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Séance d'ouverture du 1er Forum Eurorégional "Patrimòni e Creacion", en présence des élus régionaux, des représentants de l'Eurorégion Pyrénées-Méditerranée, de la Generalitat de Catalunya et des Îles Baléares.
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Le trio vocal Aqueles s'est formé en 2001 sur les bancs de l'université de lettres Paul Valéry à Montpellier. Tous trois étudiants en occitan, Matèu Vies, Beneset Vieu et Aimat Brees se rencontrent autour du plaisir de chanter.

Ils découvrent ainsi une part vivante de leur « occitanité » à travers ces chants. Après le départ de "Mostela", ils feront quelques concerts puis décideront de ne plus chanter sur scène pour privilégier le chant de proximité. Si le trio reste confidentiel jusqu'à aujourd'hui, ils ne cessera jamais de se retrouver pour enrichir son répertoire.

D'abord au service du chant "traditionnel", le trio change le cap en 2009.

Le répertoire actuel est essentiellement axé autours des chansons des année 20-30 dites“Belle époque”. Elles sont interprétées dans l'esprit des opérettes de Marseille de Vincent Scotto, du swing américain des Mills Brothers. Ces chansons, pour la plupart, viennent de receuils ou de collectages mais ne sont pas ce que l'on appelle communément des chansons traditionnelles. Il s'agit plutôt de chansons de circonstance, chansons “totémiques” de village, chansons écrites sur des airs connus à danser.

C'est lors du Festival ZINZAN, en Provence, qu'ils décident de renouer avec les planches après un concert "guinguette" qui allie la proximité et la dimension concert-spectacle. C'est avec ce tour de chant enjoué, qui respire la joie de vivre, que les chanteurs d'Aqueles trouvent leur place.

Dans la lignée de Gacha Empega, celle plus actuelle du Cor de la Plana ou des Audoises de la Mal Coiffée, parfois avec le style des Frères Jacques, le trio vocal Aqueles arrange ces chansons qui ont failli être oubliées. Elles se retrouvent ici swinguées, croonées, pulsées sur un rythme Chachacha, une dose de kitch et c'est parti.

Aujourd'hui c'est soit en formule "concert", accoudé au comptoir ou encore de table en table que le trio vous régale de ces chansons languedociennes.
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Depuis ses débuts en 2001, Guillaume Lopez, chanteur et poly-instrumentiste, mêle la musique andalouse de ses origines à celle des Pays d’Òc.
Entouré par des musiciens reconnus en jazz, musique du monde, musique actuelle, le chanteur toulousain s’enrichit à chacune de ses rencontres.
Dans ce concert, tous les musiciens sont interprètes de haut vol et dialoguent dans des styles aussi divers que world, trad, jazz, entre musiques traditionnelles et musiques actuelles, entre le festif et l’émouvant, le chanté et l’instrumental, l’acoustique et les machines.
Laissez vous séduire par ce voyage, départ les Pays d’Oc, en route vers l’Andalousie, profitant de quelques escales au groove Afro.
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Représentant de la Tròba Occitana, la chanson d'auteur en lange d'òc, Primaël Montgauzí chante ses créations en s'accompagnant à la guitare et au piano : chansons de convivéncia et de lutte, chansons de rencontre entre les rives de la Méditerranée, où l'on entend l'ibérité de la Gascogne, la tradition gitane du quartier Saint-Cyprien de Toulouse et les échos de l'Orient. Il met aussi en musique des grands poètes d'Òc (Pey de Garros, Gougoulin, Jasmin...) et donne à entendre la musicalité de cette langue qui colore presque tout le Sud de l'Etat français.
Après avoir débuté dans les cafés toulousains, Primaël a voyagé avec son gascon dans les festivals de France, des Pays Catalans, du Liban, avant de revenir plus riche de ces découvertes, donnant du sens à la fameuse phrase de l'historien occitan Alem Surre-Garcia, pour qui "Pyrénées et Méditerranée ont toujours été plus des ponts que des frontières".
Une (re)découverte de ce qui constitue l'âme des Pays Occitans, un appel à la pluralité des voix, à l'accueil de l'autre, à l'ouverture à toutes les cultures du Monde sans mépris ni hiérarchie.

"Caminant, vam caminant..."

Accompagné par Chokri Trabelsi au luth oriental (ou oud) et Kamel Bala aux percussions
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Emmené par Ange B (Fabulous Trobadors), Manu Théron (Lo Cor de la Plana), Henri Maquet et Clément Gauthier, ce quartet allie rixes musicales et jeux vocaux, chant occitan et beat-box. Déployant une énergie communicative et une puissance expressive qui ne forcent jamais le trait, Polifonic System invite à bouger, se distraire, et s'élever. Tous les quatre chantent, se servent d’instruments rudimentaires et puisent dans la culture occitane -et dans bien d’autres- l’inspiration qui les anime, en y mêlant les influences qui ont jalonné leurs parcours musicaux respectifs.
Mais un champion de France du beat boxing, un flahutaïre interstellaire, un charmeur de chabrettes et un bateleur polyphoniste ne font pas forcément (toujours) un groupe. Aussi se sont-ils mis d’accord sur un répertoire commun, tiré des vieux chants à danser occitans, de ces chants que les anciens entonnaient rageusement quand l’argent faisait défaut pour payer « la musique ». À la voix, parfois accentués de crépitements corporels et de halètement rythmés, ces chants déploient sur un souffle continu tous les élans, toutes les ivresses qui font s’ébranler une assistance.
Projetés dans ces airs familiers ou lointains, les musiciens se répondent d’abord patiemment, chacun prenant la mesure de ses partenaires, puis soudain, sans raison tangible, ils commencent à se pousser, puis se tuilent, se bousculent, s’affrontent dans des rixes et des jeux vocaux où tout est permis : les noms d’oiseaux, les harmonies incongrues, les imitations déloyales, et, bien sûr, l’emploi d’instruments où l’air et la voix sont sollicités. Pendant qu’Ange B. décline à l’infini tous les sons qu’un micro et une bouche peuvent produire en ce début de XXIème siècle, du plus percussif au plus suave, Henri Maquet invente un univers limpide et joyeux sur ses flûtes antédiluviennes, rejoint par un Clément Gauthier tout en malices cévenoles et un Manu Théron endiablé.
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F.U.O.C / Fonds Unique d'Objets Caracolants

