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Nariòo, Gilabèrt
 

Au commencement il y eut les questions de ceux qui voulaient apprendre à bien parler. Grâce aux nombreux ouvrages existants et à ceux qui furent édités ensuite, les réponses furent faciles à trouver.
Et ainsi s’établit la chaîne liant les auteurs de grammaires, dictionnaires et méthodes d’apprentissage du gascon, enseignants et apprenants.
Il s’agit d’une vingtaine d’ouvrages au moins, importants pour la plupart, seulement en Gascogne. Nous avons également puisé, pour répondre aux questions et donner aux réponses davantage de poids, dans les œuvres de tout l’espace occitano-catalan.
Il arrive toujours des questions, la chronique « parlar plan » continue sur País Gascons alors que d’autres outils bien plus importants se préparent.
Ce livre est seulement une étape, un maillon de la chaîne qui s’allongera et croîtra jusqu’à ce que nous ayons tout ce dont une langue a besoin pour vivre et résister, de sorte que la langue gasconne parvienne à une situation sûre où elle puisse considérer comme ses égales les autres grandes langues européennes.

21,5 x 15,5 – 258 p. – 2017 – 13 €

ISBN : 978-2-86866-132-6

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Pauline Willerval commence l’apprentissage du violoncelle à 6 ans. En 2006, elle clôt son éducation classique en obtenant le CFEM de violoncelle au conservatoire de Lille. Elle y aura également appris le jazz pendant deux ans. Entre 2007 et 2009, à Lille, elle commence à s’intéresser à certaines musiques traditionnelles, notamment au sein du groupe Tarab’Med, qui réunit une dizaine de musiciens originaires du Maroc, d’Algérie, de Turquie, de Grèce et de France, autour des musiques du bassin méditerranéen. Elle s’initie parallèlement aux musiques à danser d’Auvergne, du Nord et de Bretagne. En 2009, elle s’installe à Plovdiv (Bulgarie) pour une année, et y commence l’apprentissage de la gadulka. Pour cela, elle prend des cours avec Nikolay Paskalev, Peyo Peev, Darinka Tsekova, Dimitar Gougov. Entre 2011 et 2013, elle s’installe à Istanbul. Elle recherche une texture sonore à la gadulka qui se rapproche de ses répertoires cousins de la scène stambouliote, joués au kabak kemane, karadeniz kemençesi ou encore klasik kemençe. Elle remet la main à son violoncelle et y développe un langage plus modal. Entre 2013 et 2015, elle participe à la cinquième mouture de Kreiz Breizh Akademi, fondée par Erik Marchand. C’est l’occasion pour elle de rencontrer de grands maîtres internationaux des musiques traditionnelles et/ou de l’improvisation (Ross Daly, Camel Zekri, Fawaz Baker, Iyad Haimour, Dominique Pifarély, Hélène Labarrière) et de travailler sur le répertoire chanté de basse-Bretagne avec 11 autres musiciens, dans une démarche à la fois précise, appliquée et curieuse et créative. Elle poursuit aujourd’hui sa vie de musicienne entre la France et la Turquie (Bayati, Asondar, Sâki, An Quartett, Kreiz Breizh Akademi, Pas d’nom pas d’maison, Laf Duo...).
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Gurvant Le Gac est un musicien au parcours riche et fertile, formé à la flute traversière en bois par Jean-Michel Veillon (pionnier de l’instrument en musique bretonne), Jean-Luc Thomas et Yannig Alory. En 2005 il intègre Izhpenn12 (Kreiz Breizh Akademy #2), et fonde ensuite Bayati où il compose la majorité du répertoire. En 2013, il développe une vision plus personnelle de la modalité dans Charkha : un jazz modal aux accents de musiques traditionnelles. Le groupe sort l’album « La couleur de l’orage » (révélation jazzmag). Avec Nør Quartet et Maura Guerrera, il crée un spectacle autour du chant sicilien, spectacle soutenu par la Cie des Musiques Têtues. En 2014, Il intègre le groupe marseillais Dupain. Il a joué au cours de son parcours avec Thierry Robin, Erik Marchand, Jacky Molard, Bijan Chemirani, Sam karpienia, Lo Còr de la Plana, Forabandit, Les Balkaniks…
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Tamborinaïre, percussioniste et batteur, il construit et invente ses propres instruments. Il chemine autant dans le répertoire des musiques traditionnelles méditerranéennes que dans celui des musiques improvisées. C’est dans le bouillon culturel phocéen qu’il s’imprègne de chansons occitanes, de balètis et des musiques à danser d’ici, et d’ailleurs. A Marseille, ville bâtarde par excellence, farandoles et tarentelles se contaminent, la polyphonie occitane se nourrit de la polyrythmie du maghreb, et la paghiella corse n’est pas loin. Ses tambours le font voyager depuis quelques années en dedans et en dehors de ce que l’on appelle "la tradition", à la rencontre de maîtres percussionistes tels que Bijan Chemirani ou Carlo Rizzo. Pendant trois années il descend régulièrement à Naples et apprend la facture de la tammorra et du tamburello avec Raffael Insera et Catello Gargiulo, deux musiciens - luthiers qui sont au coeur de l’ancienne et bien vivante tradition de la tammurriata. À partir des recherches et des instruments qu’il a construit pour ses propres besoins, il crée son atelier de lutherie à l’Estaque, Tambor de Masca, avec lequel il met au point une gamme de tambours sur cadre artisanaux. Il enregistre et collabore aussi à plusieurs projets de musique improvisée. Sa « batterie préparée » devient le laboratoire de toutes les expérimentations, sur les timbres, les couleurs, le son, le bruit. Il accompagne aujourd’hui le groupe Gli Ermafroditi (Naples), IDDU avec Maura Guerrera (Sicile), Bertolino trio, et participe à la Kreiz Breizh Akademi #5 (Bretagne) sous la direction d’Erik Marchand.
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Titouan Billon apprend le piano et la guitare au conservatoire, ce qui lui fournit un véritable tremplin technique dans la découverte, au contact d’autres musiciens, du chant, des percussions, de la basse, de l’accordéon, de la mandoline, de la clarinette, du saxophone, du violon... Il pratique ces instruments dans de nombreux groupes, de la musique traditionnelle au jazz en passant par le métal : « Sheol », groupe de Métal Narbonnais, « la Coda », groupe de chansons françaises Audois, « Les James Bien » groupe de Jazz Audois, « Les Accords Curry » groupe de musique traditionnelle à danser Montpellierain, « Coriolan » groupe de reprise de Léo Ferré Narbonnais, « Tears of Hope » groupe de Pop-rock Narbonnais etc... Il participe aujourd’hui à plusieurs projets musicaux : « Fai Deli » groupe de musiques traditionnelles à danser , « Du Bartàs », groupe de polyphonies Occitano-Arabes, « Lo Barrut » jeune groupe de polyphonies occitanes, « Urban Balèti » groupe de trad-rap...
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Née dans le Gard le 08 janvier 1962 à Nîmes.

