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Institut d'Estudis Occitans, Seccion de Tarn
Albigés País Occitan de Christian Laux est paru en 1980.  Depuis, de nombreux écrivains du département du Tarn ont publié des livres ou écrit dans des revues : romans, nouvelles, poèmes, chansons...
Cet ouvrage en présente la majeure partie depuis 1882, année de la venue de Frédéric Mistral à Albi, jusqu'à maintenant. Environ cent auteurs, femmes et hommes, sont présentés : Raymond de Toulouse-Lautrec, le colonel Teyssier, André-Jacques Boussac, Louisa Paulin,  Guy Viala, Andriuna Labit, Chrstian Laux, Marise Nègre, Robert Marty, Jean-Claude Serres, Sèrgi Viaule...
Cette anthologie est le travail d'un groupe de l'IEO du Tarn coordonné par Raymond Ginouillac.
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Lo Gai Saber. - Annada 17, n° 126 abrilh 1935
Estieu, Prosper (1860-1939). Directeur de publication
Lo Gai Saber es una revista literària occitana publicada dempuèi 1919. La rubrica L'Òrt dels trobaires es consacrada a la poesia, la rubrica Bolegadisa occitana balha d'informacions sus l'actualitat de l'accion occitana. La revista se fa tanben lo resson de las publicacions del domeni occitan e dels resultats del concors annadièr de poesia occitana de l'Acadèmia dels Jòcs florals.
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Festival « Contes et Rencontres »
Contes d’aicí, Contes d’ailà / Contes nomades

Sous ce titre vagabond et sautillant se cache un répertoire sauvage de contes mis côte à côte, mais qui, dans leur grande diversité, vivent en bonne harmonie. Ils ont pour point commun le fait d’avoir voyagé de bouche à oreille, traversé le temps et l’espace, pour nous parler des grands mystères du monde, mais aussi de nos petites vies intérieures : nos joies, nos chagrins, nos peurs, nos espoirs, nos désirs secrets… grâce à des personnages qui font le chemin pour nous. Et puis deux langues, française et occitane : l’une qui éclaire l’autre. Des langues non pas perçues comme des frontières mais comme des passeports pour l’émotion et l’imaginaire. Là où le tout petit se relie à l’universel, s’ouvre un espace de liberté. Le temps semble s’y arrêter, le temps d’un conte…

Spectacle à durée indéterminée (environ 1h10) pour oreilles sans origine contrôlée… Tout public à partir de 6 ans
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La Centrifugeuse - Pau
En 1ère partie
Concert du GAM – Groupe d’animation musicale (Pau)
S’évader, rechercher, approfondir, inventer… mais aussi se chercher, se retrouver et créer ensemble…
Chaque année, de jeunes musiciens âgés de 11 à 15 ans, accompagnés de l’équipe du GAM (Groupe d’Animation Musicale), se retrouvent pendant une semaine, fin août, dans un lieu privilégié à l’extérieur de Pau, afin d’élaborer ensemble une création musicale collective. Les sons se croisent, se rencontrent et invitent à vivre un moment sensible et poétique. Musique répétitive, paysages sonores, musique contemporaine et sonorités insolites s’unissent et donnent lieu à ce concert.

