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Philippe Ancelin (violon et violon alto) et Pierre Fey (violon) forment un duo de violoneux, amoureux des musiques traditionnelles d’Auvergne et du Limousin, très respectueux de leurs sources. Un bonheur.
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Emmanuel Pesnot se définit comme un "luthier des voix du monde". Venu de Radio France, il se prend de passion pour le chant et la musique et reçoit une formation complète et académique à Tours. Dirigeant plusieurs ensembles vocaux, il se spécialise ensuite dans le "coaching vocal" et lie pour cela la musique et le chant à des domaines aussi divers que la psychologie, la physiologie, la pédagogie, la comédie... Petit à petit, Emmanuel Pesnot investit le champ (le chant ?) des musiques du monde, du tango au fado en passant par la polyphonie et diverses techniques de chant traditionnel venues du monde entier.

Aujourd'hui, Emmanuel Pesnot exerce son activité à Nantes, à Paris, mais aussi en Occitanie. Il anime en effet chaque année un stage dans le cadre du festival Les Suds à Arles et fut donc amené à coacher des groupes tels que La Mal Coiffée, La Roquette, Du Bartàs, Grail'Oli, Lo Barrut, Tant que li Siam...
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Bercé par les musiques d’Auvergne dès son enfance grâce à sa mère née dans la région sanfloraine , Didier PAUVERT entre dans le groupe folklorique d’Alfortville à l’âge de 10 ans pour s’initier aux danses auvergnates.

En 1975, il est revenu à Saint-Flour et commence à apprendre la cabrette avec l’abbé Odoul, à l’école de la Présentation. La même année, il entre au groupe folklorique « La Sanfloraine », et suit le stage annuel où il rencontre le cabrettaire Georges Soule et nombreux autres musiciens auvergnats de Paris . Il travaille ensuite longuement les styles des différents cabrettaires à partir d’enregistrements de Marcel Bernard, Jean Bergeaud, Pierre Ladonne père (qu’il eut l’occasion de rencontrer par la suite) sans oublier les plus anciens comme ceux d’Alard ou du célèbre Bouscatel…

Gagnant entre Juillet 1975 et Juillet 1978 plusieurs fois le premier prix du concours d’Aurillac dans la catégorie « confirmés » , il obtient la distinction de « Mestre Cabrettaire » en 1978 et est régulièrement appelé par la suite comme jury de concours ou comme formateur de stages, ce qu’il continue encore aujourd’hui. Grâce à l’étude de la cabrette, il commença très jeune à jouer avec différents orchestres et à être demandé par nombreux accordéonistes, comme Marcel Pelat et Charly Charbonnier, Guy Tardieu, Jean Pons, Nadine Amouroux, Louis Prunière, Fernand Constantin, Christian Peschel, Fernand et Laurent Mallet, et plus récemment Sylvie Pullès. Il eut l’occasion au fil des années d’enregistrer nombreux CD avec plusieurs de ces musiciens, ou d’autres comme Guylaine Laur, Sébastien Farge, Véronique Pomiès, Jo Sony, Sébastien PERRIN…

Toujours en cabrette, il a enregistré des cassettes d’apprentissage, associés à des cahiers de partition du répertoire traditionnel, véritable bible des élèves apprentis en cabrette.

Il se mit aussi à l’accordéon et au clavier à touches boutons dans les années 80. Avec l’accordéon, il participa à plusieurs projets musicaux, en accompagnant notamment des chanteurs comme Jean-Jacques Testud ou Nono Rouzaire dans les années 90 et fut « deuxième accordéon » de l’orchestre de Louis Prunière pendant des années. Il forma aussi un duo avec le cabrettaire Michel Esbelin, le duo « Esbelin-Pauvert », et un trio « Les Costauds de la Lune », avec le guitariste Patrick Desaunay se rajoutant au duo. Aujourd’hui, il joue du clavier avec un orchestre attitré, celui de Jean-François Mézy, qui tourne essentiellement en Lozère et en Aveyron, dans un répertoire trad-musette , ou variétés-musette.

Il continue aussi les formations avec Michel Esbelin et Patrick Desaunay.

Depuis 2008, il joue de la cabrette dans les « Collegas », un groupe qui revisite les morceaux traditionnels, avec Thierry Nouat à la vielle, Laurent Molinarie à l’accordéon, Jean-Christophe Peughère à la batterie, Frédéric Peltier à la basse, Didier Fraysse à la guitare électrique, Laurent Bec au clavier, et Eric Coudon au chant.

Source : http://lafeuilleamta.fr/2013/06/duo-pauvertesbelin/
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Originaire d’une famille auvergnate, Michel Esbelin est né à Paris en 1961. Il découvre la musique traditionnelle à la fin des années 70 à travers le folk-revival. Il commence avec l’épinette des Vosges, le violon et la vielle à roue. Il se perfectionne auprès des musiciens parisiens du folk-club Le Bourdon. Attiré par le répertoire de l’Auvergne, il entreprend en 1982 l’étude de la cabrette avec des spécialistes comme Pierre Ladonne et Jean Bona. En 1983, il gagne la médaille d’or au concours national de cabrette à Paris. A la même époque il rejoint le groupe des Musiciens Routiniers, une association spécialisée dans le collectage et la recherche d’enregistrements historiques. Il collabore avec Daniel Denécheau, les frères Désaunay, Jean-François Vrod, Marc Anthony. Entre différents travaux de collectage comme L’accordéon en Auvergne publié en 1995 et, récemment, Violons du Cézallier, enregistrements inédits d’Alexandre Savignat et d’Antonin Pécoil en 1946, il participe à des projets musicaux variés dont Paris-Musette avec le guitariste Didier Roussin. En 1996 il enregistre avec l’accordéoniste Didier Pauvert Quand on fait le même chemin. Avec l’arrivée de Patrick Désaunay au sein du duo, ils créent Les costauds de la Lune, trio qui a joué pour de nombreux festivals français, Européens et Canadiens, il a publié en 2002 son premier CD.

