP/1 contient : L'enfant du siècle, souvenirs de Trizac (Cantal) notes manuscrites, fragments de mémoires. Notes sur l'histoire d'Auvergne et le patois de Trizac. poèmes en patois auvergnat. Discours de distribution des prix du collège de Mauriac (1949).

Fonds complet :

549AP/1 à 549AP/17 Géraud Jouve.

549AP/1 Papiers personnels. 1917-1981
549AP/2 Correspondant de l’Agence Havas en Europe centrale. 1929-1950
549AP/3 à 549AP/5 La France libre. 1941-1944 549AP/6 Après la Libération. 1944-1946
549AP/7 Membre de l’Agence Havas puis de l’AFP. 1947-1955
549AP/8 à 549AP/12 Député du Cantal. 1946-1951 549AP/13 Carrière diplomatique. 1945-1960 549AP/14 Géraud Jouve et l’arme nucléaire. 1945-1951
549AP/15 Biographe du général de Gaulle. 549AP/16 Journaliste et cinéaste. 1945-1976 549AP/17 Articles en projet.
549AP/18 Vidéocassettes d’interviews réalisés par Pierre-André Jouve, fils de Géraud Jouve, pour la revue Esprit .

Dates extrêmes :

1917-1981

Langues représentées dans le fonds :

Occitan

Français

Importance matérielle :

18 cartons, 2,1 mètres linéaires

Supports représentés :

Manuscrits (pour 549AP/1)

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

549 AP
(549AP/1 à 549AP/18)

Instruments de recherche disponibles :

répertoire numérique dactylographié, par M. Guillot et A. Callu, 1992-1996, 12 pages

Fiche de fonds de la Base d’Orientation et de Recherche dans les Archives.

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

 La consultation de ces documents est soumise à l'autorisation de l'ayant-droit. Cette autorisation est à demander aux Archives nationales.

Conditions de reproduction :

La consultation de ces documents est soumise à l'autorisation de l'ayant-droit. Cette autorisation est à demander aux Archives nationales.

icone-e-anem-fonds-documentaire.png
Bibliothèque d' Etude et du Patrimoine. Toulouse, Fonds Antonin Perbosc
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Histoire du fonds

Antonin Perbosc est une figure importante des mouvements occitans de la première moitié du XXe siècle : écrivain d'expression occitane, ethnographe, instituteur puis bibliothécaire de la Ville de Montauban, il a entrepris la réforme graphique aux côtés de Prosper Estieu.

Ses archives et sa documentation sont réparties entre plusieurs lieux de conservation : fonds Antonin Perbosc de la Bibliothèque de Montauban  ; sous-fonds Antonin Perbosc (fonds Collège d'Occitanie – CIRDÒC); fonds Antonin Perbosc (Bibliothèque de Toulouse – BEP). Ce dernier est cependant le plus important, rassemblant les manuscrits et une grande partie des archives de Perbosc.    

Le fonds a été donné à la Bibliothèque de Toulouse entre 1962 et 1980 par sa petite-fille Suzanne Cézerac-Perbosc.

Modalités d’entrée :

Le fonds Perbosc de la Bibliothèque de Toulouse a été constitué en trois phases (achats et dons de Suzanne Cézerac-Perbosc, petite-fille d'Antonin Perbosc).

> Acquisitions et dons 1962-1965 : ms. 1383 à 1510 (description dans : Catalogue général des Bibliothèques publiques de France, Tome 58, supplément Toulouse. Paris, B.N., 1971. pp. 316-330.)

> Acquisitions et dons entre 1965 et 1980 : ms. 1697 à 1736 (description dans : Cahier d’inventaire des achats de la Bibliothèque municipale de Toulouse et dans la base PALME).

> Acquisition 1982 ou 1983 : ms. 2527 à 2614 inventaire établi par Élisabeth Coulouma, conservateur à la bibliothèque municipale au moment de l’achat, et Josiane Bru, ingénieur au Centre d’Anthropologie de Toulouse, lors de l’entrée de ces documents dans le fonds de manuscrits de la Bibliothèque (descriptions dans : cahier d’inventaire des achats de la Bibliothèque municipale de Toulouse).

Voir aussi la base PALME (Répertoire national des manuscrits littéraires français du XXe siècle. BM de Toulouse)

Accroissement :

 

Description du fonds

Contient de nombreux manuscrits des œuvres de Perbosc, des correspondances et papiers personnels. Les 60 cartons de dossiers documentaires réunis par Antonin Perbosc contenant des coupures de presse, notes et documents divers classés thématiquement (ancienne cote Bibliothèque de Toulouse : Lm B 2281) ont été transférés à la Bibliothèque municipale de Montauban (fonds Perbosc)

Dates extrêmes :

 

Langues représentées dans le fonds :

Occitan

Français

Importance matérielle :

256 documents ou liasses

Supports représentés :

Manuscrits

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

 

Instruments de recherche disponibles :

Catalogue général des Bibliothèques publiques de France, Tome 58, supplément Toulouse. Paris, B.N., 1971. pp. 316-330 [ms. 1383 à 1510 uniquement] ; informatisé dans CCFR – CGM

CCFR - PALME : Répertoire national des manuscrits littéraires français du XXe siècle. BM de Toulouse 

Josiane BRU, Antonin Perbosc (1861-1944), dans ArchivEthno France : http://www.garae.fr/spip.php?article297

François PIC, « Bibliographie de l’œuvre imprimée d'Antonin Perbosc ». Publié dans : Antonin Perbosc (1861-1944)...

