TECHNIQUE VOCALE ET CHANT / Abbaye de Vignogoul avec Delphine Grellier (Lo Barrut) / Stage suivi d'un concert Camille en Bal
Lo collectiu còp-sec organise une série de stages sur le thème de la musique traditionnelle.
Ces stages sont organisés sur des week-ends de 2 jours. Ils sont ouverts à tous, dans une idée d’éducation populaire basée sur la transmission des savoirs. L’accent est mis sur la qualité des formateurs, la convivialité et la pratique.
Tous les participants profiteront de repas élaborés avec des produits locaux. L’Abbaye romane du Vignogoul, dont les fondations datent du XIIème sc., offre un cadre exceptionnel et calme, propice à la concentration et à la réussite du stage.
Située aux abords de Montpellier, dans une enceinte arborée, l’Abbaye profite de salles de travail spacieuses et confortables, de chambres rénovées donnant sur les vignes et les garrigues environnantes, d’une abbatiale, ou encore d’un jardin potager.
11 ET 12 NOVEMBRE 2017 / PIGNAN (34) / CHANT POLYPHONIQUE & MUSIQUE ARABO-ANDALOUSE / Abbaye de Vignogoul / Stage suivi d'un concert de restitution avec avec Delphine Grellier (Lo Barrut) et Abdel Bouzbiba (Du Bartàs)
- 9 ET 10 DECEMBRE / PIGNAN (34) / PERCUSSIONS TROPICALO-CANNIBALISTES / Abbaye de Vignogoul / avec Clément Chauve (Du Bartàs) / Stage suivi d'un concert de Grail'Òli
Public : adultes - tous niveaux - 12 participants maximum
Horaires : 9h30 - 17h30 - Restauration midi et soir compris et hébergement possible sur place, 25/nuits en sup.
Tarifs : 130€ les deux jours. Inscription : 50 euros d’arrhes
Infos et résa: stages@collectiu-copsec.com
06.72.75.95.57
Ou formulaire d'inscription en ligne
Site du collectif Còp-Sec
De mémoire d’Ostau le duo composé de Renat Jurié (voix) et Jean-Pierre Laffite (roseaux soufflés) n’a jamais été présenté à Marseille ; c’est donc une grande fierté que de les accueillir pour ce festival.
Renat Jurié est un chanteur d’Aveyron qui prolonge, incarne, fait sonner la tradition du chant occitan. Aidé par sa grande complicité avec Jean-Pierre Laffite, il en saisi et en exprime les ésotérismes. Pour toute une génération de chanteurs en «lenga nòstra», marseillais notamment, il est une référence, fut une inspiration et demeure un maître respecté ; il peut aussi compter en Provence sur un public large d’initiés fidèles.
Quant aux novices, ils s’ouvriront à de nouveaux Mystères, goûteront, dans ce lieu dédié au sacré, à l’impermanence des rites anciens.
Ostau dau País Marselhés - 18 carriera de l'olivier 13005 MARSELHA
04 91 42 41 14 - ostaumarselhes@gmail.com
Prix : 8 €, 6 € pour les membres de l’Ostau
La soirée se continuera en notre local, rue de l’Olivier, pour une collation conviviale.
Sourd-muet et borgne de naissance Pierre Avezard exerce des activités de vacher et de bûcheron dans des fermes du Loiret. Dès 1947 (à 28 ans), il commença la réalisation de son œuvre la plus connue, le « manège de Petit Pierre » à la Coinche, la ferme où il s’installe définitivement.
Nous sommes en présence d’un long poème qui s’écoute, un monologue conté à deux voix où se mêlent la grande histoire et la petite histoire : Pierre Avezard, dit « Petit Pierre » face au monde qui s’emballe : les guerres, les crises, la modernité …Un texte à deux voix, deux langues côte à côte, le français et l’occitan.
Théâtre La Vista - Montpellier (34)
Sourd-muet et borgne de naissance Pierre Avezard exerce des activités de vacher et de bûcheron dans des fermes du Loiret. Dès 1947 (à 28 ans), il commença la réalisation de son œuvre la plus connue, le « manège de Petit Pierre » à la Coinche, la ferme où il s’installe définitivement.
Nous sommes en présence d’un long poème qui s’écoute, un monologue conté à deux voix où se mêlent la grande histoire et la petite histoire : Pierre Avezard, dit « Petit Pierre » face au monde qui s’emballe : les guerres, les crises, la modernité …Un texte à deux voix, deux langues côte à côte, le français et l’occitan.
Théâtre La Vista - Montpellier (34)
Sourd-muet et borgne de naissance Pierre Avezard exerce des activités de vacher et de bûcheron dans des fermes du Loiret. Dès 1947 (à 28 ans), il commença la réalisation de son œuvre la plus connue, le « manège de Petit Pierre » à la Coinche, la ferme où il s’installe définitivement.
Nous sommes en présence d’un long poème qui s’écoute, un monologue conté à deux voix où se mêlent la grande histoire et la petite histoire : Pierre Avezard, dit « Petit Pierre » face au monde qui s’emballe : les guerres, les crises, la modernité …Un texte à deux voix, deux langues côte à côte, le français et l’occitan.
Théâtre La Vista - Montpellier (34)
NB : Yan Lespoux remplace Christian Coulon, initialement prévu et retenu par des obligations familiales
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, une sorte de crise du leadership s’ouvre entre un Félibrige englué dans lo règlement intérieur de problèmes liés à son attitude pendant la guerre et un occitanisme qui, à travers la fondation de l’Institut d’Études Occitanes, se veut conquérant. Ainsi ressurgissent des débats anciens, en particulier par rapport à la question de la graphie, qui prennent une dimension inédite e creusent un large fossé entre occitanisme et Félibrige.
Nous parlerons de ces débats qui traînent de 1945 jusqu’à la fin des années 1950 en insistant sur trois étapes importantes :
- la parution de La branche des oiseaux, de Sully-André Peyre,
- les élections au Consistoire du Félibrige de 1951 e 1952
- Le centenaire de la fondation du Félibrige.
Monica Sarrasin, D’entre tant, quauques uns, Lo Chamin de Sent Jaume.
Notre monde, notre famille, les nôtres, chez nous… Souvenirs, témoignages, un bon morceau de vie, juste une parcelle, un événement, le quotidien, la personne, la maison et la nation, tout ce qui fait la mémoire de l’homme (mais pourquoi pas le chien, ou la vache !), de belle manière, ou de petite façon, ce qui finit, et qui finit bien, par faire la mémoire d’un pays, Nòstre monde en tricotera des livres, même si ce ne sont que de petits livres, pourvu qu’ils aient le ton juste, qu’ils soient nécessaires. En voici le huitième volume
Marinette Mazoyer, Subre lo pont, lo pont de Ròchabèla, et autres récits autobiographiques.
Comme Monica Sarrasin, Marineta Mazoyer a écrit plusieurs volumes de récits autobiographiques, depuis le premier volume, ainsi présenté :
« J’ai voulu écrire [mes] souvenirs […] en occitan […] C’est peut-être parce que, ayant découvert très tard la langue qui aurait pu, qui aurait dû être la mienne, j’ai du temps à rattraper. J’ai raconté mon quartier, profondément lié à la nature, à un territoire et aux ouvriers qui y habitaient. J’ai fait revivre des souvenirs qui m’ont fait comprendre l’importance de chaque fait, de chaque personne, de chaque lieu qui ont pétri ma personnalité depuis l’enfance. Je me suis rendu compte que la langue occitane y était plus présente que je le pensais, même si elle m’avait été cachée […] J’ai dû tout réapprendre… »