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Ayant vécu en Egypte les cinq premières années de sa vie, les timbres des mizmars (hautbois égyptiens) et des arghûls (cornemuses primitives sans poche) des Musiciens du Nil, lui ont laissé des empreintes sonores indélébiles, réveillées plus tard par les cornemuses et hautbois populaires. De quoi faire de lui un timbré du timbre. Il y avait aussi une cassette de Fela Anikulapo Kuti, écoutée en boucle, et plus tard vers l’âge de douze ans, John Coltrane, qui fût une révélation. Le saxophone s’est imposé alors, laissant le piano qui l’avait accompagné jusque là.

Un cheminement musical très diversifié : jazz, musique des Balkans, funk, musique concrète, rock alternatif et progressif, chanson française, hip-hop, musiques de films, musique mandingue, musique médiévale et Renaissance, musiques traditionnelles d’Occitanie, du Centre-France, d’Alsace, de Bretagne, d’Espagne, d’Italie, Bulgarie, Suède, Grèce… Il vit de la musique depuis 2009 avec différentes formations durables et éphémères (Tripoux, Total Ferum, DuoBois, La Petite Flambe, la Vespa Cougourdon Ourchestra, Attentat Fanfare, Branca bodegaires, Iridium, la Horde des hautbois… ). Il s’est spécialisé dans les cornemuses et hautbois populaires occitans, qu’il enseigne au Centre Occitan des Musiques et Danses Traditionnelles de Toulouse.

Diplômes et expériences en vrac : Enfant acteur de cinéma ; diplômé de l’école des Arts décoratifs de Strasbourg ; formé à la musicothérapie au CIM à Aix en Provence, pour poser un autre regard, une autre oreille sur la musique, sur l’humain ; réceptionniste dans un camping naturiste de la Drôme ; titulaire du DEM de musiques traditionnelles, promo 2015 avec Xavier Vidal ; vendangeur en Champagne ; collectionneur de perruques et déguisements ; compositeur pour des films d’animation et spectacles de marionnettes, à partir de sons d’objets, de jouets, de matériaux… etc.

En juillet 2016, il sort son premier album solo chez l’AEPEM : “Quand la craba crabidarà” à base de bodega/craba, cornemuse de la Montagne Noire et du Lauragais.

Solo

Seul en scène accompagné de ses multiples instruments, Maxence propose plusieurs formules pour grands, enfants, animaux, plantes… et façonne des moments musicaux de découverte ou d’approfondissement, de rencontre et d’échange, autour des cornemuses et hautbois populaires.
En concert, bal ou conférence gesticulée, en initiation à la facture d’anches sculptées, ou encore, pleins feux sur la craba/bodega, la cornemuse de la Montagne Noire et du Lauragais à laquelle est consacré l’album “Quand la craba crabidarà”… le musicien-pédagogue s’adapte à la demande, pour faire de chaque présentation un beau moment de musique partagée.

Stages

Maxence donne des cours d’aboès, hautbois ariégeois du Couserans au Conservatoire Occitan de Toulouse les jeudi à 18h ainsi qu’à domicile.

À la demande, Maxence donne également des stages de pratique de craba/bodega et de hautbois populaires en abordant la respiration, la posture, l’écoute, le réglage de l’instrument, les ornementations et du répertoire transmis de manière orale.

Pour celles et ceux qui souhaiteraient apprendre à fabriquer ou se perfectionner dans la fabrique des anches, Maxence propose deux formules :

–anches montées sur tubes pour l’autboi du Languedoc, le hautbois de Vahourle, le graile des Monts de Lacaune, l’aboès d’Ariège, et le clarin de Bigorre.

-anches dites “creusées” ou “sculptées” pour la craba/bodega, le graile des Monts de Lacaune et l’aboès d’Ariège.

