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Aire singing

Voca Folies c'est 3 jours de fête avec des concerts, aubades et repas chantants.
Un évènement organisé par Aire Singing à Aire sur l'Adour les 8, 9 et 10 septembre.

Programmation du 8/09

- 1ère partie : Trad'à l'ail
Jeune formation voisine (Le Vignau) de musique traditionnelle occitane qui se produira pour la première fois sur une si grande scène et dans lieu si prestigieux que les arènes aturines.

- Nadau : 
Un còp èra Nadau, Tarbes, fin 1973, le groupe « Los de Nadau » naît de la rencontre de Michel Maffrand, Jacques Roth et Ninon Paloumet. La nouvelle chanson occitane existe déjà, avec Marti, Patric et Los Caminaires d'Òc en Languedoc, Delbeau en Gascogne,  Verdier en Limousin. Après l'explosion de 1968, beaucoup de jeunes se retournent vers leurs racines. Les salles sont pleines, le Larzac est en lutte, les espoirs immenses. Un slogan commence à  résonner dans toute l’Occitanie : "Volèm viure al país !" Le premier disque sort à l'été 1975 : Monsur lo regent, chansons revendicatives, mais aussi chansons d'amour. Le groupe accompagne les luttes viticoles et ouvrières, c'est l'époque de la chanson "engagée". Très vite sortent "La venta a las enchèras" en 1976, et "L'immortèla" en 1978, chanson phare qui deviendra un hymne occitan. En 1980 naît à Pau la première Calandreta. Nadau sera toujours aux côtés de Calandreta dans le combat qu'elle mène pour la langue. Il s'implique également dans les premières radios libres, dans le journal "Pays". Depuis ? Pas moins de treize albums, deux DVD, près de cent milles disques vendus, plus de mille concerts, trois Olympias et… des milliers de gens qui reprennent en cœur ! Quarante ans que Nadau remonte le parcours de la mémoire comme un saumon remonte la rivière en nous parlant de notre langue, de notre pays, de nous, intimement, comme au creux de l’oreille…


Informations pratiques 


Site du festival
Tarifs : 18€ sur réservations // 20€ au guichet le soir-même // gratuit jusqu'à 10 ans // réservations et renseignements au 07.82.31.87.23 (Aire Singing) ou à la Boulangerie-Pâtisserie Larrieu, 55 rue Carnot à Aire-sur-Adour.

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Un tot pitit bocin est un disque du chabretaire Philippe Randonneix.

"La chabrette a rencontré, sur les chemins du Limousin et d'ailleurs, les accordéons diatoniques et chromatiques, le violon, le chant, l'harmonium et même le banjo et la vielle. Avec eux, même si elle joue parfois quelques airs à écouter, c'est bien pour faire danser qu'elle se fait le mieux entendre."
-Extrait du livret

Invités : Laurent Boithias (vielle à roue), Hervé Capel (accordéon chromatique), Bernard Chaulet (accordéon diatonique), Nathalie Daviau (harmonium), Olivier Daviau (harmonium), Françoise Etay (chant) Alexandra Lacouchie (violon, chant), Hugues Lauliac (banjo), Pauline Randonneix (chant), Gilles Ratier (accordéon chromatique), Magali Urroz (accordéons diatoniques, chant), Mireille Verdier-Sage (chant).
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Verdier, Joan-Pau
Depuis plus de vingt ans, Meitat-chen, meitat-pòrc est le rendez-vous dominical incontournable des Périgourdins sur France-Bleu Périgord. Cette émission 100 % en occitan de Joan-Pau Verdier et Martial Peyrouny est l'une des plus anciennes et des plus écoutées du réseau France-Bleu, de par la qualité de sa programmation musicale, de ses interviews et de la fameuse chronique Lo bilhet de Joan-Pau Verdier.

Les 22 textes proposés ici sont le fruit d'une première sélection parmi plus de mille billets. En fin observateur de son temps, l'auteur y dénonce les travers de notre époque : le rapport à l'argent et au pouvoir, la malbouffe, le politiquement correct et sa phraséologie, les extrémismes, les banques, les prisons...

On retrouve sur le CD les textes écrits et dits avec humour par la voix grave, chaleureuse, malicieuse et rocailleuse de Joan-Pau Verdier.

En occitan limousin
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Gérard Pourhomme
Mans de Breish, né Gérard Pourhomme le 29 janvier 1949 à Carcassonne, est avec Claude Martí, Patric, Joan-Pau Verdier, un des chanteurs les plus importants du renouveau de la chanson occitane dans les années 1970.

Il apprit à jouer de la guitare avec les gitans de Carcassonne. Au lycée, ses collègues lui donnèrent son surnom de Mans de Breish ("mains de sorcier" en occitan) par pure moquerie. Ce surnom le suivra lorsqu'il montera sur les planches pour défendre la langue occitane.