In C / Collectif La Nòvia (Auvergne)
musique contemporaine / musique traditionnelle
Œuvre créée en 1964, In C de Terry Riley, est l’un des actes fondateurs de la musique minimale. Avec une partition composée de 53 motifs, In C est pionnière quant à l’utilisation radicale du procédé de répétition. Comme pour preuve de son potentiel illimité, In C a été proposée dans de nombreuses interprétations.
La version qu’en propose aujourd’hui La Nòvia s’articule autour des instruments caractéristiques de son champ de recherche, les musiques traditionnelles. Vielles à roue, cabrette, chabrette, cornemuse Béchonnet, violons, tambourin à cordes et banjo apportent un autre éclairage sur l’œuvre de Terry Riley. Cette interprétation questionne les similitudes formelles et acoustiques entre musiques traditionnelles et contemporaines. Elle valorise la richesse des timbres et provoque une perte des repères dans l’espace et la durée.
Basile Brémaud : violon / Yvan Etienne : EMS Synthi + pédales / Mathieu Baudoin : violon / Perrine Bourel : violon / Antoine Cognet : banjo / Jacques Puech : cabrette / Clément Gauthier : chant, tambourin à cordes / Yann Gourdon : vielle à roue / Alexis Degrenier : vielle à roue / Guilhem Lacroux : guitare 12 cordes / Pierre-Vincent Fortunier : cornemuse Béchonnet 11p / David Fauroux : régie son


INFORMATIONS PRATIQUES 


Tarifs :6 € / 9 € / 12 €
En partenariat avec Hart Brut et le Collectif Ca-ï
Jauge limitée : réservation obligatoire
Site Facebook de la Nòvia : ICI 

La Centrifugeuse  
Service culturel UPPA
Maison de l'Etudiant - BP 576
64012 PAU
tél : 05 59 40 72 93
fax : 05 59 40 72 94


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Carnaval de Limós de 2010 : jutjament del Titolet
Beluga de Limós
Cada an, aprèp gaireben tres meses de festivitats cada fin de setmana, lo carnaval de Limós s'acaba amb coma apogèu la nuèch de la Blanqueta. Aquel dimenge a mièjanuèch, carnaval, que demorèt totas aquelas setmanas sus la plaça de la Republica, es jutjat.

Aquestes jutjaments permeton de reglar en plaça publica totes los problèmas de la societat limosenca de l'annada passada. Qualques còps, es complicat de comprene e d'explicar las allusions, los noms de vilatges o de personas, per de que fan referéncia a de luòcs, de personatges o d'eveniments locals. Mas aquestes jutjaments permeton tanben de faire un recapitulatiu dels eveniments internacionals e nacionals màgers de l'annada.

Carnaval es invariablament acusat de totes los mals, quin que ne siá lo nivèl, local, nacional o internacional, jutjat colpable e executat.

Lo jutjament de 2010 presenta la particularitat de se presentar, per granda part, coma la lectura del testament de l'acusat. Aital aqueste ditz cap a qué vòl dirigir son argent çò que li val, fach extrèmament rare, de demorar en vida. Pasmens son clòne serà cremat.
D'un autre costat en debuta de jutjament es fach un rampèl de l'afaire Botul, invencion d'aqueste personatge per de jornalistas parisencs, e que Bernard-Henri Lévy se'n serviguèt de referéncia d'un biais seriós sens aver verificat sas sorsas doncas.
Fons de las traduccions dels tèxtes e decrets de l'Assemblada nacionala en occitan e autras lengas de França pendent la Revolucion (Archius nacionals AA 32)
De 1790 à 1793-1794, le nouveau régime révolutionnaire va rompre avec la politique de français unique dans la communication officielle et élaborer, de façon pragmatique et assez laborieuse, ce que Ferdinand Brunot et d'autres historiens nommeront la « politique des traductions ». Les Archives nationales conservent une partie importante des archives et documents témoignant de cette période particulière de la politique linguistique française. 

