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Miralhet est un trio de part et d’autre des miroirs. Rassemblant, autour de Jacques Puech, Antoine et Clémence Cognet, ils proposent un bal où les mélodies roulent et grondent, scintillent et virevoltent, attirant et propulsant les acteurs dans leurs danses effrénées.
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Brayauds

L'association

L’association (loi 1901) a été créée en 1980, après avoir été durant 7 ans une activité de l’Amicale laïque de Saint-Bonnet près Riom.

Dans la vaste sphère du patrimoine rural, elle privilégie d’emblée les domaines de l’expression que sont la musique, le chant, la danse. Recherche, formation, et expression sont les trois axes majeurs de son action.

Son travail de collecte lui permet de rassembler de nombreuses données sur les répertoires, les instruments, l’interprétation, mais aussi le cadre environnemental dans lequel ces disciplines artistiques se sont développées. Forts de ces acquis et de ces expériences, les Brayauds développent leurs initiatives dans le domaine expressif : création de plusieurs ensembles musicaux aux répertoires et styles variés, mise en œuvre de spectacles combinant musique, danse théâtre.

Enfin et surtout, maintien d’une pratique vivante, spontanée, des musiques et danses traditionnelles lors de bals, concerts, veillées… Appuyés par leur reconnaissance musicale sur le plan national, sollicités par une importante demande de formation, favorisés par la possession d’un outil d’accueil aussi remarquable que le Gamounet, ils organisent des stages de formation dès 1982 et rapidement ce lieu devient un important centre de transmission des connaissances orales.

Depuis 1998, l’association est reconnue comme Centre Départemental des Musiques et Danses Traditionnelles du Puy-de-Dôme (CDMDT 63) ; elle fait partie du réseau régional fédéré par l’Agence des Musiques des Territoires d’Auvergne, et du réseau national de la Fédération des Associations de Musiques et Danses Traditionnelles.

Depuis lors, l’association mène de nombreuses activités dans les domaines de la formation (une dizaine de stages de musique et de danse par an, une école de musique associative, le réseau TRADAMUSE…), de la diffusion (une saison culturelle riche, un festival « Les Volcaniques« …), de la création (près de 20 groupes brayauds) et de la conservation (Le Gamounet, archives…).

Le CDMDT63

Depuis 1998, les Brayauds sont officiellement Centre départemental des musiques et danses traditionnelles du Puy-de-Dôme.

Alors que des CDMDT43, 15 et 03 existaient déjà depuis de nombreuses années, il devenait nécessaire de créer un CDMDT63 sur le département, distinct de la structure régionale existante. Avec le soutien de l’AMTA et de la DRAC Auvergne, notamment, le choix de le confier aux Brayauds, plutôt que de créer une nouvelle organisation, a été guidé par l’importance des activités départementales de notre association.

Le CDMDT63 n’est pas une entité supplémentaire distincte de l’association Les Brayauds ; une partie des activités de l’association entre en réalité dans la catégorie des actions du CDMDT63.

Les groupes brayauds

Depuis sa création, l’association compte en son sein des formations musicales différentes. Qu’il s’agisse de lien générationnel, artistique, affectif ou esthétique, chaque groupe brayaud a sa raison d’être, et s’engage associativement.

Un groupe « estampillé brayaud », selon la formule historique, s’engage en effet par les valeurs qu’il transmet et par l’aide indispensable qu’il apporte à l’association. Chaque groupe brayaud joue en effet bénévolement (exceptés les professionnels) au Gamounet et en dehors du Gamounet, dans une logique d’éducation populaire : l’apport financier en contrepartie de leurs prestations permet aux Brayauds d’entretenir leur lieu et de financer, en partie, l’école de musique.

Le cadre du Gamounet a toujours été favorable à la création artistique. Les anciens élèves de l’école de musique, souvent regroupés en fin de cursus au sein de l’enseignement « musique d’ensemble », sont amenés à former leurs propres groupes ; des musiciens de passages, qui ont été à la fois nombreux et fondateurs dans l’histoire des Brayauds, peuvent être séduits par le lieu et/ou ses occupants ; des musiciens chevronnés ont parfois l’envie d’explorer un nouvel univers musical ou de monter un nouveau projet différent de ce qu’ils font déjà, sous l’œil et l’oreille attentifs, bienveillants mais également constructifs des autres…autant de raisons qui font que le Gamounet peut être qualifié de « pépinière » à musiciens, ajouté au fait que le patrimoine immobilier de l’association comprend au moins 5 salles de répétition qui peuvent être utilisées à volonté par les musiciens brayauds durant l’année – sauf le mercredi, jour d’école de musique !

