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Voses de la modernitat : percors literari, fotografic e sonòr suls camins de la modernitat poetica occitana
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Istoria de dire... a la mòda dau país : une série pour découvrir l'identité culturelle du Périgord-Limousin
IEO dau Lemosin
« En Périgord-Limousin Il y a des originalités qui se cultivent. On y affiche, bien souvent sans le savoir, une identité culturelle héritée d'une longue histoire occitane. C'est tout un univers qui s'offre à vous si vous prenez le temps de pousser les clédous des jardins et d'écouter les gens d'ici. »

À travers huit films courts, Jean-François Vignaud propose ainsi une immersion-formation à l’art de vivre en Périgord-Limousin : huit chroniques comme huit petites clés pour mieux comprendre les gens d’ici, leurs comportements et leur façon de parler.
Une réalisation de l’IEO dau Lemosin pour le Parc naturel régional Périgord-Limousin.
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Jean Fléchet, réalisateur occitan
Né à Lyon en 1928, Jean Fléchet, est auteur et réalisateur de films, diplômé de l'IDHEC (Institut Des Hautes Études Cinématographiques). Après avoir débuté au Maroc et à Paris, il est depuis bientôt soixante ans réalisateur de longs métrages, d'émissions télévisuelles, de films de recherche et d'œuvres de commande.
En 1961, il fonde dans le Vaucluse la société de production Les Films Verts, qui lui permet de produire le tout premier long métrage tourné en provençal, La Fam de Machugas. Si la culture occitane apparaît pour lui comme une révélation, cette dernière lui doit aussi beaucoup à travers son travail et son engagement pour un cinéma occitan : au-delà et en complément de sa maison de production, il co-fonde en 1977 l'association Tecimeoc, ainsi que la revue du même nom. Cette dernière, dédiée à la promotion et au développement de la télévision et du cinéma méridional et occitan, devient au fil des années un référent incontournable pour la défense et promotion des cinémas dits « de pays », mais aussi le porte-parole de la cinéphilie au sens large.
Engagé pour l'existence d'une télévision en occitan ambitieuse et de qualité, Jean Fléchet anticipe l'histoire et crée, dès avant 1981 (date où la télévision publique, à travers la chaîne FR3, commence à intégrer dans ses grilles de programme quelques timides contenus en langue dite « régionale »), le tout premier Magasine Occitan, journal d'actualité et de création diffusé sur support VHS à défaut de relais sur les chaînes hertziennes.
Côté cinéma, si l'œuvre la plus célèbre de Jean Fléchet est sans doute L'Orsalher - présentée au Festival de Cannes en 1983, sa production est foisonnante, tant du côté des longs-métrages que des courts.

Filmographie :

Long-métrages :

- L’Orsalher (Le montreur d’ours) (100 min)
- Traité du rossignol (100 min)
- L'école des femmes de Molière (100 min)
- La Sartan suivi de La faim de Machougas (70 min)
- La soupe populaire (80 min)
- Onze fragments minéraux en Luberon (59 min)
- Brahim ou le collier de beignet (long métrage sur le Maroc indépendant)

Court-métrages :

- La Sartan (20 min)
- La faim de Machougas (52 min)
- Le Mont Ventoux (26 min)
- Lo ferre vielh (26 min)
- Jòrgi Reboul (30 min)
- Bordilhas (20 min)
- Photographes du quotidien (26 min)
- La fête d’Orange (26 min)
- Lipetarias provençalas (20 min)
- L’ours brun des Pyrénées (20 min)
- Luberon, mars 70 (13 min)
- L’aubre vielh (13 min)
- La naissance de Langue Peille (26 min)
- Ne tirez pas ! C’est Saint-Ex (10 min)
- Cinq fragments pour un vitrail (13 min)
- Manosque, pays de Jean Giono
- Trois films d’initiation au film (42 min)
- Underground again (10 min)
- Cinétracts d’Avignon 68
- Le festival d’Avignon 1967
- Sept petits sketches de grammaire
- L’Archéologie racontée aux enfants
- Ductus
-Je marchais
- Film sur Hans Bellmer
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L'occitan pels nulasses : l'emission radiò pels nulasses en occitan