Source : http://lafeuilleamta.fr/2013/06/duo-pauvertesbelin/
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Les Auvergnats de Paris sont notamment renommés pour avoir créé le bal musette, qui a fait danser des générations. Ce nom vient de celui de la cornemuse, que les Auvergnats préfèrent appeler cabrette. Née à Paris après la Révolution, elle a été ensuite rejointe par l'accordéon, apporté par les immigrés italiens. Les Costauds de la Lune tirent leur nom des mauvais garçons qui hantaient le quartier de la Bastille. La cabrette de Michel Esbelin et l'accordéon de Didier Pauvert y sont rejoints par le banjo et la guitare de Patrick Désaunay.
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Présentes à Paris depuis plus de deux cents ans, les musiques et danses d’Auvergne y subsistent à l’heure actuelle comme dans le Massif Central. Le trio Flor de Zinc rassemble le cabretaire et violoniste Michel Esbelin, l’accordéoniste Ludovic Rio et le banjoiste Olivier Sulpice. Bien connu des amateurs de musique auvergnate, Michel joue notamment avec Les Costauds de la lune. Ludovic a appris l’accordéon musette à Loudéac (Haute Bretagne) et fait partie de groupes de fest noz et de bal folk, comme Kafe Koefet. Olivier est, quant à lui, passionné de musique irlandaise et joue depuis une quinzaine d’années dans le groupe de chanson/rock Debout sur le zinc.
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Créé en 2003, au sein du Département de musique traditionnelle du Conservatoire de Limoges, Couleur Chabrette est une formation de quatorze musiciens jouant de la chabrette, mais aussi de l’accordéon diatonique, du violon, de l’alto, du saxophone, du piano, des percussions, du hautbois, des flûtes. Notre musique est une invitation au voyage, pour une redécouverte de la musique traditionnelle du Limousin, la réadaptation d’un répertoire oral, vivant, aux sonorités modales, auquel viennent se mêler des airs d’ailleurs aux multiples influences (celtique, baroque, jazz…). Mélange de timbres, de couleurs, Couleur Chabrette propose une vision nouvelle de la musique traditionnelle, où identité et modernité s’unissent, se répondent. L’énergie et la force des musiques à danser, côtoient le répertoire chanté des Noëls et chants de quête. Allant du solo aux arrangements plus complexes d’une musique polyphonique, notre musique vous fera découvrir les multiples facettes de cette mystérieuse cornemuse à miroir du Limousin, la chabrette comme trait d’union, mariage des timbres dans la résonnance des bourdons.
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Tintorèla, en occitan l'équilibre: celui de deux voix de femmes a cappella, voix puissantes et colorées, riches des parcours atypiques des deux chanteuses, Françoise de Fanti et Florence Launay.

Françoise de Fanti a commencé par la danse contemporaine, puis retrouva ses racines languedociennes avec le chant traditionnel, notamment au sein du groupe Landiridi, avec Bernard Felip à la guitare. Passionnée par la culture et la langue occitanes, elle a participé à des collectages et fait des recherches personnelles pour connaître le contexte dans lequel vivait la chanson traditionnelle. Depuis plusieurs années, elle donne des conférences chantées sur ce sujet.

Florence Launay a toujours entendu des expressions en occitan dans sa famille. C'est sa rencontre avec Françoise de Fanti qui lui a fait découvrir la beauté et la richesse de cette langue. Chanteuse lyrique, elle a quitté les scènes d'opéra pour explorer les mélodies, le lied allemand, la chanson française du XXe siècle et la chanson traditionnelle. Florence Launay effectue également des recherches sur l'histoire des musiciennes, notamment les compositrices françaises du XIXe siècle.
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Puisant à la source du chant traditionnel occitan, LANDIRIDI s’inscrit dans une esthétique contemporaine. Ce duo est, pour la chanteuse et danseuse Françoise de Fanti, et pour le guitariste Bernard Félip, le creuset où leurs recherches musicales et chorégraphiques se mêlent et où, grâce à une profonde connivence, ils enrichissent leur interprétation de plages d’improvisation.
Très ancrés dans leur région d’origine, le Haut Languedoc, ces musiciens jouent un répertoire collecté dans la zone du parler languedocien, avec un grand respect de la langue et du chant, mais aussi une totale liberté musicale.
Tout d’abord danseuse (membre, à New York de la compagnie “Fresh Dance” dirigée par Sara Sugihara) Françoise de Fanti a retrouvé ses racines occitanes grâce au chant traditionnel.
Bernard Félip, quant à lui, vient d’un monde musical à la foi classique et Jazz. A l’écoute de tous les courants musicaux, du plus traditionnel au plus avant-gardiste, il écrit les arrangements de LANDIRIDI.
Leur association, est ainsi riche de tous les courants artistiques qui les ont formés.
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Adreit
Alain Ricard
BRENNUS Music est un distributeur et diffuseur de musique principalement spécialisé dans le Hard Rock, Heavy Metal, Blues, Rock français, ainsi qu'en Musique occitane amplifiée. Il dispose pour ce dernier aspect de son propre label, Adreit, et sous celui-ci furent édités notamment les disques de Brick à Drac, Boisson Divine, Sonoloco, Goulamas'K ou encore Stille Volk.
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