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Pure essence des grandes formations Fifres et tambours, les Fifrelets empruntent au répertoire occitan des airs traditionnels où le chant se mêle aux deux fifres et aux tambours. En fixe ou en déambulation, ils nous invitent à retrouver la magie des fêtes populaires d'antan. Les Fifrelets proposent également un répertoire « carnavalesque » où vêtus de panel ils sillonnent les rues en jouant les musiques dédiés à ces évènements. Accompagnés d'un(e) maître(sse) de danse ils peuvent également animer un balèti pour enfants
Crédit Photo Johan Hannequin pour l'Art à Tatouille 02.jpg
Historique

La compagnie « l’Art à TATOUILLE » est implantée depuis maintenant 21 années sur la région Languedocienne. Son objectif premier était de faire renaître, par le spectacle de rue, cette tradition des bateleurs et autres jongleurs sur les places de village, dont la fonction, outre le fait de divertir, était porteuse de valeurs éthiques et sociales, créatrice de liens et de réactions.

C’est dans cet esprit que la troupe l’Art à TATOUILLE a commencé en 1994 à créer des spectacles de rue, s’inspirant à la fois des ménestrels du moyen-âge et du théâtre de foire du 19ème siècle, mêlant des chants et des musiques avec des magiciens, des jongleurs, des échassiers...

Et c’est en cherchant, pour ses créations musicales, des morceaux traditionnels du Languedoc et de la grande Occitanie qu’un répertoire un peu délaissé dans les années 80-90 est ressorti de ses oubliettes.

Au fil du temps et des rencontres, la compagnie l’Art à TATOUILLE est remontée sur scènes pour proposer des spectacles plus axés sur la composition musicale avec l’arrivée dans la troupe de personnalités aussi fortes que Roland Ramade (chanteur du groupe Reggly’ss) ou Denis Capus (batteur de Clotaire K), sans pour autant perdre l’énergie et la spontanéité propre au spectacle de rue. Depuis 2014 Frédéric Lefèbvre a intégré le collectif, aux machines, samples...pour apporter la touche électro.

L'Art de l'Art à Tatouille

Le menu de l'Art à Tatouille, à consommer en souriant avec les spécialités du Languedoc (la rouquette, la soupe de poisson,..) est forcément une invitation à festoyer.

Une nouvelle recette avec un tout nouveau sound system…!! On garde les goûts et les saveurs du Sud, le timbre particulier des chants occitans et l’accent chantant du français méridional. Sur un fond de sauce électro, punché par un tuba-basse, on fait tourner une vielle à roue.

En laissant monter un soufflet d’accordéon sur un lit de musique traditionnelle, on ajoute quelques filets d'harmonica, un zeste de cumbia, une pincée de guimbarde…

A ce mélange du Languedoc, mixer la voix de madame H, la "diva du Minervois" et huiler avec du Roland Ramade, chanteur de Regg’lyss…

Croisement de personnalités, d’influences et de répertoires, L’Art à Tatouille, originaire de l'Hérault, nous donne surtout l'occasion de partager ensemble ce goût de la musique, du Sud, de la scène et de la fête.
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Armanac d'Auvernha. - 1944
L'Alauza d'Auvernha (Le Puy-en-Velay)
Armanac d'Auvernha 1944
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Jean Alambre né le 16 mai 1946 à Paris Butte Montmartre, est un écrivain et un auteur compositeur, membre de la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de Musique (SACEM). Il vit aujourd’hui en Limousin.

Après une enfance et une adolescence vécues à Paris, rue Championnet, dans le XVIIIe arrondissement, Jean Alambre garde la nostalgie et les souvenirs des « Années 50 », c’est à dire la marque et le petit goût d’allumettes suédoises superbement décrits par Robert Sabatier ; c’est le temps des caramels à 1 franc, des roudoudous, des mistrals gagnants merveilleusement chantés par Renaud ; c’est l’immédiat après-guerre et l’on peut encore voir les traces des derniers bombardements de 1944 sur les boulevards des Maréchaux, entre les Puces de Saint-Ouen et la Porte de La Chapelle.

La seconde facette de l’enfance de Jean Alambre sera la Corrèze, berceau de ses aïeux. On la retrouve dans la plupart de ses romans, comme dans ses chansons. Ce département et la région limousine sont pour lui une seconde matrice culturelle. C’est dans cette logique qu’il deviendra véritablement un écrivain régionaliste français amoureux de ce septentrion occitan.