Difusada de 2012 a 2015 despuèi las antenas de Rodés e de Vilafranca de Roergue de Radiò CFM e sus internèt, lo programa "L'occitan pels nulasses" prepausa una forma de militantisme occitan que passa pel rire. Per rire dels occitans d'en primièr, per rire de tot aprèp.
Informacions insolitas, falsas publicitats... D'una revista de premsa diferenta de las autras a de cronicas de las mai descaladas, Arnaud e Jean fan descobrir al public larg, e dins la bona umor, la cultura occitana jos totas sas formas contemporanèas.
Concebuda per s'adreçar tant al debutant que lo coneisseire de la lenga d'òc, l'emission bilingüa occitan francés despareta las praticas e los sabers, essent aital a l'encòp " didactica e recreativa".

Per de questions de dreches, los extrachs musicals difusats dins las emissions podon pas èsser mes en linha, fogèron doncas talhats dels enregistraments.

Occitania Libertaria
Peiregòrd es pas a vendre : la contèsta fàcia als promotors immobiliaris
Escarpit, David
Bertrand, Aurélien

Les années 1970 sont marquées par la contestation sociale et économique d’un certain modèle de l’état. De 1968 et la contestation de la France gaulliste aux chocs pétroliers et ses conséquences économiques et sociales, la période est un foisonnement de mouvements contestataires, alternatifs, à travers toute l’Europe, parfois favorables à l’usage de la violence.
Dans les pays d’Oc, cette période correspond au fameux borbolh créatif et idéologique qui voit la naissance de la Nouvelle chanson occitane, mais aussi la théorisation de certains concepts comme le Colonialisme intérieur, un des thèmes développés par Robert Lafont et largement repris par de nombreux théoriciens de la pensée occitane.

L’idée que dans le contexte étatique français, les pays d’Oc soient traités comme des pays colonisés - en plus de ce que l’on peut considérer comme une colonisation culturelle - sur le plan du développement économique, se répand. La stratégie économique des pays du Midi serait limitée à en faire des nids à touristes, envahis par l’industrie hôtelière et les promoteurs immobiliers, servant de jardin à Paris et sa banlieue. Des pays sans économie propre - détruite par les politiques agricoles françaises - tout juste bons à être placés sous tutelle.

Cette idée, associée à un contexte d’intense militantisme occitan, donne naissance à des comités d’action, des groupes de petite taille décidés à passer à la vitesse supérieure dans leur quête de reconnaissance de l’identité occitane, quitte à envisager l’action directe et le recours à la force.

Deux régions sont particulièrement touchées par ce phénomène. Le Languedoc, en proie à la crise viticole et possédant une tradition « rouge » de contestation sociale et le Périgord, pays hautement touristique. Tous deux se sentent dépossédés de leur patrimoine. Dans une moindre mesure Bordeaux, base arrière des groupes occitanistes, recrute beaucoup dans les milieux associatifs occitans et universitaires. Le Périgord notamment fait partie des régions occitanes où la langue et la culture sont demeurées vivantes, avec un Félibrige actif sans être politisé et une vie musicale et poétique occitane intense.

C’est dans ce contexte qu’apparaît le Comité d’Action Sarladais (CAS), autour de slogans comme « Le capital croque le Périgord » ou « Lo Perigòrd es pas a vendre » (le Périgord n’est pas à vendre). Ce dernier fait référence au rachat de fermes abandonnées et de terres par de riches « colons » empêchant l’installation de jeunes agriculteurs. On recense aussi l’utilisation plus marginale du slogan « Lo vent a bufat, l’Estat a pas paiat » (le vent a soufflé, l’État n’a pas payé) qui fait référence à une tempête ayant saccagé des noyers et aux promesses d’indemnisations des agriculteurs non tenues. De petits groupuscules fleurissent : outre le CAS apparaît également le « Front de Liberacion de la Val de Dròpt », tous deux tentés par l’action directe et les opérations coup de poing. Au sein de ces groupes, chaque membre ne connaît qu’une partie des autres membres, la clandestinité est de règle. Ils seront bientôt réunis dans la mouvance de « Volèm Viure Al País », qui prône alors l’action directe et une certaine forme de violence, en particulier dans le Sarladais et du côté de Sainte-Foy-la-Grande, avec des ramifications à Bordeaux, en Lot-et-Garonne et en Sud-Gironde. Il existe aussi un « Moviment Anarquista Occitan » (mouvement anarchiste occitan) en particulier en Périgord. Quelques petits journaux satiriques occitans sont également imprimés, comme Lo Pelharòt à Bergerac.