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Au détour d’une rencontre inopinée de passionnés du « trad », désireux de s’impliquer dans le développement de la musique traditionnelle et néo - traditionnelle en Limousin, fut proposée la création d’une association. Au vu d’un manque de moyens financiers pour réaliser ce rêve, ces passionnés suspendirent leurs débats. Cependant, étant tous musiciens, ils se consolèrent en sortant leurs instruments de leurs étuis et jouèrent ensemble toute la soirée. Ces joyeux lurons se dirent alors que, tout de même, il était bien dommageable de ne pas recommencer ! Et ils se réunirent par la suite toutes les semaines pour partager leur plaisir de faire de la musique. Le « bœuf » ou « trad session » comme certains peuvent le nommer, vit le jour ! Le temps passa, les liens se constituèrent, les complicités musicales fleurirent, les rencontres s’opérèrent... Et, un an plus tard... l’une d’entre nous dit alors « et si on montait une association ? »

Tous animés d’une même passion, nous avons créé l’association « Les Bringuebalants » pour participer au développement et à l’évolution de la musique, de la danse traditionnelle et néo-traditionnelle en Limousin. Cette association a pour objectif d’organiser des festivals. Nous souhaitons faire découvrir notre région et les produits de notre terroir aux autres passionnés du « trad » français et européens rencontrés au détour d'autres festivals tels que « le grand bal de l’Europe » , « le festival des luthiers et maitres sonneurs » , « festiv’allier » , «le festival de saint jean du Gard » etc...

Mais nous souhaitons également faire découvrir et redécouvrir ces musiques et danses festives aux habitants de notre région. Pour se faire, notre association a créé le groupe « Valsaviris » composé de 5 musiciens issus d’univers musicaux variés, qui, depuis 3 ans, est invité à de nombreux bals et participe ainsi au dynamisme de la scène culturelle régionale. Le rêve des passionnés que nous sommes se réalise finalement... Vous avez peut être eu l’occasion de les découvrir à de nombreuses reprises sur les parquets de bal du Limousin et d’ailleurs. En effet, « Valsaviris » a même été invité à représenter notre région au festival d’Erlangen en Allemagne..
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Le groupe Valsaviris vous invite a faire frissonner vos feuilles d’un vent mélodique, à réchauffer, décoller vos racines pour mieux faire vibrer un parquet endiablé de bonne humeur ! Tant par l’écoute de nos musiques traditionnelles et néo-traditionnelles que par la danse, nous vous proposons de découvrir un univers souvent méconnu mais toujours surprenant par son évolution et sa recherche de renouveau.

Nous avons tous des spécifités musicales:

Antoine MAROT : Il est un accordéoniste qui joue de son accordéon comme il marche. Il est tombé dedans dès sa plus tendre enfance. Son père est une figure de la musique traditionnelle des années 70 en Limousin. Il chante aussi en occitan et nous apporte un répertoire issu du terroir. C’est un spécialiste de la bourrée, l’énergie qui en ressort est communicative. Les danseurs amateurs de ce type de répertoire en redemandent.

Cassie ZAHRA: Elle est titulaire d’un CEM d’accordéon. Par ailleurs elle a une formation classique de violon. Ces formations lui ont permis de s’épanouir dans le répertoire traditionnel. En effet, Cassie a usé ses chaussures sur les parquets de St Chartier, Gennetines ou encore St Gervais ! Sa bonne connaissance des danses, permet de jouer la musique au plus près des pas des danseurs.

Amandine GOUDOUNEIX: Elle est titulaire du DUMI, elle est intervenante musicale dans les écoles primaires et joue du violon dans un orchestre de Limoges « Enigma ». Sa maitrise du violon et des musiques lui permet de réaliser de nombreux arrangements. Elle est très complémentaire avec Cassie et joue depuis très longtemps avec elle. Elle est aussi danseuse et amène en outre beaucoup de composition dans le groupe.