Journaliste à Limoges de 1971 à 1989, après avoir quitté Paris en 1969, Jean Alambre, n’a qu’un modeste pas à franchir pour passer le gué séparant chanson et écriture. C’est ce qu’il fait à partir de 1995. On lui doit ainsi en 2003 Le Petit Vin paillé de la Défense ; en 2004 Souvenirs d’école, des écrivains racontent (ouvrage collectif) aux Éditions des Monédières ; en 2005 Chemins d’octobre, Éditions Les 3 Epis ; en 2007 : Chansons/Je connais un arbre (Intégrale de ses textes chantés depuis 1966) aux Éditions Le Bruit des Autres ; en 2007, il collabore à Corrèze par Monts et par Mots/Paroles d’auteurs corréziens (photographies Pascal Rabot), avec les Éditions Mines de Rien ; en 2008 : Les Souffleurs d’Etoiles – Roman historique, publié aux Éditions Lucien Souny, qui ramène au cœur de la Corrèze du XVIIIe siècle, dans la vicomté de Turenne, et met en scène une farouche poche de résistance au pouvoir du Roi Soleil. Ce livre se voit décerner le Prix Panazô en 2009. Pour le théâtre, Jean Alambre a également écrit La revanche de Dédale en 2009.

Côté discographie, on retiendra De Chalusset à Ventadour ( 33 tours) en 1971 et les albums Réfrac… Terre d’Oc en 2006 et Estivances en 2009.

Jean Alambre s’est produit en région parisienne dès 1966, notamment aux Relais de la Chanson Française ; en 1967 au Petit Conservatoire de la Chanson de Mireille (ORTF) et dans plusieurs cabarets : Le Mikado, L’Ecluse, La Contrescarpe…(Paris). Lauréat du « Diapason d’Or de la Chanson Vivante » (ORTF) au Festival national de Cognac (Charente) en 1970, il participe en 1976 au Festival International de Confolens (Charente) et met en scène, la même année, le spectacle Le Massacre des Primevères, au Petit Théâtre de La Visitation de Limoges, en tant qu’invité du Centre Théâtral du Limousin dirigé à cette époque par Jean-Pierre Larruy ; en 1978, il est sur scène à la Fête de l’Humanité, en première partie du groupe Tri Yann (La Courneuve). Plus tard, on retrouve Jean Alambre, en 2003 au Festival Régional des Étangs Scènes et Cultures (Corrèze), en 2005 au Festival URBAKA (Limoges), 2006 au Festival aux Champs (Chanteix, Corrèze) ; en 2007 et 2008, il anime plusieurs soirées du bar-cabaret « Le Gousset » (Limoges), en 2009, la ville d’Uzerche (Corrèze) l’accueille en concert et, en 2010, le poète Matthias Vincenot le programme dans le cadre de son festival Déc’Ouvrir de Concèze (Corrèze). Une très belle consécration pour un parcours que les modes de l’éphémère ne sont jamais parvenues à interrompre.

Auteur, compositeur, interprète

Habité par les mots et la musique, qu’il fait couler d’une façon unique et poignante, Jean Alambre aborde la chanson franco-occitane dans son expression la plus pure. Avec chaleur et sobriété, il charme de sa voix exceptionnelle, interprétant les chansons qu’il écrit et compose depuis plus de 40 ans et qui lui valurent un « Diapason d’or de la Chanson Vivante » dès 1970. 
Parolier de qualité, héritier des Brassens, Brel, Ferrat, Ferré ou Mouloudji, il n’a cessé de porter ses rages, jusqu’à être « ignoré » sur bon nombre d’ondes et dans bien des médias, y compris ceux de sa région limousine. Ses chansons n’en ont que plus de force. Pour ce « troubadour barde », le travail d’écriture et d’interprétation prend toute sa dimension en spectacle.

Sur scène et sur ses albums, Jean Alambre est entouré de musiciens au talent exceptionnel : Gilles Puyfagès (accordéon), Jérémie Astor (contrebasse/violoncelle), Jean-Marc Lajudie, Julien Soleilhavoup (batteries), Eléonore Roiffé (violon), Chris Dair (guitares), Philippe Destrem, Luc Vaillant, Jean-Michel Ponty (cornemuses, flûtes, vielles à roues)… pour n’en citer que quelques-uns.

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Les Violons du Mamou (ou "Violons de Mamou", ou encore VDM pour les intimes) se sont rassemblés pour la première fois en janvier 2008.

Une dizaine de musiciens débutants à expérimentés commencèrent à se retrouver une fois par mois, le vendredi à 19h, profitant de cet horaire pour apporter et partager moultes denrées liquides et solides pour se donner du coeur à l'ouvrage.

Il y avait au départ une majorité de violons qui voulaient recréer une sorte d'atelier violon trad dans le secteur d'Aurillac, atelier qui avait existé, mais avait cessé. Autour de ces violons vinrent rapidement s'ajouter une ou deux guitares, bientôt une flûte traversière (jusqu'en 2013), une trompette, des flûtes à bec et cornemuses.