Présentation du producteur

Dès le début de la Révolution des députés expriment la nécessité de diffuser et rendre intelligibles les décrets et lois de la nouvelle Assemblée nationale auprès de citoyens qui, pour une grande partie dans certains territoires, ne parlent pas français. L’initiative vient du flamand Françoise-Joseph Bouchette (1735-1810), député de Bailleul, qui a déjà traduit de sa propre initiative diverses lois et instructions, et qui saisit l’Assemblée afin d’obtenir l’autorisation de les imprimer. Plusieurs autres députés demandent la traduction systématique dans les différentes langues en usage chez les citoyens français. L’Assemblée nationale décrète le 14 janvier 1790 « que le pouvoir exécutif sera supplié de faire publier les décrets de l’Assemblée dans tous les idiomes qu’on parle dans les différentes parties de la France. Ainsi tout le monde va être le maître de lire et écrire dans la langue qu’il aimera mieux et les lois françaises seront familières pour tout le monde. » Le décret indique : « sur la proposition de M. Duport, il est décrété que le pouvoir exécutif fera traduire dans tous les idiomes de la France les décrets de l’Assemblée nationale. »
Plusieurs députés ou personnalités se proposent pour réaliser les traductions : Simon pour l’allemand en Alsace, Boldoni, professeur au Lycée de Paris pour l’italien à destination de la population corse, Dithurbide pour le basque, Broussard pour le flamand et un certain Dugas, du Tarn, rédacteur au Point du Jour de Barrère, pour « les idiomes méridionaux » en usage dans 30 départements. Dousse, président du tribunal criminel des Landes traduit quant à lui la Constitution (AN F/17/1005, dossier 921) ainsi que Charles-François Bouche (1735-1795), député d’Aix qui la traduit en occitan provençal et la fait imprimer.
L’entreprise de Dugas est la plus ambitieuse et intéressante car il proposa ses services pour une large zone et tenta de mettre en œuvre un véritable service de traduction en recrutant des collaborateurs. En octobre 1791 il est en mesure de présenter 24 volumes de traductions à destination des départements de langue d’oc. Elle finit par atteindre 96 volumes de décrets et 18 d’actes constitutionnels. Malheureusement une faible partie est identifiée et conservée aux Archives nationales sans que l’on ait jamais trouvé trace de l’ensemble de ce vaste corpus traduit en occitan selon les parlers de nombreux départements.
Les traductions réalisées par Dugas et ses collaborateurs sont envoyées dans les départements concernés pour recueillir l’avis sur leur conformité par rapport aux originaux en français. Si certains départements valident les traductions, d’autres émettent des critiques. L’entreprise de Dugas est particulièrement connue car il eut tout le mal du monde à obtenir le paiement de ses traductions. Les courriers et documents produits nous permettent d’en savoir davantage sur l’entreprise (voir ci-dessous « documents complémentaires : AN F/17/1069 »)
Ce que l’on nomme la « politique des traductions », confortée par plusieurs initiatives et textes officiels de 1789 à 1793, prend fin en 1794 (an II) avec la politique « d’anéantissement des patois » qui suit le fameux « Rapport Grégoire » (Rapport du Comité d'Instruction publique sur la nécessité et les moyens d'anéantir les patois et d'universaliser l'usage de la langue française). La documentation de cette entreprise officielle de traduction en langues de France est conservée aux Archives nationales (AA32, dossier 963) Elle intéresse non seulement la question politique des langues en rendant compte des débats qu’elle a pu susciter au cours d’une période de profonde réflexion sur la doctrine révolutionnaire en la matière, mais également sur la mise en œuvre d’un tel chantier dans la France de la fin du XVIIIe siècle renseignant sur le profil des traducteurs, leurs motivations, les choix linguistiques opérés, les informations sociolinguistiques que cela sous-tend, etc.

Contenu du fonds

Identifiant :

AA 32, dossier 963 (il est possible qu'il y ait d'autres documents intéressant la politique des traduction en dehors du dossier 963)  : ièces relatives à la traduction des décrets dans les différents idiomes usités en France, ordonnée par décret du 14 janvier 1790. 1791-an IV.

Documentation complémentaire :

  • AN F/17/1005, dossier 921 :
18 septembre 1793 Dousse, président du tribunal criminel des Landes. Auteur d'une traduction de la Constitution en patois du pays. 3 pièces.

  • AN F/17/1069 :
Demande d'indemnité par Dugas, pour ses traductions des décrets dans les différents idiomes méridionaux. 1792.