Frédérick YVONNE: il est le sage du groupe, il nous apporte un grand nombre de compositions et un répertoire très recherché. Il joue depuis plus de 15 ans de l’accordéon diatonique. Ses premiers amours sont la musique bretonne, les gavottes, les hanterdros ou encore les andros, ce répertoire a forgé son jeu intimiste et d’une grande finesse.

Pierre-Jean MUET: il est un autodidacte, ses écoutes en musiques traditionnelles et celtiques lui ont permis d’acquérir un répertoire varié avec comme instruments de prédilection : la guitare rythmique, la flûte irlandaise et la mandoline. PJ n’a de cesse de faire sonner une musique qu’il veut avant tout humaine, sensible et chaleureuse. C’est un instrumentiste explorateur… Il fait aussi partie du groupe « Keltas » musique Irlandaise.

Johann BOSS : Sonorisateur très expérimenté du studio Ouï dire à Limoges.
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Jean Alambre né le 16 mai 1946 à Paris Butte Montmartre, est un écrivain et un auteur compositeur, membre de la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de Musique (SACEM). Il vit aujourd’hui en Limousin.

Après une enfance et une adolescence vécues à Paris, rue Championnet, dans le XVIIIe arrondissement, Jean Alambre garde la nostalgie et les souvenirs des « Années 50 », c’est à dire la marque et le petit goût d’allumettes suédoises superbement décrits par Robert Sabatier ; c’est le temps des caramels à 1 franc, des roudoudous, des mistrals gagnants merveilleusement chantés par Renaud ; c’est l’immédiat après-guerre et l’on peut encore voir les traces des derniers bombardements de 1944 sur les boulevards des Maréchaux, entre les Puces de Saint-Ouen et la Porte de La Chapelle.

La seconde facette de l’enfance de Jean Alambre sera la Corrèze, berceau de ses aïeux. On la retrouve dans la plupart de ses romans, comme dans ses chansons. Ce département et la région limousine sont pour lui une seconde matrice culturelle. C’est dans cette logique qu’il deviendra véritablement un écrivain régionaliste français amoureux de ce septentrion occitan.

Journaliste à Limoges de 1971 à 1989, après avoir quitté Paris en 1969, Jean Alambre, n’a qu’un modeste pas à franchir pour passer le gué séparant chanson et écriture. C’est ce qu’il fait à partir de 1995. On lui doit ainsi en 2003 Le Petit Vin paillé de la Défense ; en 2004 Souvenirs d’école, des écrivains racontent (ouvrage collectif) aux Éditions des Monédières ; en 2005 Chemins d’octobre, Éditions Les 3 Epis ; en 2007 : Chansons/Je connais un arbre (Intégrale de ses textes chantés depuis 1966) aux Éditions Le Bruit des Autres ; en 2007, il collabore à Corrèze par Monts et par Mots/Paroles d’auteurs corréziens (photographies Pascal Rabot), avec les Éditions Mines de Rien ; en 2008 : Les Souffleurs d’Etoiles – Roman historique, publié aux Éditions Lucien Souny, qui ramène au cœur de la Corrèze du XVIIIe siècle, dans la vicomté de Turenne, et met en scène une farouche poche de résistance au pouvoir du Roi Soleil. Ce livre se voit décerner le Prix Panazô en 2009. Pour le théâtre, Jean Alambre a également écrit La revanche de Dédale en 2009.

Côté discographie, on retiendra De Chalusset à Ventadour ( 33 tours) en 1971 et les albums Réfrac… Terre d’Oc en 2006 et Estivances en 2009.