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

 

Conditions de reproduction :

 

icone-e-anem-fonds-documentaire.png
Bibliothèque municipale de Rouen, Rn'Bi (Rouen Nouvelles Bibliothèques), Fonds Coquebert de Montbret
CIRDÒC-Mediatèca occitana
Certains droits réservés
icone-e-anem-fonds-documentaire.png
Archives départementales de l'Hérault, Fonds André Cabrol
CIRDÒC - Mediatèca occitana

Histoire du fonds

André Paul Cabrol est né le 11 janvier 1910 à Causses-et-Veyran. Après des études au séminaire, il est ordonné prêtre en 1933. Erudit spécialisé en histoire locale, en occitan et en toponymie, il effectue de nombreuses recherches sur l'origine des noms de lieu.
Reconnu pour ses connaissances, il seconde des étudiants et universitaires dans leurs recherches historiques, ethnographiques et toponymiques sur le département.
Dans les années 1950, il fait ainsi la connaissance de Frank R. Hamlin (décédé le 23 février 2000), universitaire britannique, qui s'intéresse aux toponymie de l'Hérault dans le cadre de sa thèse de doctorat. De 1971 à 1973, il conseille aussi Geoffrey Mills, universitaire canadien et élève de Frank R. Hamlin, dans ses travaux de doctorat en philosophie (Université de Colombie britannique, à Vancouver) portant sur La terminologie pastorale en Languedoc (thèse soutenue en 1974).
A la fin des années 1970, Frank R. Hamlin prépare la publication de ses travaux et associe l'abbé Cabrol à la relecture et à la critique de ses recherches. Durant cinq ans, de 1977 à 1982, l'abbé Cabrol et Franck R. Hamlin, échangent courriers scientifiques, fiches de dépouillement et recherches locales, aboutissant en 1983 à la publication, sous le nom des deux chercheurs, de l'ouvrage de référence "Les noms de lieux du département de l'Hérault : nouveau dictionnaire topographique et étymologique".

Modalités d'entrée :

Dépôt de l'abbé André Cabrol (entrée n° 2146, 26 mai 1987).

Accroissement :

Fonds clos

Fonds complémentaire :

 

Description du fonds

Le fonds de l'abbé André Cabrol se compose de quatre ensembles de documents :

- Les recherches toponymiques sur le département de l'Hérault pour l'ouvrage de Frank R. Hamlin Les noms de lieux du département de l'Hérault : nouveau dictionnaire topographique et étymologique où sont conservés notamment les fichiers alphabétiques de toponymes héraultais de l'abbé Cabrol (26 J 1-4).

- Les recherches et publications personnelles de l'abbé Cabrol où l'on trouve des sermons prononcés en occitan (26 J 8).

- Les recherches pour la thèse de doctorat en philosophie de Geoffrey Mills sur La terminologie pastorale en Languedocien : étude dialectologique et sémantique qui consistent en un nombre important d'enquêtes orales (26 J 10).

- Un ensemble d'ouvrages, revues et tirés-à-part que l'abbé Cabrol a réuni sur des thématiques telles que la toponymie (26 J 11), l'histoire locale (26 J 12-13), le culte des saints et l'histoire religieuse (26 J 14).

Dates extrêmes :

1891-1987

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (languedocien)

Occitan (provençal)

Français

Importance matérielle :

15 notices, 0,90 m.l.

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Monographies imprimées

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

26 J (sous-série)

Instruments de recherche disponibles :

Consulter l'inventaire en ligne du fonds sur le site des archives départementales de l'Hérault

Ressources en ligne

 

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Communication libre.

Conditions de reproduction :

Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture.

icone-e-anem-fonds-documentaire.png
Archives départementales de l'Hérault, fonds Xavier Azéma
CIRDÒC - Mediatèca occitana

Histoire du fonds

Xavier Azéma (1926-...), docteur en théologie, évêque auxiliaire de Montpellier, est l'auteur d'une thèse sur le jansénisme dans le diocèse d'Agde au XVIIIe siècle et de plusieurs ouvrages d'histoire religieuse. Il est le fils de Pierre Azéma, figure du félibrige montpelliérain.

Modalités d'entrée :

Dons par Xavier Azéma en 1983 (entrée n° 1782, février 1983), en 1987 (entrée n° 2135, février 1987) et en 1992 (entrée n° 2662, 24 avril 1992)

Accroissement :

fonds clos

Fonds complémentaire :

CIRDÒC, Béziers, fonds Pierre Azéma

Description du fonds

Le fonds regroupe les archives de la famille Azéma de Montpellier, et particulièrement les papiers de Pierre Azéma, correspondance personnelle et articles de journaux (20 J 2-12).

Dates extrêmes :

1521-1942

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (languedocien)

Français

Importance matérielle :

14 notices, 0,70 ml

Supports représentés :

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

20 J (sous-série)

Instruments de recherche disponibles :

Inventaire en ligne des fonds conservés par les archives départementales de l'Hérault

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultation libre

Conditions de reproduction :

Reproduction libre

sus 14