  • AN F/17/1309, dossier II.10 :
Réflexions sur le genre d’instruction publique qui conviendrait à nos campagnes méridionales, par Antoine Gautier-Sauzin, cultivateur à Montauban. 18 décembre 1791.

  • Documentation imprimée :  La Counstitucién francézo, traducho, counfourmamén eis Décrèts dé l'Assémblado naciounalo counstituanto, én lenguo prouvénçalo, é présentado à l'Assémblado naciounalo législativo / par Charles François Bouche… A Paris : de l'imprimerie nationale. 1792.
Consulter l'article sur la Counstitucién francézo de C.-F. Bouche et la localisation des exemplaires conservés au sein de l'Enciclopedia d'Occitanica : https://occitanica.eu/items/show/20310
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Lenga d'òc : Medelha (espectacle) / Tè Vé Òc
Emission dau 22 de novembre de 2018
La Compagnie « Rêves du 22 Mars » adaptèt « Medelha » en version bilinga, l'òbra teatrala maja de Max Roqueta. Anèrem a Montpelhièr a l'escasença d'una representacion dins lo pargue de la Maison pour tous Mélina Mercouri. Es dins la version sensa musica que vos prepausam de (re)descubrir aquela creacion presentada en mitan urban. Concebuda per èstre jogada a l'exterior, dins lo bruch ambient, aquela adaptacion de la pèça nos es detalhada dins una entrevista ambé Bruno Paternot, comedian e meteire en scena. Una immersion dins una òbra universala e intemporala.
Un reportatge d'Amada Cròs.
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Bernadau, Pierre (1762-1852)
Dès les débuts de la Révolution française des députés provenant de circonscriptions de langue occitane, flamande, bretonne, basque, etc. ont proposé de traduire dans les « idiomes qu'on parle dans les différentes parties de la France » les lois et décrets de la nouvelle Assemblée constituante afin d'obtenir l'adhésion du peuple non francophone. Ces initiatives, en rupture avec la politique linguistique de l’Ancien régime, aboutissent à l'adoption du décret du 14 janvier 1790 prévoyant la traduction systématique des lois et décrets.
Si cette « politique des traductions » a été dans les faits très laborieuse dans sa mise en œuvre, très imparfaite dans ses réalisations, et au final assez peu soutenue, elle produisit cependant un important corpus de traductions des textes officiels en langues de France, en particulier en occitan, vaste domaine géolinguistique, massif en termes de nombre de locuteurs. Cette politique prend fin en 1793-1794 avec la mise en place d’une politique « d’éradication des patois » autour du fameux Rapport de l'abbé Grégoire.

La traduction de Pierre Bernadau

Cette traduction de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen par le bordelais Pierre Bernadau (1762-1852), si elle est la plus connue, n'est donc pas la seule. Elle doit sa célébrité pour avoir été envoyée en réponse à l’enquête de l’abbé Grégoire. Elle est cependant assez classique dans ses intentions et ses choix linguistiques : sur le plan politique il s’agit de rendre intelligible pour le peuple, en particulier paysan, les progrès et droits octroyés par l'Assemblée afin d’obtenir son adhésion ; sur le plan linguistique, le traducteur recherche une langue occitane assez largement compréhensible en dépit des variations locales. Pour Bernadau, ce sera l'occitan parlé autour de lui sur les quais du port girondin, un gascon très influencé de languedocien, sorte d’occitan unifié intercompréhensible dans tous les pays de Garonne. Le texte français est donné en interligne afin de pouvoir vérifier sa fidélité à l’original.  Pour autant, la traduction de Bernadau est considérée peu fidèle, en tout cas assez libre, par rapport au texte original
Bernadau n’avait sans doute pas établi cette traduction pour le seul Grégoire mais devait l’avoir préparée pour le public bordelais puisque l’on sait qu’il s’engagea pour la politique des traductions.