Ces conditions, qui ont été mises en place dès les années 1980 par une équipe de bénévoles engagée et visionnaire, ont permis dès le départ la multiplication et le perfectionnement des formations musicales, qu’elles préexistent à leur arrivée dans l’association ou non : Basse Combrailles, Réveil Matin, Passe Aqui, Eau Forte, Taravelle, Les Blaireaux… Près de 50 groupes différents se sont formés au sein de l’association ; chaque année amène son lot de nouvelles créations, mais aussi parfois de mise en sommeil de projets qui seront repris quelques années plus tard… ou non ! Si certains n’existent plus aujourd’hui, ou plus sous la même forme, tous ont partagé un fond commun qui est celui de l’amour de leur territoire et de la belle musique. Aujourd’hui, une vingtaine de formations différentes co-existent chez les Brayauds-CDMDT63.

 Que le choix artistique du groupe se porte sur la stylistique de telle ou telle aire culturelle, sur la mise en avant de tel instrument, sur le réinvestissement d’un répertoire ou la création musicale, sur la musique à danser ou à écouter, sur l’utilisation des possibilités modales ou l’exploitation minimaliste assumée des mélodies, sur la variation mélodique ou rythmique, il ressort en effet une unité des groupes brayauds.

La cadence, les choix musicaux et même, parfois, le style des musiciens font qu’en l’absence même de répertoire commun, il est bien souvent facile d’identifier un groupe brayaud lâché dans la nature…

Tous les groupes brayauds se déplacent et jouent aussi bien au Gamounet qu’en dehors. N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus !

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Aronde pour équilibrer deux identités fortes, des univers musicaux bien trempés : celui de Clémence Cognet et Noëllie Nioulou (les Poufs à Cordes), et celui de Thomas Baudoin et Romain Colautti (Artús), issus respectivement des répertoires traditionnels auvergnats et gascons. Fusionner deux parcours qui semblent perpendiculaires l'un à l'autre, Aronde qui les fait se rejoindre avec style et sans artifice. Et si le peintre Dali y aurait peut être vu une illustration de sa série des catastrophes, Terry Riley n'en aurait pas pour autant renié les boucles ainsi créées, répétées et répétées encore, comme pour mieux en apprécier les contours sans jamais perdre de vue leur fondement.
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Le duo Les Poufs à Cordes propose une musique acoustique et impertinente autour des répertoires de violon populaire du Massif Central, coloré de quelques compositions. En bal elles déploient une énergie indomptable et irrésistible basée sur des timbres riches et une cadence farouche. En stage, en prenant comme base le violon, le violoncelle ou la danse, elles travaillent l’immersion dans les répertoires et pratiques traditionnels comme porte ouverte à la liberté et à la création. En concert, l’épaisseur de leurs sonorités se met au service d’une musique puissante et raffinée.
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Louise c’est trois filles qui chantent ensemble mais pas toujours la même chose... enfin si, elles chantent bien la même chose ces trois filles, d’anciennes et belles chansons traditionnelles, mais pas toujours ensemble et pas vraiment la même chose ... Louise est trois fois une chose chantée ensemble, mais selon l’emplacement de nos oreilles on peut aussi entendre un ensemble de choses chantées à trois, mais à vrais dire ce n’est jamais vraiment trois fois la même chose, vu que dans l’ensemble ce n’est jamais trois fois la même Louise.
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Forts de leur expérience commune au sein du groupe Komred, ces frère et soeur ont récemment décidé de tenter la formule duo, violon banjo, accordant leur rythme pour proposer un bal qui gronde à la cadence infinie et aux sonorités puissantes.
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Pure essence des grandes formations Fifres et tambours, les Fifrelets empruntent au répertoire occitan des airs traditionnels où le chant se mêle aux deux fifres et aux tambours. En fixe ou en déambulation, ils nous invitent à retrouver la magie des fêtes populaires d'antan. Les Fifrelets proposent également un répertoire « carnavalesque » où vêtus de panel ils sillonnent les rues en jouant les musiques dédiés à ces évènements. Accompagnés d'un(e) maître(sse) de danse ils peuvent également animer un balèti pour enfants
Crédit Photo Johan Hannequin pour l'Art à Tatouille 02.jpg
Historique