Pour son premier jour de travail au F.U.O.C. (Fonds Unique d'Objets Caracolants) une gardienne un peu stressée et maladroite tente tant bien que mal de faire son travail. Pendant qu'elle présente les oeuvres, celles-ci se mettent à vivre et l'entraînent dans un univers onirique. Sortie de son rêve, elle s'aperçoit qu'un tableau a disparu. Affolée, elle doit le retrouver absolument. Elle cherche jusque dans le public quand soudain elle est interpelée par les formes malicieuses d'un mobile qui lui proposent de l'aider. En compagnie de Petit Bleu et Petit Jaune elle replonge dans ce monde farfelu. Plus d'une aventure les attendent alors ! L'occasion pour elle de découvrir le jeu des couleurs et d'assister à la gloutonnerie sans limite d'Ubu, une sculpture singulière...
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Faire du cinéma, cet art qui donne à voir la société, dans une langue qui ne fait pas ou plus société n'est pas, on le comprendra, chose aisée. Le processus de création audiovisuel est long et complexe, agrégeant un champ étendu de compétences, de métiers et de savoir-faire, de la conception créative à la production et à la diffusion, en passant par des approches plus techniques. Cependant, les technologies évoluent, se rendent plus accessibles, alors que, dans le même temps, de nouveaux modes de diffusion, de distribution, de financement, de production et de coproduction apparaissent. Une nouvelle génération, nourrie du cinéma mondial comme de sa propre spécificité locale est aujourd'hui à l'oeuvre derrière l'objectif, sur la toile blanche du web 2.0 où tout est encore à écrire. Amic Bedel (réalisateur), Julien Campredon (écrivain et scénariste) et Laurent Labadie (acteur, directeur artistique) animeront un temps d'atelier audiovisuel de type "master-class", destiné à ceux qui veulent créer mais n'osent pas, et partageront ainsi leur savoir-faire et leurs conseils aux créateurs de demain.
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Présentations et projections de films, en présence des réalisateurs :

-Sélection de courts du Collectiu Dètz

-La vida es pas un jòc Marc (Amic Bedel, Julian Campredon - Piget)
"La vida..." est une adaption de la nouvelle "La femme au collier de perles et le chat de mon voisin" ,de Julien Campredon, très inspirée des contes de Jean Boudou. Agacé par les déjections félines du chat de son voisin, Marc se lance dans une drôle de quête, afin de lever le mauvais sort qui l'accable. Mais autour de lui plane l'ombre maléfique du Drac...

-Sélection de courts Pixel Oc (Laurent Labadie)

-Són bojos aquests catalans!? (David Valls - Zeba Produccions, version originale sous-titrée)
Alina Moser est une jeune allemande qui a appris le catalan...mais ne parle pas espagnol. Elle commence donc un road-trip, parcourant la Catalogne à la recherche de quelqu'un qui puisse la comprendre, livrant ses impressions, ses réflexions sur l'utilité des langues, leur beauté parfois cachée, et leur avenir en demi-teinte lorsqu'elles sont minoritaires dans la société.
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Dans le cadre du Forum Eurorégional "Patrimoine et Création", et en partenariat avec la Grande Confrérie du Cassoulet de Castelnaudary, un repas de cassoulet sera proposé le dimanche 3 juillet, ouvert à tous, sur réservation.

Attention ! Réservations closes le lundi 27 juin !

Menu (15,50€)

-Cassoulet
-Dessert
-Vin à volonté
-Café
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Lo Barrut est un groupe nourri très tôt au chant populaire occitan.
4 hommes et 5 femmes qui s’inscrivent aujourd’hui avec joie et fraîcheur dans le mouvement des nouvelles polyphonies languedociennes à travers un répertoire intégralement constitué de compositions originales. Leur musique se nourrit de la poésie occitane, notamment des œuvres de Léon Cordes, Louisa Paulin, ou encore Marcelle Delpastre. Le poème appelle un rythme et une mélodie ; le chant en devient la continuité, et sublime le texte par la musique.Le chant est au cœur du travail de Lo Barrut : ces 9 musiciens y puisent de quoi raconter le texte, le porter dans leurs corps et l'adresser au public.

Lo Barrut est né du plaisir et de l'envie de chanter. Ses membres avaient pour habitude de marmonner, fredonner, chantonner, scander et mâchouiller des airs carnavalesques, des mélodies traditionnelles, des textes en langue d’Oc. C'est naturellement qu'ont émergé l'envie de fonder un groupe centré autour de la polyphonie, puis la volonté de se produire en public : sortir de l'intimité, faire entendre les chants, articuler cette langue devant un public.

Lo Barrut mènera le public dans les rues de Castelnaudary, marquant des stations régulières pour mieux laisser apprécier ses chants travaillés.
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