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De la RCP 323 en Pays de Sault au GARAE : pour une anthropologie autochtone en pays d’Oc
Dans le domaine des sciences sociales, les années 1960-1970 sont marquées par les « Recherches coopératives sur programme » (RCP), vastes enquêtes pluridisciplinaires qui se sont souvent avérées comme de véritables aventures collectives aux répercussions importantes sur les terrains étudiés.
De 1973 à 1978, sous la direction de l'archéologue Jean Guilaine, alors enseignant-chercheur à l’Université Paul-Sabatier de Toulouse, une RCP est menée dans le Pays de Sault (Pyrénées audoises). Par son importance pour la connaissance et la valorisation de la langue et des cultures de tradition orale, la RCP 323 apparaît comme le versant scientifique du grand mouvement de renouveau revendicatif et culturel qui emporte alors l’espace occitan autour de la dénonciation du « colonialisme intérieur » et la revendication au « Volèm viure al país ». Elle sera à l’origine de la création d’une institution, le GARAE, à Carcassonne.
Image : Daniel Fabre enregistre le conteur Pierre Pous, Bessède-de-Sault (Aude), 1973. Photo Jean-Pierre Piniès.

Les RCP et une nouvelle approche des sociétés locales dans les années 1960-1970

Ces programmes de recherche fondés sur le décloisonnement des disciplines et des approches, permettent d’embrasser une société comme un tout, quel que soit l’échelle du terrain étudié. La RCP consacré à Plozévet, petite commune de Bretagne entre 1961 et 1965, choisi pour sa situation d’isolat de « culture rurale intacte » fut déterminante pour l’évolution des sciences sociales en France et demeure une référence.
Côté occitan, c’est le pays de Sault qui devient le terrain d’une vaste enquête pluridisciplinaire conduite par Daniel Fabre dans le contexte du renouveau culturel occitan et du développement des revendications régionalistes. Daniel Fabre est d’ailleurs proche du mouvement occitan, en participant aux Universités occitanes d’été de Robert Lafont, penseur du concept de colonialisme intérieur et leader d’organisations militantes (IEO, COEA), et en publiant quelques textes articulant évolution des sciences sociales et problématiques occitanes.
La RCP 323, loin de constituer une seule affaire scientifique, est menée comme un des versants du mouvement qui marque l’action et la pensée occitane des années 1960 à l’orée des années 1980 autour d’un concept-phare : la lutte contre le colonialisme intérieur.

Une enquête anthropologique dans un contexte de “décolonisation” de l'Occitanie

La RCP 323 porte sur « l’Anthropologie et l’écologie pyrénéennes ». Daniel Fabre dirige l’équipe en pays de Sault, déterminé comme zone-pilote, de 1973 à 1978. Cette recherche collective et pluridisciplinaire engagea plusieurs jeunes ethnologues du Centre d’anthropologie des sociétés rurales de Toulouse dirigé par Daniel Fabre et Jean Guilaine et formera les bases de ce que certains appelleront l’école toulousaine. L’enquête en pays de Sault mobilisa jusqu’à 25 membres sur un total de 60 qui s’attachèrent à la RCP 323 sur les Pyrénées.

Dans les années 1970 l’anthropologie culturelle et sociale ne constituait par à l’université de Toulouse un cursus autonome. Elle était au carrefour de l’anthropologie biologique, de la dialectologie et des études occitanes. Aux côtés de l’Institut pyrénéen d’études anthropologiques, c’est via le vénérable Institut d’études méridionales que le lien de la nouvelle génération d’ethnologues et anthropologues avec la question linguistique et culturelle portée par l’occitanisme va se produire. Au sein de l’Institut d’études méridionales, Jean Séguy assure les cours de langue et l’écrivain René Nelli assure des cours réputés « inclassables » d’ethnologie méridionale.
Plus globalement, « le mouvement occitan de revendication identitaire, de défense de la langue et de la culture occitanes, qui se cristallise dans les années 1960 et gagne en puissance après Mai 68, imprègne les prises de position de Daniel Fabre et d’autres collègues ethnologues contre le colonialisme de l’intérieur, contre cet ethnocide (la référence à Jaulin est assumée) dont se serait rendu coupable un État français centralisateur, destructeur des particularismes locaux et des minorités nationales. » (Christine Laurière, La RCP 323 : une aventure collective en pays de Sault. ethnographiques.org, 32 - septembre 2016)

