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Brunel-Lobrichon Geneviève
Geneviève Brunel-Lobrichon, Les Bibles vaudoises à la source des Bibles italiennes?, p. 845-855. L'auteur propose un état de la question sur le problème des rapports qui ont pu exister entre les traductions de la Bible en langue vulgaire dans le midi de la France d'une part, en Italie de l'autre. Il y a un siècle, S. Berger avait émis l'hypothèse que les anciennes Bibles conservées en dialecte vaudois - de la frontière linguistique entre le provençal et l'italien -, marquaient en quelque sorte un lien historique entre des traductions occitanes de la Bible que les Vaudois chassés du Midi par l'inquisition auraient emportées avec eux et les premières Bibles italiennes. Un nouvel examen des cinq manuscrits complets du Nouveau Testament vaudois conservés conduit à quelques observations - l'absence du (v. au verso) psautier notamment -, et relance le débat posé par le titre de l'article. Une description des cinq manuscrits : Cambridge, Univ. Libr., Dd. 15. 34; Carpentras, Bibl. mun. 6; Dublin, Trinity Collège, A.4.13; Grenoble, Bibl. mun. 43 et Zurich, Bibl. centr. C 169 complète le dossier.

Brunel-Lobrichon Geneviève, . Les Bibles vaudoises à la source des Bibles italiennes ?. In: Mélanges de l'Ecole française de Rome. Moyen-Age, Temps modernes T. 105, N°2. 1993. pp. 845-855.

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H. Giordan
Giordan H., . L'enseignement de l'occitan. In: Langue française. Vol. 25 N°1. L'enseignement des "langues régionales". pp. 84-103.

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J.-B. Marcellesi
Marcellesi Jean-Baptiste, Le G.R.E.C.O, . Basque, breton, catalan, corse, flamand, germanique d'Alsace, occitan : l'enseignement des « langues régionales ». In: Langue française. Vol. 25 N°1. L'enseignement des "langues régionales". pp. 3-11.

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R. Lafont
Lafont Robert. Un problème de culpabilité sociologique : la diglossie franco-occitane. In: Langue française. N°9, 1971. Linguistique et société. pp. 93-99.

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Robert Lafont
Philippe Gardy
Gardy Philippe, Lafont Robert, . La diglossie comme conflit : l'exemple occitan. In: Langages, 15e année, n° 61. Mars 81. Bilinguisme et diglossie. pp. 75-91.

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2014-11-06_Alranq-Claude_Martror_Page_1.jpg
Martror : la fête des morts / Claudi Alranq
Alranq, Claude
"La tradition fait la différence entre Toussaint que les pays d'oc nomment Totsants (fête de tous les saints ou Martror, fête des martyrs) et le Jour des Morts.

Toussaint est le premier novembre, le Jour des Morts le 2 novembre. Aujourd'hui les deux fêtes se confondent, comme elles confondent et minimalisent leur contenu : la toilette, le fleurissement et la visite mémorable du tombeau.

En Occident, cette fête est synonyme de deuil et de tristesse, alors qu'en d'autres lieux ou d'autres temps, elle peut ou a pu être joyeuse (Mexique), initiatique (les Anthestéries grecques), contagieuse (Rome), paillarde (les « insolenzas » du Brésil), initiatique (Tibet) ou volontairement écartée (Tziganes).

Alors que tout poussait à croire que, chez nous, cette fête perdait sa fonction de « rite de passage » et que la mort était de plus en plus occultée, elle a rebondi curieusement avec le Halloween des enfants, sous l’œil complaisant du commerce mondial.

Devant la multiplicité et la complexité du phénomène, les chercheurs hésitent à élaborer une véritable « anthropologie de la mort ». [Cette] causerie n'en a pas l'ambition, elle cherche seulement à contribuer au débat que le renouveau des temporadas (fêtes saisonnières liées au « patrimoine culturel immatériel ») suscite en pays d'oc."

Claude Alranq
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Martror, la fèsta dels mòrts / Claude Alranq
Alranq, Claude (1947-....)

« De que demòra uèi de la fèsta dels mòrts ? »

Es per aqueles mots que Claudi Alranq començava sa conferéncia sus Martror, la fèsta dels mòrts, enregistrada lo 29/10/2014 al Teatre de Pesenàs, en amont de las fèstas de Martror, organizadas dins l'encastre de las Temporadas de Pesenàs.

Retrobar la transcripcion d'aquela conferéncia sus Occitanica.

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"Montaigne Occitan" par Fausta Garavini
Garavini, Fausta
Bedel, Amic. Metteur en scène ou réalisateur

Fausta Garavini es doctora en literatura francesa e occitana, traductritz e escrivana. 

En abril de 2013, Fausta Garavini foguèt convidada per l’Universitat de Tolosa-II Le Mirail a donar una conferéncia sus la lenga occitana dins Michel de Montaigne. Aquesta conferéncia es disponible aicí e son article scientfic es disponible sus Occitanica

Montaigne es al rescontre de tres lengas : lo latin, lo francès e l’occitan. 
Como Robert Lafont, Fausta Garavini se questiona sus la situation lingüistica e estilistica de l’òbra de Montaigne. Somet a una critica explicativa la celèbra frasa de Montaigne : “Que le gascon y aille si le français ne peut y aller”.

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Rapport sur la limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oïl / par M. Ch de Tourtoulon et M. O. Bringuier
Tourtoulon, Charles de (1836-1913)
Bringuier, Octavien (1829-1875)
De 1873 à 1875, Charles de Tourtoulon et Octavien Bringuier, félibres et philologues de la Société pour l'étude des langues romanes (Montpellier), entreprennent la première étude linguistique menée en France à partir d'une vaste enquête de terrain. 
Les résultats de l'enquête Tourtoulon-Bringuier sont publiés en 1876 dans le cadre d'un rapport au Ministre de l'Instruction publique, publié dans la collection des Archives des missions scientifiques et littéraires : choix de rapports et instructions publié sous les auspices du Ministère de l'instruction publique et des cultes. Paris : Imprimerie nationale : E. Leroux. 
Le rapport renouvelle la conception de la frontières linguistiques et donnera lieu à une contre-enquête menée par les philologues parisiens (Gaston Paris et Paul Meyer). L'Enquête Tourtoulon-Bringuier est à l'origine de la création d'un espace linguistique intermédiaire entre domaine occitan et domaine français, que Jules Ronjat nommera le "Croissant" en 1913.

Lire le Rapport sur la limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oïl sur Gallica : accès direct.
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Les enquêtes dialectologiques sur les parlers du Croissant : corpus et témoins / Guylaine Brun-Trigaud
Brun-Trigaud, Guylaine
Menée sous l'égide de la Société pour l'étude des langues romanes (Montpellier), l'enquête de Charles de Tourtoulon et Octavien Bringuier, philologues et félibres, sur les limites entre la langue d'oc et la langue d'oïl, fut la première vaste étude linguistique menée en France à partir d'enquêtes de terrain et d'une méthodologie scientifique. 
Elle fut à l'origine d'une nouvelle conception de la "frontière linguistique" et de la détermination d'une zone linguistique particulière car intermédiaire entre deux grands domaines linguistiques gallo-romans, le "Croissant" (terme forgé par Jules Ronjat en 1913). 
Guylaine Brun-Trigaud propose ici une synthèse de l'histoire des enquêtes linguistiques depuis l'Enquête impériale de 1807-1812 jusqu'aux Atlas régionaux de la deuxième moitié du XXe siècle à travers le cas très particulier du "Croissant", zone de parlers intermédiaires entre domaine d'oc et domaine d'oïl.  

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