Glapam Tolosa que s’ei transformat en Glapam Nissa, tà seguir lo Carnaval de Nissa la Bella.
Aquò qu’ei un extrèit deu passa-carrèra dens la vielha vila, mes tanben de la serada au Sezamo, dab entervistas e moments de musica impovisats.
Un carnaval independent, hèit peu monde de Nissa, de l’Orphéon de la Verrerie de Tolosa, d’autes amics de Marselha, de Cuneo, e autas vilas a l’entorn : Louis Pastorelli (Gigi de Nissa), Jérémy Couraut (Djé Balèti), Capitanissa, Sainte Ambrounette Sougirous de la Fouasse, e d’autes.
Rodatge : 05/03/2011 a Nissa
Ce corpus, assemblé par Camille Chabaneau, rassemble des copies manuscrites du XIXème siècle de textes plus anciens. La première copie est signée Jean Délilos et les autres sont de la main de Camille Chabaneau. Le manuscrit rassemble les pièces suivantes :
"Aldon et Sennen, tragédie catalana" de Joseph Vingnes : copie datée de 1838 d'une pièce de théâtre écrite en 1691, qui raconte l'histoire de deux amants martyrs.
"Le Roman de Clergie" de Goswin est une réécriture de la Bible réalisée en 1245. La copie ne concerne ici que le début de l'oeuvre : de la création du monde à la malédiction de Caïn.
"Annales manuscrites de Limoges, dites ms. de 1638". La copie est daté de 1872, et le passage copié concerne en majorité une confrérie religieuse : la confrérie de Notre Dame.
La "Maréchaucie des chevaus" est la traduction de "l'hippiatrique" de Jordan Ruffo. Elle daterait selon le copiste de la fin du XIIIème siècle.
Un traité de médecine en ancien français, qui ne porte pas de date.
Trois manuscrits du XIXème siècle. Le premier "Misé blaguaraspas", daté de janvier 1857 est désigné sous le terme de "bavardage provençal". Les deux suivants "Ah ! lougua dé cadiéras" et "Leis louguataris dé Misé Taffo", sont des scènes populaires mises en musique par Louis de Croze.
Joseph Arnaud était un chanteur et chansonnier marseillais, qui jouissait à son époque d'une renommée internationale. On lui doit l'écriture de plus de 1500 titres.
Dans ce manuscrit, Fernand Troubat fait une description détaillée des différentes figures d'une danse populaire de Montpellier. Originairement dansée pendant la période des vendanges, elle a plus tard été utilisée à d'autres époques de l'année, mais elle en a conservé son nom de danse des treilles. Chaque étape de la danse est expliquée à l'aide de petits croquis.
Dans la préface de la version publiée de ce manuscrit (1902), l'auteur évoque une possible ascendance de cette danse aux traditions païennes antiques et bachiques.
Il s'agit de 22 poèmes édités par un des journaux, découpés et collés pour constituer un cahier d'hommage : " al cantre de la cade Beline".
Ces poèmes en gascon sont parfois accompagnés de notes de bas de pages concernant le vocabulaire et de quelques corrections d'orthographe manuelles. Ils traitent pour la plupart du quotidien de la vie paysanne.