La RCP 323 est donc conduite par des personnalités engagées dans le mouvement occitaniste de façon conscientes et assumées. Dans un article paru en 1972 (Annales de l’Institut d’estudis occitans) Daniel Fabre et Jacques Lacroix appelaient déjà à un programme de « décolonisation de l’anthropologie ». Non seulement ces anthropologues carcassonnais revendiquent leur qualité « d'indigènes », plaident pour une « anthropologie autochtone », corollaire régional pour une décolonisation de l'anthropologie, mais ils ne dédaignent pas mettre en cause eux aussi le colonialisme intérieur, l’aliénation linguistique, l’ethnocide culturel. Au cours de la décennie 1970, marquée en Occitanie par un grand mouvement de renouveau créatif et revendicatif et par le succès des revendications et d’organisations prenant de plus en plus part à la vie politique régionale et nationale, des ethnologues autour de Daniel Fabre et Jacques Lacroix vont articuler les grandes thématiques de l’époque (colonialisme intérieur, révolution régionaliste, décentralisation, etc.) à leur discipline :
- 1972, « Pour une anthropologie occitane. Propositions pour la décolonisation de l’anthropologie », Annales de l’Institut d’études occitanes, II (6), p. 71-85 ;
- 1975, « Pour une anthropologie des collectivités rurales occitanes », Communautés du Sud, vol I, Paris, U.G.E. 10/18 ;
- Bidart Pierre, Blanc Dominique, Drulhe Marcel, Fabre Daniel, Holohan Wanda, Lacroix Jacques, Morin Françoise, Rivals Claude, 1977, « L'anthropologie des minorités nationales dans les pays industrialisés », Bulletin du Musée Basque, n° 78, p. 177-190.
- Fabre Daniel, (président et rapporteur), 1978, « Les minorités nationales en pays industrialisés », L'Anthropologie en France. Situation actuelle et avenir, Colloques internationaux du Centre national de la recherche scientifique, n° 573, Paris, CNRS, p. 293-314.
 
Ces ethnologues occupent le terrain de la recherche et produisent des oeuvres dont certaines feront date :
- 1972 Aspects des collectivités rurales en domaine occitan. Etude anthropologique en pays de Sault, Toulouse, Université Paul Sabatier.
- 1973, La Vie quotidienne des paysans du Languedoc au XIXe siècle, Paris, Hachette-Littérature.
- 1974, La tradition orale du conte occitan. Les Pyrénées audoises, T I, Paris, Presses Universitaires de France.
 

Postérité : la naissance du GARAE à Carcassonne

Suite à la RCP 323 qui s’inscrit dans un moment d’engagement pour les ethnologues carcassonnais, dans le nouveau contexte politique et institutionnel de 1981, ils créent le Groupe audois de recherche et d’animation ethnographique (GARAE).
La création du GARAE advient alors même que s'éteignent les échos de cette revendication d'une anthropologie occitane, au même titre que les revendications régionalistes dans le mouvement intellectuel et social.
Jean-Pierre Cavaillé, chercheur toulousain spécialiste de la question occitane contemporaine, impute ce désengagement à l'impossibilité pour l'ethnologie indigène de s'implanter en tant que telle dans les institutions de recherche et plus largement à la stigmatisation encourue par ce type de démarche (et plus encore quand elle est conduite par des amateurs), parce que soupçonnée de servir une conception fermée de l'identité et de prêter le flan à la politisation. Il envisage d'ailleurs la Mission du patrimoine ethnologique, créée à la fin du mandat giscardien en 1980, comme le moyen de tenir le phénomène en respect.
Christiane Amiel, ethnologue et chercheuse au GARAE, met l'abandon de la posture militante des anthropologues carcassonnais sur le compte de l'échec du dialogue avec les occitanistes d'alors, et le présente comme le résultat d'une incompréhension qui a amené les uns à se détourner des autres et réciproquement.