Depuis 2008, ce "groupe à géométrie variable" se renforce lors de ces "répétitions" qui tiennent davantage du boeuf/buffet festif que de la répétition. Le principe reste de partager du répertoire de Haute-Auvergne et de le jouer le mieux possible pour les danseurs. La plupart des musiciens se rendent au bal/boeuf mensuel de Lafeuillade en Vézie, au restaurant « La Table Verte » les premiers vendredi du mois, pour jouer et danser...et faire tourner le répertoire !

Petit à petit, les VDM proposent leur répertoire pour animer des soirées (la première lors du festival de conte occitan à Aurillac en 2008), des fêtes de village (St Julien de Toursac en 2009 pour commencer), et bientôt des bals (comme le bal trad à Mamou en novembre depuis 2009), et d'autres animations.

Chaque apparition des VDM est différente (la composition du groupe et le répertoire n'est jamais le même d'une fois l'autre), mais l'essentiel reste : de la musique vivante à danser, d'Auvergne ou presque !
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Diplômé de la M.A.I (Music Academy International) à Nancy, il suit actuellement les cours de batterie à l'école Agostini à Bordeaux. il est titulaire du diplôme de M.A.O (musique assisté par ordinateur, conservatoire de Bordeaux) La diversité des instruments qu’il pratique lui permet d’intervenir dans plusieurs formations de styles très variés (Rock, chanson, trad, world, musiques ethniques…).
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Enfant de la balle d’Uzeste Musical, Juliette Minvielle traverse les contrées. Du chant polyphonique béarnais aux rythmes brésiliens en passant par la cadence gasconne, elle passe du piano à la voix, du tambourin à la guimbarde, tout en s’inspirant des sonorités collectées lors de ses voyages. Elle a collaboré avec Marc Berthoumieux, Marc Perrone, Alfred, Lucas et Adrien Spirli, René Lacaille, André Minvielle, Rita Macedo, la Cie Lubat, Marcel Loeffler, Jean-Luc Amestoy, Didier Ithursarry, Michel Macias...
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Un Rêve envoûté
 Des Climats Sonores Enracinés, Ancrés
  Un chant gascon actuel
   Une voix timbrée et granuleuse
    La Symbiose violon populaire / accordéon diatonique, Un bouzouki incisif
     Des Riffs empruntés au Rock et aux musiques africaines...
      Des cordes bourdonnantes et l'Ostinato qui crée la tension ​ ​
       C'est un peu tout ca Laüsa.

Laüsa ("étincelle" en gascon) est un de ces "projets de coeur" dicté par l'envie de créer quelque chose qui manquait, quelque chose qui nous ressemble: un genre d'évidence lié à une rencontre humaine et musicale.

La Forcelle (Lolita Delmonteil Ayral et Camille Raibaud) est un duo accordéon-violon, désormais bien connu dans le circuit des bals folk. Ils défendent dans leur pratique de la musique à danser un ancrage en terre gasconne, tout en conservant la volonté d'affirmer la musique traditionnelle comme Actuelle.

La rencontre avec Juliette Minvielle, au chant, a été l'élément déclencheur, pour peut-être dépasser le cadre du bal, proposer un concert dansant ou un bal à écouter pour toutes les jambes et toutes les oreilles.

L'arrivée de Julien Estèves au bouzouki est alors parue évidente pour tout ce qui concerne l'arrangement et le son du groupe. Il apporte la touche fantaisiste, créative et iconoclaste qui manquait au trio !

Ainsi notre musique dépasse le bal en y faisant référence, puise dans le trad pour proposer une création créative, transcende les codes établis pour oser ouvrir de nouvelles perspectives. ​ Nous avons pris le parti de prendre une année pour créer l'univers de Laüsa.

Un an sans public, sans pression, sans attente, sans obligation, pour trouver un son, une identité propre.
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Faburden puise son identité dans le terreau des Musiques Traditionnelles de Gascogne, puis s'est imprégné de Musiques Actuelles, de Rock et d'expérimentations sonores diverses. Il en resulte une musique à danser solide, enracinée et magmatique, en constante mutation.

Les instruments traditionnels (vielle à roue, violon, cornemuse des Landes de Gascogne, tambourin à cordes) associés à la batterie et un travail de son particulier, créent une musique intemporelle, à la fois très ancienne et résolument actuelle. Les codes de la musique à danser de Gascogne sont respectés et transcendés, les compositions fusionnent avec des mélodies traditionnelles, le tout dans un climat novateur, puissant et sans limites.

Historique

2007 : Création du "Duo" Faburden par A.Bibonne et C.Raibaud 2008 Faburden s'élargit à 5, c'est "la saison I", avec J. Pagis à la contrebasse, L.Guérin au Piano, et L.Girardeau aux percussions.

2010 : Premier LP du groupe, "SAISON I".