Après deux albums, il travailla dans le secteur bancaire, et recommença à publier des albums à partir de 2000. Après un album consacré aux textes de Joan Bodon: Alba d'Occitania, il revient à ses propres compositions dans un album, La Guerra Bartassièra, où il renoue avec le militantisme tout en poursuivant son œuvre poétique et humoristique qui le caractérise. Il en profite pour s'accompagner d'un orchestre qui lui permet d'exprimer son amour du jazz. Cette formule le suit désormais sur scène où le public découvre le show man qu'il a toujours rêvé d'être.
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Les Rêves Gigognes est un disque de Joan-Pau Verdier. Après un gros travail autour de Léo Ferré, il revient à un répertoire plus personnel, toujours en français et en occitan.

Joan-Pau-Verdier : Chant guitares rythmiques
Patrick Descamps : Basses, contrebasse, accordéon,
guitares, écriture des Cordes
Didier Berguin : Guitares classiques et électriques,
rythmiques et solos chœurs
Pascal Robert : Batterie cajón percussions chœurs
+
Saxophones et lûte basse : hierry Réale
Violon alto : Cédric Moulié
Violoncelle : Sophie Legris Caron
Rebec, oud : Maurice Moncozet
Conception artistique : Patrick Descamps/Joan
Pau Verdier
Prise de son, mixage et mastering : Franck Lutton
Conception graphique : José Bustinduy
Photos : Romain Berguin
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En 2009, Joan-Pau Verdier enregistre un album, intitulé Paratge, qui rejoint le livre Trobadors, comprenant des textes de Martial Peyrouny et des dessins de Luc Aussibal.
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Après Léo, domani en 2001 où Verdier revisitait Ferré en français, un pas supplémentaire est franchi avec Léo en òc en 2006. L'objectif est de faire ainsi d’une pierre deux coups : continuer à faire connaître l’œuvre de Ferré et prouver que la langue d’Oc est une langue d’une telle richesse qu’elle peut retranscrire les poèmes les plus forts, les métaphores les plus surréalistes. Mais traduire Ferré, c’est traduire quelques uns des poètes majeurs de notre patrimoine : Rimbaud, Verlaine, Rutebeuf, Seghers, Aragon, Caussimon etc…

Le choix musical s’est imposé : des guitares, une basse et des percussions afin de revisiter complètement le son et l’esprit musical et de rajouter des rythmiques modernes sur ce qui était de forme classique. L’équipe musicale autour de Joan Pau Verdier est composée de musiciens professionnels qui l’accompagnent depuis nombre d’années.

Jacques Gandon : guitares , choeurs , arrangements. Guitariste, il a rejoint Joan Pau Verdier en 2000.
Laurent Chopin : batteur percussionniste, professeur à l'Ecole de musique de Niort, avec Joan Pau depuis 1993.
Patrick Descamps : bassiste. Professeur à l'Académie de Jazz de l'Oise. Tourne avec Joan Pau Verdier depuis 1991.
Véronique Gandon : 2eme chant , choeurs , guitare , percussions. Choriste de Joan Pau Verdier depuis 4 ans.

Le disque du spectacle Léo en òc, issu d'une captation en concert à l'Estivada de Rodez en 2006, est inclus dans le recueil bilingue Coma lo temps / Avec le temps.
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Près de 10 ans après l'accord de l'intéressé, Joan-Pau Verdier réalise un projet de longue date, pressenti depuis Maledetto Leo en 1974 : réinterpréter Léo Ferré. Verdier se paie même le luxe de traduire certaines chansons en occitan.

Ce disque, enregistré en 1996, ne sera diffusé qu'à partir de 2001, faute d'un distributeur.
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Le but du CD Vint ans aprèp qui sort en 1993 est d'effectuer les reprises d'anciennes chansons de Joan-Pau Verdier en les réactualisant. Sept au total datant de 1973, 1974 et 1975 : La bona chançon (La bonne chanson) Presencias, La vièlha (La vieille), Legenda, Lo vilatge nejat (Le village noyé), T'aimarai et Ni Diu, ni mestre. Musicalement, l'obsession de ce disque est d'éviter à tout prix le folklore. Les sonorités jazz, blues et rock confortent d'ailleurs cette idée. L’autre particularité est que tous les textes sont en occitan, comme Pirouettes était quasiment tout en français. Un noyau commence à se former autour de Verdier avec Blanchard, Laurent Chopin (batterie), Didier Berguin (guitare, basse, harmonica).
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Joan-Pau Verdier enregistre en concert à la chapelle de la Visitation de Périgueux son premier laser Pirouettes qui sort en 1992. Ce disque comporte cinq reprises (Chroniques du quotidien, Rue du Lys, On ferait comme si, Ballade d’Adrien et Hit en oc) et dix nouvelles chansons. Autour de Verdier et Blanchard, viennent se greffer Patrick Descamps (basse et accordéon), Didier Berguin (guitariste qui jouait dans Bigaroc) et Rose-Lyne Berguin (chant). II n'y a pas de batteur, du fait de la petite taille de la salle. Les parties de batterie ont été programmées à l'avance et sont contrôlées par Francis Blanchard. Les textes des chansons sont très travaillés et plein d'allusions, aussi diversifiés que la musique qui sait se faire à la fois rock, blues, tango ou folk.
sus 10