Si le GARAE naît d’un désamarrage de l’ethnologie occitane de l’occitanisme, il se raccroche en revanche à l’héritage carcassonnais en matière d’ethnographie (Groupe d’études régionalistes et de folklore audois créé en 1937 et sa revue, Folklore, active depuis 1938, travaux et enseignement de René Nelli, etc.)
Dans la foulée de création du GARAE est mise sur pied une exposition et  son catalogue paru en 1982, Un demi-siècle d’ethnologie occitane : autour de la revue Folklore, aux éditions du Garae : y sont mis en valeur les travaux que mènent alors les Carcassonnais et en scène leur parenté avec les centres d'intérêt des ethnographes de la génération 1930 (le GAEF, la revue Folklore, etc.).
Quelque chose d'une autre militance, légitimée par les grands ancêtres, est alors en train de s'inventer, de s'expérimenter, qui loin de rompre avec les lieux (qui sont tout à la fois leurs terrains d'enquêtes et le lieu où ils ont choisi de vivre), permet de s'y inscrire et d'y agir autrement.

S’il y a une rupture entre les environnements idéologies et militants de la RCP 323 dans les années 1970 et ceux du GARAE dans les années 1980, la continuité est assurée, autour de Daniel Fabre et d’une nouvelle génération d’ethnologues et d'anthropologues qui continuent à faire évoluer le regard porté, par l'ethnologie du proche, sur les cultures occitanes et autres.

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Les Amis de la Baragogne
Union régionale des Foyers ruraux d'Occitanie
Lo CIRDOC-Institut occitan de cultura
Le 3 juin, la Passejada et son Centre de premiers secours occitans sont accueillis par les Amis de la Baragogne en ouverture de leur Total Festum. 

Qu'es aquò la Passejada ? 

La « Passejada », Centre de primièrs secorses occitans est le résultat d’un partenariat entre l’union régionale des foyers ruraux Occitanie Pyrénées Méditerranée et le  Centre international de recherche et documentation occitanes   (CIRDOC - Institut occitan de cultura).
Cette année encore, le Centre de Primièrs secorses va à la rencontre du public pour s’assurer qu’il connaît bien les mots et gestes qui sauvent en milieu occitan ou catalan ! En 30 minutes chrono, le parcours d’activités interactif et ludique permet à chacun (petits et grands) de passer un moment convivial en famille et de tester ses connaissances, avant de découvrir son profil (curieux, expert, occitan qui s’ignore…).
Envie de prolonger l’expérience ou de se ménager un temps de pause ? Avec leurs désormais incontournables transats, les espaces détente et jeux du Centre accueillent toute la famille au gré des envies : « musicothérapie » avec les siestes sonores, bibliothèque éphémère pour tous les âges, initiation aux jeux traditionnels, etc...