2010-2012 : Fin de la Saison 1, Faburden joue à 4 avec Philippe Savre (percussions) et Mickaël Geyre (Fender Rhodes).

2012-2015 : Préparation de la "Saison II" avec Julien Estèves (Batterie) et Simon Guillaumin (Vielle Ténor), le répertoire s'enracine et s'engage toujours davantage.

2015 : arrivée de Matèu Baudoin, qui apporte son (franc) parler Gascon, son chant hors du temps, violon et Tambourin à cordes.

2016 : sortie du deuxième album du group, 337.
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Laurent Labadie
Émilie Esquerré
La Cie Lilo, fondada en 1999, es un equipatge qu'escriu, fabrica e produit d'unas creacions d'espectacles vius. Aqueles, se reconeisson filmats, intimes, umoristics e engatjats, en sòlo o a mantuns. La companhiá agulhona lo « faire societat» per còps de teatre de carrièra, sala, performàncias, « conferéncias» teatralas, concèrts, balètis e autras taulas bassas. 
Aquela companhiá demòra en Peiregòrd, a Mencinhac. Amb l'occitan coma veisin e amic, aquela cultura fa alara son aparicion, al còr, a l'entorn e al fons de sas creacions. 

L'equipatge Lilo : 
Laurent Labadie _ Artista, salsissòt
Émilie Esquerré _ Artista, fruits fresques
Émilie Dussarrat _ Artista, administracion, sens glutèn 
Paul Jochmans _ Artista, comunicacion, pels grasses
Esclarmonde Nicolet _ Difusion, Dacia roja

La companhiá en qualques projèctes e etapas 

Es lo cas del trabalh de Laurent Labadie, qu 'a travèrs de sos espectacles, d'en primièr Mme Myosotis en 2002, la Leçon de Solexcitant en 2007, puèi sas creacions vidèos e radiofonicas, utiliza lo borlesc, l'umor corrosiu per faire existir autrament la lenga del sud de França, « l'occitan » e tota la cultura que i es ligada. 

Émilie Esquerré de son costat, testimònia d'un biais sensible sus d'experiéncias de vida « ordinària » coma una annada a la fac en 2007 amb C'est pas du jeu o dins un ostal de retirada rurala amb Les Vieux Jours en 2011, e mai recentament : Je ne parle pas occitan en public (2018). Aima tanben trabalhar amb de musicians e artistas plasticians locals. 

En practica, la Companhiá Lilo ten totjorn en mesclada, se desvelopa amb vam, un gòt a la man. Lilo es un important paquet d'òmes e de femnas que fabrican ensemble de sòmis e de raisses de solelhs pels pichons e los grands. Lilo es un isclon de creacions de tota mena (musica, teatre joinessa e tot public, audiovisual, formacion...) e en tot luòc e en tot terren e en tota circonstància e en tot un cadun... 

De mai, fàcia al besonh de comedianas e comedians en lenga d'òc,  Pixel'oc – menada per Laurent Labadie e la companhiá Lilo – propausa dempuèi 2015, d'unas formacions destinadas a l'ensemble del territòri occitan – lemosins, gascons, lengadocians, provençals o vivaroalpencs. Aquelas an per objectiu de formar de locutors al jòc d'actor, e al revèrs, d'aprene a de comedians professionals la lenga occitana.  Que dempuèi totjorn, la companhiá assegura un ròtle estructurant sus son territòri, qu'acompanha la creacion e la produccion d'espectacles nombroses e festenals (Cynthia, Coquin de Marvin, festenal Mémoires des Humbles...). 

Actualitats

Dos espectacles novèls, portats per la companhiá, son actualament en difusion : Hans et les Bretelles (Musica e teatre), e Je ne parle pas occitan en public (2018), totes dos mes en scèna Émilie Esquerré.

En parallèla, e del costat de l'audiovisual, lo rodatge de la seria OC veituratge, que seguís son camin per una primièra difusion de venir al mes de genièr de 2019 sus Noa, la TV de Novèla Aquitània. La seria es una coproduccion Mara Films, ÒCtele e França 3 Novèla Aquitània, realizada per Laurent Labadie sus de scenaris d'Alexis Quentin e Jean-Noël Commeres amb los comedians Georges Besombes, Delphine Lafon, Françoise Goubert, Mario Peperoni, Peiou Grosclaude, Émilie Esquerré, Monique Burg, Samantha Grassian-Pichler, Julie Loubère e Yves Durand. 

Ligams utiles :


Pagina internet de la Companhiá Lilo Théâtre : Aquí 
Pagina Facebook de la Companhiá Lilo 
Cadena Youtube de la Companhiá : Aquí

Vidèos 

Descobrir aquí la seriá OC veitura 
Descobrir aquí l'espectacke Hans et les Bretelles 


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