Le manuscrit 

Le manuscrit conservé est celui envoyé à l'abbé Grégoire en réponse à son enquête préparatoire au Rapport qui scellera la politique « d’éradication des patois » à partir de 1793-1794.
Il est probable que Bernadau, patriote bordelais et poète occitan occasionnel, n'entretenant pas les mêmes représentations que Grégoire sur les « idiomes » en usage dans le pays, ait fait preuve d'ironie voire de provocation dans sa réponse en envoyant cette traduction occitane de la « sainte Déclaration » pour reprendre ses propres termes.
Dans sa réponse au questionnaire - les questions de Grégoire sont pour beaucoup orientées défavorablement pour les « patois » - Bernadau indique qu'il transmet ses réponses bien qu'il n'ait « saisi qu’imparfaitement le sens des questions [posées] aux patriotes ».

Le manuscrit est conservé dans le fonds de l’abbé Grégoire à la Bibliothèque de la Société de Port-Royal (ms. REV 222) qui a aimablement fourni cette reproduction. 

Il a été publié par Augustin Gazier dans : « Lettres à Grégoire sur les patois de France », revue des langues romanes (1874-1879).
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Association Tafanari
Du 4 au 9 décembre, l'association Tafanari propose une semaine de musiques, rencontres, gastronomie, danses entre Occitanie et Calabre... Du soleil en décembre !
Plusieurs rendez-vous à Bédarieux, Caux, Pézenas, Lodève, Béziers, Camplong.

Programme du samedi 8 décembre :

Bal-Ivern à l'italienne à Béziers à la CIMADE (14 rue de la Rotonde):

14h-16h30 :
 Stages (sur inscription obligatoire : 06 87 46 01 72)
En partenariat avec la Cosmopolithèque et le Barnabu
Chant, danse, tambourin à sonnailles (prêt de tambourins ou achat possible), accordéon diatonique et zampogne : répertoire et techniques calabraises. Tous niveaux. 
Atelier de fabrication d'instruments en roseau ouvert aux enfants à partir de 6 ans (participation libre)

19h30 : Repas italien sur réservation (04 67 95 21 10). Entrée + plat (tarif : 10€ - Repas + bal : 18€. Adhérents et - de 25 ans : 16€)
Vente d'assiettes à dessert confectionnées par l'atelier cuisine de la CIMADE.

21h :  soirée festive et populaire
Avec Totarella, Arc Nòrd Mediterranèa et Tafanari. Au menu : énergie, bonne humeur et Tarentelles, Tammuriata, valses, sciotze, cercles de toutes tailles... Animation danse.

Informations pratiques
www.tafanari.fr
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Association Tafanari
Du 4 au 9 décembre, l'association Tafanari propose une semaine de musiques, rencontres, gastronomie, danses entre Occitanie et Calabre... Du soleil en décembre !
Plusieurs rendez-vous à Bédarieux, Caux, Pézenas, Lodève, Béziers, Camplong.

Programme du vendredi 7 décembre :

13h30-16h : La Calabre au Collège : concert pédagogique dans un établissement de la Comcom Les Avants Monts

Salle Achille Bex à Bédarieux (organisé par La Talvera) :
17h30 - 19h : Apéro sérénade à la calabraise, vente d'assiettes gourmandes
19h30-21h : Conférence sur la démocratie locale et la gouvernance partagée : l'exemple de Saillans (Drôme), par Tristan Réchid. Une autre façon de concevoir la gestion municipale, une gouvernance démocratique, participative, citoyenne et vivante.


La Distillerie à Lodève (10 bis rue de la sous-préfecture) :
21h : soirée calabraise, musique, chants et danses avec totarella et invités.
Restauration tapas et buvette à partir de 19h30.
Participation libre au chapeau (minimum conseillé : 5€). Renseignements : 06 40 27 87 37

Informations pratiques
www.tafanari.fr
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