INFORMATIONS PRATIQUES 


Les Amis de la Baragogne
Adresse : 104 Avenue Boutonnet, 34400 ST CHRISTOL
Site internet : https://www.facebook.com/labaragogne
Téléphone : 06 08 41 41 29
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Médiathèque d'agglomération Béziers-Méditerranée
Conservatoire d'agglomération Béziers-Méditerranée
IUT de Béziers
CIRDOC-Institut occitan de cultura
Cette soir&eacute;e festive propos&eacute;e par la M&eacute;diath&egrave;que d'agglom&eacute;ration Andr&eacute;-Malraux avec ses &laquo; voisins &raquo; (CIRDOC, IUT de B&eacute;ziers, Conservatoire B&eacute;ziers M&eacute;diterran&eacute;e) sera l'occasion de f&ecirc;ter l'arriv&eacute;e de la carte unique. Gr&acirc;ce &agrave; elle, empruntez dans toutes les m&eacute;diath&egrave;ques de l&rsquo;Agglo et acc&eacute;dez &agrave; de nombreux services en ligne ! Un programme riche et vari&eacute; vous attend pour passer un bon moment en famille ou entre amis.<br /><br />
<h3>PROGRAMME&nbsp;</h3>
<br /><br /><strong>16:00-22:00 : Jeux de bois / Tout public</strong><br /><br /><strong>16:15 : Th&eacute;&acirc;tre de rue / &laquo; Carte unique et Cie &raquo;</strong> par Delphine Sir et Emily Moroney / Tout public&nbsp;<br /><br /><strong>17:00 : Bal&egrave;ti / &laquo; La Boum &eacute;lectro-trad del CIRDOC ! &raquo;</strong> par Delt&agrave; Sonic et en invit&eacute; Jankenpopp. En partenatiat avec le CIRDOC-Institut occitan de cultura. / Tout public&nbsp;<br /><br /><strong>18:00 : Concert / &laquo; Big Band du conservatoire et ensemble de cuivres &raquo;.</strong> Direction Herv&eacute; Barthe. En partenariat avec le Conservatoire de l'Agglo. / Tout public.&nbsp;<br /><br /><strong>18:00 : Bodega / &laquo; &Ocirc; Petit Bontemps &raquo; /</strong> Tout public&nbsp;<br /><br /><strong>19:15 : Set Deejaying /</strong> Par Andre&iuml; Freidine en partenariat avec le Conservatoire de l'Agglo / Tout public&nbsp;<br /><br /><strong>21:00 : Spectacle / &laquo; Fl'&acirc;mes &raquo; par la compagnie La joyeuse gravit&eacute; /</strong> Tout public&nbsp;<br /><br /><strong>21:45 : Spectacle visuel /</strong> En partenariat avec l'IUT de B&eacute;ziers / Tout public<br /><br /><strong>22:00 : Cin&eacute;ma en plein air / &laquo; L'ascension &raquo; r&eacute;alis&eacute; par Ludovic Bernard. /</strong> Tout public&nbsp;<br /><br />Consulter le programme complet avec le flyer : <a href="http://www.mediatheque-beziers-agglo.org/UserFiles/documents/programmes/2019/FLYER_SOIREEFESTIVE-web.pdf" target="_blank" rel="noopener">ICI</a><br /><br />
<h3>INFORMATIONS PRATIQUES&nbsp;</h3>
Sur le Parvis et dans la M&eacute;diath&egrave;que Andr&eacute;-Malraux - Place du 14-Juillet, 34500 B&eacute;ziers&nbsp;<br /><br /><strong>Renseignements :</strong> <a href="http://www.mediatheque-beziers-agglo.org">www.mediatheque-beziers-agglo.org</a>&nbsp;/ 04 99 41 05 50
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Gròs, Jòrgi
Les contes de la Placette et du Cours Neuf

Georges Gros, romancier, nouvelliste, conteur et conférencier, commença en 1982 son œuvre écrite par les six contes présentés dans cette réédition. La Placette, chère à l'auteur, y tient un rôle central. Il y fait vivre son petit peuple et les êtres imaginaires qui l'accompagnent.

Texte occitan avec traduction française en regard
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Commune de Garrigues-Sainte-Eulalie
Kollectif du Pois Chiche Masqué
Lancement de Total Festum en Pays d'Uzès !
Du 15 mai au 23 juin 2019, les cultures régionales font vibrer la ville de Garrigues-Sainte-Eulalie. 
Au programme, plusieurs dates et événements, pour tous et pour les scolaires. 
- Du 15/05 au 23/06 : Exposition:Tradition culturelle en Occitanie. 

- 16/05 : Journée des scolaires. 
Centre de Primièrs secorses occitans, par le CIRDOC-Institut occitan de cultura et l’union régionale des foyers ruraux Occitanie Pyrénées Méditerranée.
En 30 minutes chrono, ce parcours d’activités interactif et ludique permet à chacune et chacun, petits et grands, de passer un moment convivial en famille et de tester ses connaissances, avant de découvrir son profil (l’occitan curieux, l’occitan qui l’a dans l’oreille, l’occitan qui se connaît…).
Envie de prolonger l’expérience ou de se ménager un temps de pause ? Avec leurs désormais incontournables transats, les espaces jeux et détente du Centre accueillent toute la famille au gré des envies : « musicothérapie » avec les siestes sonores, bibliothèque éphémère, initiation aux jeux traditionnels, etc. 
- Le 18/05 : Soirée contes 
- Le 21/06 : Fête de la Saint-Jean. 

INFORMATIONS PRATIQUES
Site de la Commune de Garrigues-Sainte-Eulalie : ICI
Place de la mairie. 
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