La compagnie « l’Art à TATOUILLE » est implantée depuis maintenant 21 années sur la région Languedocienne. Son objectif premier était de faire renaître, par le spectacle de rue, cette tradition des bateleurs et autres jongleurs sur les places de village, dont la fonction, outre le fait de divertir, était porteuse de valeurs éthiques et sociales, créatrice de liens et de réactions.

C’est dans cet esprit que la troupe l’Art à TATOUILLE a commencé en 1994 à créer des spectacles de rue, s’inspirant à la fois des ménestrels du moyen-âge et du théâtre de foire du 19ème siècle, mêlant des chants et des musiques avec des magiciens, des jongleurs, des échassiers...

Et c’est en cherchant, pour ses créations musicales, des morceaux traditionnels du Languedoc et de la grande Occitanie qu’un répertoire un peu délaissé dans les années 80-90 est ressorti de ses oubliettes.

Au fil du temps et des rencontres, la compagnie l’Art à TATOUILLE est remontée sur scènes pour proposer des spectacles plus axés sur la composition musicale avec l’arrivée dans la troupe de personnalités aussi fortes que Roland Ramade (chanteur du groupe Reggly’ss) ou Denis Capus (batteur de Clotaire K), sans pour autant perdre l’énergie et la spontanéité propre au spectacle de rue. Depuis 2014 Frédéric Lefèbvre a intégré le collectif, aux machines, samples...pour apporter la touche électro.

L'Art de l'Art à Tatouille

Le menu de l'Art à Tatouille, à consommer en souriant avec les spécialités du Languedoc (la rouquette, la soupe de poisson,..) est forcément une invitation à festoyer.

Une nouvelle recette avec un tout nouveau sound system…!! On garde les goûts et les saveurs du Sud, le timbre particulier des chants occitans et l’accent chantant du français méridional. Sur un fond de sauce électro, punché par un tuba-basse, on fait tourner une vielle à roue.

En laissant monter un soufflet d’accordéon sur un lit de musique traditionnelle, on ajoute quelques filets d'harmonica, un zeste de cumbia, une pincée de guimbarde…

A ce mélange du Languedoc, mixer la voix de madame H, la "diva du Minervois" et huiler avec du Roland Ramade, chanteur de Regg’lyss…

Croisement de personnalités, d’influences et de répertoires, L’Art à Tatouille, originaire de l'Hérault, nous donne surtout l'occasion de partager ensemble ce goût de la musique, du Sud, de la scène et de la fête.
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« du Trobar au Slam »

Du Choc jaillit l’Étincelle

Ce choc, c'est la rencontre de la musique ancienne avec la musique électro. Cette étincelle, La BΞLUGΛ vous la sert jaillissante, réchauffante et éblouissante. Elle va vous faire l'effet d'un chaleureux feu de bois, d'un feu d'artifice détonnant. Quoi qu'elle vous évoque, La BΞLUGΛ , c'est le feu que les femmes troubadours nous transmettent dans leurs textes, poésies occitanes brûlantes de revendication d’une étonnante actualité. Ces poèmes trouvent leurs échos poétiques slamés en français et sont éclairés par la musique authentique et novatrice du groupe, gardien de ce feu qui jaillit aujourd'hui à vos oreilles et à vos coeurs.
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L’idée du groupe est lancée en 2005.

C’est un an et une répétition plus tard que le groupe a vraiment commencé à travailler. Rapidement il a intégré l’association Les Brayauds (CDMDT 63). Outre leur participation au disque « Bourrées du massif central vol.1 », ils ont joué pour différents bals et festivals en France (Nuit trad’épicée, Bolegan a l’Ostal, Festival des Hautes-Terres, Festivals des Volcaniques…)
sus 78