Pendant son enfance et adolescence, Myriam pratique le chant dans plusieurs chorales, la guitare classique à l’école de musique et de danse d’Alès, la flûte à bec pendant des stages au Mas de Leuzière, ainsi qu’au sein de sa famille.

C’est avec la rencontre de son mari et sa vie en Corrèze que Myriam découvre les musiques et danses traditionnelles avec l’apprentissage en autodidacte de l’accordéon diatonique et de différents types de cornemuses : musettes 14 et 16 pouces du Centre France, chabrette limousine, boha landaise, gaïta galicienne.

Professionnelle depuis1991, c’est avec le Duo « Musiqu’à Deux » qu’elle transmet sa passion pour les musiques et danses traditionnelles et propose des stages, concerts, bals, animation et présentation d’instruments dans les écoles. Elle donne également avec son époux des cours de danses traditionnelles au lycée Agricole de Neuvic d’Ussel.

En 1999 le Directeur de la DRAC du Limousin, Monsieur Jean-Luc Massy, délivre un certificat d’agrément en tant qu’intervenants dans le milieu scolaire au Duo « Musiqu’à Deux ».

C’est en 2007 que Myriam découvre le répertoire Suédois et suit les cours de Daniel Peterson et Torbjörn Näsbom en violon. Ce nouveau contact avec les musiques traditionnelles suédoises vient enrichir et compléter l’univers musical du duo qu’elle forme avec son époux.
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