Jean Alambre s’est produit en région parisienne dès 1966, notamment aux Relais de la Chanson Française ; en 1967 au Petit Conservatoire de la Chanson de Mireille (ORTF) et dans plusieurs cabarets : Le Mikado, L’Ecluse, La Contrescarpe…(Paris). Lauréat du « Diapason d’Or de la Chanson Vivante » (ORTF) au Festival national de Cognac (Charente) en 1970, il participe en 1976 au Festival International de Confolens (Charente) et met en scène, la même année, le spectacle Le Massacre des Primevères, au Petit Théâtre de La Visitation de Limoges, en tant qu’invité du Centre Théâtral du Limousin dirigé à cette époque par Jean-Pierre Larruy ; en 1978, il est sur scène à la Fête de l’Humanité, en première partie du groupe Tri Yann (La Courneuve). Plus tard, on retrouve Jean Alambre, en 2003 au Festival Régional des Étangs Scènes et Cultures (Corrèze), en 2005 au Festival URBAKA (Limoges), 2006 au Festival aux Champs (Chanteix, Corrèze) ; en 2007 et 2008, il anime plusieurs soirées du bar-cabaret « Le Gousset » (Limoges), en 2009, la ville d’Uzerche (Corrèze) l’accueille en concert et, en 2010, le poète Matthias Vincenot le programme dans le cadre de son festival Déc’Ouvrir de Concèze (Corrèze). Une très belle consécration pour un parcours que les modes de l’éphémère ne sont jamais parvenues à interrompre.

Auteur, compositeur, interprète

Habité par les mots et la musique, qu’il fait couler d’une façon unique et poignante, Jean Alambre aborde la chanson franco-occitane dans son expression la plus pure. Avec chaleur et sobriété, il charme de sa voix exceptionnelle, interprétant les chansons qu’il écrit et compose depuis plus de 40 ans et qui lui valurent un « Diapason d’or de la Chanson Vivante » dès 1970. 
Parolier de qualité, héritier des Brassens, Brel, Ferrat, Ferré ou Mouloudji, il n’a cessé de porter ses rages, jusqu’à être « ignoré » sur bon nombre d’ondes et dans bien des médias, y compris ceux de sa région limousine. Ses chansons n’en ont que plus de force. Pour ce « troubadour barde », le travail d’écriture et d’interprétation prend toute sa dimension en spectacle.

Sur scène et sur ses albums, Jean Alambre est entouré de musiciens au talent exceptionnel : Gilles Puyfagès (accordéon), Jérémie Astor (contrebasse/violoncelle), Jean-Marc Lajudie, Julien Soleilhavoup (batteries), Eléonore Roiffé (violon), Chris Dair (guitares), Philippe Destrem, Luc Vaillant, Jean-Michel Ponty (cornemuses, flûtes, vielles à roues)… pour n’en citer que quelques-uns.

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Créée le 1er février 2008, l'Agence culturelle départementale Dordogne-Périgord réunit les quatre anciennes associations missionnées par le Conseil départemental de la Dordogne (Adam 24, ADDC, CPLO, Mémoires Vives) en un Etablissement Public.

Outil territorial, elle a pour mission de mettre en œuvre la politique culturelle départementale, dans les domaines du spectacle vivant, des arts visuels, de la culture occitane et du patrimoine.

Les orientations et les actions de l’Agence répondent à des objectifs communs : accompagner ceux qui participent au développement de la vie culturelle du département, soutenir la création, aller à la rencontre des publics, faciliter et encourager l’accès à la culture sur l’ensemble du territoire.

Culture occitane

Faisant suite au travail mené par le CPLO (Comité Périgord Langue Occitane), intégré à l'ACDDP en 2008, celle-ci a développé un pôle occitan et plusieurs dispositifs, et mené plusieurs actions autour de la langue ou de la culture occitane.

Tout un travail a notamment été mené sur et autour de la collecte filmée "Mémoires de demain", initiée en 2006 (terminée en 2016). Le fonds récupéré a servi de base à de nombreuses et diverses créations, telles que le spectacle Imagenaire par la Compagnie Guillaume Lopez, ou plus récemment le CD de musiques électroniques Parallela de Dolán Xakò.

Un dispositif spécifique de soutien à la création au spectacle vivant occitan existe, il s'agit de Scènes d'Aqui.

Mentionnons également les événements Paratge et Paratge Pro, rencontres professionnelles autour de la langue et de la culture occitane en Dordogne.
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Mar e Montanha est une formation exceptionnelle mariant hautbois languedocien et cornemuse de la Montagne noire.

Ce groupe-école qui rassemble autour de ces instruments des musiciens amateurs (l'Escòla de Bodega de Vilardonnel et les élèves de hautbois languedocien du Conservatoire de Sète et de l'école de musique de Pezenas) et professionnels.

Les directeurs musicaux sont Alain Charrié pour le hautbois languedocien et Sophie Jacques pour la cornemuse de la Montagne Noire. Le pupitre des percussions est mené tambour battant par Coco Lemeur et Daniel Tournebize. La mise en espace est d'Isabelle François. Les costumes sont de Sûan Czepczynski.

Ce groupe à géométries variables et tenues variées (et affriolantes) est à l'aise quel que soit l'espace, de préférence public, et propose un répertoire traditionnel des deux instruments ainsi que des reprises.

Mar e Montanha est également le nom de l'association portant le groupe.
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Fondé en octobre 2014 , le groupe Patache est né de la rencontre entre Daniel Lozano-Tuffou (auteur-compositeur-chanteur) et Serge Labeur (compositeur-arrangeur-guitariste). De là s'ajoutent de nouveaux titres au vaste répertoire de Daniel qui tournait auparavant avec Les Patachons et c'est tout naturellement qu'ils prennent la décision de créer cette formation. Serge lui présente alors ses amis de longue date que sont Jean-Philippe Jalby (compositeur-arrangeur-guitariste), Marc Batet (bassiste) et Christophe Jalby (batteur). Patache interprète un répertoire en français et occitan sur fond de rock/reggae/ska aux colorations funk ou encore trad.
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Cosconilha
La Nilha prend le relais du groupe Cosconilha, dont elle est une formation resserrée. Un groupe tout neuf avec 30 ans d'expérience (comme le Nutella), influencé par des groupes tels que Lou Dalfin, Coriandre, Une Anche Passe, pour une musique trad occitane alternative.
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Ces quatre jeunes musiciens occitans font vivre les musiques et danses traditionnelles de leur Gascogne natale et d'Europe (Catalogne, Portgal, Italie...), fruit de leurs rencontres et de leurs échanges. Ils font également danser sur leurs compositions. Leurs bals font preuve de fraîcheur, de dynamisme, ainsi que d'une grande maturité.
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Còr de Lop es una banda de folk medieval en lengua occitana, formada por músicos jóvenes que viven en Buenos Aires (Argentina).

Hace muchos, muchos años, en tiempos de cruzados y señores feudales, de frailes mendicantes y gordos abades vestidos de seda eran pocos los que se atrevían a apartarse del camino de la iglesia y de los campos cosechados.
Porque allí donde no había camino, ni iglesia, ni campo de labor se extendía el bosque y el bosque era el dominio del lobo o de aquellos que se atrevían a vivir como lobos, indómitos, bandidos, forajidos, renegados, olvidados de dios, herboleras, cazadores, montaraces de toda laya, adoradores de viejos dioses, corazones de lobo.
Y estos espíritus de lobo que entraban y salían de ese bosque amigo y protector llevaban consigo un tesoro que ningún señor podía quitarles ni cuando bajaban a los mercados: su música
Y de ellos surgió la voz canalla y profana que luego sería adornada y embellecida por los trovadores en la lengua de Oc.
Porque los lobos no cantaban al señor ni a la madre, ni salmodiaban, ni amenizaban peregrinaciones si no que hablaban de cosas profanas y vulgares, de ladrones y leprosos. A veces hacían mofa de los poderosos pero sobre todo cantaban de amores.
Este trovar floreció y fructificó en tierra Cátaros haciéndose excelso y reproduciéndose aún allende las fronteras difusas de las tierras occitanas, en muchos idiomas, con otros nombres y otras sonoridades, pero eso es otra historia…



sus 78